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Pas de trêve malgré la fête nationale pour Biden

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Le co-fondateur de Netflix Reed Hastings, l'un des plus gros donateurs du Parti démocrate, a estimé dans un entretien au New York Times que Biden devait jeter l'éponge. (© KEYSTONE/AP/Alex Brandon)

Le président américain Joe Biden continue jeudi à affronter la tempête déclenchée par son piètre débat face à Donald Trump il y a une semaine. La polémique autour de sa capacité à gouverner quatre ans de plus malgré son âge avancé n'en finit pas d'enfler.

Selon CNN et le New York Times jeudi, qui citent des sources anonymes, Joe Biden a dit à des responsables démocrates lors d'une rencontre la veille qu'il devrait dormir davantage et ne plus prévoir d'événement après 20h00.

Des propos qui ont frustré plusieurs gouverneurs présents, selon CNN.

Après cette rencontre qui visait à rassurer son camp, les gouverneurs démocrates de plusieurs Etats américains lui avaient pourtant publiquement confirmé leur soutien.

"C'était une bonne conversation avec le président et la vice-présidente parce qu'elle était honnête", a déclaré Wes Moore, le gouverneur du Maryland. "Nous avons dit que nous le soutiendrons."

Le président démocrate, 81 ans, fait face à la multiplication des appels au retrait de sa candidature pour l'élection présidentielle de novembre à cause des vives inquiétudes sur son état de forme.

Mais la Maison Blanche a catégoriquement rejeté mercredi la possibilité qu'il se retire de la course pour un second mandat. Le président n'envisage "absolument pas" de jeter l'éponge, a affirmé sa porte-parole Karine Jean-Pierre.

De nombreuses interventions

Joe Biden multiplie ainsi les interventions pour tenter d'éteindre l'incendie - mais le Jour de l'Indépendance, jour férié célébré par les familles américaines à travers le pays, n'a semblé apporter aucune trêve jeudi.

"J'ai été mauvais dans un débat", a-t-il de nouveau reconnu lors d'un entretien avec une radio locale de Pennsylvanie diffusé jeudi matin. Mais "90 minutes sur scène n'efface pas ce que j'ai fait durant trois ans et demi", a-t-il argué.

Pour célébrer la fête nationale américaine, Joe Biden doit assister dans l'après-midi à un barbecue avec des militaires à Washington, en compagnie de la Première dame Jill Biden.

Ses moindres faits et gestes seront ensuite scrutés de près lorsqu'il s'exprimera dans la soirée, avant d'assister aux traditionnels feux d'artifice, accompagné de sa vice-présidente Kamala Harris, qui continue à le soutenir sans failles en public.

Rhume

La Maison Blanche a justifié la prestation désastreuse de Joe Biden lors du débat -- regard dans le vide, phrases embrouillées... - par "un rhume" et "le décalage horaire" consécutif à des voyages internationaux.

Ajoutant au cafouillage, un porte-parole de la Maison Blanche a fait savoir jeudi que le président démocrate avait "été vu" par un médecin pour son rhume quelques jours après le débat. Or la Maison Blanche avait au contraire affirmé mercredi que Joe Biden n'avait pas été soumis à un examen médical depuis son bilan de santé en février.

Trump offensif

Après être resté dans un premier temps plutôt en retrait face aux déboires de son adversaire, Donald Trump a de son côté semblé adopter jeudi une stratégie plus offensive. Joe Biden "s'est étranglé comme un chien durant le débat", a-t-il déclaré sur son réseau Truth Social.

Le milliardaire républicain a également publié une vidéo le montrant sur une voiturette de golf et parlant à des personnes non identifiées.

"J'ai anéanti cette vieille ordure bonne à rien" lors du débat, dit Donald Trump dans cette vidéo filmée à une date non connue. "Ca veut dire qu'on se retrouve avec Kamala", ajoute-t-il en référence à Kamala Harris. "Elle est tellement mauvaise, tellement pathétique."

Interventions cruciales en vue

Vendredi, Joe Biden doit tenir un meeting de campagne à Madison, dans l'Etat décisif du Wisconsin, puis accorder une interview à la chaîne télévisée ABC qui s'annonce d'ores et déjà cruciale. Il doit également tenir une conférence de presse la semaine prochaine.

L'objectif de ces interventions face à la presse: prouver sa capacité à s'exprimer sans prompteur et faire taire le doute qui s'est installé sur ses capacités.

Deux parlementaires démocrates ont appelé ouvertement cette semaine à trouver un candidat plus vigoureux que Joe Biden pour l'élection présidentielle.

Sans aller jusque-là, l'élu démocrate Jared Huffman a appelé jeudi son parti à "admettre qu'il ne s'agissait pas seulement d'une mauvaise soirée".

D'importants journaux, dont le comité de rédaction du New York Times, ont appelé à ce que Joe Biden retire sa candidature. Le journal britannique The Economist a fait de même, en publiant une Une assassine montrant un déambulateur portant l'insigne présidentielle.

Deux sondages publiés mercredi ont fait état d'une nette avance creusée par Donald Trump dans les intentions de vote à l'échelle nationale.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

International

Donald Trump en "excellente santé" selon son bulletin médical

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Dans un compte-rendu particulièrement détaillé, le médecin de la présidence Sean Barbabella précise que Donald Trump, pesé à 101 kilogrammes, a consulté pas moins de 14 spécialistes et passé un "examen neurologique complet". (© Keystone/AP/Jon Elswick)

Âgé de 78 ans, Donald Trump est en "excellente santé cognitive et physique", selon un bulletin de santé publié par la Maison Blanche dimanche, deux jours après sa première visite médicale depuis son retour au pouvoir.

"Le président Trump présente une excellente santé cognitive et physique, et est parfaitement apte à exercer les fonctions de chef d'Etat et de commandant en chef" des forces armées, conclut le bulletin médical du plus vieux président américain jamais élu, accusé pendant son premier mandat de ne pas être transparent sur sa santé.

Dès vendredi, en voyage vers la Floride après avoir passé sa visite médicale à l'hôpital militaire Walter Reed, en proche banlieue de Washington, Donald Trump avait affirmé se sentir "en pleine forme".

Dans un compte-rendu particulièrement détaillé, le médecin de la présidence Sean Barbabella précise que Donald Trump, pesé à 101 kilogrammes, a consulté pas moins de 14 spécialistes et passé un "examen neurologique complet". "La fonction cognitive est normale, avec un score de 30 sur 30", rapporte-t-il.

"Je ne sais pas quoi vous dire, si ce n'est que j'ai eu toutes les bonnes réponses", avait assuré le septuagénaire républicain à propos du test cognitif vendredi.

"Le président Trump se maintient en excellente santé, et présente des fonctions cardiaques, pulmonaires et neurologiques robustes, comme son état physique général", établit son médecin.

"Son mode de vie actif contribue significativement à son bien-être", observe-t-il, en mentionnant entre autres "ses fréquentes victoires dans des tournois de golf". Sont également consignés ses résultats sanguins - tous dans les normes affichées - et les médicaments qu'il prend pour contrôler le cholestérol.

Cicatrice

Son examen ORL note une "cicatrice sur l'oreille droite venant d'une blessure par balle", trace de la tentative d'assassinat dont Donald Trump a été la cible pendant la campagne présidentielle, quand il a été touché par un tir lors d'un meeting en juillet dernier en Pennsylvanie.

La question de la santé du président américain est devenue particulièrement sensible à la fin de la présidence de Joe Biden, qui, achevant son mandat à 82 ans, apparaissait avec une démarche de plus en plus raide et une élocution de plus en plus embrouillée, là où son adversaire donnait l'apparence d'une plus grande vigueur physique.

Donald Trump ne boit pas d'alcool et ne fume pas, mais ne cache pas son goût pour les sodas et les chaînes de fast-food.

Le milliardaire new-yorkais a souvent été accusé par ses opposants de ne pas être transparent sur sa santé, en particulier quand, pendant les derniers mois de son premier mandat, il avait été hospitalisé plusieurs jours pour une infection au Covid-19.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Brésil: Bolsonaro opéré à l'abdomen pour une occlusion intestinale

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L'intervention de Jair Bolsonaro devait durer six heures environ. (© Keystone/AP/Eraldo Peres)

Jair Bolsonaro subit dimanche à Brasilia une opération à l'abdomen en raison d'une occlusion intestinale. L'ex-président brésilien a ressenti de fortes douleurs héritées d'un attentat à l'arme blanche en 2018.

M. Bolsonaro, 70 ans, "est actuellement soumis à une laparotomie (intervention chirurgicale qui consiste en l'ouverture de l'abdomen du patient) pour traiter les adhérences intestinales et reconstituer la paroi abdominale", a expliqué dans un communiqué l'hôpital DF Star de la capitale brésilienne.

"L'intervention chirurgicale a débuté à 8h30 (13h30 en Suisse), pour une durée prévue de six heures", a indiqué à l'AFP une source de l'entourage de l'ancien président d'extrême droite (2019-2022). Jair Bolsonaro avait rejoint Brasilia samedi soir à bord d'un avion sanitaire en provenance de Natal (nord-est), où il avait ressenti de fortes douleurs à l'abdomen.

Il entamait alors une tournée destinée à mobiliser ses sympathisants dans cette région pauvre et fief historique de la gauche, deux semaines après la décision de la Cour suprême d'ouvrir un procès contre lui pour une tentative présumée de coup d'Etat.

Samedi, la décision d'opérer M. Bolsonaro n'avait pas encore été prise, même s'il avait lui-même jugé "probable" que cette option soit privilégiée.

"De nouveaux examens ont révélé la persistance de l'occlusion intestinale en dépit du traitement clinique adopté initialement, c'est pourquoi les équipes médicales ont opté d'un commun accord pour l'intervention chirurgicale", a détaillé l'hôpital de Brasilia dans son communiqué.

"Douleurs insupportables"

M. Bolsonaro a été poignardé par un déséquilibré en plein bain de foule lors de la campagne présidentielle de 2018. Il a finalement été élu quelques semaines plus tard, mais les séquelles de cette attaque lui ont valu plusieurs autres opérations.

Il a déclaré samedi sur le réseau social X que son médecin lui avait dit qu'il s'agissait "de la situation la plus grave depuis l'attentat qui a failli (lui) coûter la vie en 2018". "Après avoir vécu tant d'épisodes similaires tout au long de ces dernières années, je me suis habitué à la douleur. Mais cette fois, même les médecins ont été surpris", a-t-il ajouté.

Vendredi, Jair Bolsonaro avait ressenti des "douleurs insupportables", selon Rogerio Marinho, un sénateur de son parti, qui l'accompagnait au début de sa tournée dans plusieurs villes de l'Etat du Rio Grande do Norte, dont Natal est la capitale.

Présidentielle 2026

Deux semaines plus tôt, la Cour suprême a décidé d'ouvrir un procès contre M. Bolsonaro. Le parquet l'accuse d'avoir ourdi un complot de longue date avec des proches collaborateurs, notamment des ministres et des militaires haut gradés, pour se maintenir au pouvoir après l'élection de 2022, perdue au second tour face à son grand rival Luiz Inacio Lula da Silva, actuel président de gauche.

Déclaré inéligible jusqu'en 2030 pour ses attaques sans preuves sur la fiabilité du système d'urnes électroniques brésilien, M. Bolsonaro espère encore faire annuler ou réduire cette condamnation pour se présenter à la présidentielle de 2026.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Meloni reçoit le vice-président américain JD Vance le 18 avril

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La Première ministre italienne Giorgia Meloni va accueillir JD Vance, le vice-président américain, le 18 avril à Rome. (© KEYSTONE/EPA/ETTORE FERRARI)

La Première ministre italienne Giorgia Meloni recevra le vice-président américain JD Vance le 18 avril à Rome, au lendemain de son propre déplacement à Washington où elle sera reçue par le président Donald Trump, selon un communiqué officiel.

Le vice-président américain s'est converti au catholicisme et sa visite en Italie devrait comprendre, selon les médias de la péninsule, également une étape au Vatican, le 18 avril étant le Vendredi saint qui précède la fin de la période de Pâques.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Pape François: bain de foule imprévu sur la place Saint-Pierre

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Pour le Dimanche des rameaux, le pape François est venu saluer les fidèles sur la place St-Pierre (photo prétexte). (© KEYSTONE/ANDREE-NOELLE POT)

Le pape François, convalescent après une grave pneumonie, s'est offert dimanche un bain de foule imprévu d'une dizaine de minutes sur la place Saint-Pierre, saluant les fidèles et religieux venus pour la messe du Dimanche des rameaux.

Le pape de 88 ans, assis dans son fauteuil roulant et semblant en assez bonne forme, sans canules nasales pour l'oxygène, a fait le tour de la place, serrant des mains, faisant offrir des bonbons aux enfants avant de lancer depuis l'autel dressé devant la basilique Saint-Pierre un "bon Dimanche des rameaux, bonne Semaine sainte".

Le souverain pontife argentin a multiplié depuis une semaine ces sorties surprises qui ne figurent dans aucun programme officiel du Vatican.

François avait fait une première apparition inattendue il y a une semaine devant la basilique Saint-Pierre pour saluer les fidèles, avant de recevoir mercredi en audience privée le roi Charles III d'Angleterre et la reine Camilla alors que leur entrevue avait été initialement annulée.

Il s'est rendu aussi jeudi dans la basilique Saint-Pierre pour inspecter des travaux de rénovation et se recueillir devant le tombeau de Pie X, saluant au passage fidèles et restaurateurs et samedi il est allé prier dans sa basilique préférée, celle de Sainte Marie Majeure.

Dans sa prière dominicale de l'Angélus, transmise par le Vatican, le pape a remercié les fidèles pour leurs prières et a appelé à la paix dans le monde, avec une pensée particulière pour les victimes de l'effondrement d'une discothèque à Saint-Domingue.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Ukraine: au moins 34 morts dans une frappe russe sur Soumy

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Cette attaque contre des civils est la frappe la plus meurtrière depuis des mois en Ukraine. (© Keystone/AP/Volodymyr Hordiienko)

Une frappe russe de missiles sur un centre-ville bondé en ce dimanche des Rameaux a tué au moins 34 personnes et blessé près d'une centaine d'autres à Soumy, dans le nord-est de l'Ukraine, selon les secours locaux.

Cette attaque contre des civils, qui intervient deux jours après la visite d'un haut responsable américain en Russie, est la frappe la plus meurtrière depuis des mois en Ukraine et notamment la reprise de contact entre Washington et Moscou initiée mi-février par le président américain Donald Trump.

"La Russie a frappé le centre-ville avec des missiles balistiques. Juste au moment où il y avait beaucoup de gens dans la rue", ont indiqué les services de secours ukrainiens sur les réseaux sociaux.

Selon cette source, le dernier bilan, à 18h00 (17h00 en Suisse), est d'au moins 34 morts, dont deux enfants, et de 117 blessés, dont 15 enfants.

Les gens ont été blessés "en plein milieu de la rue, dans des voitures, les transports en commun, les maisons", décrivent les services d'urgence, alors que les opérations de secours se poursuivent.

Les autorités locales de Soumy ont publié des images de corps étendus dans la rue et de personnes courant se mettre à l'abri, de voitures en flammes et de civils blessés à terre.

"Criminels de guerre"

L'attaque a eu lieu "un jour où les gens vont à l'église: le dimanche des Rameaux... Seuls des salauds peuvent faire cela", a lancé le président ukrainien Volodymyr Zelensky.

Il a appelé à "faire pression" sur la Russie pour "arrêter la guerre".

"Sans une pression vraiment forte, sans un soutien adéquat pour l'Ukraine, la Russie continuera à mener cette guerre", a-t-il déclaré sur Telegram, en accusant son homologue russe Vladimir Poutine d'avoir "ignoré la proposition américaine d'un cessez-le-feu total et inconditionnel".

Sur Telegram, le chef des renseignements militaires ukrainiens (GUR), Kyrylo Boudanov, a affirmé que la Russie avait utilisé "deux missiles balistiques Iskander-M/KN-23".

Condamnations

Plusieurs dirigeants européens alliés de Kiev ont également réagi. Le chancelier allemand Olaf Scholz a condamné une "attaque barbare", tandis que la Première ministre italienne Giorgia Meloni a déploré une frappe "horrible et lâche" qui "contredit tout engagement réel en faveur de la paix".

"Cette guerre, chacun sait que c'est la Russie, seule, qui l'a voulue. Aujourd'hui, il est clair que c'est la Russie qui, seule, choisit de la poursuivre", a fustigé pour sa part, sur X, le président français Emmanuel Macron, appelant à "des mesures fortes" pour imposer une trêve à Moscou.

Le Premier ministre britannique Keir Starmer s'est dit lui "consterné" et a exigé que Vladimir Poutine "accepte" une trêve immédiate et sans conditions.

L'ambassade de Suisse à Kiev s'est jointe aux condamnations, présentant ses condoléances aux familles des nombreuses victimes innocentes et des blessés. Les civils ne doivent en aucun cas être pris pour cible. Le droit humanitaire international doit être respecté, écrit l'ambassade de Suisse sur le réseau social X.

Pression croissante

L'attaque est intervenue deux jours après la rencontre à Saint-Petersbourg entre l'émissaire américain Steve Witkoff et le président russe Vladimir Poutine. Et malgré le mécontentement exprimé publiquement par le président américain Donald Trump à l'égard de Moscou ce mois-ci, pour avoir "bombardé comme des fous" en Ukraine.

La Russie a attaqué l'Ukraine sans relâche ces dernières semaines malgré la pression de Trump pour que le conflit prenne fin.

Au début du mois d'avril, une attaque russe contre la ville de Kryvyi Rig (centre) a tué 18 personnes, dont neuf enfants, et choqué tout le pays.

Parallèlement, les tractations diplomatiques se prolongent, sans concessions déterminantes du gouvernement russe. Kiev et des capitales occidentales soupçonnent la Russie, dont l'armée est plus nombreuse et mieux équipée sur le front, de faire traîner à dessein les discussions.

En mars, Washington avait proposé un cessez-le-feu inconditionnel. Mais Vladimir Poutine n'avait pas été convaincu et cette proposition de trêve de 30 jours, acceptée par Kiev, ne s'est pas concrétisée.

Soumy est proche de la frontière russe et subit une pression croissante depuis que Moscou a repoussé une grande partie des troupes ukrainiennes de la région voisine russe de Koursk.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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