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Libéralisation des ventes d'armes abandonnée

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Le Conseil fédéral renonce à son projet de libéralisation des ventes d'armes vers les pays en conflit armé interne (archives). (©KEYSTONE/URS FLUEELER)

La Suisse ne va pas exporter d'armes vers les pays en conflit armé interne. Le Conseil fédéral a décidé mercredi d'abandonner son projet. Celui-ci avait soulevé une bronca. Une initiative populaire aurait pu être lancée pour le contrecarrer.

Cette réforme ne bénéficie plus du soutien politique nécessaire, notamment dans les commissions parlementaires de la politique de sécurité, fait valoir le gouvernement. La commission du Conseil des Etats avait refusé de s'exprimer, alors que celle du National a soutenu le projet par 13 voix contre 8.

Selon le Conseil fédéral, persister aurait en outre pu avoir des effets contre-productifs sur la pratique actuelle en matière d’autorisation d’exportation de matériel de guerre. Celle-ci aurait pu à l'avenir être durcie, a expliqué le porte-parole du gouvernement André Simonazzi. Ce serait le cas avec une acceptation de l'initiative populaire que les opposants ont menacé de lancer.

Le ministre de l'économie Johann Schneider-Ammann avait ouvert les feux dans la matinée, dans une interview à 24 Heures et La Tribune de Genève, en évoquant plutôt une suspension du projet. "Nous avons beaucoup discuté et pesé les pour et les contre et nous sommes parvenus nous-mêmes à la conclusion qu'il n'était ni très réaliste, ni très intelligent de continuer le processus de libéralisation dans un tel moment."

Première décision en juin

L'ordonnance interdit actuellement d'exporter si le pays de destination est impliqué dans un conflit armé interne ou international. En juin, le gouvernement avait décidé de revoir ce texte. L'industrie suisse d'armement insistait depuis des mois pour assouplir la législation.

Le Conseil fédéral voulait qu'il soit possible d’accorder une autorisation d’exportation s’il n’y a aucune raison de penser que le matériel de guerre sera utilisé dans un conflit armé interne. Selon lui, la dérogation envisagée ne se serait pas appliquée à des pays rongés par la guerre civile, comme le Yémen ou la Syrie aujourd’hui.

Le gouvernement souhaitait par ailleurs que l'octroi d'une autorisation d'exporter soit valable deux ans au lieu d'un. Il voulait aussi qu'il soit possible de prolonger d’un an, et non plus de six mois, la durée de ces autorisations. Dernier élément du projet: il fallait prendre en considération la préservation de la base industrielle en tant que critère autonome dans la procédure d’autorisation.

Bronca

Cette décision de principe a soulevé une bronca. Le Conseil national s'y est opposé sur la base d'une motion du PBD, demandant que le Parlement tranche lui-même la question. Seule la droite a soutenu le gouvernement.

Une coalition de milieux opposés à cette libéralisation avait auparavant menacé de lancer une "initiative de rectification" si le Parlement ne parvenait pas à faire reculer le Conseil fédéral. Elle veut revenir au régime prévalant avant 2014. Les exportations vers des pays violant les droits de l'homme avaient alors été assouplies.

Inscription dans la loi

Cette coalition se réjouit de la décision prise aujourd'hui. "C'est le signe que le Conseil fédéral a un peu retrouvé la raison et le sens des valeurs suisses", a indiqué à Keystone-ATS la conseillère nationale Lisa Mazzone (Verts/GE), co-présidente de la coalition.

Et d'ajouter que cela montre qu'un débat public sur le sujet est nécessaire. La meilleure façon d'en avoir un est d'inscrire dans la loi des règles claires concernant les exportations d'armes. La coalition poursuivra ses efforts dans ce sens.

Quant à savoir si cela prendra la forme d'une initiative, Mme Mazzone a précisé qu'aucune décision n'avait été prise pour le moment. La coalition attend de voir quel sort le Conseil des Etats réservera à la motion PBD. Elle "examinera ensuite la situation".

Industrie suisse affaiblie

La réaction est tout autre du côté de l'industrie. Si elle respecte la décision du Conseil fédéral, l'entreprise d'armement de la Confédération RUAG ne cache pas sa déception. "Une telle décision n'est pas bonne pour l'indépendance de la Suisse et l'emploi", a réagi mercredi devant la presse Remo Lütolf, nouveau président du conseil d'administration de RUAG.

"L'industrie suisse et ses compétences de base s'en verront affaiblies", a-t-il poursuivi. Une situation qui pourrait être problématique, selon lui, en temps de crise.

M. Lütolf a fait remarquer que "d'autres pays européens neutres, comme la Finlande, ont des réglementations plus raisonnables et plus complaisantes que la Suisse concernant les exportations". Avant de conclure que le sujet est surtout politique.

Le président de la commission Werner Salzmann du National (UDC/BE) a dénoncé, lui, sur les ondes de la radio alémanique SRF "l'excitation médiatique" suscitée par " certains grands journaux". Ceux-ci n'ont jamais précisé que l'assouplissement ne concernait pas du matériel propre à alimenter des guerres, mais bien du matériel pouvant sauver des vies, comme des boucliers antimissiles ou des véhicules blindés.

Source ATS

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International

Le Hamas prêt à une trêve contre la libération des otages

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Le Hamas propose la libération de tous les étages contre une trêve de 5 ans avec Israël (archives). (© KEYSTONE/AP/Abdel Kareem Hana)

Le Hamas est prêt à conclure un accord prévoyant la libération en une seule fois de tous les otages encore retenus à Gaza et une trêve de cinq ans avec Israël, pour mettre fin à la guerre en cours, a dit samedi un responsable du mouvement.

"Le Hamas est prêt pour un échange de prisonniers (otages israéliens contre prisonniers palestiniens, ndlr) en une seule opération et pour une trêve de cinq ans", a déclaré, sous couvert de l'anonymat, ce responsable à l'AFP. Ces propos surviennent alors qu'une délégation du mouvement islamiste palestinien doit rencontrer les médiateurs ce samedi au Caire.

Il n'est pas clair à ce stade si l'idée d'une longue trêve a été proposée par le Hamas lui-même ou les médiateurs égyptiens et qataris.

Le 17 avril, le Hamas, qui se dit opposé à un accord "partiel", avait rejeté une proposition israélienne qui prévoyait notamment une trêve de 45 jours en échange du retour de dix otages vivants.

Demandes aux antipodes

Dans sa vision de l'accord "global" qu'il recherche, le mouvement demande un arrêt des hostilités, un retrait complet des troupes israéliennes, l'échange d'otages israéliens contre des prisonniers palestiniens et l'entrée d'aide humanitaire dans Gaza.

Israël, de son côté, réclame le retour de tous les otages et le désarmement du Hamas et des autres groupes armés à Gaza. Ce dernier point constitue une "ligne rouge" pour le mouvement.

La guerre a été déclenchée par l'attaque sans précédent du Hamas contre Israël le 7 octobre 2023, laquelle a entraîné la mort de 1218 personnes côté israélien, en majorité des civils. Sur les 251 personnes enlevées ce jour-là, 58 sont toujours retenues à Gaza, dont 34 sont mortes, selon l'armée israélienne.

Des milliers de morts

Une trêve du 19 janvier au 17 mars a permis le retour en Israël de 33 otages, incluant huit morts, en échange de la sortie d'environ 1800 Palestiniens des prisons israéliennes.

Selon des chiffres publiés vendredi par le ministère de la Santé du Hamas, au moins 2062 Palestiniens ont été tués depuis la reprise de l'offensive israélienne le 18 mars, portant à 51'439 le nombre de morts à Gaza depuis le début de la guerre.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Suisse

Journée de la santé au travail: la Suva encourage la prévention

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La Suva encourage les entreprises à renforcer leur culture de la prévention, à l'occasion de la Journée mondiale de la santé au travail (archives). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

A l'occasion de la Journée mondiale de la sécurité et de la santé au travail lundi, la Suva appelle les entreprises à renforcer leur culture de la prévention. Près de 3 millions de personnes dans le monde meurent chaque année dans le cadre de leur profession.

La plupart de ces décès sont dus à des maladies professionnelles, relève l'assurance-accidents. En Suisse, entre 2019 et 2023, environ 218 travailleurs sont décédés chaque année en raison de leur activité professionnelle, dont 153 sont dus à des maladies professionnelles.

Chez nous, la part des décès dus à des maladies professionnelles est nettement inférieure à la moyenne mondiale. Et 90% d'entre eux sont liés à l’exposition à l’amiante.

La Suva plaide pour aller plus loin dans la culture de la prévention dans le monde professionnel suisse. Elle met en avant six dimensions: la communication, les valeurs et les règles, la conduite, l’apprentissage, la responsabilité et l’organisation de l’entreprise.

Faire mieux au quotidien

Pour relever les défis actuels de la santé et la sécurité au travail ainsi que ceux liés à la sécurité durant les loisirs, les entreprises ont tout intérêt à intégrer cette démarche de prévention au quotidien, estime la Suva.

Une telle démarche permet de diminuer drastiquement les accidents et les absences, contribue à augmenter la performance, l’efficacité, la qualité du travail ainsi que l’image et la réputation de l’entreprise. La culture de prévention est un investissement pour la pérennité de l'entreprise et surtout celles et ceux qui y travaillent, conclut l'assurance.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

La "Journée contre le bruit" appelle pour la 20e fois au calme

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Chaque année, le coût total du bruit routier, ferroviaire et aérien est estimé à environ 2,6 milliards de francs en Suisse, dont 1,4 milliard pour la santé (image d'illustration). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

La "Journée contre le bruit" se déroulera mercredi pour la vingtième fois en Suisse. Sous le mot d'ordre "le bruit rend malade", les associations à l'origine de cet événement veulent alerter contre les risques pour la santé du bruit causé par le trafic.

On recense chaque année environ 500 décès prématurés dus à des maladies cardio-vasculaires contractées en raison du bruit du trafic, indique le service de coordination de cette journée dans un communiqué. Selon lui, le corps humain "ne s'habitue pas au bruit"

Il réagit en sécrétant des hormones de stress, ce qui peut entraîner des problèmes de santé: hypertension, infarctus, troubles du sommeil et de la concentration, troubles de l'humeur tels que la dépression ou l'agressivité.

Coût élevé

La sécrétion chronique des hormones de stress peut aussi avoir une influence négative sur le métabolisme de l'insuline. Par extrapolation, l'exposition excessive au bruit du trafic mène à 2500 nouveaux cas de diabète par année. Le bruit augmente en outre la charge mentale et participe au développement ou à l'aggravation de maladies mentales.

Au total, on estime à 2,6 milliards de francs le coût du bruit routier, ferroviaire et aérien, dont 1,4 milliard pour la santé. Le reste représente la perte de valeur de biens immobiliers.

A l'inverse, le calme permet au corps de se détendre, à la tension artérielle de baisser et aux symptômes de stress de diminuer. Il s'agit d'une ressource naturelle précieuse, "indispensable pour être en bonne santé", ajoute le service de coordination de la Journée contre le bruit.

Depuis 2005

La Suisse participe depuis 2005 à la Journée contre le bruit. Cet événement aborde chaque année la thématique du bruit sous un autre angle afin de sensibiliser les autorités, les spécialistes et la population, souligne le communiqué.

Cette journée est portée par le Cercle Bruit Suisse (Groupement des responsables cantonaux de la protection contre le bruit), la Société Suisse d'Acoustique, les Médecins en faveur de l'Environnement et la Ligue suisse contre le bruit, avec le soutien des offices fédéraux de l'environnement (OFEV) et de la santé publique (OFSP).

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

L'UNIGE propose un nouveau festival culturel ouvert au public

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Une partie des événements du Carac Festival se déroulera dans le bâtiment d'Uni Mail (photo d'illustration). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Carac est le nom qui a été donné au nouveau festival culturel de l'Université de Genève (UNIGE). La manifestation se déroule jusqu'au 25 mai. A l'initiative des associations et troupes universitaires, elle propose des dizaines d'événements dans divers lieux.

Carac Festival s'adresse tant à la communauté universitaire qu'au grand public, indique l'UNIGE dans un communiqué. La grande majorité des événements programmés est gratuite et ouverte à tous. Le public aura le choix entre du théâtre, de la danse, des concerts, du cinéma, des ateliers d'arts manuels, des jeux et une exposition.

Le choeur des musiques actuelles donnera une représentation au Temple de la Madeleine. Le choeur de gospel, lui, réchauffera les âmes au Temple de Plainpalais, qui abritera aussi une soirée cabaret. Le choeur de l'Université, pour sa part, aura les honneurs de la scène du Victoria Hall.

L'UNIGE compte près de 150 associations étudiantes actives dans de nombreux domaines. Ces structures ont pour but premier de favoriser l'échange et l'émulation au sein de l'institution.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

François, "un pape proche des gens, avec un coeur ouvert à tous"

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Des applaudissements et acclamations se sont fait entendre à l'arrivée du cercueil du pape sur la place Saint-Pierre. (© KEYSTONE/AP/Gregorio Borgia)

François a été un "pape proche des gens, avec un coeur ouvert à tous", a relevé samedi le cardinal Giovanni Battista Re. Il s'exprimait dans son homélie prononcée lors des obsèques du jésuite argentin sur la place Saint-Pierre.

Il a "immédiatement imprimé sa forte personnalité dans la gouvernance de l'Église, en établissant un contact direct avec les individus et les populations, désireux d'être proche de tous, avec une attention particulière pour les personnes en difficulté, se dépensant sans compter, en particulier pour les plus démunis, les exclus", a-t-il également relevé.

Le cardinal a aussi rappelé, sous les applaudissements de la foule, les "gestes innombrables" de François envers les réfugiés et les personnes déplacées.

"Son insistance à oeuvrer en faveur des pauvres a également été constante", a-t-il ajouté, soulignant qu'il était "significatif que le premier voyage du pape François ait été celui à Lampedusa, île symbole du drame de l'émigration avec des milliers de personnes noyées en mer". Le pape n'a cessé "d'implorer la paix", d'appeler à des "négociations honnêtes", a également relevé le prélat.

Marée humaine

Une marée d'au moins 200'000 fidèles avait auparavant déferlé place Saint-Pierre, remplie à craquer pour les funérailles au cérémonial grandiose du pape François. Celles-ci ont commencé en présence d'un aréopage de chefs d'Etat et de têtes couronnées.

Avant le début des funérailles à 10h00, le président américain Donald Trump est entré dans la basilique pour se recueillir devant le cercueil du pape, tout comme l'Ukrainien Volodymyr Zelensky, le Français Emmanuel Macron, le Brésilien Lula et l'Argentin Javier Milei. La présidente de la Confédération Karin Keller-Sutter, également présente à la cérémonie, a salué sur X "une vie au service des autres".

Les cloches de Saint-Pierre ont sonné le glas avant le début de la cérémonie sur la place, un grand écrin devant la basilique enchâssé dans l'élégante colonnade du Bernin n'ayant pu accueillir tous les fidèles, qui débordent sur la grande avenue de la Conciliation.

Applaudissements

Puis le cercueil du pape, mort d'un AVC lundi à 88 ans, a été transporté hors de la basilique, où il a été accueilli par des applaudissements et installé devant l'autel où est célébrée la messe en plein air.

Sont également présents le roi Philippe et la reine Mathilde, le prince William ainsi que le prince Albert de Monaco et son épouse Charlene.

Outre le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres, sont aussi présents pour l'Europe le chancelier allemand Olaf Scholz et le Premier ministre britannique Keir Starmer. Le président russe Vladimir Poutine, sous le coup d'un mandat d'arrêt de la Cour pénale internationale (CPI), a délégué sa ministre de la Culture Olga Lioubimova.

Trump rencontre Zelensky

Donald Trump a rencontré le président ukrainien Volodymyr Zelensky, a annoncé Kiev, alors que le président américain avait affirmé quelques heures auparavant que Kiev et Moscou étaient "très proches d'un accord", trois ans après l'invasion de l'Ukraine par les troupes russes.

Le septuagénaire a également échangé une poignée de main avec la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, en plein conflit sur les droits de douane entre les deux continents. Au total, une cinquantaine de chefs d'Etat et une dizaine de têtes couronnées assistent à la cérémonie funèbre.

Cette semaine, plus de 250'000 personnes ont patienté pendant des heures pour se recueillir devant la dépouille du chef de 1,4 milliard de catholiques, exposée sous les ors de la basilique Saint-Pierre.

Au terme de la messe, le cercueil sera escorté de l'autre côté du Tibre dans le centre de la Ville éternelle, jusqu'à la basilique Sainte-Marie-Majeure. C'est dans cet imposant sanctuaire du Ve siècle abritant déjà les tombeaux de sept papes que François a choisi d'être inhumé.

Conclave en vue

Une fois les obsèques célébrées, tous les regards se tourneront vers les 135 cardinaux-électeurs - soit ceux âgés de moins de 80 ans - convoqués au conclave pour choisir dans les prochaines semaines, à huis clos dans la Chapelle Sixtine, un successeur au pape François.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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