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Economie

Les loyers proposés grimpent encore en mai

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Lugano est la seule ville dans laquelle les loyers ont baissé (archives): (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

Les loyers proposés pour les appartements locatifs en Suisse ont une nouvelle fois augmenté en mai et ce, dans presque tous les cantons. Sur un an, la hausse atteint même 5,9%.

L'indice des loyers calculé par la plateforme immobilière homegate.ch en collaboration avec la Banque cantonale zurichoise (ZKB) a augmenté de 0,4 point en mai et se situe désormais à 128,3 points, selon le communiqué paru jeudi.

Les plus fortes hausses ont été enregistrées dans les cantons de Schwytz et de Glaris (+1,0% chacun), de Lucerne et de Zoug (+0,9% chacun), ainsi qu'en Uri (+0,8%) et dans celui de Genève (+0,7%).

En revanche, les loyers proposés ont nettement reculé de 2,1% dans les Grisons. Sur un an toutefois, l'augmentation dans ce canton s'élève à 8,2%, soit quasiment au même niveau que dans ceux de Zurich (+8,7%) et de Zoug (+8,9%).

Schaffhouse reste en tête des cantons affichant la plus forte croissance au cours des douze derniers mois (+10,8%), même si le prix des loyers a reculé de 0,8% en mai.

Parmi les villes, Lucerne se révèle particulièrement coûteuse pour les locataires. Par rapport à avril, les loyers ont pris 2,5% tandis que sur un an, ils ont bondi de 10,4%. La ville des bords du Lac des Quatre Cantons se place juste devant Zurich, qui a enregistré une augmentation annuelle de 8,8%. Le faible recul de 0,2% enregistré en mai par rapport au mois précédent n'a pas vraiment pesé sr les bords de la Limmat.

Il n'y a qu'à Lugano que les loyers proposés ont baissé de 0,8% en mai. Sur un an, les locataires de la ville tessinoise ont connu l'augmentation la plus faible de toutes les villes étudiées, soit +3,0%.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Economie

Emploi: le chômage progresse en 2024, l'assurance résiste

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A 2,4%, le taux de chômage en 2024 demeure inférieur au seuil considéré conjoncturellement neutre de 2,8% (archives). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

La péjoration observée l'an dernier sur le front de l'emploi en Suisse est demeurée largement supportable pour l'assurance chômage, qui devrait boucler l'exercice sur un nouvel excédent de plus de 1,5 milliard de francs.

Le taux de chômage s'est toutefois enrobé à 2,4% en moyenne annuelle, atteignant même 2,8% en décembre. L'exercice 2023 avait représenté avec un taux moyen de 2,0% un plus bas sur plus de deux décennies.

Le taux de chômage en 2024 demeure inférieur au seuil considéré conjoncturellement neutre de 2,8%, observe le Secrétariat d'Etat à l'économie (Seco) dans son compte-rendu périodique vendredi.

2,8% en décembre

C'est toutefois très exactement ce niveau qui a été atteint sur le seul mois de décembre, suite à une augmentation d'une vingtaine de points de base en glissement séquentiel. Le nombre de chômeurs a ainsi enflé de près de 8% pour représenter 130'293 personnes, s'éloignant encore du creux à 104'518 personnes recensé en juin. Le taux de chômage des jeunes a progressé d'une dizaine de points de base à 2,7% et celui des seniors d'une vingtaine de points à 2,6%.

Les Offices régionaux de placement (ORP) ont enregistré un bond de 5,1% du nombre de demandeurs d'emploi, qui représentaient ainsi 209'024 personnes. Le taux de demandeurs d'emploi a ainsi progressé de 0,2 point de pourcentage à 4,5%.

Les ORP ont parallèlement pris connaissance de 30'422 postes vacants - pour près de moitié soumis à obligation d'annonce - soit 7,6% de moins qu'en novembre. Hors effet des variations saisonnières, les experts du Seco calculent néanmoins une progression de 2,0% du nombre de places à pourvoir.

Selon les dernières données disponibles, le nombre de personnes ayant épuisé leur droit aux indemnités s'est envolé d'un tiers sur un mois en octobre, à 614 personnes.

Vers un nouvel excédent pour l'assurance chômage

Les projections du Seco pour l'assurance chômage font état pour 2024 de recettes de 8,86 milliards de francs, contre 9,14 milliards un an plus tôt, ainsi que de dépenses de 7,31 milliards (6,38 milliards). L'excédent doit ainsi s'établir à 1,55 milliard, après un gain de 2,76 milliards en 2023.

L'augmentation de la dépense repose notamment sur un gros milliard de plus pour les indemnités chômage, à 5,48 milliards. Les dédommagements en cas de réduction de l'horaire de travail ont de leur côté explosé de moins de 200 millions à près de 600 millions.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Economie

Le coût exceptionnel des catastrophes naturelles en 2024

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Les inondations à Valence, en Espagne, ont causé des pertes de 11 milliards de dollars, dont 4,2 milliards assurés (archives). (© KEYSTONE/EPA EFE/MANUEL BRUQUE)

Les catastrophes naturelles, aggravées par le dérèglement climatique, ont entraîné des pertes économiques exceptionnellement élevées l'an dernier, selon le réassureur Munich Re, pour qui il faut agir afin de "renforcer la capacité de résistance" des pays vulnérables.

L'évaluation du groupe allemand est très proche de celle présentée en décembre par Swiss Re, l'autre leader mondial de la réassurance.

Pour les réassureurs, 2024 se classe au 3e rang des années les plus coûteuses depuis 1980, estime Munich Re jeudi, avec des dommages assurés s'élevant à 140 milliards de dollars, quand Swiss Re avait évoqué 135 milliards.

Les pertes économiques totales se sont établies à 320 milliards de dollars, contre 268 milliards en 2023, calcule le groupe bavarois, soit une hausse de 19%, là où Swiss Re avait annoncé un montant de 310 milliards de dollars.

"La machine météorologique de notre planète passe à la vitesse supérieure", déclare dans l'étude Tobias Grimm, climatologue en chef du groupe. L'année 2024 est attendue comme la plus chaude à l'échelle mondiale.

"La communauté mondiale doit enfin agir et trouver des moyens de renforcer la capacité de résistance des pays particulièrement menacés", observe-t-il, alors que "les habitants des pays qui n'ont pas de protection d'assurance ou de soutien public pour les aider à se relever" paient un tribut particulièrement élevé.

Les montants des pertes dépassent largement les moyennes ajustées à l'inflation des 10 et 30 dernières années.

Les deux années les plus coûteuses pour le secteur de l'assurance furent 2005, marquée par l'ouragan Katrina à La Nouvelle-Orléans, et 2017, avec trois ouragans majeurs, Harvey, Irma et Maria.

Menace "presque partout"

L'année 2024 a été marquée par une "combinaison de grandes catastrophes rares, telles que des tremblements de terre et des ouragans, et d'événements plus fréquents, comme la grêle, les inondations localisées et les incendies de forêt", a expliqué à l'AFP Tobias Grimm.

"Ces phénomènes ont particulièrement augmenté en intensité et en fréquence au fil des ans", ajoute-t-il.

Les cyclones tropicaux à eux seuls ont contribué à des pertes totales de 135 milliards de dollars et à des pertes assurées de 52 milliards de dollars.

La majorité de ces pertes provenait de puissants ouragans aux États-Unis et notamment des ouragans Hélène et Milton qui ont frappé la Floride fin septembre et début octobre, causant à eux deux 41 milliards de dollars de pertes assurées.

En Europe, les inondations à Valence, en Espagne, ont causé des pertes de 11 milliards de dollars, dont 4,2 milliards assurés.

"Une étude d'attribution des inondations en Espagne a montré que le changement climatique a doublé la probabilité de subir de telles précipitations", selon M. Grimm.

En raison de l'eau de mer plus chaude, davantage d'humidité s'évapore, les nuages deviennent plus lourds et déversent plus de pluie. Cela renforce ainsi le risque d'inondation.

Les inondations ne sont donc "pas seulement une menace près des rivières, mais presque partout, même dans des régions plus connues pour leur sécheresse", souligne l'expert, qui cite en exemple l'aéroport de Dubaï, sous l'eau en avril.

Le cyclone Chido, qui a ravagé Mayotte en décembre, aurait été moins puissant sans le réchauffement climatique, selon une étude préliminaire.

11'000 morts

La prévention des extrêmes climatiques fonctionne mieux, faisant que plus de vies humaines que jadis sont sauvées.

Le bilan humain des catastrophes naturelles en 2024 reste toutefois lourd, avec quelque 11'000 personnes ayant perdu la vie.

Le plus lourd bilan est lié au typhon Yagi, qui a dévasté l'Asie du Sud-Est en septembre, causant 851 morts.

"Dans les pays en développement, le manque d'infrastructure et des réglementations de construction inadéquates amplifient les pertes humaines et matérielles", note M. Grimm.

Un autre problème est le manque de couverture d'assurance. A Mayotte, seuls 6% des particuliers disposent d'une assurance habitation.

Des assurances dites "paramétriques" peuvent aider à combler le fossé en matière d'assurance.

"Des paramètres définis, comme par exemple la force du vent, permettent une indemnisation rapide après une tempête, sans qu'il soit nécessaire de prouver les dommages individuels", explique M.Grimm. Ces solutions sont déjà utilisées par des pays insulaires ou des pays africains.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Economie

La BNS compte sur un bénéfice de 80 milliards de francs en 2024

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Grâce au bénéfice dégagé en 2024, la BNS va verser un milliard de francs à la Confédération et une somme de 2 milliards aux cantons (archives). (© KEYSTONE/PETER KLAUNZER)

La Banque nationale suisse (BNS) clôturera l'exercice 2024 avec un bénéfice de l'ordre de 80 milliards de francs. Elle pourra renouer avec les distributions à la Confédération et aux cantons, pour un montant de 3 milliards de francs.

Les experts d'UBS ont visé juste, tablant début janvier sur un résultat net annuel entre 77,5 et 82,5 milliards. Le numéro un bancaire helvétique s'attendait aussi à des versements à la Confédération et aux cantons.

Les positions en monnaies étrangères de la BNS ont généré un gain d'environ 67 milliards de francs, selon les chiffres provisoires publiés jeudi par la gardienne du franc. Le stock d'or a, quant à lui, généré une plus-value de 21,2 milliards de francs.

A l'inverse, les positions en francs ont enregistré une perte de 7,4 milliards de francs. La dotation à la provision pour réserves monétaires s'élèvera à 11,6 milliards de francs. Après prise en compte de la réserve pour distributions futures négative de 53,2 milliards, le bénéfice porté au bilan s'établira à quelque 16 milliards de francs.

UBS expliquait au début du mois que la BNS doit compenser la perte de bilan de 53 milliards de francs de 2023 et attribuer une part de son bénéfice à la provision pour réserves monétaires, mais que le montant restant de 13 à 18 milliards devait suffire.

"Il est donc possible de procéder au versement d'un dividende de 15 francs par action, ce qui correspond au maximum prévu par la loi, ainsi qu'à la distribution d'un montant total de 3 milliards de francs à la Confédération et aux cantons", a ajouté la BNS.

Un milliard de francs reviendra à la Confédération et une somme de 2 milliards sera attribuée aux cantons. A l'issue de ces versements, la réserve pour distributions futures s'établira à environ 13 milliards de francs.

En 2023, la BNS avait enregistré une perte de 3,2 milliards de francs, privant la Confédération et les cantons de toute distribution. En 2022, la BNS s'était déjà abstenue de tout versement, quand en 2021, six milliards de francs avaient été redistribués à la Confédération et aux cantons.

Le rapport détaillé sur le résultat de l'exercice 2024, comprenant les chiffres définitifs, sera publié le 3 mars. Le rapport de gestion paraîtra le 18 mars.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Economie

Toujours plus de surfaces de bureau inoccupées en Suisse

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Les surfaces de bureaux en mal de locataires n'ont cessé d'enfler dans les centres urbains de Suisse. Ici, à Zurich. (archive) (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

Nonobstant un net ralentissement de l'activité de construction, les surfaces de bureaux en mal de locataires n'ont cessé d'enfler dans les centres urbains de Suisse.

Le taux de vacance du segment a progressé de 0,9 point de pourcentage (pp) entre fin 2019 et fin 2024, pour s'établir à 5,0%. Sur douze mois, le degré d'inoccupation a même bondi de 9%.

Si Genève fait figure d'exception avec un recul marginal de 0,1% sur cinq ans, le taux de vacance de 6,2% y demeure l'un des plus élevé du pays. L'agglomération autour de la Cité de Calvin s'est toutefois délestée de sa lanterne rouge aux dépends de région de Bâle, qui avec une progression de 3,4 pp a vu son taux d'inoccupation exploser à 6,4%, selon un relevé du cabinet new-yorkais de conseil en immobilier commercial Jones Lang LaSalle (JLL) publié lundi.

En Ville de Zurich et en périphérie de la Cité de Zwingli, l'offre en déshérence a progressé de 1,3 pp à 5,3%, tandis que Lausanne affiche une hausse de 0,9 pp à 3,8 pp. Berne demeure avec 2,4% (+0,4 pp) le centre urbain le plus tendu, devant même le paradis entrepreneurial zougois et ses 3,0%.

Les auteurs du rapport notent néanmoins que l'essor des taux de vacance en Helvétie et tout relatif, au vu de l'envol de ceux des 22 principales villes européennes, de 3,3 pp pour une moyenne de 8,5%.

Si l'activité de construction de bureaux en Suisse n'a eu de cesse de s'éroder depuis l'explosion de la pandémie de coronavirus et le formidable essor du télétravail, les experts de JLL partent du principe que la demande est restée "dans l'ensemble intacte". Le volume de 57'000 m2 de nouvelles surfaces recensé en 2024, contre 343'000 m2 en 2020, doit ainsi constituer un point d'inflexion à partir duquel les volumes reprendront l'ascenseur sur le moyen terme.

Le cabinet observe en outre que de nombreux fonds et véhicules de placement ont réalisé sur la seconde moitié de l'an dernier des augmentations de capital, leur permettant d'entamer l'exercice 2025 les poches pleines. Il anticipe conséquemment un regain des volumes de transactions, dopé de surcroit par la faiblesse actuelle des taux d'intérêts.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Economie

Nazisme: zones d'ombre dans les archives des banques, dit Perrenoud

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La commission Bergier avait été instituée pour faire la lumière sur l'affaire des fonds en déshérence et le rôle de la Suisse pendant la Seconde Guerre mondiale (archives). (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Les archives bancaires et des avocats n'ont pas encore livré tous leurs secrets sur l'époque de la Seconde Guerre mondiale, estime l'ancien conseiller scientifique de la commission Bergier, Marc Perrenoud. Il appelle à les examiner à nouveau, notamment celles d'UBS.

"La commission Bergier a découvert tellement de documentation qu'on ne pouvait pas en faire le tour durant les cinq ans de notre mandat", allant de 1996-2001, explique l'historien dans un entretien diffusé mardi par Le Temps, après qu'une commission du Sénat américain a révélé que Credit Suisse a dissimulé des informations lors de précédentes investigations sur des comptes bancaires ayant appartenu à des nazis. "On était sous pression. L'arrêté fédéral était valable jusqu'au 31 décembre 2001".

Outre le manque de temps, M. Perrenoud pointe la collaboration des banques. "On soupçonnait dans certains cas [une] rétention [d'information], mais on n'en était pas informé et on n'en avait pas la preuve". La commission aurait pu envoyer des inspecteurs de police pour vérifier, ajoute-t-il, mais "il y avait le risque de destruction d'archives, comme en a attesté l'affaire Meili dans le cas UBS".

Travail "pas exhaustif" chez UBS

L'ancien gardien d'UBS Christoph Meili avait sauvé des archives importantes de la destruction en janvier 1997. Dans le cadre de l'affaire des fonds en déshérence, le Conseil fédéral avait édicté des dispositions garantissant l'accès des documents aux chercheurs des commissions Bergier et Volcker. Le décret précisait que les documents ne devaient pas être détruits ou rendus inaccessibles.

Marc Perrenoud relève également le fait que les banques ont remis des archives à la commission Bergier très tardivement. "Par exemple, UBS nous a transmis à la fin de nos travaux de nouvelles informations sur des clients. On s'est alors rendu compte que l'inventaire que l'on avait reçu en 1997 était notoirement incomplet", indique-t-il. "Il faudrait faire le travail dans les archives d'UBS; il n'a pas été exhaustif".

La commission indépendante d'experts, communément appelée commission Bergier, avait été instituée par le Conseil fédéral en décembre 1996 pour faire la lumière sur l'affaire des fonds en déshérence et le rôle de la Suisse pendant la Seconde Guerre mondiale. Elle a publié en mars 2002 un rapport final, ainsi que des dizaines d'études.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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