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Des milliers de Palestiniens fuient les intenses combats à Gaza

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Des réfugiés palestiniens dans un camp à Khan Younès, dans le sud de la bande de Gaza. De nombreux réfugiés ont été déplacés plusieurs fois pour échapper aux intenses combats auxquels se livrent l'armée israélienne et le Hamas à Gaza. (© KEYSTONE/AP/Abdel Kareem Hana)

L'armée israélienne a bombardé par air et terre la ville de Gaza mardi, poussant à la fuite des milliers de Palestiniens. Des experts de l'ONU ont eux accusé Israël, qui a démenti, de mener une "campagne de famine intentionnelle" dans le territoire assiégé.

Cette offensive majeure israélienne dans le nord de la bande de Gaza se poursuit à la veille de nouvelles négociations attendues au Qatar pour tenter d'avancer vers un cessez-le-feu associé à une libération des otages israéliens retenus à Gaza.

Au dixième mois de la guerre qui ne connaît pas de répit, 27 Palestiniens ont été tués dans une frappe sur une école à l'est de Khan Younès (sud), selon une source médicale palestinienne. Trois écoles abritant des déplacés ont été touchées depuis samedi par des frappes israéliennes faisant 20 morts.

Intenses combats

Dans la ville de Gaza, les troupes israéliennes, appuyées par des chars et des bombardements aériens, ont mené une nouvelle offensive contre le mouvement islamiste. Il s'agit des combats "les plus intenses depuis des mois", a affirmé le Hamas.

Le 27 juin, l'armée a lancé une opération terrestre à Choujaïya, dans l'est de Gaza-ville, avant de l'étendre lundi aux quartiers du centre, où "des dizaines de milliers de personnes", selon l'ONU, ont été appelées à évacuer par l'armée.

A pied, à bord de voitures ou de camionnettes, des Palestiniens, en majorité des femmes et des enfants ont pris la fuite en emportant quelques affaires.

Le bureau des droits de l'homme de l'ONU s'est dit "consterné" par les ordres d'évacuation israéliens, qui poussent des déplacés à rejoindre des secteurs visés à leur tour et "où des civils se font tuer".

L'armée a dit "poursuivre son opération antiterroriste" à Gaza. Des habitants y ont signalé des tirs d'hélicoptères, "des explosions et de nombreuses fusillades" dans plusieurs quartiers.

"Campagne de famine"

"Nous avons à nouveau environ 350'000 personnes sur les routes. Et depuis le début de la guerre, presque tous les habitants de Gaza ont été déplacés une fois, deux fois, trois fois, quatre fois ou cinq fois, ce qui montre qu'il n'y a absolument aucun endroit sûr" dans le territoire, a déclaré à Amman le chef de l'agence de l'ONU pour les réfugiés palestiniens (Unrwa), Philippe Lazzarini.

A Genève, dix experts indépendants de l'ONU ont accusé Israël de mener une "campagne de famine" à Gaza, qui selon eux entraîne la mort d'enfants. "La campagne de famine intentionnelle et ciblée d'Israël contre le peuple palestinien est une forme de violence génocidaire et a entraîné une famine dans toute la bande de Gaza."

Des accusations balayées par la mission israélienne auprès de l'ONU à Genève, accusant les experts d'être "coutumiers tant de la désinformation que du soutien à la propagande du Hamas".

Le 7 octobre, des commandos du Hamas infiltrés depuis Gaza dans le sud d'Israël ont lancé une attaque qui a entraîné la mort de 1195 personnes, en majorité des civils, selon un décompte de l'AFP établi à partir de données officielles israéliennes. Sur 251 personnes alors enlevées, 116 sont toujours retenues à Gaza dont 42 sont mortes, selon l'armée israélienne.

En riposte, Israël a mené une offensive d'envergure à Gaza qui a fait jusqu'à présent 38'243 morts, en majorité des civils, dont au moins 50 ces dernières 24 heures, selon le ministère de la Santé du gouvernement de Gaza, dirigé par le Hamas.

"Destructeur du Liban"

Après des mois de négociations sans résultat sur un cessez-le-feu, une source proche des discussions a indiqué que les chefs de la CIA et des services de renseignement israélien étaient attendus mercredi à Doha.

Israël et le Hamas ont continué de faire état de divergences après que le mouvement palestinien a dit selon un responsable ne plus réclamer un cessez-le-feu permanent avant toute négociation sur une libération d'otages.

Le Hamas doit participer aux prochaines négociations, a dit un responsable du groupe.

Le bureau du Premier ministre Benjamin Netanyahu a affirmé que "tout accord devrait permettre à Israël de se battre jusqu'à ce que tous les objectifs de la guerre soient atteints", dont la destruction du Hamas.

Concernant les échanges de tirs transfrontaliers entre Israël et le Hezbollah libanais, le ministre israélien des Affaires étrangères, Israël Katz, a averti son chef Hassan Nasrallah. "Nasrallah, si vous ne cessez pas les menaces et la violence (...) vous serez considéré comme le destructeur du Liban."

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

International

Nouveaux échanges de tirs entre armées indienne et pakistanaise

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Les forces indiennes et pakistanaises ont échangé des tirs dans la nuit de vendredi à samedi le long de la ligne de contrôle (LoC), frontière de facto entre Inde et Pakistan au Cachemire (archives). (© KEYSTONE/AP/CHANNI ANAND)

Les forces indiennes et pakistanaises ont échangé des tirs pendant la nuit le long de la frontière de facto entre Inde et Pakistan au Cachemire, après de premiers incidents la veille, a déclaré l'armée indienne samedi.

L'armée indienne a déclaré que des tirs d'armes légères "non provoqués" ont été effectués par de "nombreux" postes de l'armée pakistanaise "tout au long de la ligne de contrôle au Cachemire" dans la nuit de vendredi à samedi.

"Les forces indiennes ont réagi de manière appropriée en faisant usage d'armes légères", a déclaré l'armée dans un communiqué précisant que ces tirs n'avaient fait aucune victime.

L'Inde et le Pakistan, deux puissances nucléaires alliées aux Etats-Unis, sont engagés dans une escalade depuis une attaque meurtrière mardi au Cachemire indien.

New Delhi accuse son voisin d'être lié à l'attentat qui a causé la mort de 26 civils à Pahalgam.

Le gouvernement ultranationaliste hindou de New Delhi et Islamabad, qui se sont déjà livré trois guerres depuis leur partition dans la douleur en 1947, se sont lancés dans une spirale de mesures punitives et de rétorsion.

L'armée indienne a détruit vendredi à l'explosif deux maisons présentées comme appartenant aux familles des auteurs de l'attaque; tandis que le Sénat pakistanais a voté à l'unanimité une résolution qui "rejette" les accusations "infondées" de l'Inde et "prévient" que le Pakistan est "prêt à (se) défendre".

L'armée indienne avait confirmé des tirs brefs à l'arme légère lancés vendredi, selon elle, par le Pakistan et auxquels elle a répondu.

Le Conseil de sécurité de l'ONU a appelé vendredi les deux pays à une "retenue maximale".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Décès de Virginia Giuffre, plaignante clé de l'affaire Epstein

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En août 2019, Virginia Roberts Giuffre, au centre, lors d'une conférence de presse devant un tribunal de Manhattan où elle a témoigné après la mort en prison du prédateur sexuel Jeffrey Epstein (archives). (© KEYSTONE/AP/BEBETO MATTHEWS)

Virginia Giuffre, l'une des principales plaignantes de l'affaire Jeffrey Epstein, financier américain qui était accusé de trafic sexuel de mineures, s'est suicidée à son domicile en Australie à l'âge de 41 ans, a annoncé samedi sa famille.

Mme Giuffre avait accusé le milliardaire américain Jeffrey Epstein, mort en détention en 2019, de l'avoir utilisée comme "esclave sexuelle" au tournant des années 2000.

L'Américano-Australienne avait conclu en 2022 un arrangement de plusieurs millions de dollars avec le prince Andrew, frère du roi Charles III d'Angleterre, qu'elle accusait d'agression sexuelle quand elle était mineure dans cette affaire.

"C'est avec le coeur brisé que nous annonçons que Virginia est décédée la nuit dernière dans sa ferme en Australie occidentale", a déclaré la famille dans un communiqué transmis à l'AFP par son agent.

"Elle s'est suicidée après avoir souffert tout au long de sa vie des agressions sexuelles et du trafic sexuel" dont elle a été victime.

"Incroyable courage"

"Il n'y a pas de mots qui puissent exprimer la grave perte que nous ressentons aujourd'hui avec le décès de notre douce Virginia", a déclaré la famille, se souvenant de son "incroyable courage et de son esprit aimant".

"En fin de compte (...) il est devenu insupportable pour Virginia de supporter le poids des agressions" subies. Mme Giuffre laisse trois enfants, Christian, Noah et Emily, a précisé sa famille.

Son avocate, Sigrid McCawley, pour qui Mme Giuffre avait été une "amie très chère" a souligné qu'elle avait contribué à défendre d'autres victimes dans cette affaire. "Son courage m'a poussé à me battre plus fort, et sa force était impressionnante".

L'agente new-yorkaise Dini von Mueffling a décrit sa cliente comme "l'un des êtres humains les plus extraordinaires" qu'elle ait connus. "Profondément aimante, sage et drôle, elle était un phare pour les autres survivants et victimes", a-t-elle déclaré.

Les accusations de Virginia Giuffre avaient précipité la disgrâce du prince Andrew, qui s'est retiré de la vie publique.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Brésil : l'ex-président Collor de Mello en prison pour corruption

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Premier président brésilien élu après la dictature militaire, Fernando Collor de Mello avait été condamné en 2023 dans le cadre du méga-scandale de corruption "Lavage-express" (archives). (© KEYSTONE/AP/ERALDO PERES)

Condamné en 2023 à près de neuf ans de réclusion pour corruption, l'ex-président brésilien Fernando Collor de Mello, le premier élu au suffrage universel direct après la dictature militaire, a été incarcéré vendredi.

Au pouvoir de 1990 à 1992, M. Collor de Mello, 75 ans, a été arrêté dans la matinée à Maceio (nord-est), a déclaré à l'AFP une source de la police fédérale sous couvert de l'anonymat, n'étant pas autorisée à s'exprimer publiquement.

Il a été transféré dans l'après-midi vers une prison locale.

Le juge de la Cour suprême Alexandre de Moraes a rejeté un ultime recours de la défense "et a ordonné l'arrestation immédiate de l'ex-président de la République et ex-sénateur Fernando Collor de Mello", a expliqué jeudi soir la plus haute juridiction du Brésil dans un communiqué.

Ce magistrat a ordonné vendredi que la peine commence à être purgée dans la prison Baldomero Cavalcanti de Oliveira, à Maceio, dans une "aile spéciale" où il bénéficiera d'une "cellule individuelle", en raison de "sa condition d'ex-président".

Maladie de Parkinson

Le juge Moraes a par ailleurs demandé au bureau du procureur général de la République de se prononcer sur une requête de la défense réclamant que l'ancien chef de l'Etat soit assigné à résidence pour raisons de santé. Selon ses avocats, ce dernier souffre notamment de la maladie de Parkinson.

Sa défense avait exprimé dès jeudi soir sa "surprise" et sa "préoccupation" après l'ordre d'incarcération, qui doit être prochainement soumis au vote des autres magistrats de la Cour suprême. En attendant, l'ex-président doit demeurer en détention.

Dans un pays à l'histoire marquée par des scandales de corruption qui ont touché tous les camps ces dernières années, suscitant un profond écoeurement dans l'opinion, la classe politique ne s'est pas bousculée pour réagir à l'incarcération de Fernando Collor de Mello.

Rare exception: la députée transgenre de gauche Erika Hilton a salué la nouvelle sur le réseau X d'un "AU REVOIR, CHERI!" sans équivoque.

"Lavage-express"

Premier président brésilien élu directement par le peuple après la dictature militaire (1964-1985), Fernando Collor de Mello avait démissionné à mi-mandat, en 1992, après avoir vu le Parlement ouvrir une procédure de destitution à son encontre pour corruption passive.

Il avait été condamné en 2023 à huit ans et dix mois de prison dans le cadre d'un méga-scandale révélé par l'enquête tentaculaire "Lavage-express", qui a ébranlé l'échiquier politique brésilien pendant la dernière décennie.

Sénateur de centre-droit entre 2006 et 2022, il a été reconnu coupable d'avoir reçu 20 millions de réais entre 2010 et 2014 (environ trois millions d'euros, au taux de change actuel) pour avoir facilité "de façon irrégulière" la signature de contrats entre une entreprise de BTP et une filiale de la compagnie pétrolière publique Petrobras.

Fernando Collor de Mello, dont l'élection avait suscité un immense espoir, n'est pas le premier ex-chef de l'Etat brésilien à avoir maille à partir avec la justice.

Procès Bolsonaro en vue

Depuis la fin de la dictature, quatre des sept occupants du palais présidentiel de Planalto ont été à un moment donné condamnés, emprisonnés ou destitués.

Quant à l'ex-président d'extrême droite Jair Bolsonaro (2019-2022), il sera prochainement jugé pour tentative de coup d'Etat, une première.

Il est accusé d'avoir voulu conjurer sa défaite à la présidentielle de 2022 et empêcher le retour au pouvoir de son rival de gauche Luiz Inacio Lula da Silva, revenu aux affaires début 2023 après deux premiers mandats (2003-2010).

Egalement ciblé par l'enquête "Lavage-Express", Lula a été incarcéré 580 jours, d'avril 2018 à novembre 2019, après avoir été condamné pour corruption passive et blanchiment.

Sa condamnation a finalement été annulée par la Cour suprême, qui a considéré que le juge qui l'a condamné en première instance n'était pas impartial.

Cette annulation a permis à la figure emblématique de la gauche de disputer, puis de remporter, l'élection présidentielle de 2022 face à Jair Bolsonaro.

Vainqueur de Lula en 1989, M. Collor de Mello avait soutenu M. Bolsonaro au cours de la campagne de 2022.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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La Russie et l'Ukraine "très proches d'un accord" affirme Trump

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Le président ukrainien Zelensky rend hommage aux victimes d'une frappe russe sur Kiev. Donald Trump a affirmé vendredi sur son réseau social que Moscou et Kiev étaient "très proches d'un accord" (archives). (© KEYSTONE/EPA/STRINGER)

Donald Trump a affirmé vendredi que la Russie et l'Ukraine étaient "très proches d'un accord", et a exhorté les deux parties à se rencontrer pour le finaliser.

"Ils sont très proches d'un accord, et les deux parties devraient maintenant se rencontrer, au plus haut niveau, pour +le finaliser+", a écrit le président américain sur sa plateforme Truth Social peu après son arrivée à Rome, où il doit assister samedi aux funérailles du pape François.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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La Colombie reconnaît l'échec de sa politique de "paix totale"

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En 2023, la Colombie a battu son propre record concernant la production de cocaïne et le nombre d'hectares cultivés de coca, selon les chiffres de l'ONU (archives). (© KEYSTONE/AP/FERNANDO VERGARA)

Le ministre colombien de l'Intérieur a reconnu vendredi que la politique de "paix totale" du gouvernement n'avait "pas donné de bons résultats". Les négociations avec la plupart des groupes armés du pays sont rompues ou enlisées et les affrontements se multiplient.

Gustavo Petro, lui-même ancien guérillero, a été élu premier président de gauche du pays en 2022 sur une promesse de "paix totale" et une stratégie cherchant à désamorcer par le dialogue avec plusieurs groupes - guérilleros, paramilitaires, narcotrafiquants - un conflit armé vieux de six décennies.

Mais à un an de la fin de son mandat, son gouvernement ne mène plus des discussions qu'avec deux des cinq groupes dissidents de l'ex-guérilla des Forces armées révolutionnaires de Colombie (Farc), organisation qui a signé la paix en 2016, et avec un petit front de l'Armée de libération nationale (ELN).

"Un plan de paix totale a été conçu qui, disons-le franchement, n'a pas donné de bons résultats", a reconnu le ministre de l'Intérieur Armando Benedetti, proche de M. Petro, lors d'un sommet des gouverneurs dans la ville de Yopal (est).

Le gouvernement n'a pas réussi à mener à bien des négociations avec les groupes les plus puissants: la majeure partie de l'ELN, le cartel de drogue Clan del Golfo et l'État-Major Central (EMC), principale dissidence des Farc dirigée par un homme connu sous l'alias "Ivan Mordisco", le criminel le plus recherché du pays.

Projets sociaux

M. Benedetti a tenté de convaincre les gouverneurs, dont beaucoup sont très critiques vis-à-vis du gouvernement, que les opérations des forces de l'ordre ne sont pas l'unique solution au conflit et les a exhortés à privilégier l'investissement dans des projets sociaux.

Il a aussi soutenu que l'État devait acheter les récoltes de feuilles de coca - l'ingrédient principal de la cocaïne - aux agriculteurs, afin d'éviter qu'elles tombent entre les mains des trafiquants.

Gustavo Petro avait affiché son objectif d'en finir définitivement avec le conflit armé interne, qui n'a pas cessé malgré le désarmement des Farc en 2017.

Mais sous son mandat, les groupes armés se sont renforcés, selon l'aveu même de son ministre de la Défense, le général Pedro Sanchez.

En 2023, la Colombie a battu son propre record concernant la production de cocaïne et le nombre d'hectares cultivés de coca, selon les chiffres de l'ONU.

Malgré l'offensive des forces de sécurité, soutenues par les États-Unis, le pays reste le premier producteur mondial de cette drogue.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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