Rejoignez-nous

Actualité

P.-Y. Maillard réélu à la tête de l'USS et grève féministe en 2023

Publié

,

le

Le président de l'USS Pierre Yves Maillard à l'ouverture du 57e Congrès à Interlaken (BE). (© KEYSTONE/PETER SCHNEIDER)

Pierre-Yves Maillard a été réélu samedi pour quatre ans à la présidence de l'Union syndicale suisse (USS). La faîtière syndicale a également décidé d'organiser l'an prochain une grève féministe le 14 juin.

L'élection s'est faite à l'unanimité samedi lors du Congrès annuel de l'USS, à Interlaken (BE), a annoncé l'USS sur Twitter. La présidente d'Unia Vania Alleva (sortante) et la secrétaire générale du Syndicat des services publics (SSP) Natascha Wey (nouvelle) ont été élues vice-présidentes dans la foulée.

Mme Wey remplace l'actuel vice-président Giorgio Tuti. Celui-ci quittera son poste de président du Syndicat du personnel des transports (SEV) en février 2023.

Le conseiller national vaudois Pierre-Yves Maillard - et candidat au Conseil des Etats lors des prochaines élections fédérales en octobre 2023 - dirige l'USS depuis 2018, date à laquelle il a succédé à Paul Rechsteiner. Ce dernier avait passé près de vingt ans à la tête de la faîtière syndicale.

Grève féministe

La faîtière syndicale a également décidé d'organiser l'an prochain une grève féministe le 14 juin. Elle constate que la situation des femmes en matière de salaire et de retraite ne s'est guère améliorée depuis la grève de 2019. Une offensive pour l'égalité, notamment sur le lieu de travail, est donc nécessaire.

Les objectifs prioritaires de l'USS sont de revaloriser le travail des femmes, d'obtenir des salaires plus élevés ainsi qu'une augmentation des rentes. Il s'agit également de mieux concilier vie professionnelle et vie familiale.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Culture

Crise en Serbie: locaux de la radio-télévision nationale bloqués

Publié

le

Des étudiants ont bloqué des locaux de la télévision serbe à Belgrade dans la nuit de lundi à mardi, après avoir été qualifiés de "horde" par un présentateur. (© KEYSTONE/AP/Marko Drobnjakovic)

Plusieurs centaines de manifestants ont entamé dans la nuit de lundi à mardi un blocage de la télévision et radio publiques serbes pour protester contre la manière dont le mouvement étudiant contre la corruption avait été qualifié lors d'un programme d'informations.

Le blocage des locaux de la RTS à Belgrade, a commencé peu avant minuit, déclenché par une question d'un journaliste au président Aleksandar Vucic.

Le présentateur employait le terme "horde" au sujet des étudiants qui protestent depuis l'effondrement d'une gare qui a fait 15 morts en novembre.

Les manifestants empêchent les employés d'entrer dans le bâtiment, ne permettant que les sorties.

Des échauffourées ont brièvement éclaté entre protestataires et policiers, qui sont ensuite entrés dans le bâtiment, a constaté un journaliste de l'AFP.

Policier blessé

Un policier a été blessé, a indiqué le ministère de l'Intérieur dans un communiqué, précisant que les forces de l'ordre n'interviendraient pas contre les manifestants bloquant les accès "sauf invasion violente des institutions publiques et de la RTS".

La radio-télévision nationale serbe, accusée de partialité, a déjà été cible de manifestations menées par les étudiants ces derniers mois.

Quinze personnes, dont deux enfants, ont péri le 1er novembre dans l'effondrement d'un auvent en béton à la gare de Novi Sad (nord), peu après des travaux de rénovation du bâtiment qui ont duré pendant trois ans.

Cette tragédie a ravivé une colère qui couvait dans le pays en raison de la corruption et du manque présumé de contrôle dans la réalisation de grands projets de construction.

M. Vucic a oscillé entre des appels à des négociations aux étudiants et des allégations selon lesquelles la Serbie est confrontée à une "tentative de révolution de couleur" orchestrée par des "agents étrangers" de "pays occidentaux".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

International

A Washington, une fresque "Black Lives Matter" effacée

Publié

le

La fresque au nom du mouvement "Black Lives Matter" dans une rue proche de la Maison Blanche était dans le viseur des Républicains (archives). (© KEYSTONE/AP/ANDREW HARNIK)

Des ouvriers ont commencé lundi à Washington à effacer une fresque aux couleurs du mouvement de protestation antiraciste "Black Lives Matter", qui se trouvait dans le viseur des Républicains.

Le nom de ce mouvement qui avait éclaté en 2020 à la suite de la mort de George Floyd, un Afro-Américain tué par un policier blanc, avait été inscrit en lettres jaunes sur le bitume dans une rue située non loin de la Maison Blanche.

Mais la fresque était dans le viseur des Républicains depuis le retour à la présidence de Donald Trump, déjà en fonction au moment de "Black Lives Matter" (la vie des Noirs compte).

"C'est historique, et maintenant ils disent en gros que ça n'a pas eu lieu", a regretté lundi auprès de l'AFP une Afro-américaine, venue jeter un dernier coup d'oeil à l'inscription alors que des marteaux-piqueurs s'attaquaient à la chaussée.

Elle montrait que les dirigeants "avaient de la compassion, (disaient) +nous vous entendons+", a quant à elle expliqué Tajuana McCallister, 57 ans, soignante dans le Maryland.

Mais "l'histoire des Noirs n'a clairement pas d'importance pour lui", a-t-elle poursuivi, en désignant la Maison Blanche.

"D'autres chats à fouetter"

La maire démocrate de Washington Muriel Bowser avait dit la semaine dernière avoir "d'autres chats à fouetter que de se battre pour ce qui a été très important pour nous et pour l'histoire".

"Nous nous concentrons aujourd'hui sur le fait de garantir la survie de nos habitants et de notre économie", avait ajouté l'édile, qui craint que les licenciements massifs de fonctionnaires fédéraux décidés par M. Trump et par son allié Elon Musk nuisent aux finances de la ville.

Interrogée pour savoir si le retrait de la fresque avait été décidé sous la pression de la Maison Blanche, Mme Bowser avait refusé de rentrer dans les "détails". "Mais je pense qu'on peut affirmer sans prendre de risque que des gens ne l'aiment pas, ne l'aimaient pas."

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

International

Guatemala: retour en prison du journaliste anti-corruption Zamora

Publié

le

Le journaliste anti-corruption Jose Ruben Zamora a été reconduit dans la prison Mariscal Zavala, située dans la capitale Guatemala. (© KEYSTONE/AP/Moises Castillo)

Le journaliste anti-corruption guatémaltèque José Ruben Zamora a été renvoyé en prison lundi, après la décision d'un juge mettant fin à l'assignation à résidence dont il bénéficiait depuis octobre.

Le juge Erick Garcia a indiqué avoir "ordonné que le journaliste José Ruben Zamora retourne à la situation juridique qu'il avait auparavant (prison), et ce avec effet immédiat", suivant ainsi la décision d'une chambre de la cour d'appel qui avait révoqué l'assignation à résidence du journaliste.

A l'issue de l'audience, M. Zamora a été menotté par des agents pénitentiaires pour être reconduit dans la prison Mariscal Zavala, située dans la capitale Guatemala.

Âgé de 68 ans, le fondateur du journal El Periodico a passé plus de 800 jours dans cette prison, de juillet 2022 à octobre 2024. Il a été arrêté après avoir publié des articles sur des affaires de corruption impliquant l'ancien président de droite Alejandro Giammattei (2020-2024). Le quotidien a fermé en 2023, alors qu'il était en prison.

Un tribunal a condamné le journaliste en juin 2023 à six ans de prison pour blanchiment d'argent, mais la sentence a depuis été annulée et il doit être rejugé.

"Abus de pouvoir"

Son incarcération avait été condamnée par les États-Unis, l'ONU, Amnesty International et même par l'actuel président du Guatemala, Bernardo Arévalo, qui a qualifié d'"abus de pouvoir" les poursuites engagées par le parquet contre le journaliste.

Lundi, José Ruben Zamora a de nouveau clamé son innocence et a dit vouloir continuer "à affronter l'État mafieux, les mafias criminelles qui manipulent la justice à leur guise et de manière arbitraire".

La Société Interaméricaine de Presse (SIP) a critiqué la cour d'appel, estimant sur X que la "décision arbitraire du tribunal constitue un grave exemple de persécution politique et une atteinte à la liberté d'expression au Guatemala".

L'ONG Reporters sans Frontières (RSF) a pour sa part lancé "un appel au système judiciaire guatémaltèque pour qu'il respecte le droit à un procès équitable et cesse d'abuser des mécanismes légaux pour museler les journalistes", dans une déclaration envoyée à l'AFP.

Ana Piquer, directrice pour les Amériques d'Amnesty International -qui considère que M. Zamora est un "prisonnier d'opinion"- a exigé la "libération immédiate" du journaliste, jugeant "urgent de mettre fin au harcèlement judiciaire visant à faire taire les voix dissidentes" dans le pays.

Du côté du gouvernement, le secrétariat de la communication sociale de la présidence a fait part dans un communiqué de son inquiétude face à "la poursuite du harcèlement" contre M. Zamora et a demandé au pouvoir judiciaire de "reprendre la voie d'une justice transparente et impartiale".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

Suisse

Le National veut un tour de vis envers les requérants criminels

Publié

le

Lors de la session extraordinaire "asile et souveraineté", le ministre de la justice Beat Jans a longuement détaillé les mesures prises par la Confédération dans ce domaine. (© KEYSTONE/ALESSANDRO DELLA VALLE)

Le National veut un tour de vis envers les requérants d'asile criminels. Il a adopté lundi deux motions UDC en ce sens. Il a aussi avalisé une motion de commission demandant que la Suisse intensifie ses contrôles aux frontières.

Les textes ont été adoptés lors d'une session extraordinaire "asile et souveraineté" demandée par l'UDC. Les deux textes de l'UDC demandent de limiter systématiquement la liberté de mouvement des requérants d'asile criminels et de retirer leurs autorisations de séjour.

Trois autres textes du parti conservateur n'ont en revanche pas passé la rampe. Le parti voulait durcir les règles du regroupement familial en s'inspirant de la pratique du Danemark et de la Suède. L'UDC voulait également refouler à la frontière les requérants d'asile qui arrivent de pays tiers sûrs.

Une motion du PLR demandant de davantage soutenir les cantons dans l'exécution des renvois a, elle, été acceptée.

Le Conseil fédéral était opposé à tous les textes à l'exception de celui concernant le renforcement des contrôles aux frontières. Cette motion réclame également d'étayer les mesures visant à renvoyer systématiquement les personnes sans autorisation de séjour valable qui ne déposent pas de demande d'asile.

Le Conseil des Etats doit encore se prononcer.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Suisse

Personne ne décroche la bonne combinaison à l'Eurodreams

Publié

le

Personne n'a trouvé la combinaison gagnante à l'Eurodreams lundi soir. (photo prétexte) (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Personne n'a trouvé la combinaison gagnante à l'Eurodreams lundi soir. Pour gagner une rente mensuelle de 22'222 francs durant 30 ans, il fallait jouer les six numéros 1, 15, 21, 24, 26 et 28, ainsi que le numéro "dream" 3, a indiqué la Loterie romande.

Eurodreams est proposé dans huit pays européens. En Suisse, le jeu est exploité par la Loterie romande et par Swisslos côté alémanique. Le tirage est effectué les lundis et jeudis soir.

https://jeux.loro.ch/games/eurodreams

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Derniers titres

IT'S GONNA BE OK

BREEZELESS

03:10

EVERYBODY WANTS

ED NAPOLI

03:02

SUMMER IS OVER

BRYYN

02:56

Publicité

L'info en continu

CultureIl y a 42 minutes

Crise en Serbie: locaux de la radio-télévision nationale bloqués

Plusieurs centaines de manifestants ont entamé dans la nuit de lundi à mardi un blocage de la télévision et radio...

InternationalIl y a 1 heure

A Washington, une fresque "Black Lives Matter" effacée

Des ouvriers ont commencé lundi à Washington à effacer une fresque aux couleurs du mouvement...

InternationalIl y a 3 heures

Guatemala: retour en prison du journaliste anti-corruption Zamora

Le journaliste anti-corruption guatémaltèque José Ruben Zamora a été renvoyé en prison lundi, après la...

SuisseIl y a 5 heures

Le National veut un tour de vis envers les requérants criminels

Le National veut un tour de vis envers les requérants d'asile criminels. Il a adopté...

SuisseIl y a 6 heures

Personne ne décroche la bonne combinaison à l'Eurodreams

Personne n'a trouvé la combinaison gagnante à l'Eurodreams lundi soir. Pour gagner une rente mensuelle...

SuisseIl y a 6 heures

La Suisse doit garder le contrôle de Beyond Gravity

La Suisse doit garder le contrôle de Beyond Gravity, filiale de Ruag International spécialisée dans...

InternationalIl y a 7 heures

Le pape François va mieux et pourrait bientôt quitter l'hôpital

Le pape François, 88 ans, hospitalisé pour une double pneumonie, va mieux, les améliorations de...

SuisseIl y a 7 heures

Renoncer à l'achat des avions de combat F-35 coûterait à la Suisse

Si la Suisse renonçait à acheter les 36 avions de combat américains F-35, elle devrait...

SuisseIl y a 8 heures

Les sénateurs valident l'imposition individuelle

Les sénateurs avancent à reculons sur l'imposition individuelle des couples mariés. Ils ont validé lundi...

InternationalIl y a 8 heures

"Sortons les coudes": le nouveau cri de ralliement des Canadiens

"Elbows up", "Sortons les coudes": c'était la technique favorite d'une ancienne légende du hockey sur...