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La plus petite pièce d'or helvétique déjà vendue

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A peine disponible, déjà épuisée: le revers de la médaille. Seuls 999 exemplaires en vente de ce quart de franc étaient en vente. Tous ont été commercialisés en un jour indique le site officiel Swissmint au prix de 199 francs. La quantité vendue à chaque ménage était limitée à une pièce.

La Monnaie fédérale Swissmint a créé la plus petite pièce d’or au monde. Une prouesse technique: le résultat est une pièce frappée mécaniquement, à l’avers et au revers différents, d’un poids de 0,063 g et d’un diamètre de 2,96 mm.

La petite pièce porte à l’avers le fameux portrait d’Albert Einstein tirant la langue avec la date, 2020, et au revers la valeur nominale d’un quart de franc avec la mention "Helvetia" et la croix helvétique.

Les deux faces de la pièce n’étant pas lisibles à l’œil nu, Swissmint a fait développer un coffret spécial muni de loupes et d’un éclairage, qui permet de l’observer à loisir et de la conserver sans risquer de l’égarer.

Pour l’avers de la plus petite pièce d’or du monde, Swissmint a choisi Albert Einstein, modèle de patience et de ténacité. De 1895 à 1914, Einstein a vécu principalement en Suisse, où il acheva en 1900 ses études dans ce qui allait devenir l’École polytechnique fédérale de Zurich. Naturalisé suisse en 1901, il décrocha en 1902 un emploi d’expert technique au Bureau fédéral de la propriété intellectuelle à Berne. En 1905, il publiait ce qui est sans doute la formule la plus célèbre du monde: E = mc2.

La plus petite pièce d’or du monde porte donc à l’avers le fameux portrait d’Albert Einstein tirant la langue avec la date, 2020, et au revers la valeur nominale d’un quart de franc avec la mention «Helvetia» et la croix helvétique. Sont également indiqués l’alliage or «AU 999,9» et le poids de 1/500e d’once.

Bien entendu, la plus petite pièce d’or du monde méritait un écrin à sa mesure. Ses deux faces n’étant pas lisibles à l’œil nu, Swissmint a fait développer un coffret spécial muni de loupes et d’un éclairage, qui permet de l’observer à loisir et de la conserver sans risquer de l’égarer.

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International

Un alpiniste meurt au Mont-Blanc après la chute d'un bloc de glace

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Une cordée d'alpinistes a été touchée par la chute d'un bloc de glace dans le secteur du Mont-Blanc du Tacul (image d'archives). (© KEYSTONE/ANTHONY ANEX)

Un alpiniste a été tué et quatre blessés lorsqu'un bloc de glace, un sérac, s'est détaché d'un glacier d'un sommet du massif du Mont-Blanc dans la nuit de dimanche à lundi, a annoncé la préfecture de Haute-Savoie. La cordée était composée de 15 personnes.

Cette chute de sérac, un bloc de glace de grande taille entouré de crevasses au sein d'un glacier, s'est produite vers 03h00 du matin "dans le secteur du Mont-Blanc du Tacul en Haute-Savoie, à environ 4100 mètres d'altitude", précise la préfecture dans un communiqué.

Sur les cordées d'alpinistes qui se trouvaient à proximité, soit 15 personnes en tout, "le bilan provisoire fait état d'une victime décédée; d'une victime en urgence absolue; de trois victimes en urgence relative". "Les sept autres personnes s'en sont sortis indemnes", dit la préfecture.

Les alpinistes impliqués sont de nationalité française, suisse et espagnole, a rapporté le réseau des radios locales publiques françaises France Bleu.

Gros moyens engagés

D'importants secours ont été mobilisés, avec des hélicoptères, des équipes cynophiles ou encore des secouristes. "L'ensemble des victimes a été pris en charge par les services de secours puis évacué vers les établissements hospitaliers de Sallanches et d'Annecy", selon le communiqué.

"D'après les premières informations recueillies, l'origine du déclenchement de la chute de sérac serait naturelle", fait encore savoir la préfecture.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Economie

Vent de panique sur les cryptomonnaies

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Pour la première fois depuis le mois de février, la valeur du bitcoin est passée sous les 50'000 dollars. (archives) (© KEYSTONE/DPA/FERNANDO GUTIERREZ-JUAREZ)

Les investisseurs en cryptomonnaies n'échappaient pas lundi au mouvement de sauve-qui-peut qui s'emparait des marchés financiers mondiaux.

"Pour la première fois depuis le mois de février, la valeur du bitcoin est passée sous les 50'000 dollars", note Timo Emden, du cabinet éponyme Emden Research.

Peu après 09h00, le cours de la plus importante cryptomonnaie était repassé au-dessus de ce seuil, à 52'037 dollars (-15%), selon le suivi de la plateforme Coinbase. Son dauphin l'ethereum abandonnait plus de 23% à 2260 dollars.

"De nombreux investisseurs sont confrontés au choix cornélien de digérer leurs pertes ou de tenter de monétiser des gains comptables de dernière minute, ce qui renforcerait encore la tendance baissière," poursuit M. Emden.

La débandade des cryptomonnaies, comme celle des places financières, est largement attribuée à la crainte d'une entrée en récession des Etats-Unis. Cette nouvelle inquiétude vient s'ajouter à de nombreuses incertitudes, géopolitiques notamment.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Culture

Des pistes pour renforcer la pertinence du journalisme

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Pour certains acteurs de la branche, c’est justement en période de grandes insécurités que les différentes formes de journalisme ainsi que les médias "traditionnels" gagnent la confiance des gens (image d'illustration). (© Keystone/STEFFEN SCHMIDT)

Le journalisme se trouve dans un processus de transformation fondamentale, dû notamment à la numérisation et aux changements technologiques. Pour éviter de perdre sa crédibilité et sa pertinence, la branche mise sur un renforcement des compétences médiatiques.

La Commission fédérale des médias (COFEM) a présenté lundi les conclusions des tables rondes organisées avec les représentants des médias. Elle relève que la branche fait face à d'importants défis liés à la numérisation et à l'intelligence artificielle (IA) et qui nécessitent des débats publics.

Les médias évaluent très différemment l'IA, note la COFEM. Celle-ci peut aider à optimiser les résultats, à augmenter l'efficacité et à personnaliser la diffusion des contenus. Mais elle comprend aussi des risques de manipulation et donc d'affaiblissement de la qualité.

Même ambivalence sur la question de la pertinence. Les uns craignent une perte de confiance due à la désinformation. Les autres notent que c'est en période de grande incertitude que les médias traditionnels gagnent la confiance.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Economie

Les craintes de récession aux USA enfoncent les marchés financiers

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"L'élément déclencheur: un rapport sur l'emploi américain" publié vendredi, qui a fait décrocher "les actions et les rendements obligataires" à Wall Street, a commenté Stephen Innes, analyste de SPI Asset Management. (archives) (© KEYSTONE/EPA EFE/ANA BORNAY)

Les indices boursiers chutaient lundi et le dollar comme l'euro baissaient de 2% par rapport au yen, les investisseurs s'inquiétant de plus en plus d'une récession aux Etats-Unis.

En Europe, les principaux indices boursiers ont chuté dès l'ouverture et vers 07H25 GMT, Paris abandonnait 2,42%, Londres 1,95%, Francfort 2,49%, Amsterdam 3,05%, Milan 3,31%, Zurich 2,97% et Madrid 2,79%.

"L'élément déclencheur: un rapport sur l'emploi américain" publié vendredi, qui a fait décrocher "les actions et les rendements obligataires" à Wall Street, a commenté Stephen Innes, analyste de SPI Asset Management.

Aux Etats-Unis, le taux de chômage en juillet a augmenté plus que prévu à 4,3%, contre 4,1% en juin. C'est le plus haut taux de sans-emploi depuis octobre 2021.

Dans la foulée de cette publication, les rendements obligataires ont nettement baissé, ce qui laisse présager que la réserve fédérale (Fed) pourrait procéder à des baisses de taux plus drastiquement qu'attendu.

Si en septembre la Fed "procède à une première baisse des taux de 50 points de base", au lieu des 25 points de base que le marché anticipe, "ce sera sa façon d'avouer" qu'elle a mis trop de temps à assouplir sa politique monétaire, estime Stephen Innes, analyste de SPI Asset Management.

Par ailleurs, l'ampleur des anticipations des marchés sur le nombre de baisses des taux de la Fed, "pour les 12 prochains mois, ne s'est vue qu'en période de récession", soulignent les analystes de Deutsche Bank.

Sur le marché obligataire, les taux américains, qui évoluent en sens inverse du prix des obligations, ont continué à baisser, évoluant à 3,76% vers 07H25 GMT, contre 3,79% vendredi pour ceux à dix ans, montrant l'intérêt des investisseurs pour les valeurs plus sûres que les actions, qui, elles, sont considérées comme des actifs risqués.

Recul en Asie

Sur les Bourses asiatiques, la chute des indices était bien plus marquée. Tokyo a connu une séance en chute libre. Son indice vedette, le Nikkei, a dévissé de 12,4%, reculant de 4.400 points sur la séance, sa pire baisse historique, la précédente remontant au krach boursier d'octobre 1987. L'indice élargi Topix a sombré de 12,23%.

Taïwan tombait de plus de 8%, et Séoul décrochait de plus de 9%.

Les Bourses chinoises reculaient plus modérément, l'indice Hang Seng de Hong Kong lâchant 2,13% dans les derniers échanges. L'indice composite de Shanghai a reculé de 1,54% et celui de Shenzhen de 1,85%.

"Le déclencheur immédiat de cette aversion au risque semble être la hausse inattendue des taux d'intérêt" annoncée mercredi par la Banque du Japon, selon Dilin Wu, stratégiste chez Pepperstone.

Ce resserrement monétaire après des années de taux négatifs, conjugué à un ralentissement de l'activité économique américaine, a notamment précipité la remontée du yen, soutenue également par des interventions de la banque centrale du Japon sur le marché des changes.

Or, ce mouvement de change est négatif pour les entreprises japonaises exportatrices qui avaient bénéficié de la chute de la devise japonaise.

Sur le marché des changes, le dollar chutait de 2,17% à 143,35 yens, et l'euro de 1,99% à 156,72 yens. Le bitcoin dévissait quant à lui de 11,70% à 52.217 dollars.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Suisse

Le nombre de nuitées hôtelières toujours en hausse en juin

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De janvier à juin, ce sont 20,1 millions de nuitées qui ont été comptabilisées dans les hôtels suisses, une croissance de 2,4% ou de 476'000 nuitées en glissement annuel. (archives) (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Le nombre de nuitées dans l'hôtellerie suisse devrait avoir continué de progresser en juin, selon une première estimation de l'Office fédéral de la statistique (OFS). Une hausse qui est encore une fois le fait des touristes étrangers.

L'hôtellerie suisse a enregistré 4,1 millions de nuitées en juin, ce qui correspond à une augmentation de 2,4% ou de 95'000 nuitées par rapport à la même période de l'année précédente, fait savoir l'OFS dans un communiqué publié lundi.

Les visiteurs étrangers ont généré 2,2 millions de nuitées, soit une hausse de 4,9% ou 105'000 nuitées, précisent les statisticiens. Les hôtes indigènes ont eux permis d'enregistrer 1,8 million de nuitées, en baisse de 0,6% ou 10'000 nuitées sur un an.

De janvier à juin, ce sont 20,1 millions de nuitées qui ont été comptabilisées, ce qui correspond à une croissance de 2,4% ou de 476'000 nuitées en glissement annuel. Ce résultat est largement tiré par les visiteurs étrangers, qui ont passé 10,1 millions de nuitées en Suisse, une hausse de 5,2% ou 494'000 nuitées.

Quant aux hôtes suisses, ils ont engendré 10,0 millions de nuitées sur le semestre, ce qui est une baisse de 0,2% ou 17'000 nuitées sur un an.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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