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Politique

Le canton désigne un nouveau préfet pour l'Ouest lausannois

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Agé de 30 ans, Jonas Kocher est actuellement coordinateur en communication et médiateur pour le chantier du tram lausannois et siège au Conseil communal de Renens qu'il a présidé en 2020. (© Etat de Vaud)

Le Conseil d'Etat vaudois a désigné le nouveau préfet du district de l'Ouest lausannois en la personne de Jonas Kocher, âgé de 30 ans. Actuellement coordinateur en communication et médiateur pour le chantier du tram Renens-Flon, il siège au Conseil communal de Renens qu'il a présidé en 2020.

Son entrée en fonction est prévue le 1er octobre prochain. Il succèdera à Anne Marion Freiss, qui, elle, reprendra la préfecture du district de la Broye-Vully à la suite du départ à la retraite d'Olivier Piccard, indique vendredi le canton dans un communiqué.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Législatives: l'extrême droite largement en tête au premier tour

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Les Français "ont rendu un verdict sans appel", s'est réjoui dimanche Jordan Bardella dont le parti d'extrême droite le Rassemblement national (RN) est arrivé largement en tête du premier tour des élections législatives en France. (© KEYSTONE/EPA/CHRISTOPHE PETIT TESSON)

Le Rassemblement national (RN) est arrivé largement en tête dimanche du premier tour des élections législatives en France. Historique, ce scrutin pourrait ouvrir les portes du pouvoir à l'extrême droite pour la première fois depuis la Deuxième Guerre mondiale.

Avec 34-34,2% des suffrages, le RN et ses alliés devancent la coalition de gauche du Nouveau Front populaire (NFP), qui obtient 28,1-29,1%, loin devant le camp d'Emmanuel Macron à 20,3-21,5%, lors de ce vote marqué par une participation en forte hausse, selon deux sondages.

Les premières projections en sièges pour la future Assemblée nationale, à prendre avec beaucoup de précautions, créditent le RN et ses alliés d'une forte majorité relative, voire d'une majorité absolue, à l'issue du second tour des législatives le 7 juillet.

"Verdict sans appel"

Les Français "ont rendu un verdict sans appel", s'est réjoui dimanche soir Jordan Bardella, 28 ans, qui semble se rapprocher irrésistiblement de Matignon, où siège le Premier ministre.

Le second tour des législatives sera "l'un des plus déterminants de toute l'histoire de la Ve République" française, fondée en 1958, a-t-il ajouté, assurant qu'il voulait être, s'il l'emporte, "le Premier ministre de tous les Français", "respectueux de la Constitution" mais "intransigeant".

Le pari du président Emmanuel Macron de dissoudre l'Assemblée nationale au soir de la déroute de ses candidats aux élections européennes du 9 juin, est dans tous les cas définitivement perdu.

Le "bloc macroniste" est "pratiquement effacé", s'est réjouie la ténor du RN, Marine Le Pen, qui avait perdu face au chef de l'Etat au second tour des deux dernières présidentielles.

"Tourner la page"

Les Français ont montré "leur volonté de tourner la page de sept ans de pouvoir méprisant et corrosif" du chef de l'Etat Emmanuel Macron, a estimé Mme Le Pen, élue dès le premier tour dans sa circonscription du Nord.

Les législatives visent à choisir les 577 députés siégeant à l'Assemblée nationale, dont le prochain visage dépendra des tractations entre partis et d'éventuels désistements et consignes de vote dans chaque circonscription. D'autant que ce second tour pourrait être marqué par un nombre record de triangulaires.

"Face au Rassemblement national, l'heure est à un large rassemblement clairement démocrate et républicain pour le second tour", a affirmé Emmanuel Macron dans une déclaration écrite.

Mais alors que le "front républicain" contre l'extrême droite n'a cessé de se fissurer au fil des ans, le président français n'a pas totalement clarifié l'attitude à suivre en cas de duels entre le RN et le NFP ou de triangulaires.

Des ténors de son camp semblaient jusqu'ici plutôt pencher pour un "ni RN, ni La France insoumise", le parti de gauche radicale membre du NFP, une position critiquée en interne.

Faire barrage à l'extrême droite

A gauche, écologistes, socialistes et communistes ont annoncé qu'ils se retireraient si un autre candidat, majorité présidentielle incluse, était mieux placé pour faire barrage au RN.

Le chef de file de LFI, Jean-Luc Mélenchon, qui a qualifié ce scrutin de "lourde et indiscutable défaite" pour Emmanuel Macron, est allé dans le même sens en annonçant le retrait des candidats de gauche arrivés en troisième position dimanche si le RN est en position de l'emporter dans une circonscription.

En revanche, le parti de droite conservateur Les Républicains (LR) s'est refusé à appeler ses électeurs à voter contre le RN dimanche prochain.

"Nous avons sept jours pour éviter à la France une catastrophe", a lancé de son côté le député européen de gauche Raphaël Glucksmann, qui a appelé tous les candidats arrivés en troisième position à se désister.

Si Jordan Bardella entrait à Matignon, ce serait la première fois depuis la Deuxième Guerre mondiale qu'un gouvernement issu de l'extrême droite dirigerait la France. Le président du RN a toutefois prévenu qu'il n'accepterait le poste de Premier ministre que si son parti détient la majorité absolue.

Il s'agirait aussi d'une cohabitation inédite entre Emmanuel Macron, président pro-européen, et un gouvernement beaucoup plus hostile à l'Union européenne, qui pourrait faire des étincelles sur les prérogatives des deux têtes de l'exécutif, notamment en matière de diplomatie et défense.

Assemblée bloquée?

Un autre scénario possible est celui d'une Assemblée bloquée, sans alliance envisageable entre des camps très polarisés, au risque de plonger la France dans l'inconnu.

Au terme de cette journée qui a vu un fort afflux dans les bureaux de vote, la participation devrait s'établir au moins à 65% des inscrits, selon les instituts de sondage, contre 47,51% en 2022 et contre 67,9% lors des dernières législatives organisées après une dissolution, en 1997.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Le Hongrois Orban annonce vouloir former un nouveau groupe

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Les eurodéputés du parti national conservateur Fidesz (extrême droite) de Viktor Orban (photo) sont actuellement non-inscrits dans un groupe parlementaire (archives). (© KEYSTONE/EPA/ANGELO CARCONI)

Le Premier ministre hongrois Viktor Orban a annoncé dimanche vouloir former un nouveau groupe parlementaire européen qui comprendrait un parti d'extrême droite autrichien et le mouvement populiste de l'ancien chef du gouvernement tchèque Andrej Babis.

"Nous prenons l'initiative de lancer cette nouvelle plateforme", a dit M. Orban à des journalistes, lors d'une conférence de presse conjointe avec Andrej Babis et Herbert Kickl, le chef du parti autrichien d'extrême droite FPÖ. La nouvelle alliance aura besoin du soutien de délégations de quatre autres pays afin d'être reconnue comme un groupe au Parlement européen.

Poussés à la porte du PPE (conservateurs pro-européens) il y a quelques années, les eurodéputés du parti national conservateur Fidesz (extrême droite) de Viktor Orban sont actuellement non-inscrits dans un groupe parlementaire, comme ceux de M. Babis qui viennent de quitter Renew (libéraux et centristes).

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp / belga / dpa

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International

Les Français votent massivement pour des législatives historiques

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Incarné par Jordan Bardella, le Rassemblement national est donné en tête par les sondages qui le créditent de 34 à 37% des intentions de vote. Les Français de Suisse sont aussi allés voter dimanche, notamment comme ici au Palais de Beaulieu à Lausanne. (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Les Français ont massivement voté dimanche au premier tour d'élections législatives historiques, avec une participation à 17h00 au plus haut depuis près d'un demi-siècle. Ce scrutin pourrait, dans une semaine, ouvrir les portes du pouvoir à l'extrême droite.

A 17h00, le taux de participation atteignait 59,39%, soit 20 points de plus qu'au premier tour du scrutin législatif de 2022 à la même heure. C'est le plus fort taux depuis le premier tour des législatives de 1978, à l'exception du scrutin de 1986 mais qui se déroulait à la proportionnelle à un tour.

Au terme de la journée, la participation devrait être comprise entre 67,5% et 69,7% selon les différents instituts de sondage. Elle sera donc largement supérieure aux 47,51% de 2022 et pourrait dépasser les 67,9% des dernières législatives organisées après une dissolution, en 1997.

Premiers résultats tombés outre-mer

Preuve de cet engouement, plus de 2,7 millions de procurations ont été établies depuis le 10 juin, selon le ministère de l'Intérieur, un nombre quatre fois supérieur à celui d'il y a deux ans.

En outre-mer, où l'on vote beaucoup moins qu'en métropole, les électeurs se sont davantage déplacés, et de premiers résultats ont été publiés.

Les députés sortants du groupe centriste Liot ou investis par le Nouveau Front populaire (NFP) sont en tête en Guadeloupe et en Guyane. En Polynésie, le candidat autonomiste Moerani Frébault est élu dès le premier tour. Premier élu des 577 nouveaux députés, il sera aussi le premier Marquisien à siéger à l'Assemblée nationale.

En Martinique, le Rassemblement national (RN) a réussi à qualifier un de ses candidats pour le second second tour, une première dans ce département. Mais avec moins de 10%, il a très peu de chances d'être élu la semaine prochaine.

Anxiété et fébrilité

Dans les bureaux de vote, beaucoup d'électeurs témoignaient de leur anxiété et de leur fébrilité pour ces élections anticipées décidées à la surprise générale par le président Emmanuel Macron le 9 juin, et pour lesquelles le RN est grand favori.

De nombreuses personnalités politiques sont allées voter dans la matinée. Le président Emmanuel Macron l'a fait au Touquet, dans le nord-ouest de la France, s'accordant, comme à son habitude, un long bain de foule avec selfies et accolades. La cheffe de file de l'extrême droite Marine Le Pen a quant à elle voté à Hénin-Beaumont, dans le nord.

Le Premier ministre Gabriel Attal, qui a voté dans les Hauts-de-Seine, fera une déclaration au quartier général du parti présidentiel Renaissance après 20h00, selon son entourage. Le leader de La France insoumise (LFI) Jean-Luc Mélenchon a lui glissé son bulletin dans l'urne en début d'après-midi à Paris.

Les Français peuvent se rendre aux urnes jusqu'à 18h00 ou, dans les grandes villes, jusqu'à 20h00, heure à laquelle se dessineront les premiers résultats de ce scrutin susceptible de bouleverser le paysage politique.

Incarné par le visage lisse de Jordan Bardella, 28 ans, le RN caracole dans les sondages, qui le créditaient de 34 à 37% des intentions de vote, avec la perspective inédite d'obtenir une majorité relative ou absolue le 7 juillet, au soir du second tour.

Dans ces enquêtes d'opinion, à prendre avec précaution, le RN devance l'alliance de gauche du Nouveau Front populaire (NFP), donnée entre à 27,5 et 29% et le camp présidentiel (centre droit), avec 20 à 21%.

Un pari risqué

Si Jordan Bardella devenait Premier ministre, ce serait la première fois qu'un gouvernement issu de l'extrême droite dirigerait la France depuis la Deuxième guerre mondiale, au cours de laquelle un régime collaborationniste non élu avait été mis en place.

Dans le cas contraire, le risque d'une Assemblée bloquée, sans possibilité d'alliance entre des camps très polarisés, est réel, un scénario qui plongerait la France dans l'inconnu.

Pari ultra risqué, la décision du président Macron de dissoudre la chambre basse du Parlement le 9 juin, à peine annoncé l'échec de ses troupes aux élections européennes, avait provoqué un séisme politique.

Malgré ses divergences internes, la gauche était dans les jours suivants parvenue à conclure un accord de coalition. Mais les différends entre le groupe de gauche radicale La France Insoumise (LFI) et ses partenaires (socialistes, écologistes, communistes), notamment sur la figure contestée de l'ex-candidat de LFI à l'élection présidentielle Jean-Luc Mélenchon, ont vite ressurgi et parasité leur campagne.

Trois candidats pour le second tour

Pendant ce temps, rien n'a semblé freiner la dynamique du RN en campagne sur le pouvoir d'achat et contre l'immigration: ni le flou sur l'abrogation de la réforme des retraites de M. Macron, ni l'émoi suscité par la volonté de M Bardella d'exclure les binationaux d'"emplois stratégiques", ni les propos sulfureux de certains candidats du RN.

Les enseignements du premier tour pourraient toutefois être difficiles à tirer, en raison notamment du grand nombre de triangulaires - trois candidats qualifiés pour le second tour.

Mais aussi d'une autre inconnue: le nombre des désistements dans l'entre-deux tours, la pratique du "front républicain" pour faire obstacle à l'extrême droite ayant faibli au fil des années.

C'est chez les "macronistes" que la pression est la plus forte, Emmanuel Macron ayant été élu chef de l'Etat en ayant eu recours en 2017 puis 2022), à l'argument du barrage contre l'extrême droite. Il a promis jeudi "la plus grande clarté" sur l'attitude à suivre mais semblait jusqu'ici pencher pour un "ni RN, ni LFI" critiqué jusque dans son propre camp.

Lundi en mi-journée, il réunira le Premier ministre et les autres membres du gouvernement au palais présidentiel de l'Elysée, pour établir une stratégie face à l'extrême droite.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Biden tente de rassurer les donateurs après son débat calamiteux

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Aucune figure du parti démocrate n'a encore rallié les voix appelant Joe Biden à se retirer de la course à la présidentielle. (© KEYSTONE/AP/Evan Vucci)

Le président américain Joe Biden a assisté samedi à trois collectes de fonds pour sa campagne et tenté de rassurer. Il a affirmé être en mesure de remporter la présidentielle malgré sa prestation chaotique jeudi lors du débat face à son prédécesseur Donald Trump.

"Je n'ai pas passé une bonne soirée mais Trump non plus", a relaté le candidat démocrate de 81 ans lors d'une des collectes organisées dans les Etats de New York et du New Jersey, dans le nord-est des Etats-Unis. "Je vous promets que nous allons remporter cette élection", a-t-il ajouté.

Jill Biden a défendu avec force son époux, face aux appels en faveur du retrait de sa candidature, en affirmant que "Joe n'est pas seulement la bonne personne pour le poste, il est la seule personne pour le poste". Tous deux se sont rendus samedi dans le New Jersey pour une collecte de fonds.

"Je comprends votre inquiétude après le débat", a déclaré le président américain, lançant: "Je vais me battre davantage".

Appel du New York Times

La candidature de Joe Biden fait l'objet de doutes, depuis sa prestation calamiteuse lors du débat face à l'ancien président Donald Trump, jeudi soir, entre mots avalés, phrases inachevées et expression hagarde, une contre-performance qui a ébranlé ses partisans et fait réagir les médias.

Dans un éditorial, le prestigieux quotidien américain New York Times a dépeint M. Biden comme étant "l'ombre d'un dirigeant", après avoir "échoué à son propre test" lors du duel télévisé. "Le plus grand service public que pourrait rendre aujourd'hui M. Biden serait d'annoncer qu'il ne se représentera pas à l'élection", a écrit le comité de rédaction, ajoutant cependant qu'il a été "un président admirable".

Aucune figure du parti démocrate n'a encore rallié les voix l'appelant à se retirer. Les anciens présidents Barack Obama et Bill Clinton ont redit vendredi leur soutien à Joe Biden.

Selon une note publique de Jennifer O'Malley Dillon, à la tête de l'équipe de campagne du candidat démocrate, un sondage interne après le débat a conclu que "les opinions des votants [n'avaient] pas changé". Elle affirme également que le soutien s'est accru pendant le débat et à son issue. Selon elle, 27 millions de dollars ont pu être levés vendredi soir.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Espagne: manifestations contre le surtourisme

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"Malaga pour vivre, pas pour survivre", peut-on lire sur cette pancarte tenue par une manifestante ce samedi dans les rues de la ville andalouse. Des îles Baléares aux Canaries en passant par Barcelone, les mouvements hostiles au surtourisme se multiplient en Espagne. (© KEYSTONE/EPA/MARIA ALONSO)

Des milliers de personnes ont manifesté samedi dans les villes espagnoles de Malaga et Cadix (sud) contre le tourisme de masse, accusé de priver la population locale de logements abordables. La colère monte dans le pays, deuxième destination touristique mondiale.

Avec comme mot d'ordre: "Malaga pour vivre, pas pour survivre", près de 5'500 personnes, selon la sous-préfecture, se sont réunis dans le centre historique de la grande ville andalouse de 570'000 habitants, haut-lieu du tourisme de "sol y playa" (soleil et plage).

A l'appel d'une cinquantaine d'associations locales, ils se sont rassemblés, avec des pancartes où était écrit: "Interdiction des logements touristiques" ou "Salaire de 1300, loyer de 1100, comment vivre?".

"Un parc d'attraction"

"La ville est devenue un parc d'attraction", assure à l'AFP Quique, manifestant de 26 ans, qui s'inquiète de ces "logements touristiques qui ont pris la place, de façon irrégulière, des logements habituels".

En Espagne, la province de Malaga est celle qui compte le plus grand nombre de logements à usage touristique, soit 39'000, dont 6500 dans la ville même, selon l'Institut national des statistiques. La ville attire de très nombreux touristes et travailleurs expatriés en raison de ses dizaines de plages et d'une offre culturelle dont Picasso, né dans la ville en 1881, est la figure centrale.

A Cadix, autre ville andalouse, des centaines de personnes se sont également rassemblées dans le centre historique derrière le slogan: "un touriste de plus, un voisin en moins".

Le port de Cadix, situé dans le centre historique de cette ville de seulement 117'000 habitants, est devenu une destination populaire pour les navires de croisière, avec l'arrivée de 20 d'entre eux au mois de juin, selon les données du port local. L'arrivée quasi quotidienne de milliers de voyageurs congestionne les rues étroites du vieux quartier.

Les Espagnols exaspérés

Des îles Baléares aux Canaries en passant par Barcelone, les mouvements hostiles au surtourisme se multiplient en Espagne.

Dans les années 2010, déjà, des habitants s'étaient mobilisés contre le surtourisme, principalement à Barcelone. Mais après la pause due au Covid-19, l'exaspération semble avoir grimpé d'un cran, alors que l'Espagne a accueilli l'an dernier un record de 85,1 millions de visiteurs étrangers.

Le tourisme en Espagne représente 12,8% du PIB et concentre 12,6% des emplois.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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