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Les Suisses dépensent plus que leurs voisins pour les vacances d'été

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Nubia navarro

Malgré un contexte international anxiogène et l’inflation les Suisses partiront quand même en vacances, même s’il faut dépenser pluss. Et pour preuve le budget moyen consacré aux vacances cet été est plus élevé. 

Papier budget vacances

4 041 francs. Voilà le budget moyen des foyers suisses consacré aux vacances d’été, selon l’étude d’Hellosafe. Cela correspond à une augmentation de 21,1% par rapport à 2023. C’est le plus haut budget au niveau européen. A titre de comparaison, les belges comptent dépenser près de 2 mille 800 francs pour leurs vacances, les foyers français un peu plus de 2 mille 100 francs.

Il faut dire que les Suisses comptent partir plus longtemps aussi en juillet ou en août:  2,3 semaines, là aussi c’est plus que dans le reste des pays européens avec 2 semaines en moyenne. 

Environ 1 Suisse sur 2 envisage de partir à l’étranger et pour ce qui est de la destination choisie, l'Italie arrive en pôle position, suivie de la France et de l’Espagne. 

Les vacances à domicile ont moins la cote: seuls 18% des Suisses ont l’intention de passer leurs congés d’été dans leur propre pays.

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Euro 2024

L'Angleterre renverse la Slovaquie et rejoint la Suisse en quart

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Bellingham a enfilé son costume de sauveur dimanche (© KEYSTONE/AP/Antonio Calanni)

Au bord du gouffre, l'Angleterre a finalement renversé la Slovaquie pour s'imposer 2-1 en prolongation dimanche à Gelsenkirchen en 8e de finale de l'Euro.

Les "Three Lions" affronteront donc la Suisse en quart le samedi 6 juillet à Düsseldorf (18h).

L'Angleterre, et sans doute son sélectionneur Gareth Southgate, doivent leur salut à un homme: Jude Bellingham. Le numéro 10 a endossé son costume de sauveur au bout du temps additionnel (95e) de ce huitième de finale, comme il l'a fait à de nombreuses reprises cette saison avec le Real Madrid, en réussissant un retourné acrobatique de grande classe pour arracher les prolongations.

Il n'en fallait pas plus pour libérer une formation anglaise qui avait pourtant entamé cette partie dans la lignée de ses prestations décevantes de la phase de groupes. Après un gros quart d'heure, trois Anglais avaient ainsi déjà écopé d'un carton jaune, pris de vitesse par les contre-attaques slovaques.

Parmi eux Marc Guéhi, averti dès la 3e minute et qui sera suspendu face à la Suisse, a été bien emprunté au moment de l'ouverture du score presque inévitable de la Slovaquie. Bridé par l'éventualité d'une expulsion, il a laissé Ivan Schranz ajuster Jordan Pickford du bout du pied (25e).

Un choc à venir

Un petit but qui a failli suffire aux Slovaques pour créer un immense exploit, car ni Phil Foden (but annulé à la 50e), ni Declan Rice (poteau à la 81e) n'ont réussi à faire plier les hommes de Francesco Calzona, reclus dans leur camp en deuxième période.

Mais voilà, après le geste miraculeux de Bellingham, Harry Kane est à son tour sorti de sa tanière au meilleur des moments, moins de soixante secondes après le coup d'envoi des prolongations. En renard des surfaces, il a propulsé de la tête un ballon dévié au fond des filets de Dubravka pour envoyer les Three Lions en quart à Düsseldorf, où les attendront de pied ferme les hommes de Murat Yakin.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Législatives: l'extrême droite largement en tête au premier tour

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La France votait dimanche pour le premier tour des élections législatives. Les Français de Suisse se sont aussi rendus aux urnes, comme ici au Palais de Beaulieu à Lausanne. (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Le Rassemblement national (RN) est arrivé largement en tête dimanche du premier tour des élections législatives en France. Historique, ce scrutin pourrait ouvrir les portes du pouvoir à l'extrême droite pour la première fois depuis la Deuxième Guerre mondiale.

Avec 34-34,2% des suffrages, le RN et ses alliés devancent la coalition de gauche du Nouveau Front populaire (NFP), qui obtient 28,1-29,1%, loin devant le camp d'Emmanuel Macron à 20,3-21,5%, lors de ce vote marqué par une participation en forte hausse, selon deux sondages.

Les premières projections en sièges pour la future Assemblée nationale, à prendre avec beaucoup de précautions, créditent le RN et ses alliés d'une forte majorité relative, voire d'une majorité absolue, à l'issue du second tour des législatives le 7 juillet.

"Verdict sans appel"

Les Français "ont rendu un verdict sans appel", s'est réjoui dimanche soir Jordan Bardella, 28 ans, qui semble se rapprocher irrésistiblement de Matignon, où siège le Premier ministre.

Le second tour des législatives sera "l'un des plus déterminants de toute l'histoire de la Ve République" française, fondée en 1958, a-t-il ajouté, assurant qu'il voulait être, s'il l'emporte, "le Premier ministre de tous les Français", "respectueux de la Constitution" mais "intransigeant".

Le pari du président Emmanuel Macron de dissoudre l'Assemblée nationale au soir de la déroute de ses candidats aux élections européennes du 9 juin, est dans tous les cas définitivement perdu.

Le "bloc macroniste" est "pratiquement effacé", s'est réjouie la ténor du RN, Marine Le Pen, qui avait perdu face au chef de l'Etat au second tour des deux dernières présidentielles.

"Tourner la page"

Les Français ont montré "leur volonté de tourner la page de sept ans de pouvoir méprisant et corrosif" du chef de l'Etat Emmanuel Macron, a estimé Mme Le Pen, élue dès le premier tour dans sa circonscription du Nord.

Les législatives visent à choisir les 577 députés siégeant à l'Assemblée nationale, dont le prochain visage dépendra des tractations entre partis et d'éventuels désistements et consignes de vote dans chaque circonscription. D'autant que ce second tour pourrait être marqué par un nombre record de triangulaires.

"Face au Rassemblement national, l'heure est à un large rassemblement clairement démocrate et républicain pour le second tour", a affirmé Emmanuel Macron dans une déclaration écrite.

Mais alors que le "front républicain" contre l'extrême droite n'a cessé de se fissurer au fil des ans, le président français n'a pas totalement clarifié l'attitude à suivre en cas de duels entre le RN et le NFP ou de triangulaires.

Des ténors de son camp semblaient jusqu'ici plutôt pencher pour un "ni RN, ni La France insoumise", le parti de gauche radicale membre du NFP, une position critiquée en interne.

Faire barrage à l'extrême droite

A gauche, écologistes, socialistes et communistes ont annoncé qu'ils se retireraient si un autre candidat, majorité présidentielle incluse, était mieux placé pour faire barrage au RN.

Le chef de file de LFI, Jean-Luc Mélenchon, qui a qualifié ce scrutin de "lourde et indiscutable défaite" pour Emmanuel Macron, est allé dans le même sens en annonçant le retrait des candidats de gauche arrivés en troisième position dimanche si le RN est en position de l'emporter dans une circonscription.

En revanche, le parti de droite conservateur Les Républicains (LR) s'est refusé à appeler ses électeurs à voter contre le RN dimanche prochain.

"Nous avons sept jours pour éviter à la France une catastrophe", a lancé de son côté le député européen de gauche Raphaël Glucksmann, qui a appelé tous les candidats arrivés en troisième position à se désister.

Si Jordan Bardella entrait à Matignon, ce serait la première fois depuis la Deuxième Guerre mondiale qu'un gouvernement issu de l'extrême droite dirigerait la France. Le président du RN a toutefois prévenu qu'il n'accepterait le poste de Premier ministre que si son parti détient la majorité absolue.

Il s'agirait aussi d'une cohabitation inédite entre Emmanuel Macron, président pro-européen, et un gouvernement beaucoup plus hostile à l'Union européenne, qui pourrait faire des étincelles sur les prérogatives des deux têtes de l'exécutif, notamment en matière de diplomatie et défense.

Assemblée bloquée?

Un autre scénario possible est celui d'une Assemblée bloquée, sans alliance envisageable entre des camps très polarisés, au risque de plonger la France dans l'inconnu.

Au terme de cette journée qui a vu un fort afflux dans les bureaux de vote, la participation devrait s'établir au moins à 65% des inscrits, selon les instituts de sondage, contre 47,51% en 2022 et contre 67,9% lors des dernières législatives organisées après une dissolution, en 1997.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Euro 2024

Equipe de Suisse: La promesse du capitaine

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La relation entre Murat Yakin et Granit Xhaka est peut-être la clé de la réussite helvétique (© KEYSTONE/PETER KLAUNZER)

Il ne dit pas que la Suisse va gagner l'Euro. Mais il fait une promesse: tout donner pour y parvenir. Au lendemain du succès contre l'Italie, Granit Xhaka affirme que tous les feux sont au vert.

"J'ai la sensation que l'histoire n'est pas terminée. Je suis encore affamé. Mes coéquipiers le sont également. Et je hais la défaite" a lâché le Bâlois dimanche en début de soirée en conférence de presse.

"Hier (samedi), j'ai été surpris par le... silence des Italiens. On ne les a pratiquement pas entendus sur le terrain. J'ai l'impression que notre langage corporel les a déstabilisés comme le leur nous avait déstabilisés lors du 3-0 de Rome à l'Euro 2021."

"Toute l'intensité qu'il fallait"

Comme pour Murat Yakin et le directeur des équipes nationales Pieruigi Tami, ce n'est pas résultat de samedi qui est le plus important aux yeux de Granit Xhaka. Mais bien la manière avec laquelle il a été obtenu.

"Nous avons mis toute l'intensité qu'il fallait dans ce match, se félicite le capitaine. La passion était aussi de notre côté. Nous avons su être extrêmement disciplinés tant sur les phases de possession qu'en défense."

Après une soirée kebab organisée par Breel Embolo et un jour de congé lundi après le retour dès dimanche à Stuttgart, les Suisses se pencheront à partir de mardi sur leur quart de finale de Düsseldorf. "Nous serons prêts, assure Granit Xhaka. Nous avons le temps de bien récupérer", poursuit-il.

"J'ai entendu siffler mes adducteurs la semaine dernière lorsque nous avons exercé les tirs au but. Je ne me suis pas entraîné avec l'équipe jeudi. Mais j'ai tenu les 90 minutes samedi. J'ai deux ou trois petits bobos, mais vraiment rien de grave." Rien qui ne l'empêchera de jouer enfin un quart de finale de l'Euro samedi après avoir raté celui de 2021 contre l'Espagne en raison d'une suspension.

Un mal pour un bien

Granit Xhaka est, enfin, revenu sur la campagne de qualification de 2023 qui n'avait pas vraiment souri à la Suisse dans la mesure où elle fut, parmi les dix-neuf équipes qualifiées directement pour cet Euro, celle qui a signé la feuille de résultats la plus médiocre.

"Cette campagne s'avère être un mal pour un bien, sourit-il. Elle nous a ouvert les yeux. En continuant ainsi, nous n'aurions eu aucune chance dans cet Euro. Tout a changé cette année. Déjà au mois de mars après les deux premiers matches au Danemark et en Irlande, j'avais un bon feeling."

On le sait, Granit Xhaka a beaucoup échangé avec Murat Yakin pour sceller en quelque sorte une paix des braves sans laquelle rien ne serait possible. "J'ai besoin de sentir la chaleur de l'entraîneur. De communiquer avec lui d'une manière ouverte et transparente. C'est le cas aujourd'hui, se félicite-t-il. Je dois reconnaître avoir commis des erreurs l'automne dernier dans ma communication à son égard."

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Opérations israéliennes à Gaza-ville et Rafah

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L'aide humanitaire arrive au compte-gouttes dans la bande de Gaza et l'eau et la nourriture manquent. Ici, une déplacée palestinienne portant des jerricanes dans le camp de Khan Younès, dans le sud de l'enclave palestinienne. (© KEYSTONE/EPA/HAITHAM IMAD)

L'armée israélienne a concentré dimanche ses opérations contre le mouvement islamiste palestinien Hamas dans les villes de Gaza et Rafah. Le Premier ministre Benjamin Netanyahu a lui parlé d'un "combat difficile".

Près de neuf mois après le début de la guerre, déclenchée par une attaque sans précédent du Hamas contre Israël le 7 octobre, M. Netanyahu affirme vouloir la poursuivre jusqu'à l'élimination du mouvement palestinien à Gaza et la libération de tous les otages enlevés durant l'attaque.

Cette guerre qui a provoqué une catastrophe humanitaire dans le territoire palestinien assiégé et dévasté, fait en outre craindre un conflit entre Israël et le Hezbollah libanais après une multiplication des attaques de part et d'autre de la frontière israélo-libanaise.

Gaza-ville ciblée

Ces dernières 24 heures, 43 Palestiniens ont été tués dans l'offensive israélienne contre la bande de Gaza, a indiqué dimanche le ministère de la Santé du gouvernement du Hamas qui a pris le pouvoir dans le territoire palestinien en 2007.

Selon des témoins, de nombreuses frappes aériennes israéliennes ont visé la ville de Gaza, dans le nord, ainsi que Rafah et Khan Younès, dans le sud.

Alors que l'armée avait annoncé en janvier avoir démantelé la structure de commandement du Hamas dans le nord du territoire, ses soldats ont lancé jeudi une opération à Choujaïya, un quartier de Gaza-ville, sous une couverture aérienne et de l'artillerie. Les bombardements et les combats se sont poursuivis dimanche pour le 4e jour consécutif.

Entre 60'000 et 80'000 personnes, selon l'ONU, ont fui l'est et le nord-est de Gaza-ville après l'ordre d'évacuation donné jeudi par l'armée.

Dans le sud de Gaza, les soldats israéliens ont lancé le 7 mai une offensive terrestre dans la ville de Rafah, alors présentée par Israël comme le dernier grand bastion du Hamas. Six personnes ont été tuées dans une frappe qui a touché une maison à Rafah et des tirs d'artillerie ont secoué des parties de la ville, selon des témoins et des médecins.

"Combat sous terre"

"Nos forces sont en opération à Rafah, Choujaïya, partout dans la bande de Gaza", a déclaré dimanche Benjamin Netanyahu à la réunion hebdomadaire du gouvernement, une semaine après avoir affirmé que "la phase intense" de la guerre touchait à sa fin.

"Des dizaines de terroristes sont éliminés chaque jour. C'est un combat difficile que nous menons au sol, parfois au corps à corps, et aussi sous terre", a-t-il dit en allusion aux tunnels creusés sous terre par le Hamas durant ses années au pouvoir.

L'attaque menée par le Hamas le 7 octobre dans le sud d'Israël a entraîné la mort de 1195 personnes, majoritairement des civils, selon un décompte de l'AFP établi à partir de données officielles israéliennes. Sur 251 personnes enlevées durant l'attaque, 116 sont toujours retenues en otages à Gaza, parmi lesquelles 42 sont mortes, selon l'armée.

L'offensive lancée par Israël en représailles sur le petit territoire palestinien a fait jusqu'à présent 37'877 morts, en majorité des civils, selon des données du ministère de la Santé du gouvernement de Gaza dirigé par le Hamas.

Attaques d'Israël et du Hezbollah

La guerre a provoqué des déplacements massifs de population dans le territoire où sont assiégées quelque 2,4 millions de personnes dans des conditions qualifiées de "désastreuses" par l'ONU.

L'aide humanitaire y arrive au compte-gouttes et l'eau et la nourriture manquent. Des milliers d'enfants souffrent de malnutrition selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS) qui, à la mi-juin, avait fait état de "32 décès attribués à la malnutrition, dont 28 parmi les enfants de moins de cinq ans".

Les craintes de voir le conflit se propager au Liban se sont récemment amplifiées. Le 19 juin, Hassan Nasrallah, le chef du Hezbollah, un puissant mouvement allié du Hamas et soutenu par l'Iran, a averti "qu'aucun lieu" en Israël ne serait épargné en cas de guerre, après que l'armée a affirmé avoir "validé" des "plans opérationnels" pour une offensive au Liban.

Dimanche, le Hezbollah a revendiqué de nouvelles attaques contre des positions militaires israéliennes frontalières, alors qu'un média libanais a fait état de bombardements israéliens sur le sud du Liban.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Nouveau grand feu de forêt près d'Athènes, été difficile en vue

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Le Premier ministre grec Kyriakos Mitsotakis, dans son message hebdomadaire sur Facebook dimanche, a appelé ses compatriotes à se préparer à une saison difficile. (© KEYSTONE/AP/Petros Giannakouris)

Un nouveau grand feu de forêt s'est déclaré dimanche non loin d'Athènes. Cela alors que la Grèce s'attend à un été particulièrement difficile.

Ce pays connaît chaque année de nombreux incendies mais cela pourrait être pire cette année, après l'hiver le plus doux jamais enregistré, et également la plus précoce des canicules, avec des températures montant à 44°C.

Le feu de dimanche dans la région de Keratea, à une vingtaine de kilomètres au sud de la capitale grecque, a commencé dans la région de Plaka, une zone de broussailles. Il s'approchait de maisons en début d'après-midi et les vents forts menaçaient d'étendre le sinistre, selon l'agence de presse Athens News Agency.

Habitants appelés à évacuer

Une petite soixantaine de pompiers et 17 véhicules, ainsi que huit avions et deux hélicoptères, étaient déployés pour tenter d'en venir à bout.

Peu après 12h30, les autorités ont mis en place un système d'alerte, appelant les habitants des zones de Markati, Plaka et Panorama à évacuer pour aller en direction de Lavrio.

Importants dégâts à Serifos

Samedi, un incendie important dans la même région avait pu être contrôlé, tout comme, dimanche matin, celui qui s'était déclaré la veille sur l'île de Serifos, après avoir fait d'importants dégâts.

"Tout le sud-ouest de Serifos a brûlé. Les flammes se sont arrêtées en arrivant à la mer", a raconté le maire de Serifos, Konstantinos Revintis, à la télévision MEGA TV.

Risque très élevé

La carte des prévisions publiée par le ministère de la Protection civile pour dimanche averti d'un risque très élevé d'incendies pour l'Attique (où se trouve Athènes), la péninsule méridionale du Péloponnèse, l'île de Crète, le nord et le sud de la mer Egée et le centre de la Grèce.

Samedi, un feu sur le Mont Parnitha, non loin de la capitale, n'a finalement pu être éteint qu'au bout de plusieurs heures, avec l'aide de renforts en provenance de plusieurs autres régions, ainsi que de pompiers volontaires.

En tout, dans la journée de samedi, ce sont plus de quarante incendies qui se sont déclarés en Grèce, avec des vents ayant souvent dépassé les 100 km/h, selon le service des pompiers.

Saison difficile en vue

Le Premier ministre grec Kyriakos Mitsotakis, dans son message hebdomadaire sur Facebook dimanche, a appelé ses compatriotes à se préparer à une saison difficile.

"Les temps difficiles sont devant nous. Notre effort est continu, avec l'aide de nouveaux outils qui aident à bâtir une nouvelle culture de prévention et de responsabilité", a-t-il écrit.

Ainsi, a-t-il souligné, "l'incendie à Parnitha a été extrêmement dur mais il avait heureusement été détecté immédiatement grâce au système de drones de surveillance qui a été mis en place cette année pour les forêts et les zones montagneuses de l'Attique".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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