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Les restos d’Edouard:Nagomi

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Direction la rue de Zurich aux Pâquis dans ce restaurant qui fait figure d’institution en matière de sushis et de gastronomie japonaise,Nagomi.

Prenons place au comptoir devant le maître des lieux,le chef Masa (Masahiko Numabukuro).Ici, le chuchotement est de mise dans ce lieu qui aspire à l’humilité et à la quiétude. Nous sommes en pèlerinage culinaire et il s’impose de faire confiance, de se laisser guider par le maître des lieux ,il faut profiter de l’instant avec un mélange de classiques de la maison et de quelques nouveautés en fonction de la saison. Il y a du chaud, il y a du froid... Mais quoiqu'il arrive,c’est le chef qui décide.

Qu’est-ce qu’on mange?

L’Agedashi dofu électrise les sens ! Servi encore chaud, ce plat est composé d’un morceau de tofu frit poché dans un sublimissime bouillon de soja et bonite, le tout accompagné de radis et gingembre râpés.Poursuivons, par quelques makis et nigiris (saumon, thon, thon gras, sériole et crabe),laissez vous tenter par l'huître panée(kaki furai) ou quelques sushis et sashimis.Coté desserts ,les gourmands dégusteront le pudding au sésame noir ou le sorbet au vin de prunes. Le bonheur nippon est sans nul doute chez Nagomi.

Retrouvez les restos d’Edouard chaque Jeudi 11h20 dans l'émission il suffit de demander et recevez la newsletter d’Edouard Amoiel https://amoiel.ch/

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Les restos d’Edouard:Yeast

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Direction Carouge,un quartier gourmand ou le restaurant Yeast vous attend pour un agréable moment devant un repas délicieux.

Il l’avoue sans autre,Edouard Amoiel été touché par cet établissement, par ses vibrations, sa couleur jaune dominante, sa décoration simple, son côté épicerie, sa terrasse à l’arrière du restaurant, ses cartes de mets qui changent au grés des envies des cuisiniers, sa carte des vins sérieusement nature (mais pas que), ses belles pièces de viande ou de poisson à se partager... Mais surtout il aime l’histoire d’un couple, celle des patrons des lieux... Après avoir mis en orbite des chefs aux talents fous,le couple décide de (re)prendre en main leur bébé de la rue Ancienne à Carouge. Elle en salle, lui en cuisine.

Qu’est-ce qu'on mange?

Impossible de résister au turbot et son beurre à la grenobloise (doux mélange de câpres et de citron) escorté par une divine purée siphonnée agrémentée de petits pois et de lardons.Succombons au tartare de thon rouge et sa sauce passion rehaussé d’une pointe de gingembre avant de se délecter de calamars, crème et lard fumé... un peu dans l' esprit de Carbonara.Et pour le dessert,le tiramisu à la noisette et au whisky ,une nouvelle interprétation par Bertrand Lutaud de ce classique transalpin.Il est bon de se perdre à Carouge et de trouver le bonheur culinaire chez Yeast!

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Les restos d’Edouard:Ciro

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C’est parti pour un moment de délices transalpins aux pâquis,chez Ciro ma que buono!

C’est rue de Berne que le chef Ciro Ascione nous reçoit dans sa trattoria ou deux  salles ,deux ambiances nous attendent.

Un premier espace restaurant avec ses nappes blanches, ses petites bougies et une autre salle en mode bistrot.Quelque soit la salle ,la carte est la même pour les deux.

Qu’est-ce qu’on mange?

Mettons nous en appétit avec les incontournables arancini,ces boulettes de riz en version cacio e peppe, panées et frites, surmontées d’une petite quenelle de tartare de bœuf et rehaussé par un zeste de citron.Vous voyez le niveau?

Continuons la dégustation avec les exceptionnels beignets de fleur de courgettes farcis de ricotta et d'anchois et on craque en même temps sur une mini calzone.Et si vous êtes gourmands de pasta,vous trouverez votre bonheur culinaire chez Ciro.

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Les restos d’Edouard: Sachi

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Direction dans l’un de nos grands hôtels à la découverte de Sachi, le restaurant japonais du Mandarin oriental.

Après avoir admiré l’imposant bouquet floral trônant fièrement à l’entrée du lobby, nous arpentons tranquillement le couloir nous menant vers ce temple nippon caché à l'abri des regards. C’est l’équipe de Mitsuru Tsukada, alias chef « Mitsu » et de son directeur de salle Bastien Zimmermann qui nous attend pour nous proposer des mets 5 étoiles. Il y a la véranda et la terrasse afin de profiter des premiers rayons de soleil, et il y a le comptoir d’une dizaine de places où les convives peuvent admirer tout le savoir-faire des maîtres cuisiniers japonais et où le fameux menu Omakase est servi (expression japonaise qui signifie « je m’en remets à vous »).

Qu’est-ce qu’on mange?

Tout commence avec les galettes de riz croustillantes surmontées d’un tartare de thon épicé et d’un tartare de saumon également épicé. Débuts gourmands. On se délecte de quelques pimientos de padron à la sauce miso et légèrement relevés.  Il faut apprécier la finesse et l’élégance du sashimi de sériole et sa sauce soja yuzu. Magnifique entrée souvent imitée et rarement égalée. On se laisse tenter par les crevettes de roches, sauce crémeuse épicée et par l’incontournable, le seul et l’unique black cod sauce Yuzu au miso. Nacré à cœur comme il se doit. Un repas chez Sachi c’est un voyage gastronomique. Tentez l'expérience.

Retrouvez les restos d’Edouard chaque jeudi 11h20 dans l'émission Il suffit de demander et recevez la newsletter d’Edouard Amoiel https://amoiel.ch/

 

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Fini le stress dans l’assiette!

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Savez- vous que l’alimentation peut jouer un rôle essentiel dans votre assiette? La relation entre ce que nous mangeons et notre niveau de stress est complexe.D'une part, le stress peut influencer nos choix alimentaires, souvent en nous poussant vers des aliments réconfortants riches en graisses et en sucres. D'autre part, certains aliments peuvent affecter notre humeur et notre niveau de stress.

Les Acides Gras Oméga-3 : Présents dans les poissons gras comme le saumon, les noix et les graines de lin, les oméga-3 sont connus pour leurs propriétés anti-inflammatoires et leur capacité à améliorer la santé mentale en réduisant les niveaux de cortisol, l'hormone du stress. Les vitamines B, notamment B6, B12 et le folate, jouent un rôle crucial dans le fonctionnement du système nerveux et la production de neurotransmetteurs qui régulent l'humeur. Elles se trouvent dans les légumes verts à feuilles, les avocats, les bananes et les céréales complètes. Le Magnésium : Ce minéral est essentiel pour la relaxation musculaire et la gestion du stress. On le trouve dans les épinards, les amandes, les graines de citrouille et le chocolat noir.

Les Aliments à Éviter 

Les Sucreries et les Aliments Transformés : Les aliments riches en sucres raffinés et en additifs peuvent provoquer des pics de glycémie suivis de chutes rapides, ce qui peut entraîner de l'irritabilité et de l'anxiété.La Caféine et l'Alcool : Bien que ces substances puissent offrir un soulagement temporaire, elles peuvent également perturber le sommeil et augmenter les niveaux de stress à long terme.Manger Régulièrement ,sauter des repas ou adopter des régimes restrictifs peut entraîner des fluctuations de la glycémie, ce qui peut aggraver les symptômes de stress.Intégrez des Super-Aliments dans Vos Repas : Ajoutez des légumes verts, des poissons gras et des grains entiers à vos repas principaux.

Écoutez Flora Ponsar,nutritionniste de l'émission, il suffit de demander,le mercredi à 11h20.

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Les restos d’Edouard:Susuru

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Direction la rue du stand face au bâtiment de l’administration fiscale se trouve un endroit gourmand et accueillant où vous attend Fabien Berthet,le patron de Susuru.

Vous aimez slurper?C’est le terme employé quand on déguste un ramen. Mais d'où vient ce plat?Les ramen que nous connaissons aujourd'hui sont directement inspirés des plats de nouilles chinois, importés au Japon à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle. Les premiers immigrants chinois, en particulier ceux venus de Canton et de Shanghai, ont apporté avec eux leurs traditions culinaires, y compris les nouilles.Les Japonais ont rapidement adopté et adapté ces nouilles chinoises à leurs propres goûts et ingrédients locaux. C'est à ce moment que les ramen ont commencé à prendre leur forme unique.

Qu’est-ce-qu’on mange?

Chez Susuru,la confection dû bouillon est effectuée dans les règles de l’art.La cheffe fait cuire 24 heures les volailles dans un bouillon contenant des carottes, des oignons et des oignons cébettes. Une fois les 24 heures passées, l’élixir est filtré et la cuisinière rajoute une dose de dashi (bouillon japonais contenant du kombu – les algues typiquement nippon et des flocons de bonite séchés). En termes de répartition, cela représente 70% de bouillon et 30% de dashi.Elle ajoute de l’huile infusée faite maison avec de l’ail et du gingembre et une dose de shoyu (une sauce soja infusé aux écrevisses du lac Léman afin d’apporter un côté umami).Les fines pâtes faites maison sont ajoutées, puis des lamelles de poulet pané au panko, un œuf mariné, des haricots mungo, des champignons shiitakes et des oignons nouveaux. Pour les amateurs, susuru propose également des gyozas.

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