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Un accord conclu sur le projet de budget 2021 à Genève

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KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI

Les fonctionnaires dans la rue pour dénoncer ce projet de budget 2021

A Genève, le Conseil d'Etat et les partis gouvernementaux ont conclu un accord sur le projet de budget 2021. L'annuité 2021 des fonctionnaires est suspendue. En contrepartie, l'exécutif obtiendra les 350 nouveaux postes qu'il demande.

Le budget qui en résulte sera déficitaire à hauteur de plus de 800 millions de francs, ont indiqué mardi le PS, les Verts, le PDC, le PLR et le MCG dans un communiqué de presse commun. Ce budget est "un budget de crise, mais aussi de responsabilité, qui vise à répondre aux défis posés par le contexte actuel", écrivent-ils.

Le projet de budget initial prévoyait un déficit de 501 millions de francs. L'augmentation de ce déficit est principalement due aux prestations supplémentaires pour la population et aux aides nécessaires pour le tissu économique genevois, soulignent les partis gouvernementaux qui, dans "ce cadre de crise exceptionnelle", entendaient tous doter le canton d'un budget pour l'année 2021.

Cartel exclu

Mercredi, le Conseil d'Etat renonçait à la baisse linéaire de 1% des salaires de tous ses collaborateurs sur quatre ans. Cette mesure d'économie, décrite par le gouvernement comme un effort de solidarité de la fonction publique avec le privé touché de plein fouet par la crise, avait été mal reçue par la Commission des finances du Grand Conseil et aurait été refusée à l'unanimité.

Malgré cette décision, les désaccords avec les syndicats demeurent. Deux manifestations ont eu lieu en octobre, et une assemblée du Cartel intersyndical du personnel de l'Etat et du secteur subventionné doit décider mardi soir du maintien du préavis de grève pour mercredi. Face au refus du Cartel de suspendre ce préavis, le gouvernement l'a exclu lundi des négociations sur le projet de budget.

Les débats parlementaires sur le budget 2021 auront lieu les 3 et 4 décembre. Seuls l'UDC et Ensemble à Gauche tenteront de le modifier. Quant aux partis gouvernementaux, ils s'engagent à mener des discussions dès janvier, afin d'anticiper les futurs exercices budgétaires, précisent-ils.

Source: ATS

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International

La crise existentielle de Nissan exacerbée par les droits de douane

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Nissan a réalisé l'an dernier 30% de ses ventes mondiales aux Etats-Unis. (archive) (© KEYSTONE/EPA/KIMIMASA MAYAMA)

Les taxes douanières américaines sur l'automobile plombent le constructeur japonais Nissan, déjà massivement endetté et déficitaire, pour qui les Etats-Unis restent un marché crucial.

"Impact énorme"

Depuis début avril, Washington surtaxe à 25% les voitures importées aux Etats-Unis. Or, Nissan a réalisé l'an dernier 30% de ses ventes mondiales dans ce pays: 924.000 véhicules, dont 45% étaient importés du Japon et du Mexique.

Le groupe est déjà fragilisé: il anticipe une perte nette annuelle de 500 millions d'euros sur l'exercice achevé fin mars, sur fond d'essoufflement des ventes. Pour se redresser, il avait annoncé début novembre vouloir supprimer 9000 postes dans le monde et réduire de 20% ses capacités de production.

Certes, Nissan produit en partie son SUV Rogue dans son usine du Tennessee, mais son importante production au Mexique "est un point négatif majeur", observe Christopher Richter, du consultant CSLA.

"Des entreprises comme Toyota et Honda, disposant de bases de bénéfices robustes peuvent mieux résister", mais pour Nissan, "l'impact sera énorme", indique à l'AFP Tatsuo Yoshida, analyste de Bloomberg Intelligence.

Selon lui, absorber les surtaxes sans les répercuter aux consommateurs représenterait pour Nissan une perte annuelle de 2,7 milliards d'euros.

Si Nissan reste en quête d'un allié après l'échec du rapprochement avec son compatriote Honda, "ce n'est pas un partenaire qui résoudra les problèmes douaniers", insiste une source industrielle proche du dossier, jugeant "plus urgent d'intensifier son plan de redressement".

Ajuster les prix

Dans l'immédiat, Nissan assure "disposer de stocks importants chez (ses) concessionnaires américains, non affectés par les surtaxes". Des stocks s'expliquant par des ventes moroses, faute d'avoir proposé les modèles hybrides prisés par les consommateurs américains.

Au-delà, "la réponse à court terme sera d'ajuster les prix de vente (des véhicules importés) aux Etats-Unis", souligne Tatsuo Yoshida.

"Mais si vous augmentez les prix pour ne pas perdre vos marges, et que vos concurrents dans le même segment ne le font pas, alors vous perdrez immédiatement en volumes (de ventes)", s'alarme la source industrielle. "Et si tous augmentent leurs prix", cela découragera les acheteurs.

Nissan prévoit d'adapter ses plans pour ses usines de Canton (Mississippi) et de Smyrna (Tennessee). Alors qu'il entendait la sabrer, il a annoncé maintenir la deuxième chaîne du SUV Rogue à Smyrna. Et il cessera de commercialiser aux Etats-Unis deux SUV produits au Mexique.

Difficile d'imaginer des marchés alternatifs: "Nissan peine à vendre ses voitures partout, il n'est pas réaliste d'explorer d'autres marchés", cingle M. Yoshida.

"Pas de solution miracle"

"La solution la plus simple serait de transférer la production du Mexique et du Japon vers les États-Unis, cette stratégie prendrait six mois ou plus", explique à l'AFP Todd Duvick, du cabinet CreditSights.

"Nissan étudiera ses options en matière de prix, transferts de production, changements de fournisseurs afin de privilégier les composants américains...", estime-t-il.

Donald Trump vise la réindustrialisation, alors qu'environ la moitié des 16 millions de voitures vendues en 2024 aux Etats-Unis étaient importées.

"Mais transférer sa production signifie créer des capacités, les outillages, trouver les fournisseurs... Pour réaliser quelque chose de significatif, ça prendra au minimum deux ans", au détriment d'usines japonaises, insiste la source proche.

"Nissan nous a fait part de son intention de revoir une partie de sa production", s'inquiète auprès de l'AFP un responsable de la préfecture de Fukuoka (sud du Japon) qui abrite deux filiales produisant notamment le Rogue.

Nissan pourrait en profiter pour commencer à produire aux Etats-Unis des modèles hybrides et électriques adaptés au marché américain.

Vu l'ampleur et le coût des projets, "ce n'est pas une solution miracle. Cela deviendra une option à long terme, mais je doute qu'un constructeur japonais soit pour l'heure sérieusement prêt à franchir le pas", affirme Tatsuo Yoshida.

Face aux revirements fréquents de l'administration Trump, "la mesure la plus réaliste est de se préparer sans épuiser ses ressources et effectifs: opter d'abord pour (l'ajustement des prix), et, si la situation perdure, transférer la production", ajoute-t-il.

Si les barrières douanières s'installent, "cela pourrait porter un coup fatal à Nissan, qui se trouverait à court de liquidités" mais un allié pourrait apporter son secours, "qu'il s'agisse de Honda ou d'une firme tech", juge-t-il.

"Même si cela ne constitue pas un coup mortel pour Nissan, cela pourrait certainement rendre son plan de redressement et sa survie à long terme plus difficiles", complète M. Duvick.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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International

La Russie met en garde contre toute précipitation

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Le président russe Vladimir Poutine ne veut pas précipiter les négociations pour un cessez-le-feu (archives). (© KEYSTONE/EPA/VYACHESLAV PROKOFYEV / SPUTNIK / KREMLIN POOL)

Le Kremlin a mis mardi en garde contre toute précipitation dans les discussions sur le règlement du conflit en Ukraine, à la veille d'une nouvelle rencontre entre Américains, Ukrainiens et Européens. La réunion vise à pousser un cessez-le-feu.

Le président américain Donald Trump, qui veut mettre un terme au plus vite à cette guerre "terrible et insensée", avait dit dimanche espérer un accord "dans la semaine" entre Moscou et Kiev, sans dévoiler les contours de cet engagement hypothétique.

Le locataire de la Maison Blanche semble s'impatienter et son secrétaire d'Etat, Marco Rubio, a mis la pression sur les deux belligérants la semaine dernière. Il a assuré que Washington pourrait "passer à autre chose" et se retirer des négociations si les Etats-Unis venaient à établir que la paix "n'est pas possible".

En attendant, Vladimir Poutine considère avoir de bonnes cartes entre les mains: malgré de lourdes pertes, son armée avance en Ukraine et contrôle près de 20% du territoire de son voisin, les forces ukrainiennes ont été quasiment entièrement repoussées de la région russe de Koursk, et Donald Trump a impulsé un rapprochement inattendu avec lui depuis mi-février, au grand dam des Occidentaux et de Kiev.

Demandes maximalistes

Ses demandes restent donc maximalistes: le président russe appelle à la reddition de l'Ukraine, son renoncement à rejoindre l'Otan et il demande que Moscou garde les cinq régions ukrainiennes que la Russie a annexées. Des conditions inacceptables pour Kiev et ses alliés.

Plus largement, Vladimir Poutine aimerait parvenir à un accord sur une refonte de l'architecture sécuritaire en Europe, lui qui dénonce l'expansion de l'Otan aux frontières russes depuis la chute de l'URSS au début des années 1990.

En l'état, donc, le maître du Kremlin ne veut pas précipiter, comme l'a fait savoir son porte-parole Dmitri Peskov lundi: le règlement du conflit est "un sujet tellement complexe" qu'"il ne vaut probablement mieux pas fixer de délai serré".

Comprendre: Moscou ne veut pas "essayer de faire rentrer un règlement viable (du conflit) dans un court laps de temps".

Trump optimiste

Or, Donald Trump avait dit dimanche espérer "un accord cette semaine" entre Russes et Ukrainiens, dans un bref message qui ne précisait pas sur quoi le président américain fondait son optimisme soudain. Vendredi, il avait pourtant menacé de se retirer des négociations, faute de progrès rapides dans les discussions.

C'est dans ce contexte incertain qu'Américains, Ukrainiens, Britanniques et Français se retrouveront mercredi à Londres pour une deuxième série de réunions, selon un haut responsable ukrainien, après de premières discussions dans ce format inédit jeudi dernier à Paris.

Cette réunion dans la capitale française n'avait pas permis d'avancée majeure, mais le président ukrainien Volodymyr Zelensky a dit lundi soir vouloir pousser mercredi pour "un cessez-le-feu sans conditions" - une proposition que Vladimir Poutine a pourtant ignorée une première fois en mars.

"Cela doit être le point de départ" vers "la paix", a martelé le chef de l'Etat ukrainien, qualifiant un tel arrêt des hostilités de "priorité absolue".

Plus tôt lundi, il avait aussi dit attendre "une réponse claire" de la Russie à sa proposition sur une nouvelle trêve concernant précisément les attaques contre les infrastructures civiles, après que Vladimir Poutine eut indiqué simplement vouloir "analyser" cette offre.

"Opération marketing"

Le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov, a répété mardi que le maître du Kremlin était "prêt à en discuter", mais Moscou veut "d'abord comprendre si la partie ukrainienne est prête" à un tel cessez-le-feu.

"Si nous parlons d'infrastructures civiles, nous devons clairement différencier les situations dans lesquelles ces infrastructures peuvent être utilisées à des fins militaires et celles dans lesquelles elles ne peuvent pas l'être", a-t-il relevé, deux jours après une trêve pascale annoncée par Vladimir Poutine.

Pendant le week-end, Moscou et Kiev se sont accusés mutuellement de l'avoir violée, et les alliés de l'Ukraine, comme la France, ont dénoncé une "opération marketing", de "séduction", vis-à-vis de l'imprévisible Donald Trump.

Reprise des frappes

Depuis, l'armée russe a repris ses frappes contre l'Ukraine et revendiqué mardi la prise d'une petite localité, Soukhaïa Balka, dans la région de Donetsk.

Des bombes guidées russes ont tué une personne et blessé 23 autres dans un quartier résidentiel de la ville méridionale de Zaporijjia, selon les secours ukrainiens.

Six autres ont été blessées à Kherson (sud), sept à Kharkiv et quatre à Koupiansk (nord-est), d'après les autorités ukrainiennes.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Suisse

Mass-Voll dépose à son tour des signatures contre l'e-ID

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Nicolas Rimoldi, président du mouvement Mass-Voll, a annoncé mardi avoir obtenu 15'000 signatures contre l'e-ID. (© KEYSTONE/PETER SCHNEIDER)

Le mouvement opposé aux mesures anti-Covid Mass-Voll a déposé mardi 15'000 signatures contre la nouvelle identité électronique. D'autres référendaires avaient déjà déposé leurs paraphes séparément. La Chancellerie fédérale doit encore avaliser le tout.

Mass-Voll dispose de quelque 15'000 signatures, a lancé son président Nicolas Rimoldi, mardi à Berne devant la Chancellerie fédérale. En comptant les plus de 40'000 signatures déjà déposées par d'autres comités, avec qui Mass-Voll est en conflit, le total d'environ 55'000 est atteint.

Pour que le référendum soit valable, il faut 50'000 signatures certifiées par la Chancellerie. Nicolas Rimoldi s'est dit "prudemment optimiste" sur le fait que le référendum aboutisse. Il en va de la "protection des droits fondamentaux" et de la liberté en Suisse, selon lui.

Deuxième référendum

La première tentative d'introduction de l'e-ID avait largement échoué dans les urnes en 2021, suite à un référendum du parti Pirate soutenu par la gauche. Le projet prévoyait de confier la gestion de documents d'identité électroniques à des privés.

En décembre dernier, le Parlement a approuvé une nouvelle loi sur l'identité électronique, toujours facultative et gratuite. La loi prévoit cette fois que ce soit la Confédération qui gère la preuve d'identité électronique.

Pas moins de trois comités différents ont lancé un nouveau référendum. Des vives tensions sont apparues entre ces mouvements, ainsi que des bisbilles internes au parti Pirate.

La semaine dernière, un comité composé notamment des Amis de la Constitution, ainsi que l'association "Référendum e-ID 2.0", ont déposé leurs propres signatures à la Chancellerie, 46'000 selon leurs décomptes. Le parti Pirate, qui a participé au référendum et reste opposé à la nouvelle e-ID, avait indiqué dans une communication séparée ne pas être au courant de ce dépôt, ajoutant de la confusion.

Contrôle de la Chancellerie

La Chancellerie fédérale va désormais vérifier toutes les signatures et indiquera si le référendum a formellement abouti. Dans l'affirmative, le Conseil fédéral fixera ensuite la date de la votation.

Les différents comités estiment qu' il n'y aura pas de véritable contrôle étatique, car la Confédération ne peut pas émettre l'e-ID sans passer par des entreprises privées. La technologie ne serait en outre pas transparente. Les opposants déplorent aussi une dépendance vis-à-vis des groupes technologiques et le risque d'une surveillance numérique globale.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

LJS demande l'annulation de l'élection de l'exécutif à Vernier (GE)

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Un nouveau recours est déposé contre le second tour de l'élection du Conseil administratif de Vernier (GE). Le mouvement Libertés et justice sociale (LJS) et son candidat malheureux Djawed Sangdel ainsi que deux autres électeurs demandent l'annulation du scrutin (archives). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Un nouveau recours est déposé contre le second tour de l'élection du Conseil administratif de Vernier (GE). Le mouvement Libertés et justice sociale (LJS) et son candidat malheureux Djawed Sangdel ainsi que deux autres électeurs demandent l'annulation du scrutin du 13 avril.

Le recours a été déposé devant la Chambre constitutionnelle de la Cour de justice pour violation des droits politiques, a annoncé mardi LJS. Selon le mouvement, la publication, par les médias, d'informations fausses mettant en cause sa probité et celle ses candidats à quelques jours de ce second tour a porté atteinte à la libre formation de l'opinion des électeurs.

Après l'élection du Conseil municipal du 23 mars, qui a permis à LJS de remporter six sièges, la justice a été saisie en raison d'anomalies statistiques. Evoquant des "trafics de voix" et des "dénonciations pénales", des articles ont fait un parallèle avec une ancienne affaire qui ne concerne pas le mouvement, selon LJS. Le 14 avril, la Chancellerie a démenti avoir fait une dénonciation pénale.

Candidat discrédité

Pour LJS, la diffusion de ces informations 48 heures avant le vote, sans possibilité d'y répondre ou de les rectifier, a "gravement discrédité" Djawed Sandgel. "Il est le seul candidat à avoir perdu plus de 400 voix entre le premier et le second tour", relève le mouvement, tout en précisant que de nombreux votes ont été enregistrés après la publication des articles.

Alors que le Conseil d'Etat n'a pas encore validé l'élection du délibératif, la justice a déjà été saisie concernant celle de l'exécutif. Vaincu au second tour, le MCG Thierry Cerutti avait immédiatement annoncé qu'une dénonciation pénale sera faite. Selon lui, les trois sortants ont fait campagne en utilisant des deniers publics.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Sport

Luca Gianinazzi à la tête du HC Viège

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Luca Gianinazzi: le Valais après le Tessin. (© KEYSTONE/TI-PRESS/PABLO GIANINAZZI)

Champion de Swiss League, le HC Viège a trouvé son nouveau coach. Luca Gianinazzi succèdera à Heinz Ehlers qui est retourné au Danemark. Son contrat porte sur une année.

Le Tessinois de 32 ans sort d’une expérience de deux ans et demi à la tête du HC Lugano. En Valais, il pourra bénéficier du concours de Kevin Hecquefeuille qui a prolongé pour une année son contrat d’entraîneur-assistant. "Luca Gianinazzi représente une génération d’entraîneurs modernes et orientés vers la performance. Ses valeurs- intensité, discipline et engagement collectif – correspondent parfaitement à l’ADN du HC Viège", écrit le club valaisan.

Le HC Viège annonce par ailleurs les venues du gardien finlandais à licence suisse Juho Markkanen (JoKP), du défenseur Darren Bross (La Chaux-de-Fonds) et de l’attaquant Lenn Zehnder (GCK Lions).

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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