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Economie

Hausse des nouvelles mises en circulation de véhicules en juillet

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Cumulés sur les mois de janvier à juillet, 206'616 véhicules à moteur ont été mis en circulation, un chiffre en hausse de 10,3% sur un an. (KEYSTONE/Martial Trezzini) (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Les nouvelles mises en circulation ont augmenté de 17,3% en juillet sur un an. En tout, 27'470 véhicules à moteur ont été mis en circulation au cours du mois sous revue, a indiqué lundi l'Office fédéral de la statistique (OFS).

Dans la principale catégorie, soit les voitures de tourisme, la progression a atteint 19,4%. Si la demande pour les véhicules à essence a reculé (-6%), ceux fonctionnant au diesel ont été plus recherchés (+4%) qu'un an plus tôt. Les véhicules à propulsion alternative ont tous vu les nouvelles immatriculations progresser, notamment les véhicules électriques (+82%) ainsi que les hybrides (+47%), et, dans une moindre mesure l'hybride rechargeable (+4%).

Les nouvelles mises en circulation ont également progressé pour les motocycles (+7,3%) ainsi que les véhicules destinés au transport de marchandises (+31,6%).

Cumulés sur les mois de janvier à juillet, 206'616 véhicules à moteur ont été mis en circulation, un chiffre en hausse de 10,3% sur un an.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Economie

Evolution contrastée des prix sur le marché immobilier suisse

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Les prix des logements en propriété ont augmenté de 4,5% au cours des douze derniers mois (archives). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Le marché immobilier suisse a connu des évolutions contrastées au deuxième trimestre 2024. Les prix des logements en propriété ont progressé, tandis que ceux des immeubles de rendement sont restés pratiquement inchangés.

C'est ce qui ressort d'une statistique diffusée jeudi par Cifi. "Si une accalmie semblait encore se dessiner dans le segment des logements en propriété en début d'année, elle n'est absolument plus perceptible à la fin du deuxième trimestre", écrit le cabinet de conseil immobilier en publiant son indice Private Real Estate Price. Les prix des transactions effectives sur le marché ont augmenté de 1,1% entre début avril et fin juin, ce qui a entraîné une "hausse considérable" des valeurs des logements en propriété de 4,5% au cours de douze derniers mois.

La hausse de prix concerne tant les villas (+1,2%) que les appartements en PPE (+1,1%). Ces derniers connaissent cependant une augmentation plus marquée sur le long terme. Et sur le plan géographique, les progressions les plus fortes concernant la Suisse centrales et les régions touristiques comme les Alpes.

Et en dépit de ces prix élevés, le marché ne montre aucun signe de fléchissement, en raison d'une pénurie constante de l'offre doublée d'un environnement de taux d'intérêts favorables soutenu par les récentes baisses des taux directeurs par la Banque nationale suisse (BNS). La BNS pourrait même procéder à une nouvelle baisse à l'automne. Le coût des hypothèques à taux fixe a lui aussi baissé.

Le tableau est tout différent sur le marché des immeubles de rendement, où les prix ont stagné (+0,2%) et ce pour le deuxième trimestre consécutif. Appréhendés sur les douze derniers mois, ils ont progressé de 1,8%. La tendance devrait cependant prochainement s'inverser, estime Cifi.

La fin des taux négatifs en juin 2022 laissait en effet attendre une accalmie, du moins temporaire, sur le marché immobilier, favorisant d'autres classes d'actifs. Mais cette pause ne devrait être que de courte durée, prévoit le cabinet de conseil, étant donné le besoin toujours important en main d'oeuvre des entreprises locales et l'évolution démographique soutenue. La demande de logements et de surfaces commerciales ou de bureau demeure ainsi particulièrement forte, se répercutant sur les prix des nouveaux loyers qui tendent à augmenter.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Economie

L'ex-patron du fonds Archegos jugé coupable de fraude

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Bill Hwang encourt, théoriquement, une peine de 200 ans de prison. (archive) (© KEYSTONE/FR171756 AP/STEFAN JEREMIAH)

L'ancien patron du fonds d'investissement américain Archegos Capital Management, Bill Hwang, a été reconnu mercredi à New York coupable de fraude et de manipulation de marché, dans une affaire qui avait secoué les marchés financiers, en 2021.

Le jury d'un tribunal fédéral de Manhattan a retenu 10 des 11 chefs d'accusation qui pesaient sur le financier, selon plusieurs médias américains. Il encourt, théoriquement, une peine de 200 ans de prison.

L'ancien directeur financier d'Archegos, Patrick Halligan, a lui été déclaré coupable des trois chefs d'accusation retenus contre lui.

En pleine pandémie de Covid-19, Sunn Kook Hwang, de son vrai nom, avait accumulé, en quelques mois, des positions massives, et dissimulées pour l'essentiel, dans quelques sociétés.

A son pic, en mars 2021, Archegos était exposé à hauteur de 160 milliards de dollars (environ 144 milliards de francs) par le biais de produits dérivés, grâce auxquels la société de Bill Hwang avait démultiplié sa force de frappe, mais aussi les risques encourus.

Son objectif était de faire grimper le cours des quelques sociétés dans lesquelles Archegos avait investi, au point de quasiment quadrupler la valorisation de ViacomCBS (devenu depuis Paramount Global) en un peu plus de quatre mois.

Dans le même temps, ce financier américain d'origine sud-coréenne et trois de ses cadres avaient masqué la taille de leurs positions aux établissements qui leur vendaient ces "swaps" ou lui prêtaient de l'argent.

Le fragile édifice s'est effondré lorsque ViacomCBS a annoncé, en mars 2021, une augmentation de capital, qui a déclenché un mouvement brutal de ventes des titres à Wall Street.

Cette inflexion a provoqué un effet domino, qui a fait fondre à vitesse accélérée la trésorerie d'Archegos et plonger le cours des titres que détenait le fonds d'investissement.

Environ 100 milliards de dollars de capitalisation boursière se sont ainsi envolés, lésant les autres actionnaires de ces entreprises et les établissements qui avaient fait affaire avec Archegos, principalement des banques.

Credit Suisse très exposée

La plus touchée a été Credit Suisse, qui a perdu quelque 5,5 milliards de dollars. Au total, l'ardoise se monte à environ 10 milliards pour les banques prises dans ce tourbillon.

Cet événement a encore un peu plus fragilisé Credit Suisse, qui a frôlé la faillite en mars 2023 avant d'être repris par son concurrent suisse UBS.

Durant le procès, l'accusation s'est appuyée sur deux anciens cadres d'Archegos qui ont témoigné à l'audience, l'un d'eux affirmant que Bill Hwang lui avait donné instruction de présenter une image fausse de la situation d'Archegos.

Les avocats du principal accusé ont cherché, sans succès, à discréditer ces témoignages et insisté sur le fait que le financier n'avait jamais vendu ses titres pour tirer profit de ses opérations.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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USA: amendes de plus de 135 millions de dollars contre Citigroup

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Jane Fraser, la patronne de Citibank a reconnu qu'il y a des secteurs dans lesquels la banque "n'a pas progressé assez rapidement". (archive) (© KEYSTONE/EPA/JUSTIN LANE)

La banque américaine Citigroup a été sanctionnée mercredi par des régulateurs américains, qui lui ont asséné des amendes cumulées de 135,6 millions de dollars (environ 121,9 millions de francs).

Cela, pour n'avoir pas respecté ses engagements en vertu d'un accord datant de 2020 sur l'amélioration du contrôle des risques. La banque centrale américaine (Fed) lui a imposé une amende de 60,6 millions de dollars tandis que le bureau du "Comptroller of the Currency" - OCC, qui supervise quelque 1200 banques présentes dans plusieurs Etats américains - lui a infligé une pénalité de 75 millions de dollars, selon des communiqués distincts.

"Citigroup a effectué des progrès insuffisants pour résoudre ses problèmes de gestion de la qualité des données et a échoué à mettre en oeuvre des contrôles palliatifs pour gérer ses risques continuels", a relevé la Fed dans son communiqué.

Elle a précisé que ses dirigeants continuaient "de surveiller les actions de Citigroup pour se mettre en conformité avec l'accord de 2020, qui reste effectif".

L'OCC, dans son communiqué, a évoqué les manquements de Citibank: "Défaillances dans la gestion du risque à l'échelle de l'entreprise, la gestion de la conformité en matière de risques, la gestion des données et contrôles internes".

"La banque n'a pas franchi les points d'étape pour réaliser les améliorations, ni effectué des progrès suffisants et durables pour être en adéquation avec l'accord de 2020", a indiqué l'OCC dans son communiqué, enjoignant la banque à donner la "priorité" à cet objectif en y consacrant "les ressources suffisantes".

Jane Fraser, patronne de la banque depuis février 2021, a reconnu dans une déclaration transmise à l'AFP que, malgré de "bons progrès pour simplifier le groupe et appliquer les engagements (...), il y a des secteurs dans lesquels nous n'avons pas progressé assez rapidement".

Elle a cité en exemple la gestion de la qualité des données, assurant que la banque avait "intensifié" ses actions et "augmenté ses investissements dans ces secteurs ces derniers mois".

Elle a fait part de sa "confiance" dans le fait que l'établissement bancaire parviendrait à respecter ses engagements.

Restructuration en cours

La banque a lancé un plan de simplification de ses activités depuis plusieurs années qui a entraîné un désengagement de nombre de filiales de banque de détail à l'international.

Et, en janvier, elle a annoncé la suppression de 20'000 postes en net à moyen terme dans le monde.

Citi se recentre sur les clients institutionnels, la banque privée et la gestion de fortune, ainsi que les cartes de crédit, tout en restant active dans la banque de détail aux Etats-Unis.

L'enseigne prévoit de réaliser environ 2 à 2,5 milliards de dollars d'économie en année pleine grâce à cette refonte.

Première banque américaine en 2006, Citigroup comptait alors 325'000 employés. Elle en avait environ 200'000 fin 2023 (hors banque de détail au Mexique).

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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L'ex-patron du fonds Archegos jugé coupable de fraude

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Reconnu coupable, Bill Hwang risque jusqu'à 200 ans de prison (archives). (© KEYSTONE/FR171756 AP/STEFAN JEREMIAH)

L'ancien patron du fonds d'investissement américain Archegos Capital Management, Bill Hwang, a été reconnu mercredi à New York coupable de fraude et de manipulation de marché. L'affaire avait coûté des milliards de dollars à plusieurs banques, dont Credit Suisse.

Le jury d'un tribunal fédéral de Manhattan a retenu 10 des 11 chefs d'accusation qui pesaient sur le financier, selon plusieurs médias américains. Il encourt une peine pouvant aller jusqu'à 200 ans de prison. L'ancien directeur financier d'Archegos, Patrick Halligan, a lui été déclaré coupable des trois chefs d'accusation retenus contre lui.

En pleine pandémie de Covid-19, Sunn Kook Hwang, de son vrai nom, avait accumulé, en quelques mois, des positions massives et dissimulées pour l'essentiel, dans quelques sociétés.

A son pic, en mars 2021, Archegos était exposé à hauteur de 160 milliards de dollars par le biais de produits dérivés, grâce auxquels la société de Bill Hwang avait démultiplié sa force de frappe, mais aussi les risques encourus.

Faire monter des cours

Son objectif était de faire grimper le cours des quelques sociétés dans lesquelles Archegos avait investi, au point de quasiment quadrupler la valorisation de ViacomCBS (devenu depuis Paramount Global) en un peu plus de quatre mois.

Dans le même temps, ce financier américain d'origine sud-coréenne et trois de ses cadres avaient masqué la taille de leurs positions aux établissements qui leur vendaient ces "swaps" ou lui prêtaient de l'argent. Le fragile édifice s'est effondré lorsque ViacomCBS a annoncé, en mars 2021, une augmentation de capital, qui a déclenché un mouvement brutal de ventes des titres à Wall Street.

Cette inflexion a provoqué un effet domino, qui a fait fondre à vitesse accélérée la trésorerie d'Archegos et plonger le cours des titres que détenait le fonds d'investissement.

Environ 100 milliards de dollars de capitalisation boursière se sont ainsi envolés, lésant les autres actionnaires de ces entreprises et les établissements qui avaient fait affaire avec Archegos, principalement des banques.

La plus touchée a été Credit Suisse, qui a perdu quelque 5,5 milliards de dollars. Au total, l'ardoise se monte à environ 10 milliards pour les banques prises dans ce tourbillon. Cet événement a encore un peu plus fragilisé Credit Suisse, qui a frôlé la faillite en mars 2023 avant d'être repris par son concurrent suisse UBS.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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La fortune privée mondiale en hausse en 2023, repli pour la Suisse

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Si, comptabilisée en dollars, la richesse a une nouvelle fois progressé en Suisse, celle-ci s'est tassée une fois ramenée en francs. (archive) (© KEYSTONE/MARTIN RUETSCHI)

Après un recul en 2022, la fortune mondiale privée a rebondi l'an dernier, alimentée par l'Europe, le Moyen-Orient et l'Afrique (Emea). Si la Suisse a affiché une hausse en dollars, elle a subi un repli en francs.

Au cours de l'année 2023, la fortune privée nette totale a progressé de 4,2%, après s'être tassée de 3% en 2022, ressort-il du rapport annuel sur la richesse mondiale (Global wealth report) publié mercredi par UBS. Dans la région Emea, la croissance s'est inscrite à 4,8%, alors qu'elle a atteint 4,4% dans la zone Asie-Pacifique et 3,5% dans les Amériques.

En l'espace de quinze ans, l'Asie-Pacifique a enregistré la croissance de richesse la plus rapide, soit de 177%, une progression toutefois alimentée par l'endettement, note UBS. La dette totale y a décollé de plus de 192% depuis 2008, soit plus de vingt fois plus que dans la zone Emea et plus de quatre fois que dans les Amériques.

La croissance du patrimoine net a atteint en quinze ans 146% dans les Amériques, tandis que la région Emea est loin derrière, avec un peu moins de 44%.

La Suisse en tête du classement

En termes de richesse moyenne par adulte, la Suisse reste en tête du classement mondial, avec 709'612 dollars, soit 3,6% de plus qu'en 2022. Exprimée en francs, elle a toutefois fléchi de quasiment 6%. Le Luxembourg a aussi conservé son 2e rang (607'254 dollars), alors que Hong Kong (580'000 dollars) a pris la 3e place sur le podium aux Etats-Unis (564'862 dollars).

Les plus grandes augmentations de richesse en 2023 ont eu lieu en Turquie, au Qatar et en Russie. La Turquie a connu une croissance particulièrement stupéfiante de 157%.

Sur le plan de la richesse médiane, soit le seuil de richesse que dépasse 50% de population, Le Luxembourg (372'258 dollars) se maintient en première position, devant l'Australie et la Belgique, respectivement 2e et 3e en 2021. Hong Kong se retrouve 4e, devant la Nouvelle Zélande, la Danemark et la Suisse (171'035 dollars).

Alors que le patrimoine moyen est significativement plus élevé que le patrimoine médian dans presque tous les marchés sous revue, les Émirats arabes unis, l'Allemagne, la Suisse, Israël et le Mexique, entre autres, ont connu une croissance plus forte du patrimoine médian par rapport au patrimoine moyen depuis 2008. Cela indique que les adultes appartenant aux tranches de richesse inférieures ont vu leur patrimoine augmenter plus rapidement que ceux appartenant aux tranches supérieures.

Nombre de millionnaires susceptible d'augmenter

Actuellement, ce sont les États-Unis qui comptent le plus grand nombre de millionnaires en dollars américains. Ils représentant 38% des millionnaires mondiaux. Les États-Unis sont suivis au classement par la Chine et le Royaume-Uni.

D'ici à 2028, selon les prévisions du rapport, le nombre d'adultes disposant d'une richesse supérieure à un million de dollars aura augmenté dans 52 des 56 marchés analysés. En Suisse, la hausse devrait se situer à 19% par rapport à 2023.

Recul des inégalités en Suisse

Sur le plan de la distribution des richesses, bien que les inégalités ont eu tendance à augmenter au fil des années sur les marchés à croissance rapide, elles ont diminué dans plusieurs économies développées et à l'échelle mondiale. Ainsi, les inégalités ont légèrement reculé en Amérique du Nord, tandis qu'elles ont progressé en Amérique latine, en Europe de l'est et en Asie, à l'exception de la Corée du Sud et de Hong Kong.

L'Europe occidentale présente un tableau mitigé. Les inégalités ont augmenté d'environ 20% en Espagne et en Finlande. En revanche, elles ont diminué d'environ 5% en Allemagne et en Autriche, d'un peu plus de 4,5% en Suisse et d'un peu plus de 3,5% aux Pays-Bas.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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