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Economie

La Poste augmente sa masse salariale de 1,7%

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Les mesures salariales doivent bénéficier plus particulièrement aux collaborateurs "qui se situent en bas de la fourchette salariale", selon les partenaire sociaux (image d'illustration). (© KEYSTONE/PETER KLAUNZER)

Les employés de La Poste auront droit à une augmentation de salaire de 1,7%. Le géant jaune et les syndicats transfair et syndicom ont trouvé un accord qui favorise notamment le pouvoir d'achat des collaborateurs aux revenus les plus bas, indiquent-ils mardi.

Cette mesure entrera en vigueur avec effet rétroactif au 1er avril 2024. L'accord prévoit aussi d'augmenter le salaire minimum à environ 4100 francs par mois. Ces mesures concernent les 25'500 employés de La Poste et les 2800 employés de PostFinance soumis aux conventions collectives de travail (CCT) des deux entreprises.

Le résultat des négociations tient compte de la situation économique de la Poste et de PostFinance ainsi que de l'évolution du coût de la vie et des salaires moyens dans la branche, précise le communiqué.

Cette année, 1,7% de la masse salariale sera disponible pour des mesures salariales générales et individuelles, ajoute le texte. Les limites supérieure et inférieure des fourchettes salariales de la CCT sont relevées de 1,7%, souligne la Poste dans son communiqué.

Les négociations salariales se poursuivent de manière séparée pour le personnel soumis aux CCT chez Poste Immobilier, PostLogistics, notime et CarPostal. Parallèlement, les partenaires sociaux continuent leurs discussions sur de nouvelles CCT pour La Poste et Postfinance.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Economie

L'accession à la propriété se corse au second trimestre

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D'avril à juin, les prix des maisons individuelles ont avancé de 1,3% et ceux des appartements en propriété de 0,5% par rapport au trimestre précédent. La progression est plus marquée sur un an, avec respectivement 3,8% et 2,4% de plus. (KEYSTONE/Martial Trezzini) (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Les prix des maisons individuelles et des appartements en propriété ont progressé au deuxième trimestre, relève vendredi l'indice des prix des transactions de Raiffeisen. Les maisons individuelles des centres et régions touristiques ont la plus forte hausse de prix.

D'avril à juin, les prix des maisons individuelles ont avancé de 1,3% et ceux des appartements en propriété de 0,5% par rapport au trimestre précédent. La progression est plus marquée sur un an, avec respectivement 3,8% et 2,4% de plus.

"Il ne faut pas s'attendre à une reprise prochaine de la dynamique des prix en raison du niveau des taux d'intérêt, qui reste toutefois plus élevé que pendant la phase de taux bas", explique le chef économiste de la banque Fredy Hasenmaile.

Par régions et en comparaison annuelle, la Suisse méridionale remporte la palme des maisons onéreuses avec une augmentation des prix de 11,1%, et la Suisse orientale de 9,9%. Par contre, les tarifs en Suisse occidentale reculent de 1,8%, tout comme à Zurich (-1,5%). Concernant les appartements, cette fois-ci Zurich passe devant avec une accélération de 6,3%, suivi par la Suisse du Nord-Ouest (+2,9%).

Par type de communes, les maisons sont plus chères dans les centres avec 5,1% d'augmentation. Dans les communes rurales, elles ont coûté moins cher de 0,7%. Pour les appartements, les communes urbaines enregistrent 3,8% de plus par rapport au trimestre précédent, mais 1,1% de moins sur un an dans les centres.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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La Mobilière devise les coûts des intempéries à 75 millions mi-2024

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Premier assureur dommages du pays, La Mobilière indique avoir déjà reçu plus de 13'500 déclarations de sinistres (archives). (© KEYSTONE/TI-PRESS/Samuel Golay)

Les éléments dévastateurs qui se sont abattus sur le Valais et le Tessin à fin juin ont sensiblement alourdi la facture des dommages naturels du 1er semestre. La Mobilière les chiffre à 32 millions de francs, sur un total devisé à plus de 75 millions.

Sur ce total, 47 millions sont attribués aux inondations et 17 millions à la grêle, précise un bilan intermédiaire diffusé vendredi.

La firme bernoise, qui revendique la place de premier assureur dommages du pays, indique avoir déjà reçu plus de 13'500 déclarations de sinistres.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Monsieur Prix place UBS sous surveillance

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UBS, fusionnée avec Credit Suisse, est désormais puissante, voire dominante sur le marché, selon Monsieur Prix (archives). (© KEYSTONE/MICHAEL BUHOLZER)

Le Surveillant des prix place UBS sous observation. Toute suspicion d'abus peut d'ores et déjà lui être annoncée.

La grande banque, fusionnée avec Credit Suisse, est désormais puissante, voire dominante sur le marché, relève jeudi Monsieur Prix, se basant sur une analyse de la Commission de la concurrence (Comco). De ce fait, le Surveillant des prix s'est réuni avec la Comco, l'autorité fédérale de surveillance des marchés financiers (Finma) et la Banque nationale (BNS) pour un premier échange formel sur les conséquences de la fusion, indique-t-il dans un communiqué.

Stefan Meierhans prévoit d'observer dans un premier temps le marché. Dans le domaine spécifique des taux d'intérêt pour les crédits, il prescrit "une consultation approfondie" de la part de la BNS et de la Finma et a convenu d'une "collaboration régulière et étroite avec la Comco".

Monsieur Prix compte sur la responsabilité de l'établissement aux trois clés, mais n'hésitera pas à intervenir sur le plan réglementaire "de la manière la plus efficiente et efficace possible" si nécessaire, souligne-t-il.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Barclays cède son activité de crédit à la consommation en Allemagne

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La banque Barclays veut réduire ses coûts et se concentrer sur ses activités de financement d'entreprises, d'investissement et de gestion de fortune (archives). (© KEYSTONE/EPA/ANDY RAIN)

La banque britannique Barclays, en pleine restructuration pour réduire ses coûts, a annoncé jeudi la cession de son activité de crédit à la consommation basée à Hambourg, en Allemagne, au groupe autrichien Bawag.

Barclays Europe "a convenu de la vente de (...) son activité allemande de crédit à la consommation" qui est "une activité diversifiée de banque de détail, avec des franchises de cartes de crédit, de prêts à la consommation et de dépôts" servant le marché allemand, mais aussi autrichien, a indiqué Barclays dans un communiqué.

Contactée par l'AFP, la banque britannique n'a pas souhaité préciser le montant de la vente de cette entité qui disposait au 31 mars d'actifs bruts de 4,7 milliards d'euros.

La vente "s'inscrit dans notre ambition de simplifier Barclays", a fait valoir Francesco Ceccato, directeur général de Barclays Europe. La finalisation de l'opération devrait intervenir dans un délai de six à neuf mois, selon Barclays.

Barclays Europe dit vouloir se concentrer désormais sur ses activités de banque de financement d'entreprises et d'investissement, et de banque privée. Bawag a indiqué de son côté espérer que l'acquisition permettra de dégager "un bénéfice avant impôt supérieur à 100 millions d'euros en 2027, une fois l'opération pleinement intégrée", selon un communiqué séparé.

Barclays a annoncé en avril un bénéfice net part du groupe en baisse de 13% au premier trimestre, après un bénéfice annuel 2023 plombé par ses coûts de restructuration, ce qui ne l'avait pas empêchée de faire de généreuses distributions à ses actionnaires. Dans son effort pour réduire ses coûts, Barclays avait notamment supprimé 5000 postes dans le monde l'an dernier avant d'annoncer en février une nouvelle structure de groupe. La banque avait déjà annoncé son intention de vendre son activité allemande de crédit à la consommation.

Le groupe avait aussi annoncé début février le rachat au géant britannique des supermarchés Tesco de ses opérations bancaires de détail pour un versement initial de quelque 600 millions de livres, dans le but de "compléter" son activité au Royaume-Uni.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Les taux hypothécaires se replient légèrement après la BNS

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Dans la foulée de la baisse des taux opérée par la Banque nationale suisse (BNS), les taux hypothécaires se sont quelque peu relâchés (archives). (© KEYSTONE/ANTHONY ANEX)

Les taux hypothécaires ont modestement réagi au nouvel assouplissement monétaire opéré mi-juin par la Banque nationale suisse (BNS).

Cette nouvelle baisse des taux directeurs laisse espérer de futures baisses des coûts du crédit aux emprunteurs, ces derniers ne s'engageant pas du coup sur des échéances trop longues.

Lors de sa précédente réunion de politique monétaire, l'institut d'émission helvétique a ramené son taux directeur à 1,25%, contre 1,50% précédemment, ce qui a eu un effet baissier sur les taux hypothécaires, a constaté jeudi le portail comparatif financier Comparis.ch.

Fin juin, une hypothèque à taux fixe sur trois ans se négociait à un taux indicatif de 2,09%, contre 2,13% au dernier pointage mi-avril. Pour une durée de cinq ans, le taux se situait également à 2,09%, après 2,15%.

Pour les plus longues échéances, la tendance était similaire, un crédit immobilier sur dix ans profitant en moyenne d'un taux à 2,18% (2,28%) et de 2,35% (2,39%) pour une durée sur 15 ans.

Comparis.ch a constaté que la part des hypothèques à taux fixe de durée moyenne (de 4 à 6 ans) est passée d'environ 40% à 30%. Alors qu'au premier trimestre, près de la moitié de toutes les transactions avaient été conclues pour des hypothèques à taux fixe d'une durée de dix ans ou plus, cette part ne représente plus désormais qu'environ 40%. Au contraire, plus d'une personne sur cinq a contracté une hypothèque d'une durée maximale de trois ans au deuxième trimestre.

"La deuxième baisse de taux consécutive suscite l'espoir de nouvelles baisses rapides des taux. Par conséquent, les preneuses et les preneurs d'hypothèques se montrent attentistes et refusent de s'engager sur des échéances trop longues", a souligné l'expert du portail internet, Dirk Renkert.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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