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Météo à Genève: grand bleu et quelques nuages élevés

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Photo PV

La journée sera belle avec du soleil en majorité, quelques nuages élevés en matinée et dans la fin d'après-midi à Genève. Il fait actuellement 10 degrés, on attend 23 cette après-midi. 

Demain: Une journée encore agréable en perspective, avec du soleil sur la plaine genevoise et des nuages élevés, sans gravité. Les températures sont comprises entre 8 et 24 degrés.

Samedi: Le ciel sera plutôt couvert en majorité, avec des éclaircies en mi-journée. Très nuageux en soirée et des maximales qui atteindront les 24 degrés.

Dimanche: Couvert tout au long de la journée, le ciel sera mitigé mais principalement nuageux avec des averses prévues en soirée. Il fera entre 11 et 21 degrés au maximum.

Une petite histoire de la météorologie, suite.

Nous avons parlé hier des origines de la météorologie. A la chute de l'empire romain et au début du Moyen Age, la plupart des savoirs grecs concernant l'étude des phénomènes météorologiques sont alors perdus. La religion chrétienne prend en Europe une place prépondérante et laisse peu de place aux penseurs et scientifiques. C'est au Moyen-Orient que les savoirs des grecs se développent et s’étoffent. On comprend alors la formation des arcs-en-ciel ou certains phénomènes de la lune et du soleil.

Il faudra attendre en Europe la Renaissance pour redécouvrir les savoirs antiques. L’ancêtre du thermomètre, le thermoscope est construit en 1607 par Galilée. Cette invention permet de noter les variations de températures, mais avant la création des standards Farenheit et Celsius au XVIIIème siècle, celles-ci ne sont pas précises. Quelques années plus tard c'est au tour du baromètre de voir le jour grâce notamment à l'utilisation du mercure.

International

Cérémonial grandiose aux funérailles de François

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La messe pour les funérailles du pape François doit débuter à 10h00 dans le cadre majestueux de la place Saint-Pierre (archives). (© KEYSTONE/EPA/NYEIN CHAN NAING)

François, "le pape des pauvres", va avoir droit samedi à des funérailles grandioses dans une ferveur populaire place Saint-Pierre. Plus de 200'000 fidèles, une cinquantaine de chefs d'Etat et une dizaine de têtes couronnées sont attendus.

Dès l'aube, des milliers de personnes ont convergé dans les rues menant à la place, encadrés par des centaines d'agents de sécurité en tenue jaune et orange fluorescents équipés de talkies-walkies.

"On voit énormément de monde. Des jeunes ont passé la nuit à l'extérieur. Ça montre combien de fois le pape François a marqué", a confié à l'AFP Jean-Roger Mounguengui, Gabonais de 64 ans venu avec son épouse. "C'est une journée vraiment historique", ajoute l'homme en costume sombre et cravate prune.

A l'ouverture des accès à la place peu après 06h00, nombre de fidèles ont couru pour tenter d'avoir une place assise. Plusieurs ont des drapeaux de leur pays sur le dos. D'autres exhibent une photo du pape François sur des banderoles. "Oh mon Dieu, je n'arrive pas y croire", lance une jeune américaine en arrivant sur la place.

Emotion dans le monde entier

La mort, lundi de Pâques, d'un AVC à l'âge de 88 ans du premier pape sud-américain qui avait été élu en 2013, a suscité une émotion et des hommages planétaires.

Le président américain, accompagné de son épouse Melania, est arrivé à Rome vendredi soir et pourrait avoir des entrevues bilatérales en marge de la cérémonie, avec par exemple la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, à propos de la hausse des droits de douane que M. Trump a imposée.

En revanche, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a annoncé vendredi soir qu'il n'était pas certain d'"avoir le temps" de faire le déplacement.

Messe à 10h00

La messe au rituel très solennelle doit débuter à 10h00 dans le cadre majestueux de la place Saint-Pierre, un écrin posé face à la basilique et enchâssé dans la colonnade du Bernin.

Elle sera présidée par le doyen du collège des cardinaux, l'Italien Giovanni Battista Re. Des écrans géants ont été installés tout le long de la Via della Conciliazione, la grande artère reliant le Vatican aux rives du Tibre, pour permettre à la foule de la suivre.

Cette semaine, plus de 250'000 personnes ont patienté pendant des heures pour se recueillir devant la dépouille du chef de 1,4 milliard de catholiques, exposée sous les ors de la basilique Saint-Pierre. Face à cet afflux, le Vatican a même été contraint de laisser ouvertes les portes de la basilique jusqu'au bout de la nuit.

Rois et reines

Un élan reflétant la popularité de ce défenseur inlassable de la paix, des migrants et des laissés pour compte, devenu au fil des ans une boussole morale dans un monde toujours plus instable. Sa simplicité, sa bonhomie et son franc-parler, parfois abrasif, ont aussi contribué à élargir son audience au-delà des catholiques.

Le cercueil a été fermé vendredi soir lors d'une cérémonie présidée par le cardinal camerlingue, l'Américain Kevin Farrell, qui gère les affaires courantes jusqu'au conclave qui élira le successeur de François. Sa date n'est pas encore connue mais il devrait débuter autour du 5 mai.

Des milliers de chaises ont été alignées pour accueillir 224 cardinaux vêtus de pourpre, plus de 750 évêques et prêtres, mais aussi des représentants d'autres confessions venus rendre hommage à cet avocat du dialogue inter-religieux.

Comme pour Jean-Paul II en 2005, plus de 160 délégations de chefs d'Etat et de têtes couronnées assisteront à ces funérailles en mondovision.

Outre le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres, seront aussi présents pour l'Europe le président français Emmanuel Macron, le chancelier allemand Olaf Scholz et le Premier ministre britannique Keir Starmer. La présidente de la Confédération Karin Keller-Sutter y assistera aussi.

Le président russe Vladimir Poutine, sous le coup d'un mandat d'arrêt de la Cour pénale internationale (CPI), a délégué sa ministre de la Culture Olga Lioubimova. L

L'Amérique du Sud, continent d'origine de Jorge Bergoglio, sera représentée par son compatriote, le président argentin Javier Milei, et son homologue brésilien Luiz Inacio Lula da Silva.

Ainsi que quelques têtes couronnées: le roi Philippe et la reine Mathilde de Belgique, le roi Felipe VI et la reine Letizia d'Espagne, le prince de Galles William représentant son père Charles III, le roi du Lesotho Letsie III, le roi Abdallah II et la reine Rania de Jordanie, ainsi que le prince Albert II de Monaco et son épouse Charlène.

Tireurs d'élite

Les mesures de sécurité sont draconiennes. La gendarmerie vaticane et les carabiniers italiens sont sur les dents et surveillent les accès au Vatican, dotés de contrôles de sécurité semblables à ceux d'un aéroport, dont des scanners à rayons X.

Une zone d'exclusion aérienne au-dessus de Rome est en place et des unités antidrones ont été déployées avec des brouilleurs d'ondes. Des avions de chasse sont aussi prêts à décoller et des tireurs d'élite sont positionnés sur les toits.

Au terme de la messe, le cercueil sera escorté de l'autre côté du Tibre dans le centre de la Ville éternelle, jusqu'à la basilique Sainte-Marie-Majeure. C'est dans cet imposant sanctuaire du Ve siècle abritant déjà les tombeaux de sept papes que François a choisi d'être inhumé.

"Franciscus"

Située dans une petite niche près de l'autel dédié à saint François, la sobre tombe en marbre portera comme seule inscription "Franciscus", François en latin.

Jorge Bergoglio, très attaché au culte de la Vierge Marie, avait l'habitude de se recueillir dans cette basilique, qui fait partie du territoire du Vatican, à la veille et au retour de ses visites à l'étranger.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Nouveaux échanges de tirs entre armées indienne et pakistanaise

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Les forces indiennes et pakistanaises ont échangé des tirs dans la nuit de vendredi à samedi le long de la ligne de contrôle (LoC), frontière de facto entre Inde et Pakistan au Cachemire (archives). (© KEYSTONE/AP/CHANNI ANAND)

Les forces indiennes et pakistanaises ont échangé des tirs pendant la nuit le long de la frontière de facto entre Inde et Pakistan au Cachemire, après de premiers incidents la veille, a déclaré l'armée indienne samedi.

L'armée indienne a déclaré que des tirs d'armes légères "non provoqués" ont été effectués par de "nombreux" postes de l'armée pakistanaise "tout au long de la ligne de contrôle au Cachemire" dans la nuit de vendredi à samedi.

"Les forces indiennes ont réagi de manière appropriée en faisant usage d'armes légères", a déclaré l'armée dans un communiqué précisant que ces tirs n'avaient fait aucune victime.

L'Inde et le Pakistan, deux puissances nucléaires alliées aux Etats-Unis, sont engagés dans une escalade depuis une attaque meurtrière mardi au Cachemire indien.

New Delhi accuse son voisin d'être lié à l'attentat qui a causé la mort de 26 civils à Pahalgam.

Le gouvernement ultranationaliste hindou de New Delhi et Islamabad, qui se sont déjà livré trois guerres depuis leur partition dans la douleur en 1947, se sont lancés dans une spirale de mesures punitives et de rétorsion.

L'armée indienne a détruit vendredi à l'explosif deux maisons présentées comme appartenant aux familles des auteurs de l'attaque; tandis que le Sénat pakistanais a voté à l'unanimité une résolution qui "rejette" les accusations "infondées" de l'Inde et "prévient" que le Pakistan est "prêt à (se) défendre".

L'armée indienne avait confirmé des tirs brefs à l'arme légère lancés vendredi, selon elle, par le Pakistan et auxquels elle a répondu.

Le Conseil de sécurité de l'ONU a appelé vendredi les deux pays à une "retenue maximale".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Décès de Virginia Giuffre, plaignante clé de l'affaire Epstein

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En août 2019, Virginia Roberts Giuffre, au centre, lors d'une conférence de presse devant un tribunal de Manhattan où elle a témoigné après la mort en prison du prédateur sexuel Jeffrey Epstein (archives). (© KEYSTONE/AP/BEBETO MATTHEWS)

Virginia Giuffre, l'une des principales plaignantes de l'affaire Jeffrey Epstein, financier américain qui était accusé de trafic sexuel de mineures, s'est suicidée à son domicile en Australie à l'âge de 41 ans, a annoncé samedi sa famille.

Mme Giuffre avait accusé le milliardaire américain Jeffrey Epstein, mort en détention en 2019, de l'avoir utilisée comme "esclave sexuelle" au tournant des années 2000.

L'Américano-Australienne avait conclu en 2022 un arrangement de plusieurs millions de dollars avec le prince Andrew, frère du roi Charles III d'Angleterre, qu'elle accusait d'agression sexuelle quand elle était mineure dans cette affaire.

"C'est avec le coeur brisé que nous annonçons que Virginia est décédée la nuit dernière dans sa ferme en Australie occidentale", a déclaré la famille dans un communiqué transmis à l'AFP par son agent.

"Elle s'est suicidée après avoir souffert tout au long de sa vie des agressions sexuelles et du trafic sexuel" dont elle a été victime.

"Incroyable courage"

"Il n'y a pas de mots qui puissent exprimer la grave perte que nous ressentons aujourd'hui avec le décès de notre douce Virginia", a déclaré la famille, se souvenant de son "incroyable courage et de son esprit aimant".

"En fin de compte (...) il est devenu insupportable pour Virginia de supporter le poids des agressions" subies. Mme Giuffre laisse trois enfants, Christian, Noah et Emily, a précisé sa famille.

Son avocate, Sigrid McCawley, pour qui Mme Giuffre avait été une "amie très chère" a souligné qu'elle avait contribué à défendre d'autres victimes dans cette affaire. "Son courage m'a poussé à me battre plus fort, et sa force était impressionnante".

L'agente new-yorkaise Dini von Mueffling a décrit sa cliente comme "l'un des êtres humains les plus extraordinaires" qu'elle ait connus. "Profondément aimante, sage et drôle, elle était un phare pour les autres survivants et victimes", a-t-elle déclaré.

Les accusations de Virginia Giuffre avaient précipité la disgrâce du prince Andrew, qui s'est retiré de la vie publique.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Sport

Bienne défie YB en demi-finale de Coupe

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Les joueurs biennois connaîtront-ils samedi les mêmes émotions qu'en février face à Lugano ? (© KEYSTONE/PETER SCHNEIDER)

Le FC Bienne, qui vise la promotion en Challenge League ce printemps, partira en quête d'un exploit samedi dès 20h30 en demi-finale de la Coupe de Suisse. Il défie Young Boys.

Le club seelandais n'a, selon l'expression consacrée, rien à perdre à l'heure de se frotter à YB. Le fait d'avoir sorti Lugano au tour précédent lui permet de croire en son étoile. L'euphorie est de mise dans toute la région: plus de 20'000 billets auraient pu être vendus selon le coordinateur sportif biennois Oliver Zesiger.

Bienne n'a disputé jusqu'ici qu'une seule finale de Coupe de Suisse, en 1961, s'inclinant face à La Chaux-de-Fonds au stade ultime. Young Boys, dont les chances de décrocher le titre de champion sont minces, vise pour sa part une 17e finale de Coupe. Le club du Wankdorf a gagné huit fois ce trophée, la dernière en 2023.

La deuxième demi-finale, prévue dimanche à 15h30 au Parc St-Jacques, mettra aux prises le FC Bâle et Lausanne-Sport.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Brésil : l'ex-président Collor de Mello en prison pour corruption

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Premier président brésilien élu après la dictature militaire, Fernando Collor de Mello avait été condamné en 2023 dans le cadre du méga-scandale de corruption "Lavage-express" (archives). (© KEYSTONE/AP/ERALDO PERES)

Condamné en 2023 à près de neuf ans de réclusion pour corruption, l'ex-président brésilien Fernando Collor de Mello, le premier élu au suffrage universel direct après la dictature militaire, a été incarcéré vendredi.

Au pouvoir de 1990 à 1992, M. Collor de Mello, 75 ans, a été arrêté dans la matinée à Maceio (nord-est), a déclaré à l'AFP une source de la police fédérale sous couvert de l'anonymat, n'étant pas autorisée à s'exprimer publiquement.

Il a été transféré dans l'après-midi vers une prison locale.

Le juge de la Cour suprême Alexandre de Moraes a rejeté un ultime recours de la défense "et a ordonné l'arrestation immédiate de l'ex-président de la République et ex-sénateur Fernando Collor de Mello", a expliqué jeudi soir la plus haute juridiction du Brésil dans un communiqué.

Ce magistrat a ordonné vendredi que la peine commence à être purgée dans la prison Baldomero Cavalcanti de Oliveira, à Maceio, dans une "aile spéciale" où il bénéficiera d'une "cellule individuelle", en raison de "sa condition d'ex-président".

Maladie de Parkinson

Le juge Moraes a par ailleurs demandé au bureau du procureur général de la République de se prononcer sur une requête de la défense réclamant que l'ancien chef de l'Etat soit assigné à résidence pour raisons de santé. Selon ses avocats, ce dernier souffre notamment de la maladie de Parkinson.

Sa défense avait exprimé dès jeudi soir sa "surprise" et sa "préoccupation" après l'ordre d'incarcération, qui doit être prochainement soumis au vote des autres magistrats de la Cour suprême. En attendant, l'ex-président doit demeurer en détention.

Dans un pays à l'histoire marquée par des scandales de corruption qui ont touché tous les camps ces dernières années, suscitant un profond écoeurement dans l'opinion, la classe politique ne s'est pas bousculée pour réagir à l'incarcération de Fernando Collor de Mello.

Rare exception: la députée transgenre de gauche Erika Hilton a salué la nouvelle sur le réseau X d'un "AU REVOIR, CHERI!" sans équivoque.

"Lavage-express"

Premier président brésilien élu directement par le peuple après la dictature militaire (1964-1985), Fernando Collor de Mello avait démissionné à mi-mandat, en 1992, après avoir vu le Parlement ouvrir une procédure de destitution à son encontre pour corruption passive.

Il avait été condamné en 2023 à huit ans et dix mois de prison dans le cadre d'un méga-scandale révélé par l'enquête tentaculaire "Lavage-express", qui a ébranlé l'échiquier politique brésilien pendant la dernière décennie.

Sénateur de centre-droit entre 2006 et 2022, il a été reconnu coupable d'avoir reçu 20 millions de réais entre 2010 et 2014 (environ trois millions d'euros, au taux de change actuel) pour avoir facilité "de façon irrégulière" la signature de contrats entre une entreprise de BTP et une filiale de la compagnie pétrolière publique Petrobras.

Fernando Collor de Mello, dont l'élection avait suscité un immense espoir, n'est pas le premier ex-chef de l'Etat brésilien à avoir maille à partir avec la justice.

Procès Bolsonaro en vue

Depuis la fin de la dictature, quatre des sept occupants du palais présidentiel de Planalto ont été à un moment donné condamnés, emprisonnés ou destitués.

Quant à l'ex-président d'extrême droite Jair Bolsonaro (2019-2022), il sera prochainement jugé pour tentative de coup d'Etat, une première.

Il est accusé d'avoir voulu conjurer sa défaite à la présidentielle de 2022 et empêcher le retour au pouvoir de son rival de gauche Luiz Inacio Lula da Silva, revenu aux affaires début 2023 après deux premiers mandats (2003-2010).

Egalement ciblé par l'enquête "Lavage-Express", Lula a été incarcéré 580 jours, d'avril 2018 à novembre 2019, après avoir été condamné pour corruption passive et blanchiment.

Sa condamnation a finalement été annulée par la Cour suprême, qui a considéré que le juge qui l'a condamné en première instance n'était pas impartial.

Cette annulation a permis à la figure emblématique de la gauche de disputer, puis de remporter, l'élection présidentielle de 2022 face à Jair Bolsonaro.

Vainqueur de Lula en 1989, M. Collor de Mello avait soutenu M. Bolsonaro au cours de la campagne de 2022.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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