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La Ville de Genève met en place des bons d'achat pour soutenir le commerce local

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KEYSTONE/Martial Trezzini

Le Conseil administratif de la Ville de Genève a pris de nouvelles mesures urgentes de soutien à l'économie locale. Il prévoit une aide au paiement des loyers commerciaux et la mise en place d’un système de bons d’achat.

Le Conseil administratif de la Ville de Genève a pris de nouvelles mesures urgentes afin de soutenir le tissu économique local pendant la crise sanitaire. Il prévoit notamment la mise en place d’un système de bons d’achat. Les commerces participants doivent être situés sur le territoire de la Ville et être présents ou s’inscrire sur le site GenèveAvenue, Celui-ci regroupe pour l’heure 100 commerces locaux et 200'000 produits. Les bons seront mis en vente jusqu'au 31 décembre 2020 et seront valables en tout cas une année. Le détail du fonctionnement avec Sébastien Aeschbach, cofondateur de la plateforme GenèveAvenue.ch.

Les commerces locaux seront incités à s’ouvrir à la durabilité en rejoignant le réseau de la monnaie Léman, par le biais d’un bon de 20 Lémans (équivalent à 20 francs) en cas d’adhésion. Les explications de Sébastien Aeschbach.

Aide au paiement des loyers commerciaux

Autre type de mesure de soutien aux commerçants, le Conseil administratif prévoit également une aide au paiement des loyers commerciaux. Il a notamment prolongé l’exonération des loyers des baux commerciaux pour les locataires de la Gérance immobilière municipale (GIM) au mois de décembre, selon les conditions établies pour l’exonération du mois de novembre. Par ailleurs, subsidiairement au canton, la Ville financera la part de 20% non couverte par les bailleurs et l'Etat pour les locataires commerciaux situés sur son territoire. La mesure concerne ceux qui n’ont pas de bail auprès de la GIM et dont le loyer se situe entre 7000 et 15'000 francs. Des mesures urgentes qu'il était important de mettre en place comme l'explique Alfonso Gomez, conseiller administratif en charge des finances.

 

 

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Sport

Fribourg: une défaite qui peut annoncer un avenir radieux

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Président de Gottéron, Hubert Waeber est fier de ce qu'a montré son équipe (© KEYSTONE/PETER SCHNEIDER)

Le parcours de Fribourg-Gottéron s'est terminé samedi soir à Lausanne au 7e match de cette demi-finale des play-off. Mais les Fribourgeois ont de quoi se réjouir pour l'avenir.

Il y a bien entendu la déception de ne pas avoir atteint la finale avec un avantage de 3-1 dans la série, mais les Dragons ont de quoi être satisfaits de leur exercice 2024/25. Car au soir du 21 décembre, le club pointait à la 11e place avec 39 points, soit trois de plus que Lugano, 13e, et à dix longueurs de Zoug, 6e.

En limogeant Pat Emond avant le match contre Zoug le 23 décembre et en confiant les rênes à Lars Leuenberger, futur assistant de Roger Rönnberg pour la saison 25/26, le directeur sportif Gerd Zenhäusern a réparé quelques erreurs. Structuré en défense, bon devant un Reto Berra qui est monté en puissance, Gottéron a remonté la pente pour accrocher la 6e place synonyme de play-off. Un finish en fanfare qui a pris naissance dans les Grisons avec une victoire à la Coupe Spengler.

Interrogé sur le banc des Dragons samedi soir à Malley, le président fribourgeois Hubert Waeber avait de quoi être fier de son club. Le Singinois a tiré un petit bilan à chaud: "Le début de saison était catastrophique et cela ne nous a pas plu. Depuis Noël, on a vu une tout autre équipe. Enfin, c'est la même, mais qui a travaillé totalement différemment. Les quarts contre Berne étaient magnifiques, la demi-finale contre Lausanne aussi, simplement ce soir il a manqué un peu de forces. Alors bien sûr, on aurait voulu la finale, mais on peut être content de notre saison."

Etoffer le contingent

En menant 3-1 dans la série, Fribourg a tutoyé la finale. Seulement, sur la longueur, Lausanne a fini par passer l'épaule en enlevant les trois derniers actes. Si les deux clubs comptent plusieurs blessés d'impact, l'absence des deux centres suédois Lucas Wallmark et Jacob de la Rose a pesé dans les rangs fribourgeois. "Je pense qu'avec nos deux centres en santé, on allait en finale, assure Hubert Waeber. Mais les blessures font partie du sport et il faut faire avec."

Après avoir placé Linden Vey en première ligne avec Marcus Sörensen, Lars Leuenberger avait choisi de remettre Sandro Schmid au centre pour le dernier match. Sans grand succès.

Avec un contingent un peu court, Leuenberger a été contraint de lancer des jeunes dans l'aventure. Et les Jan Dorthe, héros de l'acte IV en prolongations, Kevin Etter, unique buteur samedi, ou encore Kevin Nicolet ont acquis une expérience intéressante pour la suite. Il n'en demeure pas moins que Fribourg va devoir gagner en profondeur. Les signatures d'Andrea Glauser, Ludvig Johnson, Attilio Biasca ou encore Patrick Nemeth vont dans le bon sens.

Sept ou huit étrangers?

"On a toujours misé sur la qualité avant la quantité, analyse Hubert Waeber. Là on doit améliorer la profondeur. En augmentant petit à petit le budget, on doit pouvoir le faire. J'ai toujours dit que l'on doit lutter chaque année pour le top 4-5, mais qu'on doit gagner en profondeur pour que cela passe une fois. Le thème des sept étrangers va revenir sur la table. On va mener une réflexion. Faudra-t-il commencer avec sept voire huit étrangers ? On verra. Tout est question de budget."

Exemplaire dans l'attitude samedi soir, Yannick Rathgeb a peut-être gagné une plus grande place dans le vestiaire fribourgeois. Avec encore Maximilian Streule, la défense va logiquement progresser. Reste au final à envisager la succession de Reto Berra, au bénéfice d'une année de contrat, et qui fêtera ses 39 ans en janvier prochain.

Attendu avec impatience par tout Fribourg, Roger Rönnberg rejoint un club qui semble aller dans la bonne direction. Au coach suédois de faire en sorte que la mayonnaise prenne, mais les ingrédients sont là.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Le pôle muséal de Moudon prend la vache par les cornes

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La double exposition s'intéresse à la vache sous toutes ses formes (image prétexte). (© KEYSTONE/ANTHONY ANEX)

La vache se dévoile sous toutes ses facettes dans une double exposition au pôle muséal de Moudon (VD). Des secrets de la rumination aux représentations dans l'art pictural, l'événement ambitionne de répondre à toutes les "questions raisonnables ou loufoques" que chacun peut se poser sur le quadrupède emblématique de la Suisse.

"Le Musée du Vieux Moudon présente l’animal dans sa dimension «prosaïque» dans son étable comme dans l'économie, l'agriculture ou l'assiette", précisent les organisateurs dans un communiqué. Les visiteurs y découvriront, entre autres, l'art de la traite, la préparation du pot-au-feu, l'entretien du fumier, la fabrication du beurre, ainsi que des "expressions vaches".

Le Musée Eugène Burnand se penche quant à lui sur l'animal dans toutes ses représentations, "de l'art pictural à la publicité", "du classicisme à l'art contemporain en passant par les fameux botte-culs de Pierre Keller, l'ancien directeur de l'Ecole cantonale d'art de Lausanne".

Les deux expositions mettront également en avant quelques Moudonnoises ou Moudonnois s'étant illustré de près ou de loin dans la thématique de la vache. Parmi ceux-ci Augusta Gillabert, fondatrice des Paysannes vaudoises, Peter Kohler l'inventeur du chocolat au lait, ou encore le peintre Eugène Burnand, dont le tableau "Taureau dans les Alpes" constitue une des oeuvres phare du Musée cantonal des Beaux-arts de Lausanne.

Intitulée "Amour vache, à la vie à la mort", la double exposition est à voir jusqu'au 26 octobre.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Mobilité

Bouchons et perturbations attendus sur les routes suisses à Pâques

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L'expérience montre qu'à Pâques le trafic commence à s'intensifier dès le début d'après-midi du mercredi précédant les jours fériés, soit cette année le 16 avril (archives). (© KEYSTONE/URS FLUEELER)

Les automobilistes qui veulent se rendre au sud des Alpes pour Pâques vont devoir s'armer de patience. La Confédération s'attend à d'importants bouchons et de grandes perturbations sur les routes. Ils ont eu droit à un avant-goût samedi.

Une semaine avant le week-end pascal, des embouteillages ont déjà atteint jusqu'à 14 kilomètres de long à l'entrée nord du tunnel du Gothard samedi matin. A la mi-journée, l'attente était encore de près de deux heures (11 km) avant de s'élancer dans l'ouvrage long de près de 17 km.

L'expérience montre qu'à Pâques le trafic commence à s'intensifier dès le début d'après-midi du mercredi précédant les jours fériés, soit cette année le 16 avril, annonce l'Office fédéral des routes (OFROU). Les axes nord-sud des autoroutes A2 (Gothard) et A13 (San Bernardino) devraient être particulièrement touchés.

A partir de mercredi, ainsi que le Jeudi saint et le Vendredi saint, les voyageurs doivent donc prévoir des pertes de temps et des délais d'attente "considérables", écrit l'OFROU. Qui demande aux automobilistes de rester sur les autoroutes pour éviter une surcharge de trafic dans les localités longeant celles-ci, "ne serait-ce que par respect pour la population locale".

L'OFROU avertit aussi que, durant les vacances, il faudra s'attendre à la forte densité de trafic habituelle dans les agglomérations de Zurich, Bâle, Berne, Lucerne, Lausanne et Genève. Ainsi qu'à des difficultés de circulation supplémentaires sur différents tronçons, dont les autoroutes A1 à Genève, A1/A9 à Lausanne, A9 à Vevey (VD) et A12 à Châtel-Saint-Denis (FR), y compris l'échangeur de La Veyre.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

Sondage:deux tiers des personnes interrogées contre l'achat de F-35

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Plus très populaire en Suisse: l'achat des 36 avions de combat F-35 (archives). (© KEYSTONE/EPA/VALDA KALNINA)

Une nette majorité des personnes interrogées se prononce contre l'achat des avions de combat américains F-35, selon un sondage Tamedia. Et les deux tiers d'entre elles, tous partis confondus, soutiennent l'augmentation des dépenses de l'armée.

Parmi les personnes interrogées, 42% d'entre elles veulent dépenser plus d'argent pour l'armée que prévu par le Parlement, selon l'enquête en ligne publiée dimanche et menée auprès de 35'132 personnes. Pour 34% des sondés, le budget prévu est tout à fait correct. Seule une minorité, 18%, souhaite moins de moyens financiers débloqués pour la défense.

Coupes: asile, tiers monde et culture

Pour disposer des fonds nécessaires, deux tiers des personnes interrogées estiment qu'il faut économiser dans le domaine de l'asile, la moitié veut moins de moyens pour l'aide au développement et 38% souhaiteraient des coupes dans la culture.

Le sondage a été réalisé avant la décision du président américain Donald Trump sur la hausse des droits de douane le 2 avril dernier.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

La Birmanie marque la fête de l'eau dans les ruines du séisme

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Des rituels d'éclaboussement à la fête de Thingyan, le Nouvel An birman: suite au séisme, la junte a ordonné des célébrations sans musique (archives). (© KEYSTONE/EPA/STRINGER)

Des milliers de Birmans ont marqué dimanche le début de la fête de l'eau au milieu de la désolation laissée par le séisme de fin mars, responsable de la mort de plus de 3600 personnes.

La fête de Thingyan, le Nouvel An birman, se caractérise par ses rituels d'éclaboussement qui symbolisent la purification et le renouveau.

Mais à Mandalay comme à Sagaing, dans le centre du pays, dévastés par le séisme de magnitude 7,7 du 28 mars, l'atmosphère n'est pas à la fête.

Deux semaines après la catastrophe, des centaines de Birmans dorment encore dans des tentes près d'immeubles effondrés, de magasins de thé en ruines et d'hôtels détruits.

Beaucoup manquent de latrines fonctionnelles ou doivent attendre leur tour pour accéder à l'eau potable. Ils craignent aussi pour leur habitation de fortune face aux violentes pluies anticipées par les météorologues.

Tôt dimanche, des familles achetaient des pots en argile et des plantes que les habitants placent habituellement chez eux pour célébrer la Nouvelle Année.

"Tout le monde est en difficulté cette année", explique Ma Phyu, 55 ans, qui campe avec neuf membres de sa famille au nord du palais royal de Mandalay, endommagé par le séisme.

"Il faut que je prépare le pot avec les fleurs parce que c'est notre tradition. Mais mon coeur est lourd", dit la quinquagénaire.

Dans sa famille, les enfants ont reçu la consigne de ne pas répandre d'eau dans la rue, de peur que les voisins ne critiquent leur choix de marquer la fête quelques jours à peine après le tremblement de terre meurtrier.

Sans musique ni danse

La junte militaire au pouvoir en Birmanie a ordonné que les célébrations ne donnent lieu à aucune musique ni danse.

Depuis le séisme, les températures ont grimpé à Mandalay jusqu'à atteindre 44 degrés Celsius. La nuit, les habitants ayant trouvé refuge dans des tentes sont la cible des moustiques. Avant de se lever à l'aube pour rejoindre la queue avec, au bout, de l'aide pour leur foyer.

Plus de 5.200 bâtiments ont été détruits par le tremblement de terre, d'après des données officielles, et plus de deux millions de personnes ont besoin d'assistance du fait du séisme, selon l'ONU.

Les Nations unies ont lancé un appel aux dons, espérant récolter 275 millions de dollars.

Le pays est par ailleurs laissé exsangue par la guerre civile en cours depuis le putsch des militaires de 2021, qui a renversé la dirigeante élue Aung San Suu Kyi. Le conflit a fait plus de 6300 morts civils et provoqué le déplacement de plus de 3,5 millions de personnes. Quelque 50% des habitants vivent actuellement sous le seuil de pauvreté.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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