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Suisse

Richemont nomme un nouveau directeur général chez Cartier

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La célèbre marque de joaillerie Cartier aura un nouveau directeur général dès le 1er septembre. (archive) (© KEYSTONE/CHRISTIAN BEUTLER)

Richemont a annoncé mardi la nomination de Louis Ferla comme nouveau directeur général de la marque de luxe Cartier, succédant à Cyrille Vigneron à compter du 1er septembre.

M. Ferla est actuellement à la tête de la marque genevoise Vacheron Constantin, qu'il a rejointe en 2017, a précisé le groupe dans un communiqué. De nationalité française, il est entré chez Richemont en 2001 en commençant par la marque de vêtements et accessoires de luxe Alfred Dunhill en tant que directeur des ventes à Hong Kong, puis en tant que directeur général à Taipei. En 2016, M. Ferla a été engagé chez Cartier où il a occupé plusieurs postes de direction, notamment au Moyen-Orient, en Inde et en Afrique, avant d'être nommé directeur général en Chine. En 2015, il a été promu au comité exécutif de la maison de joaillerie en tant que directeur international de la clientèle et des affaires.

M. Vigneron, qui a décidé de prendre sa retraite après huit ans à la tête de Cartier, assumera la fonction de président de Cartier Culture et Philanthropie dès le 1er septembre, a ajouté la griffe parisienne. En outre, il prendra la présidence de la fondation Watches and Wonders dès le 1er juillet.

Richemont a fait état d'un chiffre d'affaires annuel record de 20,6 milliards d'euros pour l'exercice 2023/2024, en hausse de 3% sur un an. Les ventes du groupe dans la joaillerie se sont accrues de 6% à 14,2 milliards d'euros.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Suisse

Stress chez les apprentis, selon une enquête d'Unia

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Journées de plus de 9 heures, mini-salaires, mobbing: plus de 90% des apprentis disent être stressés sur leur lieu de travail, selon une enquête d'Unia (archives). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

La plupart des apprentis souffrent de stress et d'épuisement au travail, selon une enquête d'Unia. Une personne sur quatre interrompt sa formation, une situation qui exige d'améliorer les conditions de travail, estime le syndicat.

Le système de formation professionnelle duale en Suisse est souvent vanté comme un modèle de succès. Cependant, la situation sur le terrain est moins rose, indique jeudi Unia. Sur les plus de 1100 jeunes ayant participé à l'enquête, 92,4% se disent stressés au travail, souvent ou toujours pour 53,2% d'entre eux.

Côté salaire, 46,3% des apprentis interrogés gagnent moins de 999 francs par mois, de la première à la quatrième année de formation. Seulement une minorité (9,3%) gagne plus de 1500 francs. Et plus de la moitié (55,5%) travaillent plus de 9 heures par jour, bien que cela soit illégal selon la loi suisse sur le travail.

A ces conditions de travail difficiles s'ajoutent le harcèlement sexuel, le racisme ou le mobbing. Autant de facteurs qui rendent les apprentis vulnérables.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Politique

La réforme LPP bénéfique aux femmes et aux temps partiels

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La gauche a lancé le référendum contre la réforme de la LPP estimant qu'elle ne profiterait pas aux travailleurs. Il faudra cotiser plus pour recevoir moins, a clamé l'Union syndicale suisse (USS) qui a lancé mardi la campagne du non (archives). (© KEYSTONE/ALESSANDRO DELLA VALLE)

La révision du deuxième pilier est "une étape importante pour les femmes", estime jeudi une large alliance des femmes favorable à la réforme de la LPP. Elles sont les grandes gagnantes. Elles seront quatre fois plus nombreuses à obtenir une rente plus élevée.

La réforme de la LPP répond à la revendication de nombreuses femmes de mieux protéger les postes à temps partiel et à bas revenus, majoritairement occupés par des femmes. L'alliance composée de représentantes de tous les partis, sauf du PS, rappelle qu'aujourd'hui, la rente des femmes est inférieure d'un tiers à celle des hommes.

Avec la révision, environ 275'000 femmes obtiendront une rente plus élevée, selon une étude. Et environ 100'000 revenus seront nouvellement assurés dans le deuxième pilier.

La réforme, adoptée par le Parlement en mars 2023, prévoit un abaissement du taux de conversion minimal dans la prévoyance professionnelle obligatoire de 6,8% à 6%. Ce taux détermine le montant de la future rente. Pour éviter dans la mesure du possible une diminution des rentes futures, le Conseil fédéral et le Parlement ont prévu des mesures de compensation.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Politique

Une nette majorité contre une privatisation de Swisscom

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La privatisation de Swisscom est une mauvaise idée pour les finances de la Confédération, ainsi que pour les entreprises et la population suisse, estime Syndicom (archives). (© KEYSTONE/ENNIO LEANZA)

Près de 70% des personnes disposant du droit de vote en Suisse s'opposent à une privatisation de Swisscom, selon un sondage commandé par Syndicom et publié jeudi. Le syndicat se dit prêt à lancer un référendum si nécessaire.

Au total, 67% des personnes interrogées dans le cadre du sondage représentatif réalisé par l'institut gfs.bern se disent "certainement" ou "plutôt" opposées à une privatisation de Swisscom. A l'inverse, 26% sont "certainement" ou "plutôt" pour une vente de la part de la Confédération. Enfin 9% sont indécises ou n'ont pas répondu.

Syndicom a présenté les résultats du sondage lors d'une conférence de presse à Berne. L'enquête montre une majorité de "non" parmi les partisans de tous les partis et dans toutes les régions linguistiques.

Le rejet est le plus net parmi la base des Vert-e-s et du PS, avec des taux de 88% et 69% respectivement. Les partisans des Vert'libéraux sont les moins sceptiques, avec une part de "non" de 57%.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

L'inflation ralentit encore la cadence en juin

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Les prix des fruits et légumes notamment ont chuté en juin. (archive) (© KEYSTONE/GEORGIOS KEFALAS)

Les prix ont de nouveau freiné leur rythme de progression au mois de juin en Suisse, malgré une forte accélération au niveau des produits locaux et pétroliers. Fruits et légumes, ainsi que vêtements ont par contre vu leurs tarifs refluer.

L'inflation a augmenté de 1,3% sur un an en juin, après avoir atteint 1,4% le mois précédent. Comparé au mois précédent, l'indice des prix à la consommation (IPC) est resté stable, a annoncé jeudi l'Office fédéral de la statistique dans son relevé mensuel.

Ces chiffres sont conformes aux attentes du marché. Les économistes interrogés par l'agence AWP prévoyaient en effet que le renchérissement s'établisse en Suisse entre 1,3% et 1,4% sur un an en juin. La variation mensuelle était attendue entre 0,0% et 0,1%.

Les prix à la consommation continuent ainsi à se situer dans la fourchette de 0% à 2% définie par la Banque nationale suisse (BNS) et qu'elle assimile à la stabilité des prix. Constatant que la pression inflationniste se réduit dans la Confédération, cette dernière avait de nouveau abaissé mi-juin son taux directeur de 1,50% à 1,25%.

Selon les projections des différents instituts, l'inflation devrait rester sous contrôle cette année et la suivante en Suisse. La BNS table ainsi sur un taux de 1,3% en 2024 et de 1,1% en 2025, alors que les économistes de Swiss Life l'attendent à respectivement 1,2% et 0,5%.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Santé

Roche: échec clinique d'une combinaison contre le cancer du poumon

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Roche a fait part d'un échec clinique contre le cancer du poumon (archives). (© KEYSTONE/GEORGIOS KEFALAS)

Le mastodonte pharmaceutique Roche déplore jeudi l'échec d'une étude clinique avancée évaluant une combinaison de son immunothérapie déjà bien établie Tecentriq (atézolizumab) et de son tiragolumab encore en phase de développement contre une forme de cancer du poumon.

L'association des deux produits a démontré une moindre efficacité en termes de durée de survie sans progression de la maladie et de taux de survie total, comparé au pembrolizumab commercialisé par l'américain Merck Scharp and Dome (MSD) sous l'appellation Keytruda en complément d'une chimiothérapie, reconnaît la multinationale rhénane dans un communiqué.

Les critères primaires fixés pour ce sixième volet du programme Skyscraper n'ont ainsi pas été atteints.

Le laboratoire s'apprête sur la base de ces résultats à revoir les contours des autres essais cliniques de phase III menés sur le tiragolumab.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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