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Economie

La Mobilière devise les coûts des intempéries à 75 millions mi-2024

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Premier assureur dommages du pays, La Mobilière indique avoir déjà reçu plus de 13'500 déclarations de sinistres (archives). (© KEYSTONE/TI-PRESS/Samuel Golay)

Les éléments dévastateurs qui se sont abattus sur le Valais et le Tessin à fin juin ont sensiblement alourdi la facture des dommages naturels du 1er semestre. La Mobilière les chiffre à 32 millions de francs, sur un total devisé à plus de 75 millions.

Sur ce total, 47 millions sont attribués aux inondations et 17 millions à la grêle, précise un bilan intermédiaire diffusé vendredi.

La firme bernoise, qui revendique la place de premier assureur dommages du pays, indique avoir déjà reçu plus de 13'500 déclarations de sinistres.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Economie

La Bourse suisse peu rassurée par les législatives en France

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Les investisseurs s'inquiètent du risque de blocage politique qui se dessine dans un parlement sans majorité claire (archives). (© KEYSTONE/ENNIO LEANZA)

La Bourse suisse a ouvert dans le rouge lundi matin, visiblement peu rassurée par la victoire surprise de la coalition de gauche aux législatives en France.

Si l'arrivée au gouvernement du parti d'extrême-droite du Rassemblement national a été évitée, les intervenants s'inquiètent du risque de blocage politique qui se dessine dans un parlement sans majorité claire. Les autres places européennes évoluaient également dans le rouge, notamment celles de Paris (CAC 40 -0,59%), Londres (FTSE 100 -0,29%) et Francfort (DAX -0,11%).

Les électeurs français ont créé la surprise dimanche dernier au second tour des élections législatives, faisant de l'alliance de gauche du Nouveau Front populaire la première force politique à l'Assemblée nationale avec 182 sièges, suivi par le parti macroniste Ensemble (168 sièges). Le Rassemblement national, pourtant donné vainqueur à l'issue du premier tour du scrutin fin juin, finit troisième (143 sièges).

Avec ce score, aucune des trois forces politiques ne peut atteindre, seule, les 289 députés nécessaires à la majorité absolue. Le Premier ministre sortant Gabriel Attal doit remettre dans la matinée sa démission au président Emmanuel Macron, même s'il s'est dit prêt à rester à Matignon "aussi longtemps que le devoir l'exigera". La prise de position de M. Macron est très attendue, car c'est lui qui dispose du pouvoir de nomination du Premier ministre.

Ce processus pourrait prendre beaucoup de temps, dans l'attente d'un accord hypothétique entre plusieurs forces politiques sur un candidat pour Matignon et sur un programme. A moins qu'il n'opte pour un gouvernement technique sur le modèle italien ou sur son équipe sortante pour expédier les affaires courantes à court terme.

"Le scénario de blocage politique en France, avec une Assemblée divisée en trois blocs (gauche - centre - droite), est celui que les Français ont choisi", a résumé l'expert de Mirabaud Banque, John Plassard, estimant qu'il s'agit du "scénario du moins pire".

"Si les marchés financiers devraient être soulagés dans un premier temps que les extrêmes n'obtiennent pas la majorité absolue à l'Assemblée nationale, il est fort probable que la volatilité remonte d'un cran dans un deuxième temps", a ajouté M. Plassard dans un commentaire.

"Une Assemblée divisée en plusieurs blocs, sans qu'aucun d'entre eux ne détienne une majorité nette, rend difficile la formation d'un gouvernement et la prise de décisions importantes. Aucune réforme d'envergure ne devrait voir le jour ces trois prochaines années, ce qui signifie que les agences de notation (Moody's en tête) vont rapidement revoir à la baisse leurs estimations sur l'Hexagone", a-t-il conclu.

A la Bourse suisse vers 09h06, le SMI baissait de 0,13% à 11'988,20 points, après avoir clôturé vendredi soir en repli de 0,52%.

Avec la quasi absence de nouvelles d'entreprises, seule une minorité de valeurs vedettes a ouvert en hausse, emmenées par les assureurs Swiss Life (+0,8%) et Swiss Re (+0,6%), ainsi que Sandoz (+0,6%).

Les plus fortes baisses étaient enregistrées par Kühne+Nagel (-1,8%), ainsi que les valeurs du luxe Swatch Group (-1,5%) et Richemont (-1,2%).

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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L'accession à la propriété se corse au second trimestre

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D'avril à juin, les prix des maisons individuelles ont avancé de 1,3% et ceux des appartements en propriété de 0,5% par rapport au trimestre précédent. La progression est plus marquée sur un an, avec respectivement 3,8% et 2,4% de plus. (KEYSTONE/Martial Trezzini) (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Les prix des maisons individuelles et des appartements en propriété ont progressé au deuxième trimestre, relève vendredi l'indice des prix des transactions de Raiffeisen. Les maisons individuelles des centres et régions touristiques ont la plus forte hausse de prix.

D'avril à juin, les prix des maisons individuelles ont avancé de 1,3% et ceux des appartements en propriété de 0,5% par rapport au trimestre précédent. La progression est plus marquée sur un an, avec respectivement 3,8% et 2,4% de plus.

"Il ne faut pas s'attendre à une reprise prochaine de la dynamique des prix en raison du niveau des taux d'intérêt, qui reste toutefois plus élevé que pendant la phase de taux bas", explique le chef économiste de la banque Fredy Hasenmaile.

Par régions et en comparaison annuelle, la Suisse méridionale remporte la palme des maisons onéreuses avec une augmentation des prix de 11,1%, et la Suisse orientale de 9,9%. Par contre, les tarifs en Suisse occidentale reculent de 1,8%, tout comme à Zurich (-1,5%). Concernant les appartements, cette fois-ci Zurich passe devant avec une accélération de 6,3%, suivi par la Suisse du Nord-Ouest (+2,9%).

Par type de communes, les maisons sont plus chères dans les centres avec 5,1% d'augmentation. Dans les communes rurales, elles ont coûté moins cher de 0,7%. Pour les appartements, les communes urbaines enregistrent 3,8% de plus par rapport au trimestre précédent, mais 1,1% de moins sur un an dans les centres.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Monsieur Prix place UBS sous surveillance

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UBS, fusionnée avec Credit Suisse, est désormais puissante, voire dominante sur le marché, selon Monsieur Prix (archives). (© KEYSTONE/MICHAEL BUHOLZER)

Le Surveillant des prix place UBS sous observation. Toute suspicion d'abus peut d'ores et déjà lui être annoncée.

La grande banque, fusionnée avec Credit Suisse, est désormais puissante, voire dominante sur le marché, relève jeudi Monsieur Prix, se basant sur une analyse de la Commission de la concurrence (Comco). De ce fait, le Surveillant des prix s'est réuni avec la Comco, l'autorité fédérale de surveillance des marchés financiers (Finma) et la Banque nationale (BNS) pour un premier échange formel sur les conséquences de la fusion, indique-t-il dans un communiqué.

Stefan Meierhans prévoit d'observer dans un premier temps le marché. Dans le domaine spécifique des taux d'intérêt pour les crédits, il prescrit "une consultation approfondie" de la part de la BNS et de la Finma et a convenu d'une "collaboration régulière et étroite avec la Comco".

Monsieur Prix compte sur la responsabilité de l'établissement aux trois clés, mais n'hésitera pas à intervenir sur le plan réglementaire "de la manière la plus efficiente et efficace possible" si nécessaire, souligne-t-il.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Barclays cède son activité de crédit à la consommation en Allemagne

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La banque Barclays veut réduire ses coûts et se concentrer sur ses activités de financement d'entreprises, d'investissement et de gestion de fortune (archives). (© KEYSTONE/EPA/ANDY RAIN)

La banque britannique Barclays, en pleine restructuration pour réduire ses coûts, a annoncé jeudi la cession de son activité de crédit à la consommation basée à Hambourg, en Allemagne, au groupe autrichien Bawag.

Barclays Europe "a convenu de la vente de (...) son activité allemande de crédit à la consommation" qui est "une activité diversifiée de banque de détail, avec des franchises de cartes de crédit, de prêts à la consommation et de dépôts" servant le marché allemand, mais aussi autrichien, a indiqué Barclays dans un communiqué.

Contactée par l'AFP, la banque britannique n'a pas souhaité préciser le montant de la vente de cette entité qui disposait au 31 mars d'actifs bruts de 4,7 milliards d'euros.

La vente "s'inscrit dans notre ambition de simplifier Barclays", a fait valoir Francesco Ceccato, directeur général de Barclays Europe. La finalisation de l'opération devrait intervenir dans un délai de six à neuf mois, selon Barclays.

Barclays Europe dit vouloir se concentrer désormais sur ses activités de banque de financement d'entreprises et d'investissement, et de banque privée. Bawag a indiqué de son côté espérer que l'acquisition permettra de dégager "un bénéfice avant impôt supérieur à 100 millions d'euros en 2027, une fois l'opération pleinement intégrée", selon un communiqué séparé.

Barclays a annoncé en avril un bénéfice net part du groupe en baisse de 13% au premier trimestre, après un bénéfice annuel 2023 plombé par ses coûts de restructuration, ce qui ne l'avait pas empêchée de faire de généreuses distributions à ses actionnaires. Dans son effort pour réduire ses coûts, Barclays avait notamment supprimé 5000 postes dans le monde l'an dernier avant d'annoncer en février une nouvelle structure de groupe. La banque avait déjà annoncé son intention de vendre son activité allemande de crédit à la consommation.

Le groupe avait aussi annoncé début février le rachat au géant britannique des supermarchés Tesco de ses opérations bancaires de détail pour un versement initial de quelque 600 millions de livres, dans le but de "compléter" son activité au Royaume-Uni.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Les taux hypothécaires se replient légèrement après la BNS

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Dans la foulée de la baisse des taux opérée par la Banque nationale suisse (BNS), les taux hypothécaires se sont quelque peu relâchés (archives). (© KEYSTONE/ANTHONY ANEX)

Les taux hypothécaires ont modestement réagi au nouvel assouplissement monétaire opéré mi-juin par la Banque nationale suisse (BNS).

Cette nouvelle baisse des taux directeurs laisse espérer de futures baisses des coûts du crédit aux emprunteurs, ces derniers ne s'engageant pas du coup sur des échéances trop longues.

Lors de sa précédente réunion de politique monétaire, l'institut d'émission helvétique a ramené son taux directeur à 1,25%, contre 1,50% précédemment, ce qui a eu un effet baissier sur les taux hypothécaires, a constaté jeudi le portail comparatif financier Comparis.ch.

Fin juin, une hypothèque à taux fixe sur trois ans se négociait à un taux indicatif de 2,09%, contre 2,13% au dernier pointage mi-avril. Pour une durée de cinq ans, le taux se situait également à 2,09%, après 2,15%.

Pour les plus longues échéances, la tendance était similaire, un crédit immobilier sur dix ans profitant en moyenne d'un taux à 2,18% (2,28%) et de 2,35% (2,39%) pour une durée sur 15 ans.

Comparis.ch a constaté que la part des hypothèques à taux fixe de durée moyenne (de 4 à 6 ans) est passée d'environ 40% à 30%. Alors qu'au premier trimestre, près de la moitié de toutes les transactions avaient été conclues pour des hypothèques à taux fixe d'une durée de dix ans ou plus, cette part ne représente plus désormais qu'environ 40%. Au contraire, plus d'une personne sur cinq a contracté une hypothèque d'une durée maximale de trois ans au deuxième trimestre.

"La deuxième baisse de taux consécutive suscite l'espoir de nouvelles baisses rapides des taux. Par conséquent, les preneuses et les preneurs d'hypothèques se montrent attentistes et refusent de s'engager sur des échéances trop longues", a souligné l'expert du portail internet, Dirk Renkert.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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