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Le National accepte le crédit de 4 milliards de francs pour Axpo

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Menacé par un problème de liquidités dans le cadre de la crise énergétique actuelle, Axpo a demandé début septembre une aide fédérale de quatre milliards de francs (archives). (© KEYSTONE/MICHAEL BUHOLZER)

Le fournisseur d'électricité Axpo doit pouvoir obtenir un prêt de quatre milliards de francs, dans le cadre du mécanisme de sauvetage concocté par le gouvernement. Le National a accepté lundi soir, par 137 voix contre 46, ce crédit additionnel au budget 2022.

Menacé par un problème de liquidités dans le cadre de la crise énergétique actuelle, Axpo a demandé un prêt de quatre milliards de francs à la Confédération début septembre. Soucieux d'assurer l'approvisionnement énergétique de la Suisse, le Conseil fédéral a accédé à sa requête en recourant au droit de nécessité.

Il demande ce crédit au Parlement dans le cadre du second supplément au budget 2022. Le Conseil des Etats se prononcera mercredi matin.

"Nous approuvons ce crédit en traînant un peu les pieds", a avoué Heinz Siegenthaler (Centre/BE). Mais il faut tout faire pour éviter un effondrement, a indiqué Kurt Egger (Vert-e-s/TG).

Axpo est une entreprise d'importance systémique, si elle a des problèmes de liquidités, les conséquences économiques sur la Suisse seront "énormes", a abondé Ursula Schneider Schüttel (PS/FR) pour la commission. Il ne s'agit que d'un prêt donc les finances de la Confédération ne subissent aucun dommage, a pointé pour sa part Michel Matter (PVL/GE).

Obstacle formel

C'est inquiétant qu'à chaque fois qu'une entreprise fait une erreur de stratégie, c'est à la Confédération de voler à son secours, a opposé Lars Guggisberg (UDC/BE). Son parti, à l'origine du débat en session extraordinaire, s'est retrouvé seul pour défendre un durcissement des conditions d'octroi du prêt.

Quand le Parlement accorde un crédit, il ne lui est pas possible d'en modifier le cadre matériel, a rappelé Sarah Wyss (PS/BS). Plusieurs orateurs de tous bords ont invoqué cet obstacle formel tout en montrant plus ou moins de compréhension sur le fond.

Le parti conservateur voulait que les propriétaires participent au prêt à parts égales. Dans le cas d'Axpo, il s'agit des cantons de Zurich, Argovie, Schaffhouse, Glaris et Zoug, ainsi que des forces motrices zurichoises, argoviennes, saint-galloises et thurgoviennes. "Ce serait aux cantons de tout assumer, mais nous proposons un compromis", a argué Mike Egger (UDC/SG). En vain.

Conditions déjà exigeantes

Un examen complet des risques est nécessaire avant l'octroi du prêt, a encore avancé le Saint-Gallois. Il a également estimé nécessaire d'interdire le négoce en son propre nom et pour son propre compte en vue de réaliser des bénéfices commerciaux à court terme.

L'UDC a déjà essayé d'ajouter cette dernière condition lors des débats sur la loi sur les aides financières subsidiaires au secteur énergétique, sans succès, a rappelé le co-rapporteur Jean-Paul Gschwind (Centre/JU). Les conditions pour l'octroi de prêts sont déjà réglées, a complété Peter Schilliger (PLR/LU).

Elles sont tellement exigeantes qu'Axpo va tout faire pour garantir ses liquidités autrement, a assuré le ministre des finances Ueli Maurer. Et de répéter que l'entreprise argovienne n'a encore reçu aucun franc. "C'est une réserve, Axpo n'y accédera qu'en cas d'extrême urgence."

Projet de loi sous toit

Le projet de loi prévoyant une aide fédérale subsidiaire aux entreprises d'électricité est justement sous toit: le National s'est rallié lundi après-midi à sa chambre soeur sur les derniers points de divergence.

Les Chambres ont déjà approuvé rétroactivement le crédit d'engagement de 10 milliards. Elles doivent se prononcer cette semaine sur la clause d'urgence, pour que la loi entre en vigueur au 1er octobre. Les mesures sont limitées à fin 2026.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

International

Volkswagen: recul des ventes en 2024, particulièrement en Chine

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La vente des voitures électriques Volkswagen dans le monde a également chuté de 394'000 à 383'100 unités, une chute de 2,8% après plusieurs années de croissance. (archive) (© )

Les ventes de voitures du groupe Volkswagen ont diminué en 2024, avec un recul marqué en Chine, illustration de l'année noire vécue par le constructeur qui va fortement réduire sa production et sa masse salariale en Allemagne.

Le deuxième constructeur mondial, derrière Toyota, a livré 4,8 millions de véhicules dans le monde l'an dernier, soit 1,4% de moins qu'en 2023, indique jeudi un communiqué.

"2024 a été une année difficile dans le monde entier, avec une économie faible, des défis politiques et une forte concurrence, en particulier en Chine", premier marché automobile mondial, a déclaré Martin Sander, directeur des ventes de Volkswagen.

Le premier constructeur européen va supprimer plus de 35'000 emplois d'ici 2030 et fortement réduire sa capacité de production en Allemagne, sans fermeture de sites ni licenciements contraints, après un accord conclu à l'arrachée en décembre avec le syndicat IG Metall.

Volkswagen a écoulé 2,2 millions de voitures en Chine, son premier marché, en 2024, soit une chute annuelle de 8,3% d'après le communiqué.

L'un des premiers constructeurs étrangers à pénétrer le marché chinois, Volkswagen ne tient plus la comparaison avec les concurrents locaux, moins chers et plus avancés dans la transition vers l'électrique.

Les ventes en Europe, deuxième marché de Volkswagen, ont aussi chuté de 1,7%, alors que la conjoncture ralentit dans la zone euro.

Le groupe a en revanche dépassé le million de ventes outre-Atlantique, avec une hausse de 21,1% de ses ventes en Amérique du Sud et de 18,4% en Amérique du Nord.

La demande pour ses voitures électriques dans le monde a également chuté de 394'000 à 383'100 unités, une chute de 2,8% après plusieurs années de croissance.

47% des véhicules vendus par Volkswagen sont des SUV, un segment qui continue de croître.

Avec une part de marché de 19,1% en Allemagne, le groupe qui produit 10 marques automobiles différentes se maintient en tête au pays de l'automobile.

Ce secteur pilier de l'économie allemande a connu une année noire en 2024, entre plans sociaux et repli des ventes particulièrement marqué dans l'électrique.

Les constructeurs devront aussi composer en 2025 avec des sanctions européennes plus sévères sur les seuils de pollution de ses véhicules thermiques.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Genève

Assassinat à Genève: la défense dénonce une enquête à charge

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Photo d'illustration (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)
Dans l'affaire de l'assassinat d'un diplomate égyptien à Genève en 1995, l'avocat de l'accusé principal a dénoncé jeudi une enquête menée uniquement à charge et le travail "loin d'être remarquable" de la Police fédérale. Il a conclu à l'acquittement pour l'assassinat.

Le défenseur s'est efforcé d'éclaircir le "portrait étouffant" de son client dressé par les experts psychiatres et le procureur fédéral. Il a parlé d'un homme complexe, capable de mentir mais aussi de franchise. Les explications "bizarres" de l'accusé ne doivent pas être prises au pied de la lettre: "Il cherche maladroitement à se disculper".

L'exploitation des traces ADN retrouvées sur le silencieux artisanal utilisé lors du crime a été vivement critiquée. Selon l'avocat, les expertises regorgeraient d'imprécisions et le mélange des ADN de six personnes différentes dont l'accusé et son amie de l'époque n'a pas été expliqué. "Tout n'est que défaut dans l'appréciation des traces. La preuve scientifique n'est pas apportée."

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International

Liban: le chef de l'armée Joseph Aoun élu président

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Le commandant en chef de l'armée Joseph Aoun est le nouveau président du Liban (Archives). (© KEYSTONE/AP/Bilal Hussein)

Le commandant en chef de l'armée libanaise, le général Joseph Aoun, a été élu jeudi président de la République. Son élection met fin à une vacance de plus de deux ans à la tête du pays, qui a aggravé ses crises économique et politique.

Joseph Aoun a recueilli 99 voix sur 128 au Parlement lors d'une deuxième session dans l'après-midi. Il n'avait obtenu que 71 voix au premier tour de scrutin dans la matinée, les 30 députés du Hezbollah pro-iranien et de son allié, le mouvement chiite Amal, ayant voté blanc.

Mais une rencontre au Parlement entre des représentants des deux formations et le commandant en chef de l'armée au Parlement, entre les deux tours, a changé la donne, lui assurant la majorité nécessaire pour l'emporter.

Le président élu, en tenue civile, est entré dans l'hémicycle sous les applaudissements pour prêter serment.

"Une nouvelle ère de l'histoire du Liban commence aujourd'hui", a annoncé le nouveau président.

Pouvoirs réduits

La candidature du commandant en chef de l'armée, qui a une réputation de probité et d'impartialité, était appuyée par les Etats-Unis et l'Arabie saoudite, poids lourd régional, selon des responsables politiques libanais.

Des ambassadeurs de plusieurs pays ainsi que l'émissaire français pour le Liban, Jean-Yves Le Drian, ont assisté à la session parlementaire.

Les pressions diplomatiques se sont intensifiées sur les parlementaires pour les pousser à choisir le commandant en chef de l'armée.

Le Hezbollah, acteur incontournable de la scène politique, est sorti affaibli après deux mois de guerre avec Israël et la chute début décembre du président syrien, Bachar al-Assad, son allié.

En vertu du système confessionnel de partage du pouvoir, la présidence du Liban est réservée à un chrétien maronite.

Le Liban était doté d'un système présidentiel mais les pouvoirs du chef de l'Etat ont été largement diminués par l'accord de Taef ayant mis fin à la guerre civile (1975-1990) au profit du Conseil des ministres présidé par un musulman sunnite.

Rôle-clé

Depuis la fin du mandat du président sortant, Michel Aoun (sans lien de parenté avec le commandant en chef de l'armée), en octobre 2022, le Parlement n'est pas parvenu à élire un président.

Les détracteurs du Hezbollah l'accusent d'avoir bloqué l'élection en voulant imposer son candidat, Sleimane Frangié. Or, ce dernier a annoncé mercredi son retrait de la course en faveur du commandant de l'armée.

Des analystes estiment que le rôle-clé de l'armée dans la mise en oeuvre du cessez-le-feu entre Israël et le Hezbollah, entré en vigueur le 27 novembre, a été un facteur déterminant pour l'ascension de Joseph Aoun vers la présidence.

Cette élection s'est tenue après un sérieux revers infligé par Israël au Hezbollah dans la guerre qui les a opposés, tuant notamment son chef, Hassan Nasrallah.

L'accord de cessez-le-feu prévoit le déploiement de l'armée libanaise dans les zones frontalières au fur et à mesure du retrait de l'armée israélienne des zones qu'elle a occupées pendant le conflit.

Le Hezbollah doit retirer ses troupes au nord du fleuve Litani et démanteler toute infrastructure militaire dans la région.

Les Etats-Unis, la France et l'ONU supervisent le mécanisme de mise en oeuvre du cessez-le-feu.

Liesse

Depuis le début de la semaine, les émissaires américain Amos Hochstein, saoudien Yazid Al Farhane et français Jean-Yves Le Drian ont eu des rencontres séparées avec des députés et des personnalités politiques libanaises.

Des députés ayant rencontré M. Hochstein et M. Al Farhane ont affirmé que Washington et Ryad soutenaient la candidature de Joseph Aoun.

A Aïchiyé, village natal du commandant de l'armée dans le sud du Liban, les habitants ont laissé éclater leur joie, a constaté un correspondant de l'AFP.

Des portraits du général Aoun ornaient les rues, accompagnés de slogans de soutien.

Le nouveau président a la lourde tâche de désigner un Premier ministre, à la tête d'un nouveau cabinet qui devra obtenir la confiance de la communauté internationale et mettre en oeuvre des réformes urgentes, destinées à relancer l'économie et à reconstruire les zones dévastées dans le sud.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Beat Jans invite les éditeurs à se défendre comme les paysans

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Intervenant jeudi devant les éditeurs alémaniques, le conseiller fédéral Beat Jans a souligné l'importance du travail des médias pour contrer le déferlement de "fake news", en particulier sur les réseaux sociaux. (© Gaëtan Bally/Keystone-ATS)

Indispensables en démocratie, les médias doivent défendre leurs intérêts comme le font les milieux paysans, a affirmé jeudi le conseiller fédéral Beat Jans. Commentant les restructurations dans la branche, il a appelé les éditeurs à assumer leurs responsabilités.

"Faites comme l'Union suisse des paysans, qui réclame de l'aide avec assurance et de manière audible, parce que l'agriculture est importante pour l'approvisionnement du pays. Vous avez la même importance", a lancé le ministre dans un message vidéo lors de la traditionnelle réunion de l'Epiphanie à Zurich, organisée par l'association des éditeurs alémaniques Schweizer Medien (VSM).

"Notre démocratie a besoin de vous", a souligné le chef du Département fédéral de justice et police (DFJP), espérant que les éditeurs étaient conscients de cette responsabilité à l'heure d'annoncer leurs mesures d'économies dans les rédactions.

"Un bon journalisme coûte cher"

Le Bâlois a aussi averti "que les objectifs de profit ne peuvent pas être le seul but", alors qu'une telle critique a été adressée en particulier au groupe Tamedia l'année dernière, après une nouvelle restructuration de ses titres. "Le journalisme va au-delà des gains matériels", a-t-il dit.

"Un bon journalisme coûte cher", a insisté le conseiller fédéral, lançant un appel aux éditeurs: "défendez le journalisme sérieux, basé sur des faits, qui mise sur la pertinence et non pas surtout sur le sensationnel et la polémique".

En matière d'aide à la presse, Beat Jans s'est arrêté sur le dossier du droit voisin, une norme comparable au droit d'auteur qui permettrait aux éditeurs de réclamer de l'argent aux plateformes comme Google ou Facebook pour l'utilisation de leurs contenus.

Une telle indemnisation amènera un "bol d'air et un peu de temps" au secteur, mais ne résoudra pas à lui seul tous les problèmes, a souligné M. Jans. Il a remarqué que le droit voisin a été en général salué en consultation, mais qu'il y avait aussi des oppositions. Le Conseil fédéral est cependant convaincu de la nécessité d'une telle norme. Il présentera un message d'ici l'été, a précisé le ministre.

Beat Jans s'est montré réservé sur la possibilité de réclamer, dans ce même cadre, des indemnisations également aux géants de l'Intelligence artificielle (IA) comme ChatGPT, qui exploitent largement les contenus journalistiques pour alimenter leurs réponses. "Il faut faire attention à ne pas trop charger le bateau", a-t-il mis en garde.

Appel à un "contre-mouvement"

La discussion sur l'IA doit cependant être menée "de manière intensive", a souligné Beat Jans. Le Conseil fédéral a chargé le Département fédéral des télécommunications (DETEC) d'effectuer un état des lieux de la réglementation en Suisse. Le gouvernement livrera prochainement de "premières indications" en la matière.

Le ministre a critiqué la décision de géants de l'internet comme X ou Facebook de supprimer la fonction de vérification des faits sur leurs plateformes. Mais il a estimé que c'était là une chance pour le journalisme: "Si la big tech ne veut plus trier le vrai du faux, vous les médias entrez alors en jeu", a souligné Beat Jans, appelant de ses voeux "un contre-mouvement" face au déferlement de "fake news".

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Politique

Le Conseil fédéral est opposé à l'initiative sur la responsabilité environnementale

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Ces dernières années, la Suisse a épuisé en mai toutes les ressources naturelles que la planète peut régénérer en un an (archives). (© KEYSTONE/DPA/SEBASTIAN GOLLNOW)

Quelques heures après les partisans de l'initiative sur la responsabilité environnementale, le Conseil fédéral entre en piste. Le ministre de l'environnement Albert Rösti a recommandé jeudi au peuple suisse de rejeter ce texte qui "va trop loin".

L'initiative populaire "pour une économie responsable dans les limites de la planète" (initiative pour la responsabilité environnementale) demande que l'économie suisse évolue à l'intérieur des limites imposées par la nature. Le Conseil fédéral et le Parlement reconnaissent qu'il faut ménager les ressources.

Ils agissent en ce sens depuis des décennies. Une grande importance est accordée à la protection de l'environnement, indique le gouvernement dans un communiqué.

Mais l'approche défendue par l'initiative aura de lourdes conséquences pour la population et l'économie. La Suisse devrait drastiquement réduire son impact environnemental. Cela n'irait pas sans une multitude de prescriptions et d'interdictions.

Les Suisses trancheront le 9 février.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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