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Actualité

Le marronnier d'or 2018 au chaud au sein de la police genevoise

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Le marronnier d’or 2018 a trouvé refuge à l’hôtel de police de Genève. Le comité occulte de la Genferei, prix humoristique qui récompense une affaire qui coûte cher au contribuable et dont le ridicule trouve écho au-delà des frontières cantonales, a été décerné lundi. Le 14 juin dernier, les journalistes genevois ont donné gagnant le journaliste du Courrier Eric Lecoultre du Courrier pour sa performance qui revenait sur les dernières péripéties de la police. Son sketch a permis de comprendre pourquoi deux agents ont dû recourir à des petits arrangements avec la loi. Vol de montre, test d'alcoolémie falsifié, fumette au poste ou encore PV truqué: tout y est passé.

La cheffe de la police genevoise, Monica Bonfanti, a reçu cette récompense avec beaucoup d’humour...

Monica Bonfanti a reçu une feuille dorée du marronnier fou de la Treille, l'arbre qui devance régulièrement le marronnier officiel pour annoncer le printemps.

@GhufranBron

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International

France: l'Assemblée légifère contre le narcotrafic

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Le ministre français de l'Intérieur, Bruno Retailleau, s'est félicité de l'adoption d'un texte qui "fera date", en permettant "enfin" aux forces de sécurité de "lutter à armes égales contre un fléau qui est en train de ravager l'ensemble du pays" (archives). (© KEYSTONE/EPA/MOHAMMED BADRA)

Les députés français ont largement approuvé mardi en première lecture une proposition de loi pour "sortir la France du piège du narcotrafic". Ce texte clé de la politique de sécurité du gouvernement a suscité de vifs débats dans l'hémicycle.

Le chiffre d'affaires du trafic de drogue est estimé entre 3,5 et six milliards d'euros par an en France. Et les violences liées à ce phénomène ont fait 110 morts et 341 blessés en 2024, selon les chiffres officiels.

La proposition de loi a été approuvée par 436 voix contre 75. La coalition gouvernementale (camp présidentiel et droite) et le parti d'extrême droite Rassemblement national (RN) ont voté pour, mais la gauche s'est divisée.

Le Parti socialiste a aussi voté pour, La France insoumise (LFI, gauche radicale) contre, tandis que les députés écologistes et communistes se sont majoritairement abstenus.

Le texte doit encore être adopté définitivement les 28 et 29 avril au Sénat et à l'Assemblée, après un accord à trouver sur les points de vue des deux chambres.

Le ministre français de l'Intérieur, Bruno Retailleau, s'est félicité de l'adoption d'un texte qui "fera date", en permettant "enfin" aux forces de sécurité de "lutter à armes égales contre un fléau qui est en train de ravager l'ensemble du pays", grâce à la création d'une "chaîne judiciaire spécialisée", d'un "vrai état-major interministériel" et à "de nouveau moyens en termes de renseignement et d'enquête".

Parquet spécialisé

La création d'un parquet spécialisé, le Pnaco (parquet national anticriminalité organisée) est au coeur du texte, ainsi que la mise en place d'un régime plus attractif pour les "repentis".

Seul regret pour M. Retailleau: le rejet par les députés d'une mesure entendant contraindre les plateformes de messagerie chiffrée (Signal, WhatsApp) à communiquer les correspondances des trafiquants aux enquêteurs. Mais il n'entend pas y renoncer: "nous devrons, à un moment ou un autre, définir des procédures respectueuses évidemment de nos libertés publiques", a-t-il dit.

Si l'ensemble des groupes se sont accordés sur les objectifs du texte, ils se sont souvent affrontés sur l'impact des mesures envisagées sur les libertés publiques et les droits de la défense, et sur leur efficacité.

Particulièrement dans le viseur de la gauche: l'introduction dans le texte, au stade de son examen en commission à l'Assemblée, d'un nouveau régime carcéral d'isolement pour les gros trafiquants, défendu par le ministre de la Justice Gérald Darmanin.

Jusqu'à 120 heures de garde à vue

Plusieurs dispositions qui avaient été supprimées en commission ont finalement été approuvées en séance: ainsi de l'emblématique "dossier coffre" ou "procès-verbal distinct", destiné à protéger les enquêteurs, mais jugé par les avocats pénalistes et la gauche attentatoire aux droits de la défense.

Également rétablies en séance, grâce au soutien du RN à une coalition gouvernementale aux rangs clairsemés: la possibilité de prolonger jusqu'à 120 heures la garde à vue des "mules", les personnes qui transportent la drogue, ou celle d'activer à distance des objets connectés pour espionner des suspects à leur insu.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Genève

Dans les coulisses des travaux du Muséum d'histoire naturelle

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©MHNG / P. Wagneur

Les travaux au Muséum d’histoire naturelle de Genève se poursuivent. La réouverture, on le rappelle, a été repoussée à septembre 2026, soit plus d'un an et demi après la date initialement prévue. En attendant de retrouver les collections et Janus sur place, une visite de chantier était organisée mardi.

Les girafes et les tigres étant sous les bâches, le lieu favori des petits, mais aussi des grands, est méconnaissable car encore en plein travaux. Point de situation avec Marc Baud, Chef du projet du bureau MAK architecture SA.

Et il va falloir faire preuve de patience pour retrouver les dinosaures, l’ouverture au public n’aura pas lieu avant septembre 2026. Elle a dû être repoussée. Des défauts de conformité ont été découverts sur les bâtiments existants  et nécessitent des travaux supplémentaires. Christian Pesch, directeur de la Direction du patrimoine bâti de la Ville de Genève.

Il faut dire que le bâtiment actuel, datant de 1966, n’avait jamais été rénové.

Lors de la réouverture en septembre 2026, les visiteurs ne vont, toutefois, pas découvrir un musée entièrement nouveau.

Malgré les travaux, la recherche continue pour les collaborateurs du musée. Des activités, hors des murs, sont également toujours programmées, notamment une expo sur l'anatomie, qui débutera le 15 avril au Musée d’histoire des sciences.

Des travaux devisés à 90 millions de francs au total. Le Conseil administratif de la Ville de Genève vient de faire une demande de crédit complémentaire de 14 millions pour couvrir les travaux supplémentaires.

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Suisse Romande

Pêche: la régulation des cormorans sur les Trois-lacs acceptée

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Les populations de cormorans, ici dans la réserve naturelle du Fanel sur le lac de Neuchatel, ont mauvaise presse auprès des pêcheurs professionnels (archives). (© KEYSTONE/LAURENT DARBELLAY)

Les députés vaudois ont accepté mardi une motion consistant notamment à réguler les populations de cormorans dans la région des Trois-Lacs. Si tous les partis se sont dit en faveur d'un soutien aux pêcheurs professionnels, les arguments de la gauche, plaidant pour des mesures pacifiques, n'ont pas été entendus.

La motion, venue des rangs PLR et déposée par le député Loïc Bardet, s'émouvait de la baisse drastique des prises de poisson dans le lac de Neuchâtel. "Une forte diminution des captures de corégones a été enregistrée: de 300 tonnes en 2013, elles sont passées à 50 tonnes en 2023", a souligné le rapporteur de la majorité, le PLR Nicolas Suter.

Selon la motion, la situation s'explique par le développement "quasi exponentiel" de la population de cormorans. Elle indique qu'environ 3000 de ces oiseaux sont présents en moyenne annuelle sur le lac de Neuchâtel. "Avec une consommation de minimum 450 grammes [de poisson] par jour, cela fait plus de 492 tonnes prélevées, toutes classes d'âge et espèces confondues", indique-t-elle.

Le texte demande donc de maintenir la population des cormorans à un "niveau supportable pour permettre la survie de la pêche professionnelle". Il demande également des mesures pour la protection des espèces et des écosystèmes des zones lacustres, ainsi qu'une coordination avec les cantons voisins et "différentes mesures de soutien financier".

"Bouc émissaire"

Bien qu'en faveur d'un soutien aux pêcheurs, la gauche s'est opposée aux mesures de régulation des cormorans. "Prendre le cormoran comme bouc émissaire ne va pas résoudre les problèmes de la pêche. La baisse de certains poissons va perdurer, car elle est due à d'autres facteurs", notamment en lien avec le réchauffement climatique, a averti le Vert Alberto Mocchi. "Nous appelons à des mesures plus pacifiques", a ajouté la socialiste Aude Billard.

Selon le rapport de minorité, les mesures d'effarouchement actuelles et les tirs par la police de la faune portent déjà leurs fruits. Les députés signataires craignent que "des tirs trop nombreux" ne produisent un "effet dévastateur" sur la tranquillité de la faune et des oiseaux migrateurs, qui font notamment escale dans la zone de la Grande Cariçaie.

"Pas une question taboue"

Le Conseiller d'Etat Vassilis Venizelos, en charge de l'environnement, a pour sa part déclaré que la régulation des cormorans n'était "pas une question taboue". Elle n'est cependant "qu'une des mesures à disposition face aux problèmes rencontrés actuellement par les pêcheurs professionnels", a-t-il dit.

Au final, la motion a été acceptée par 84 oui, 28 non et 26 abstentions. Elle sera donc transmise au Conseil d'Etat.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

Une commission envisage l'obligation de servir pour les femmes

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Une commission parlementaire envisage une extension de l'obligation de servir dans la sécurité aux femmes, dans l'armée, la protection civile ou le service civil (archives). (© KEYSTONE/PETER KLAUNZER)

La Suisse ne doit pas introduire un service citoyen comme le demande une initiative populaire, estime la commission compétente du Conseil des Etats. Mais cette dernière envisage un contre-projet qui étendrait aux femmes l'obligation de servir dans la sécurité.

L'initiative populaire "Pour une Suisse qui s'engage" (initiative Service citoyen), déposée en octobre 2023, veut que tous les jeunes s'engagent au bénéfice de la collectivité et de l'environnement, et non plus seulement les jeunes hommes suisses dans l'armée. L'engagement pourrait être effectué au sein de l'armée, du service civil, de la protection civile ou d'un autre service de milice. Une compensation financière doit être prévue.

Le Conseil national a déjà décidé de suivre la décision du Conseil fédéral et a rejeté l'initiative sans contre-projet. La commission de la politique de sécurité du Conseil des Etats a décidé de suspendre le traitement de cet objet et envisage désormais de présenter un contre-projet direct, selon un communiqué des services du Parlement publié mardi.

Par 6 voix contre 5 et 2 abstentions, la commission a chargé l'administration d'élaborer un projet visant à introduire le modèle de l'obligation de servir dans la sécurité tel qu'il est expliqué dans le rapport du Conseil fédéral sur le développement du système de l’obligation de servir.

Obligation pour les femmes aussi

Le contre-projet doit en outre prévoir l'extension, aux femmes, de l'obligation de servir dans la sécurité, lit-on dans le communiqué. Ces mesures visent à assurer l'alimentation de l'armée et de la protection civile et à répondre à une demande importante de l’initiative populaire, à savoir l'extension des obligations du service citoyen à une plus grande partie de la société, selon la majorité.

Dans ce contexte, la commission a aussi décidé, par 10 voix contre 2, de déposer une motion visant à alimenter rapidement et suffisamment les effectifs de l'armée et de la protection civile pour pouvoir réagir aux défis géopolitiques actuels. Pour ce faire, le modèle de l'obligation de servir dans la sécurité est à privilégier par rapport à celui de l'obligation de servir axée sur les besoins.

Une minorité estime au contraire que le Conseil fédéral doit d'abord examiner de manière approfondie les différentes options relatives au développement du système de l'obligation de servir et s'exprimer comme prévu en faveur de l'une d'entre elles d'ici fin 2027. Elle préconise que le Parlement se prononce quand cette décision aura été prise.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

Une commission veut assouplir les autorisations d'exportation de matériel de guerre suisse

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L'exportation et la réexportation de matériel de guerre suisse fait débat sous la Coupole fédérale, surtout dans le contexte de la guerre en Ukraine (image d'illustration). (© KEYSTONE/PETER KLAUNZER)

La réglementation suisse sur l'exportation de matériel de guerre va être assouplie. La question est de savoir comment. Alors que le Conseil fédéral prévoit une compétence dérogatoire, une commission souhaite accepter les demandes d'exportation de certains pays.

Sur demande du Parlement, le gouvernement propose d'avoir une compétence dérogatoire à durée limitée pour pouvoir s'écarter exceptionnellement des critères d'autorisation. La commission de la politique de sécurité du Conseil des Etats veut à la place, par 10 voix contre 3, que les demandes d'exportation vers les pays mentionnés dans l'annexe 2 de l'ordonnance sur le matériel de guerre soient acceptées, sauf exceptions.

Les demandes pourraient être refusées en cas de circonstances exceptionnelles et si les intérêts de la Suisse en matière de politique extérieure ou de politique de sécurité l'exigent, indiquent mardi les services du Parlement. L'annexe comprend la plupart des pays européens, les Etats-Unis, le Canada, l'Australie, le Japon, la Nouvelle-Zélande et l'Argentine.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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