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La Suisse ne pourra pas prendre des sanctions de manière autonome

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La Suisse ne pourra pas prendre de sanctions de manière autonome. Le National a coulé vendredi en votation finale une révision de la loi sur les embargos. Le système de sanctions a fait l'objet de plusieurs manifestations, comme ici à Genève (archives). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Le Conseil fédéral ne pourra pas prendre ou prolonger des sanctions internationales de manière autonome. Le National a coulé vendredi en votation finale la révision de la loi sur les embargos. La décision est tombée par 118 voix contre 70.

Avec la réforme, le Conseil fédéral pouvait prendre lui-même des mesures de coercition, lorsque la sauvegarde des intérêts du pays l'exige. Contre des Etats, mais aussi des personnes et des entreprises. Le Parlement avait largement accepté de lui donner cette marge de manoeuvre supplémentaire, à condition toutefois que les entreprises suisses ne soient pas désavantagées.

Les sénateurs ont donné leur feu vert vendredi matin. Mais au National, seuls le Centre et le PLR ont approuvé le projet.

Tout au long des débats, l'UDC a tenté de rejeter la révision, puis d'en systématiquement réduire sa portée. Craignant pour la neutralité helvétique, le parti estimait que les sanctions étaient "une arme de guerre" et faisaient de la Suisse une partie au conflit.

De l'autre côté de l'échiquier politique, la gauche voulait aller plus loin. Elle proposait que Berne puisse prendre des sanctions autonomes contre les personnes ou les entités impliquées dans des violations du droit international humanitaire ou des droits humains ou dans toute autre forme d'atrocités.

Le PS et les Vert-e-s, soutenus par le PVL, trouvaient que la Suisse devait "prendre ses responsabilités" et bénéficier d'une base légale pour "être à la hauteur de notre époque", pour pouvoir réagir aux violations des droits humains. Ils avaient notamment évoqué l'assassinat du journaliste saoudien Jamal Kashoggi.

Sanctions de l'ONU, de l'OSCE ou de l'UE

Avec le rejet de cette révision, l'actuelle loi sur les embargos, en vigueur depuis 2003, continuera de prévaloir. La Suisse ne peut que reprendre des mesures décrétées par l'ONU, l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) ou encore ses principaux partenaires économiques comme l'UE. Si elle veut aller au-delà, le Conseil fédéral doit s'appuyer sur la Constitution.

Une procédure qu'il a suivie après l'annexion de la Crimée par Moscou, en interdisant en 2015 l'importation des armes à feu, de leurs composants, des munitions et des matières explosives par la Russie et l'Ukraine. Des mesures prolongées en 2019.

De telles ordonnances, limitées à quatre ans, ne peuvent toutefois être prolongées qu'une seule fois. Elles deviennent caduques si un projet établissant une base légale n'est pas présenté six mois après l'entrée en vigueur de leur prorogation. C'est pourquoi le gouvernement s'était mis à l'ouvrage. Le projet refusé datait d'avant l'invasion de l'Ukraine en février 2022.

Le sujet va cependant revenir sur la table. Le National a accepté jeudi une motion de commission demandant au Conseil fédéral de mettre en place une politique "cohérente, engagée et indépendante" en matière de sanctions. Le Conseil des Etats doit encore se prononcer sur ce texte.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Culture

"Anatomie", l'exposition qui révèlent les secrets du corps humain

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Écorché Talrich. Exposition Anatomie, Musée d'histoire des sciences Genève. Photo: Philippe Wagneur / Muséum Genève

Le Musée d'histoire des sciences de Genève accueille pendant un an l'exposition "anatomie". Avec des moulages en plâtre, des jeux ou des dessins, petits et grands sont invités à explorer les secrets de nos corps.

Découvrir le corps humain en profondeur, voici le thème de l’exposition qui porte bien son nom: “anatomie”.

Elle se tient en ce moment au Musée d'histoire des sciences de Genève. A travers des moulages en plâtre, des puzzles ou des livres, c'est l'occasion d’explorer nos organes ou nos os de manière ludique. Car le corps humain a toujours fasciné avec une question: comment ça marche? 

Laurence-Isaline Stahl, la co-commissaire de l’exposition "anatomie":

Reportage dans les coulisses de l'exposition:

Anatomie est à voir pendant un an Musée d'histoire des sciences de Genève.

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Culture

Polnareff à la barre pour l'ouverture du Printemps de Bourges

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A 80 ans, Michel Polnareff rempile pour une nouvelle - et peut-être dernière - tournée, dont Bourges est la première date française, après un démarrage à Londres (archives). (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Le Printemps de Bourges a ouvert mardi sa 49e édition en même temps que le bal des festivals musicaux, avec une pluie de stars, dont le retour de Michel Polnareff, et des nuages sur le plan budgétaire.

Le chanteur de "Goodbye Marylou" rempile à 80 ans pour une nouvelle - et peut-être dernière - tournée, dont Bourges est la première date française, après un démarrage à Londres. Il passera notamment par Lausanne en mai et le festival Sion sous les étoiles en juillet.

Assis à son piano, coiffé d'un chapeau de cowboy, lunettes blanches sur le nez, Polnareff a entamé son show avec un "Bal des Laze" poussif, devant une salle comble. "Avant de monter sur scène, je suis toujours dans un état absolument épouvantable. Et ça prend 2-3 titres pour se dire: bon, je suis content d'être là", confiait-il fin mars.

"Amiral" et moussaillons

Mais le rythme s'est ensuite accéléré, avec une voix toujours présente pour chanter ses succès des années 1960 à 1980: "Tam Tam", "La poupée qui fait non" et "L'Amour avec toi" dont il a remplacé les paroles par "l'amour avec vous". Il a aussi invité le public à lui souffler le prochain morceau, façon "chanson à la demande".

"L'Amiral" montre qu'il n'est pas encore prêt à lâcher la barre, après avoir essuyé des critiques sur la qualité de prestations en 2023. Il revient avec "Un temps pour elles", un album attendu le 25 avril.

Avant lui, Emma Peters a lancé la soirée: la chanteuse, qui a explosé avec un remix de sa reprise de "Clandestina", a été bercée par les tubes de Michel Polnareff. "J'avais un double CD à la maison que j'écoutais sur mon walkman, donc c'est vraiment un plaisir d'être programmée avec lui ce soir", a-t-elle confié avant son concert.

Différents styles

L'affiche du Printemps se décline aussi sous différents styles: la "grenade" pop Clara Luciani, l'indébranchable Jean-Louis Aubert, l'artiste électro The Avener ou encore Lucky Love et Styleto, tous deux nommés aux dernières Victoires de la musique.

La fin de semaine se fera plus rap, avec la nouvelle référence Tiakola, la star algérienne Soolking, l'ancien youtubeur Théodort ("Wayeh") ou encore Vald, de retour avec son remarqué "Pandémonium".

La découverte continue également d'être l'ADN du festival du centre de la France: depuis 40 ans, son dispositif national d'accompagnement, les Inouïs, a pris sous son aile 1600 artistes. Feu! Chatterton, Fishbach et Eddy de Pretto - président du jury 2025 - y sont passés.

Le Printemps de Bourges dévoile en parallèle six créations, dont une célébration du répertoire d'Oum Kalthoum, disparue il y a 50 ans.

Les concerts se tiennent jusqu'à samedi mais le festival bat jusqu'à dimanche avec "le Printemps dans la ville", sa déclinaison gratuite. Tous espaces confondus, Bourges a accueilli environ 250'000 festivaliers l'année dernière.

A l'approche de la cinquantaine, le Printemps ne peut pas se reposer sur ses lauriers: entre baisse des crédits et inflation des coûts de production et des cachets, l'effet ciseau plombe ses finances.

Pour la première fois en dix ans, le budget - 7,5 millions d'euros en 2024 - a été revu à la baisse, amputé de 400'000 euros de financement, dont 250'000 euros d'aides publiques. Une situation qui reflète de récents arbitrages politiques défavorables au milieu culturel.

"C'est une décroissance contrainte", observe son directeur Boris Vedel, estimant qu'il n'y a pas d'autre choix que de "se renforcer sur l'émergence", plutôt que lorgner sur de gros noms.

Ce constat est similaire à celui d'autres festivals, qui font également face à une offre multiple, un changement de consommation des jeunes fans et sont à la merci des caprices météorologiques. Selon le Centre national de la musique, 44% des festivals affichant des taux de remplissage supérieurs à 90% ont bouclé une édition déficitaire en 2024.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Suisse

Swissgrid a dû hausser ses tarifs en 2024 et vaincre de gros défis

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L'approvisionnement en électricité a été stable l'an dernier en Suisse malgré les écueils. (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

L'exploitant national du réseau d'électricité Swissgrid a dégagé un résultat d'entreprise de 103,8 millions de francs en 2024, en hausse de 3,8 millions sur un an. Le chiffre d'affaires a bondi en raison des tarifs plus élevés.

Le chiffre d'affaires net s'est monté à 1,825 milliard de francs, contre 1,219 milliard en 2023, annonce Swissgrid mercredi. Cette forte augmentation due à la hausse des tarifs s’explique par les perturbations sur les marchés de l’énergie en 2022, sachant que l'exploitant répercute ces coûts les années suivantes. En 2026, les prestations seront à nouveau moins chères, assure la société.

Au niveau du résultat d'entreprise, il faut s'attendre à un exercice 2025 de l'ordre de celui écoulé. Le modèle d'affaire de Swissgrid est fortement réglementé.

L'exploitant se félicite d'avoir pu en 2024 "exploiter le réseau de transport suisse de manière sûre et fiable. La disponibilité a été supérieure à 99,9%, malgré un environnement exigeant".

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

La pie se méfie de la nouveauté et les petits oiseaux en profitent

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L'aversion à la nouveauté est particulièrement prononcée chez les pies (archives). (© KEYSTONE/SIGI TISCHLER)

Malgré sa réputation de chapardeuse, la pie se méfie des objets qu'elle ne connaît pas. Cette phobie pourrait être exploitée par d'autres oiseaux pour protéger leurs oeufs de cette prédatrice.

Il n'est pas rare de trouver des matériaux d'origine humaine dans les nids d'oiseaux. Les milans les décorent avec du plastique blanc, tandis que le jardinier satiné australien agrémente sa tonnelle d'objets colorés.

Les raisons de ces "ornementations" sont mal comprises. D'autant qu'elles ne sont pas sans danger: visibilité accrue du nid, moins bonne isolation, risques de blessures ou d'ingestion par les oisillons...

Outre le fait que ces matériaux sont faciles à trouver, en particulier dans les environnements urbains, la décoration du nid pourrait démontrer les capacités du constructeur et accroître ainsi ses chances de reproduction. Elle pourrait également envoyer un signal de propriété et de statut social élevé aux intrus de la même espèce.

Néophobie

Dans une étude publiée mercredi dans Royal Society Open Science, deux biologistes norvégiens avancent une autre hypothèse. Ces ajouts pourraient décourager des prédateurs comme les pies et les corbeaux, en utilisant leur aversion à la nouveauté.

Cette "néophobie" est considérée comme une réponse adaptative permettant de réduire les risques face à des dangers potentiels, particulièrement chez les animaux "innovants", ayant des capacités à trouver des solutions originales pour obtenir des ressources.

Parmi les oiseaux, cette aversion est particulièrement prononcée chez les corvidés, comme les pies, les geais, les corneilles ou les corbeaux.

Pour tester leur hypothèse, les chercheurs norvégiens ont disposé trois types de nids artificiels contenant des oeufs de caille sur le sol d'une décharge fréquentée par des corbeaux et de jardins habités par des pies.

Les nids témoins ne contenaient que des oeufs. Une cuillère en métal avait été ajoutée dans le deuxième type de nid. Le troisième contenait des plumes blanches de poule. Ce dispositif était destiné à tester une autre hypothèse selon laquelle certains oiseaux disposent de grandes plumes autour de leur nid pour effrayer leurs prédateurs en leur faisant croire qu'un de leurs congénères y a été attaqué.

Les pies ont mis en moyenne 96 heures avant de dérober l'oeuf du nid témoin, 149 heures avant de prendre celui du nid avec une cuillère, et 152 heures avant de s'attaquer au nid avec des plumes.

Les corbeaux ont procédé dans le même ordre, mais ont été plus aventureux, attendant respectivement 28, 34 et 43 heures, sans doute parce qu'ils étaient déjà habitués à côtoyer des objets brillants dans la décharge.

Et aussi parce qu'ils avaient de la concurrence, le lieu étant occupé par "des centaines de corbeaux, probablement tous jeunes", explique à l'AFP Magne Husby, biologiste à l'université de Levanger et co-auteur de l'étude. S'ils hésitaient à prendre un oeuf, "il était très probable qu'un autre corbeau le prenne à leur place".

En revanche, les expériences avec les pies ont eu lieu sur leurs propres territoires et "il n'y avait aucune urgence à prendre les oeufs si elles étaient hésitantes à cause des plumes ou de la cuillère", poursuit M. Husby. Cette hésitation, dans la nature, donne un temps précieux au propriétaire du nid pour le défendre.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Mobilité

Bouchons et perturbations attendus sur les routes suisses à Pâques

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Les bouchons sur l'autoroute du Gothard reviennent chaque année, aussi sûrement que le lapin de Pâques (archives). (© KEYSTONE/URS FLUEELER)

Les automobilistes qui veulent se rendre au sud des Alpes pour Pâques vont devoir s'armer de patience. La Confédération s'attend à d'importants bouchons et de grandes perturbations sur les routes.

L'expérience montre qu'à Pâques le trafic commence à s'intensifier dès le début d'après-midi du mercredi précédant les jours fériés, soit ce mercredi, a annoncé l'Office fédéral des routes (OFROU). Les axes nord-sud des autoroutes A2 (Gothard) et A13 (San Bernardino) devraient être particulièrement touchés.

Le col du Saint-Gothard n'est quant à lui toujours pas praticable en raison de la fermeture hivernale, qui doit durer jusqu'à la mi-mai, a précisé l'OFROU à Keystone-ATS. Le Conseil fédéral n'a pas encore répondu à une motion déposée au Parlement pour demander que la route reste ouverte toute l'année.

Ne pas quitter l'autoroute

A partir de mercredi, ainsi que le Jeudi saint et le Vendredi saint, les voyageurs doivent donc prévoir des pertes de temps et des délais d'attente "considérables", écrit l'OFROU. Le week-end passé, c'est surtout le samedi matin que des embouteillages ont déjà atteint jusqu'à 14 kilomètres de long à l'entrée nord du tunnel du Gothard. Dimanche, les files de véhicules n'ont guère excédé les 5 km, dans les deux sens.

L'office fédéral demande aux automobilistes de rester sur les autoroutes pour éviter une surcharge de trafic dans les localités longeant celles-ci - "ne serait-ce que par respect pour la population locale".

Les cantons ont mis en place diverses mesures pour tenter de limiter les perturbations sur l'A2 et aux alentours. Nidwald a ainsi ouvert à la fin janvier sept "points de dosage" aux entrées et aux sorties de l'autoroute. Si un bouchon se forme, un feu se met au rouge et retient les véhicules. Cela permet aussi d'éviter que des conducteurs ne tentent de contourner un bouchon.

Dans le canton d'Uri, les entrées de Göschenen et de Wassen seront fermées dès que les bouchons atteignent trois kilomètres. Si le trafic s'accumule sur huit kilomètres, la vitesse sera abaissée à 80 km/h entre Altdorf et Amsteg. Cela devrait permettre de ralentir le trafic et de réduire le risque d'accidents.

Un système de dosage des sorties de l'autoroute est également possible à Erstfeld et Amsteg, a annoncé le canton. Ces mesures sont déjà en place depuis le 4 avril et le resteront jusqu'à la réouverture du col du Gothard.

Suisse romande pas épargnée

Les automobilistes qui préfèrent mettre leur voiture sur le train au tunnel du Simplon devront eux aussi s'attendre à des temps d'attente plus longs. En raison de travaux de réfection, les trains entre Brigue (VS) et Iselle (I) ne circuleront plus que toutes les deux heures, avertit l'OFROU.

Au moment des départs, des temps d'attente seront par ailleurs possibles aux gares de transbordement de la Furka à Realp (UR), du Lötschberg à Kandersteg (BE) et de la Vereina à Klosters-Selfranga (GR).

L'OFROU avertit aussi que, durant les vacances, il faudra s'attendre à la forte densité de trafic habituelle dans les agglomérations de Zurich, Bâle, Berne, Lucerne, Lausanne et Genève. Et à des difficultés de circulation supplémentaires sur différents tronçons, dont les autoroutes A1 à Genève, A1/A9 à Lausanne, A9 à Vevey (VD) et A12 à Châtel-Saint-Denis (FR), y compris l'échangeur de La Veyre.

Trains supplémentaires

Pour faire face à l'afflux de voyageurs, les CFF mettent en place 20 trains spéciaux sur l'axe du Gothard entre la Suisse alémanique et le Tessin du Jeudi saint au lundi de Pâques. Au total, quelque 64'000 places sont prévues, a annoncé l'entreprise.

En outre, plusieurs trains réguliers seront complétés de voitures supplémentaires. C'est notamment le cas pour les Eurocity à destination de l'Italie. Deux liaisons supplémentaires seront par ailleurs proposées le Vendredi saint de Lugano à Milan.

Selon l'OFROU, la vague des retours sur l'axe sud-nord est attendue à partir de la fin de journée du dimanche de Pâques, mais nombre de vacanciers prendront la route le lundi de Pâques.

Des bouchons chaque année

Les bouchons pascaux au Gothard reviennent chaque année, aussi sûrement que le lapin de Pâques. Depuis l'ouverture du tunnel du Gothard en 1980, le record a été atteint en 1998 avec 25 kilomètres. Le Vendredi saint de 2022 arrive en deuxième position avec 22 km.

L'an dernier, Viasuisse n'a enregistré "que" 11 kilomètres de bouchons. Un score qui s'explique peut-être par le mauvais temps au sud des Alpes.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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