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Politique

50 loups tués par les tirs préventifs, selon des organisations

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Environ 50 loups ont été tués en deux mois dans le cadre des tirs préventifs autorisés par la Confédération, selon quatre organisations de protection de la nature (Photo d'illustration). (© KEYSTONE/DOMINIC FAVRE)

Environ 50 loups - dont deux meutes complètes - ont été tués dans le cadre des tirs préventifs autorisés par la Confédération, ont indiqué des organisations environnementales. La période de deux mois ouverte pour cette mesure arrive à échéance ce mercredi.

L'ordonnance sur la chasse adoptée "à la hussarde" a déjà de "sérieuses conséquences", déplorent Bird Life Suisse, le Groupe Loup Suisse (GLS), Pro Natura et le WWF mardi dans un communiqué. "Le loup, espèce protégée par la loi, a été rétrogradé au rang de nuisible", selon elles.

Les chiffres se basent sur les statistiques publiées par les cantons, a indiqué à Keystone-ATS le responsable de l'information de Pro Natura, Nicolas Wüthrich. Il s'agit d'une approximation qui sera affinée avec les données définitives.

Dans le cadre de la mise en oeuvre de la modification de la loi sur la chasse, l'Office fédéral de l'environnement (OFEV) avait autorisé fin novembre des tirs de régulation dans cinq cantons. Certains tirs ont été suspendus après un recours auprès du Tribunal aministratif fédéral.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Importante manifestation à Vienne contre l'extrême droite

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Des dizaines de milliers de personnes ont manifesté à Vienne contre l'extrême-droite aux portes du pouvoir. (© KEYSTONE/AP/Denes Erdos)

"Contre le fascisme": des dizaines de milliers de personnes ont manifesté jeudi à Vienne pour "dire non à un chancelier d'extrême droite", au moment où le chef du FPÖ Herbert Kickl négocie avec les conservateurs pour former un gouvernement.

"J'ai peur pour notre pays, j'ai peur pour l'Europe et en fait pour le monde entier, parce que des autocrates cinglés accèdent au pouvoir et que les gens votent pour eux sans se rendre compte qu'ils creusent leur propre tombe", témoigne Elisabeth Helminger, 59 ans, sur une place noire de monde au coeur de la capitale.

En fauteuil roulant, elle dit avoir tenu à venir malgré ses difficultés pour se déplacer.

La voie s'est brusquement dégagée en début de semaine pour le parti de la Liberté (FPÖ), arrivé premier des législatives fin septembre, après l'échec des discussions entamées en octobre par les autres partis politiques pour lui faire barrage.

Le président écologiste Alexander Van der Bellen a confié à M. Kickl le mandat pour composer une majorité avec les conservateurs. Les discussions ont officiellement démarré ce jeudi.

"Nous ne voulons pas d'un chancelier d'extrême droite et c'est pour cela que nous sommes ici aujourd'hui", a déclaré à l'AFP Alexander Pollack, porte-parole de l'ONG de lutte contre le racisme SOS Mitmensch, évoquant "une menace pour les droits humains et la démocratie".

Crainte d'une dérive

Dans la foule estimée à 50'000 par les organisateurs et moitié moins par les autorités, d'autres disent craindre une dérive "dans le sens de la Hongrie voisine", où le Premier ministre Viktor Orban a progressivement mis au pas les contre-pouvoirs.

"C'est quasiment, entre guillemets, une dictature. Certes Orban est élu dans les urnes mais grâce au lavage de cerveau, il est inamovible et c'est ce à quoi (Kickl) aspire. C'est très dangereux", s'inquiète Peter Mayer, 51 ans, employé dans un bureau d'architecture.

Des rassemblements ont également eu lieu ailleurs dans le pays, comme à Salzbourg et Graz.

Fondé dans les années 1950 par d'anciens nazis, le FPÖ a déjà participé au pouvoir en tant que partenaire minoritaire mais il n'a jamais occupé la chancellerie dans l'histoire contemporaine de cet Etat membre de l'UE de neuf millions d'habitants.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Venezuela: la cheffe d'opposition arrêtée après une manifestation

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Leader de l'opposition, Maria Corina Machado a été arrêtée jeudi lors d'une manifestation peu après être sortie de la clandestinité. (© KEYSTONE/EPA/MIGUEL GUTIERREZ)

La cheffe de l'opposition vénézuélienne Maria Corina Machado, apparue jeudi pour la première fois en public depuis fin août, a été arrêtée après la manifestation contre l'investiture du président Nicolas Maduro à Caracas.

Une source au sein de l'opposition a affirmé à l'AFP que la dirigeante avait été arrêtée en quittant la manifestation.

Quelques minutes auparavant, son équipe avait annoncé sur X qu'elle avait été "violemment interceptée à sa sortie de la manifestation" en moto. Selon le message sur X, des coups de feu ont été tirés sur le cortège de motos qui l'accompagnaient.

Elle avait envisagé une éventuelle arrestation, confiant lundi à l'AFP: "Si quelque chose m'arrive, la consigne est très claire (...), personne ne négociera la liberté du Venezuela contre ma liberté".

Elle avait aussi assuré ne vouloir "manquer pour rien au monde (le) jour historique" de la manifestation.

Lors des dernières grandes manifestations en août, Mme Machado, 57 ans, apparaissait subitement à un coin de rue pour monter sur un camion-podium, haranguait la foule puis disparaissait rapidement en moto pour échapper à une arrestation. Les forces de l'ordre semblent avoir contré jeudi ce modus operandi.

"Nous n'avons pas peur!"

Jeudi, elle était une nouvelle fois arrivée en camion vêtue de blanc et brandissant un drapeau vénézuélien et avait prononcé un court discours dans lequel elle avait lancé: "Tout le Venezuela est dans la rue, nous n'avons pas peur ! A partir d'aujourd'hui, nous entrons dans une nouvelle phase. Le Venezuela est libre, nous allons continuer !"

Les autorités avaient massivement déployé les forces de l'ordre dans le pays, particulièrement dans la capitale.

"Je laisserai ma peau sur l'asphalte pour mes enfants, mais cela en vaudra la peine car le Venezuela sera libre !", affirmait avant l'arrestation Rafael Castillo, 70 ans.

Concluant à Saint-Domingue une tournée internationale, l'opposant Edmundo Gonzalez Urrutia, qui revendique la victoire à la présidentielle, a réclamé la "libération immédiate" de Mme Machado. "Nous nous verrons tous très bientôt à Caracas, en liberté", a-t-il lancé.

"Le seul président élu dans ce pays est Nicolas Maduro, le peuple l'a élu et le peuple le soutient", a estimé quant à lui Noeli Bolivar, 28 ans, qui participe à la marche "pour la paix" en faveur du président, organisée par le pouvoir, qui comme celle de l'opposition a rassemblé des milliers de supporteurs.

Brandissant des drapeaux du Venezuela et portant souvent des vêtements rouges, les partisans du pouvoir parmi lesquels le ministre de l'Intérieur Diosdado Cabello, sont partis de l'est de Caracas pour rallier le centre-ville.

Des marches similaires ont eu lieu à travers le pays, selon des images de la télévision publique.

L'opposition revendique la victoire d'Edmundo Gonzalez Urrutia à la présidentielle. Elle assure que les procès-verbaux des bureaux de vote qu'elle a recueillis prouvent que l'ancien diplomate a remporté le scrutin haut la main - plus de 67% des voix - face à "un régime qui se sait battu" et isolé sur le plan international.

Le Conseil national électoral (CNE) a proclamé le président sortant vainqueur du scrutin avec 52% des voix, mais sans publier les procès-verbaux, se disant victime d'un piratage informatique. Une hypothèse jugée peu crédible par de nombreux observateurs.

L'annonce du CNE avait provoqué des manifestations dans tout le pays, durement réprimées. Les troubles post-électoraux se sont soldés par 28 morts, plus de 200 blessés, et 2400 personnes arrêtées pour "terrorisme".

Nombreuses arrestations

Les forces de sécurité ont procédé à de nombreuses arrestations ces derniers jours: quelque 150 personnes, dont un présumé responsable du FBI (police fédérale américaine) et un militaire américain, selon M. Maduro, qui a évoqué une "agression" financée par les États-Unis.

Washington, qui ne reconnaît pas la victoire de M. Maduro, a qualifié de "catégoriquement fausse" toute accusation de participation "à un complot visant à renverser Maduro", selon un porte-parole du département d'État.

L'ONU s'est dite "profondément inquiète" jeudi de la détention d'opposants politiques et notamment celle de M. Correa, a écrit Volker Türk, le Haut-Commissaire de l'ONU aux droits de l'homme.

Le respecté Carlos Correa, directeur d'une ONG réputée de défense des droits humains, Enrique Marquez, figure de l'opposition vénézuélienne, et le gendre de M. Gonzalez Urrutia font partie des personnes arrêtées.

Exilé en Espagne depuis septembre, M. Gonzalez Urrutia termine en République dominicaine une tournée qui l'a notamment mené à la Maison Blanche.

Il avait envisagé d'aller à Caracas vendredi pour prêter serment à la place de M. Maduro, un projet jugé "improbable" par des observateurs. L'arrestation de Mme Machado va sans doute le conduire à revoir ses plans.

Les autorités vénézuéliennes, qui ont promis une récompense de 100'000 dollars pour l'arrestation M. Gonzalez Urrutia, ont menacé de prison ceux qui l'accompagneraient, affirmant qu'elles réagiraient comme face à une "force d'invasion".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Autour du cercueil de Carter, une unité fugace

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Joe Biden a prononcé un éloge funèbre dans lequel il était difficile de ne pas lire une mise en garde avant le retour au pouvoir de son grand rival Donald Trump. (© KEYSTONE/EPA/SAMUEL CORUM / POOL)

Cinq présidents américains réunis autour du cercueil de leur prédécesseur: les funérailles nationales de Jimmy Carter ont donné jeudi à l'Amérique une image d'unité, fugace et au fond trompeuse, à onze jours de l'investiture de Donald Trump.

Aux premiers rangs de la cathédrale nationale de Washington, jeudi, les acteurs et les actrices de toutes les grandes convulsions politiques des dernières décennies aux Etats-Unis sont venus rendre hommage au 39e président, décédé le 29 décembre à 100 ans.

Joe Biden a prononcé un éloge funèbre dans lequel il était difficile de ne pas lire une mise en garde avant le retour au pouvoir de son grand rival Donald Trump.

"Abus de pouvoir"

"Nous avons le devoir de ne pas laisser de place à la haine et de résister face à ce que mon père considérait comme le plus grand des péchés, l'abus de pouvoir", a dit Joe Biden, que Jimmy Carter avait chargé de prononcer son éloge funèbre.

Avant le début de la cérémonie, son prédécesseur et désormais successeur a conversé aimablement avec Barack Obama.

L'ancien président démocrate, qui s'était impliqué vigoureusement dans la campagne malheureuse de la vice-présidente Kamala Harris contre le républicain, s'est brièvement esclaffé en réaction à quelque chose que lui disait Donald Trump.

Sur la même rangée, l'ancien président démocrate Bill Clinton et son épouse Hillary Clinton, défaite par Donald Trump en 2016 au terme d'une campagne d'une rare agressivité, qui a donné le ton à toutes celles ayant suivi depuis.

Sous la haute voûte de la cathédrale, la litanie des discours élogieux, la solennité du protocole, les chants ont gommé pour un instant les divisions et les violentes inimitiés personnelles.

"Amour et respect"

L'on a ainsi vu Mike Pence, ancien vice-président de Donald Trump, serrant la main de son ancien patron. L'image est stupéfiante, pour qui se rappelle que les trumpistes les plus enragés avaient appelé à le pendre en janvier 2021, quand il avait refusé de bloquer la certification de la victoire de Joe Biden.

Egalement présente, Kamala Harris, régulièrement insultée par Donald Trump pendant les quelques mois de leur affrontement électoral.

Ainsi que George W. Bush, assis devant l'ancien vice-président démocrate Al Gore, qui avait concédé sa défaite face à lui lors de la présidentielle de 2000, après un long suspense.

"Il a dirigé ce pays avec amour et respect", a dit son petit-fils Jason Carter en conclusion d'un hommage tendre.

Il a évoqué un homme simple, ayant vécu toute sa vie dans une maison sans prétention de Plains en Géorgie (sud), où l'on faisait sécher les sachets de congélation en plastique pour les réutiliser, et où le principal téléphone était un modèle à fil accroché au mur de la cuisine.

Ces funérailles clôturent près d'une semaine de deuil. Jeudi a été déclaré jour de deuil national, avec fermeture des administrations fédérales.

Pacificateur

Joe Biden a également ordonné que les drapeaux soient mis en berne pendant 30 jours, comme le veut la coutume. Ils le seront donc pour l'investiture de Donald Trump le 20 janvier, ce que le républicain a critiqué.

Le futur président avait rendu hommage à Jimmy Carter après l'annonce de sa mort, mais a plusieurs fois dénoncé depuis la décision prise par le démocrate de rétrocéder le canal de Panama.

Président d'un seul mandat (1977-1981), perçu comme faible par ses pairs à Washington, avec un bilan domestique souvent jugé médiocre, Jimmy Carter s'est imposé à l'international en pacificateur, négociant notamment le premier accord de paix entre Israël et un pays arabe, l'Egypte.

Après son mandat, il s'est illustré dans différentes initiatives en faveur de la démocratie et des droits humains, un engagement qui lui a valu une reconnaissance internationale, jusqu'au prix Nobel de la paix en 2002.

Jimmy Carter était en soins palliatifs depuis février 2023 à Plains, où il sera enterré au côté de son épouse Rosalynn Carter.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

"Une nouvelle ère" au Liban avec l'élection d'un président

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"Aujourd'hui commence une nouvelle ère dans l'histoire du Liban", a déclaré M. Aoun après avoir prêté serment au Parlement. (© KEYSTONE/AP/Bilal Hussein)

Le commandant en chef de l'armée libanaise, le général Joseph Aoun, a affirmé qu'une "nouvelle ère" s'ouvrait après son élection à la tête du pays, qui a mis fin à une vacance de plus de deux ans ayant aggravé les crises économique et politique.

"Aujourd'hui commence une nouvelle ère dans l'histoire du Liban", a déclaré M. Aoun après avoir prêté serment au Parlement, sous les applaudissements des députés.

M. Aoun, qui aura 61 ans vendredi, s'est engagé à des consultations rapides pour nommer un Premier ministre afin de sortir le pays de la paralysie politique.

Il a promis de respecter l'accord de trêve avec Israël, après la guerre meurtrière qui a opposé l'armée israélienne au Hezbollah pro-iranien jusqu'à fin novembre, et assuré que l'Etat aurait désormais "le monopole des armes".

Paris a félicité M. Aoun et souhaité que le Liban se dote d'un "gouvernement fort", tandis que l'ambassade américaine au Liban s'est dite engagée à travailler "en étroite collaboration" avec le nouveau président.

La représentante de l'ONU pour le Liban, Jeanine Hennis-Plasschaert, a estimé que cette élection était "un premier pas tant attendu pour surmonter le vide politique et institutionnel du Liban".

Le ministre israélien des Affaires étrangères, Gideon Saar, a émis l'espoir que l'élection de Joseph Aoun contribuerait à de "bonnes relations entre voisins".

Téhéran de son côté a salué l'élection du nouveau président, en espérant que les deux pays coopéreront pour servir leurs "intérêts communs", a indiqué l'ambassade de l'Iran au Liban sur le réseau social X.

99 voix

Joseph Aoun a recueilli 99 voix sur 128 au Parlement lors d'une deuxième session dans l'après-midi. Il n'avait obtenu que 71 voix au premier tour de scrutin dans la matinée, les 30 députés du Hezbollah pro-iranien et de son allié, le mouvement chiite Amal, ayant voté blanc.

Mais une rencontre au Parlement entre des représentants des deux formations et le commandant en chef de l'armée entre les deux tours, a changé la donne, lui assurant la majorité nécessaire pour l'emporter.

Le président élu, en tenue civile, est entré dans l'hémicycle sous les applaudissements pour prêter serment.

La candidature de M. Aoun, qui a une réputation de probité et d'impartialité, était appuyée par les Etats-Unis et l'Arabie saoudite, poids lourd régional, selon des responsables politiques libanais.

Des ambassadeurs de plusieurs pays ainsi que l'émissaire français pour le Liban, Jean-Yves Le Drian, ont assisté à la session parlementaire.

Les pressions diplomatiques se sont intensifiées sur les parlementaires pour les pousser à choisir le commandant en chef de l'armée.

Le Hezbollah, acteur incontournable de la scène politique, est sorti affaibli après deux mois de guerre avec Israël et la chute début décembre du président syrien, Bachar al-Assad, son allié.

En vertu du système confessionnel de partage du pouvoir, la présidence du Liban est réservée à un chrétien maronite.

Le Liban était doté d'un système présidentiel mais les pouvoirs du chef de l'Etat ont été largement diminués par l'accord de Taef ayant mis fin à la guerre civile (1975-1990) au profit du Conseil des ministres présidé par un musulman sunnite.

Rôle-clé

Depuis la fin du mandat du président sortant, Michel Aoun (sans lien de parenté avec le commandant en chef de l'armée), en octobre 2022, le Parlement n'est pas parvenu à élire un président.

Des analystes estiment que le rôle-clé de l'armée dans la mise en oeuvre du cessez-le-feu entre Israël et le Hezbollah, entré en vigueur le 27 novembre, a été un facteur déterminant pour l'ascension de Joseph Aoun vers la présidence.

Cette élection s'est tenue après un sérieux revers infligé par Israël au Hezbollah dans la guerre qui les a opposés, tuant notamment son chef, Hassan Nasrallah.

L'accord de cessez-le-feu prévoit le déploiement de l'armée libanaise dans les zones frontalières au fur et à mesure du retrait de l'armée israélienne des zones qu'elle a occupées pendant le conflit.

Le Hezbollah doit retirer ses troupes et démanteler toute infrastructure militaire dans la région.

Les Etats-Unis, la France et l'ONU supervisent le mécanisme de mise en oeuvre du cessez-le-feu.

Liesse

A Aïchiyé, village natal du commandant de l'armée dans le sud du Liban, les habitants ont laissé éclater leur joie, a constaté un correspondant de l'AFP.

Des portraits du général Aoun ornaient les rues, accompagnés de slogans de soutien.

"Nous nous attendions à sa victoire aux élections, car ce que nous savons du général suffit pour oeuvrer à la construction d'un État", a déclaré à l'AFP Anissa Aoun, depuis la place du village.

Le nouveau président a la lourde tâche de désigner un Premier ministre, à la tête d'un nouveau cabinet qui devra obtenir la confiance de la communauté internationale et mettre en oeuvre des réformes urgentes, pour relancer l'économie et reconstruire les zones dévastées dans le sud.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Politique

Le Conseil fédéral est opposé à l'initiative sur la responsabilité environnementale

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Ces dernières années, la Suisse a épuisé en mai toutes les ressources naturelles que la planète peut régénérer en un an (archives). (© KEYSTONE/DPA/SEBASTIAN GOLLNOW)

Quelques heures après les partisans de l'initiative sur la responsabilité environnementale, le Conseil fédéral entre en piste. Le ministre de l'environnement Albert Rösti a recommandé jeudi au peuple suisse de rejeter ce texte qui "va trop loin".

L'initiative populaire "pour une économie responsable dans les limites de la planète" (initiative pour la responsabilité environnementale) demande que l'économie suisse évolue à l'intérieur des limites imposées par la nature. Le Conseil fédéral et le Parlement reconnaissent qu'il faut ménager les ressources.

Ils agissent en ce sens depuis des décennies. Une grande importance est accordée à la protection de l'environnement, indique le gouvernement dans un communiqué.

Mais l'approche défendue par l'initiative aura de lourdes conséquences pour la population et l'économie. La Suisse devrait drastiquement réduire son impact environnemental. Cela n'irait pas sans une multitude de prescriptions et d'interdictions.

Les Suisses trancheront le 9 février.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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