Ils avaient 60 minutes pour vous convaincre qu'ils étaient celle ou celui dont Genève avait besoin pour faire face à la crise!
Les quatre candidats à la complémentaire au Conseil d'Etat ont débattu, le mardi 23 mars, pendant une heure, sur Radio Lac.
Fabienne Fischer, des Verts, l'indépendant Pierre Maudet, la PDC Delphine Bachmann et l'UDC, Yves Nidegger, ont confronté leurs propositions, pour soutenir les Genevois, en cette période de crise sans précédent, depuis la Seconde Guerre mondiale: comment aider les indépendants, les restaurateurs, la culture, l'événementiel... Mais aussi, quel avenir pour l'aéroport, quel soutien pour les jeunes dont la santé mentale est impactée par cette crise?
En parallèle de ces mesures d'urgence, Fabienne Fischer, Pierre Maudet, Delphine Bachmann et Yves Nidegger ont aussi exposé leur plan pour relancer l'économie genevoise: investir dans la formation, dans les domaines de la santé, la transition énergétique...
Fabienne Fischer, Pierre Maudet, Delphine Bachmann et Yves Nidegger ont enfin tenté de démontrer qu'ils pourront s'intégrer au Conseil d'Etat déjà existant.
Cet ultime débat de Radio Lac est à retrouver en intégralité:
Préparer la sortie de la crise sanitaire.
La fermeture totale des bars, restaurants, hôtels, mais aussi des lieux culturels a mis tous ces secteurs sur la paille. Les réponses concrètes des candidats au Conseil d'Etat:
Reconversion professionnelle et formation.
Cette crise va signifier pour un grand nombre de Genevois, la perte d'un emploi. Tous les candidats mettent en avant l'importance de la reconversion professionnelle et de la formation. Comment les mettre en œuvre? Leurs réponses:
Comment répondre à la détresse de la jeunesse?
Les jeunes, étudiants, apprentis, sont particulièrement impactés par la pandémie. S'ils semblent plus épargnés par la Covid-19 que leurs aînés, leur vie sociale et professionnelle est mise entre parenthèses depuis une année, avec une détresse psychologique de plus en plus grande. Le message des candidats à cette jeunesse genevoise:
Les mesures sociales.
L'image de ces Genevois, il y a un an, faisant la queue aux Vernets, lors de distributions alimentaires, a marqué les esprits. Mais les candidats n'en ont pas tous la même interprétation:
Taxer les hauts revenus.
Les différentes mesures d'aide et de relance vont creuser le déficit du canton de Genève qui s'établit déjà à 12,8 milliards de francs. La Gauche élabore, actuellement, une initiative pour un impôt de solidarité de 0,5% sur les fortunes de plus de trois millions de francs. Un sujet qui a divisé les candidats:
La "taxe poubelle".
Genève est le seul canton romand à ne pas avoir de taxe au sac ou taxe poubelle. Un sujet qui, pour la candidate des Verts, Fabienne Fischer n'est pas "une question centrale dans les problématiques de déchets":
30 secondes pour vous convaincre.
Qui de la PDC Delphine Bachmann, de l'UDC Yves Nidegger, de la Verte Fabienne Fischer et de l'indépendant Pierre Maudet doit entrer au Conseil d'Etat? Ils tentent de vous convaincre en 30 secondes:
Verdict, dans les urnes, ce dimanche 28 mars. Vous pourrez vivre les résultats, dès midi, sur Radio Lac, lors d'une émission spéciale.
Aarau, Bellinzone, Lugano, Schaffhouse, Thoune et Zoug se rêvent en capitale culturelle helvétique en 2030. Fin mars, elles ont déposé leur déclaration d'intention, confirmant leur volonté de soumettre une candidature officielle d'ici la fin de l'année.
Les autres villes ne sont désormais plus éligibles. "L'intérêt des six villes augmente non seulement la probabilité d'un choix varié pour la capitale culturelle 2030, mais démontre aussi que le concept est désormais reconnu dans tout le pays", déclare Daniel Rossellat, président de l'association capitale culturelle suisse (CCS) dans un communiqué mardi.
Avec ces déclarations d'intention, toutes acceptées par le jury national, les six villes ont franchi un premier obstacle. D'autres clarifications restent cependant nécessaires comme l'intégration des acteurs culturels de la ville et de la région, la faisabilité opérationnelle, sans oublier un budget "rigoureux", approuvé par les instances compétentes.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Après deux années exceptionnelles, les cabanes du Club alpin suisse (CAS) ont vu leur fréquentation baisser l'an dernier. En cause, une saison d'été relativement courte. L'année 2024 est malgré tout la quatrième meilleure de l'histoire du CAS.
Les 147 cabanes de Suisse ont enregistré au total 363'412 nuitées. C'est 2,6% de moins qu'en 2023 et 3% de moins qu'en 2022, "année de tous les records", indique mardi le CAS dans un communiqué. La fréquentation a baissé dans toutes les régions du pays, sauf les Grisons (+4,2%) et le Valais (+2,8%).
L'été a été marqué par un début de saison tardif et une fin de saison écourtée en raison de la pluie ou des chutes de neige. La fréquentation a baissé de 6,1% au niveau national. Seul le Valais a tiré son épingle du jeu (+3,1%), alors que le Tessin voyait son nombre de nuitées chuter de 20% en raison des intempéries.
La saison d'hiver a en revanche connu une belle fréquentation, en hausse de 12,2% par rapport à l'année précédente.
Grâce à une augmentation du prix, le chiffre d'affaires généré par les nuitées a augmenté de 2,5% à 10,3 millions de francs. En revanche, les ventes de consommations ont baissé de 1,6%, à 27,5 millions de francs.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Les prix des logements en propriété ont poursuivi leur progression sur les trois premiers mois de l'année. Les disparités régionales sont toutefois importantes, selon l'indice des prix des transactions Raiffeisen publié mardi.
"La hausse des prix pour les propriétés à usage propre s'est sensiblement accélérée en début d'année. Avec la baisse récente des coûts de financement, la demande de logements en propriété a nettement augmenté. Grâce aux perspectives d'un environnement de taux bas durable, la dynamique des prix sur le marché suisse de la propriété devrait continuer à s'accélérer au cours de l'année, en dépit de toutes les incertitudes au niveau international", explique Fredy Hasenmaile, chef économiste de Raiffeisen Suisse.
Pour les maisons individuelles, il a fallu payer 2,2% de plus qu'au trimestre précédent. Les appartements en propriété par étage (PPE) ont également renchéri de 0,7%. Par rapport au premier trimestre 2024, les maisons individuelles coûtent aujourd'hui 5,0% de plus et les appartements en PPE 3,5% plus cher.
Sur un an, les plus fortes hausses de prix enregistrées sont celles des maisons individuelles, en Suisse méridionale (+8,4%) et en Suisse orientale (+8,0%). En revanche, les prix des maisons ont légèrement baissé en Suisse romande (-0,1%) et dans la région lémanique (-0,8%). En ce qui concerne la propriété par étage, les prix ont augmenté le plus fortement en Suisse centrale (+4,6%) et en Suisse orientale (+4,2%) en comparaison annuelle.
L'indice est basé sur les données de Raiffeisen relatives aux mutations et du Swiss Real Estate Datapool (SRED), qui mesure l'évolution des prix de la propriété du logement à usage propre en Suisse.
Les attentes des vendeurs progressent
Les vendeurs de biens immobiliers ont également fixé des prix au mètre carré plus élevés en mars, selon les données des annonces immobilières publiées sur la plateforme immobilière Immoscout.
Tant les maisons individuelles que les appartements en copropriété ont renchéri. Sur un an, les premières ont vu le prix au mètre carré croître de 3,1% à 7682,7 francs et les seconds ont renchéri de 3,3% à 8980,4 francs. En comparaison mensuelle, entre début et fin mars, la hausse s'est inscrite respectivement 1,3% et 1,0%.
D'importantes disparités régionales sont toutefois constatées. Ainsi, la Suisse centrale a enregistré la hausse des prix la plus marquée, avec un bond de 5,2% pour les maisons et de 2,0% pour les appartements entre début et fin mars. Dans les régions bâloise et zurichoise, les maisons individuelles ont également renchéri de respectivement 1,5% et 2,2%, tandis que les prix des appartements sont restés quasiment inchangés.
L'évolution des prix est quant à elle restée stable dans l'Espace Mitteland et le Tessin. Dans cette dernière région, les prix des maisons ont même reculé. Dans la région lémanique, les prix des maisons ont enflé de 0,1% sur un mois et ceux des appartements de 1,6%.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Romande Energie a vu ses recettes et sa rentabilité plonger l'an dernier, affectées par le cadre réglementaire et une dépréciation d'actifs. Aucun rebond n'est attendu à court terme. Le groupe maintient cependant son dividende.
En glissement annuel, le chiffre d'affaires a reculé de 10% à 832 millions de francs, ressortant toutefois à son 2e niveau le plus élevé de l'histoire du groupe, souligne l'énergéticien morgien mardi dans un communiqué. Ce repli résulte d'un effet mécanique dû notamment aux prix de marché inférieurs, conjugué à des volumes d'énergie moindres vendus sur le marché libéralisé.
Pénalisé par une marge énergie "sous pression maximale", le résultat opérationnel (Ebit) ajusté, soit avant effets non-opérationnels, a été divisé par près de quatre à 23 millions. Ces effets non opérationnels péjorent l'Ebit de 9 millions supplémentaires. Ils sont liés à des corrections de valeurs sur une technologie n'ayant pas atteint les niveaux de performance escomptés dans le chauffage à distance (-11 millions), que n'a pas compensé le gain de deux millions réalisé sur la vente d'une filiale rattachée à Romande Energie Services.
Le bénéfice net ressort à 26 millions, divisé par six comparé à l'exercice 2023. La direction, renouvelée mi-mars avec l'arrivée de François Fellay au poste de directeur général en remplacement de Christian Petit, étudie actuellement les effets du deuxième paquet d'ordonnances de la loi sur l'électricité sur la performance à venir de l'entreprise.
Les actionnaires se verront proposer un dividende inchangé de 1,44 franc par action, grâce à son "haut niveau de liquidités". Au 31 décembre dernier, le flux de trésorerie totalisait 147 millions, contre 136 millions précédemment.
Au chapitre des perspectives, l'entreprise anticipe une année 2025 en ligne avec la précédence, toujours lestée par le cadre régulatoire "peu favorable" et une rentabilité de ses investissements décalée à court terme. A l'horizon 2030, Romande Energie vise une croissance de son excédent brut d'exploitation (Ebitda) d'environ 50%.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
La Défense civile de la bande de Gaza a annoncé mardi la mort de 19 personnes dans des frappes israéliennes depuis lundi soir sur le territoire palestinien.
Neuf personnes parmi lesquelles cinq enfants ont été tuées avant minuit par une frappe sur une maison à Deir el-Balah (centre). A l'aube, dix personnes ont été tuées dans deux frappes, l'une à Gaza-ville, et l'autre à Beit Lahia (nord), a indiqué à l'AFP Mahmoud Bassal, porte-parole de cette organisation de premiers secours.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp