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Le Hongrois Orban annonce vouloir former un nouveau groupe

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Les eurodéputés du parti national conservateur Fidesz (extrême droite) de Viktor Orban (photo) sont actuellement non-inscrits dans un groupe parlementaire (archives). (© KEYSTONE/EPA/ANGELO CARCONI)

Le Premier ministre hongrois Viktor Orban a annoncé dimanche vouloir former un nouveau groupe parlementaire européen qui comprendrait un parti d'extrême droite autrichien et le mouvement populiste de l'ancien chef du gouvernement tchèque Andrej Babis.

"Nous prenons l'initiative de lancer cette nouvelle plateforme", a dit M. Orban à des journalistes, lors d'une conférence de presse conjointe avec Andrej Babis et Herbert Kickl, le chef du parti autrichien d'extrême droite FPÖ. La nouvelle alliance aura besoin du soutien de délégations de quatre autres pays afin d'être reconnue comme un groupe au Parlement européen.

Poussés à la porte du PPE (conservateurs pro-européens) il y a quelques années, les eurodéputés du parti national conservateur Fidesz (extrême droite) de Viktor Orban sont actuellement non-inscrits dans un groupe parlementaire, comme ceux de M. Babis qui viennent de quitter Renew (libéraux et centristes).

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp / belga / dpa

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Autre faille de sécurité pour le ministre américain de la défense

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Pete Hegseth avait été averti par des fonctionnaires du Pentagone de ne pas discuter d'informations concernant des frappes au Yémen sur Signal (archives). (© KEYSTONE/AP/Alex Brandon)

Le secrétaire américain à la défense Pete Hegseth, mis en cause dans une faille de sécurité le mois dernier, a aussi partagé des informations sur une frappe au Yémen sur un autre groupe Signal, selon le New York Times. Il fait l'objet d'une enquête interne.

Cet ancien présentateur de la chaîne Fox News avait partagé le 15 mars des informations sensibles sur la messagerie Signal, dans une conversation à laquelle participait un journaliste, apparemment invité par erreur.

Selon le New York Times, M. Hegseth a en outre participé le même jour à une conversation sur un autre groupe Signal, à laquelle assistait son épouse, son frère, son avocat, "ainsi qu'une dizaine de personnes de son entourage personnel et professionnel".

Le grand quotidien new-yorkais, qui cite "quatre personnes au courant de cette conversation", précise que le secrétaire à la défense a diffusé à cette occasion les horaires précis des vols des appareils qui devaient aller frapper des cibles rebelles houthis au Yémen, "essentiellement les mêmes plans d'attaque que ceux qu'il avait partagés le même jour sur un autre groupe Signal".

Avertissement du Pentagone

Le journal précise que l'épouse du ministre, journaliste et également ancienne salariée de Fox News, n'est pas employée par le Pentagone, alors que le frère et l'avocat de M. Hegseth y occupent des postes. "Mais on ne voit pas pourquoi l'un ou l'autre aurait eu besoin d'être au courant de frappes imminentes contre les Houthis au Yémen", écrit le NYT.

Selon le quotidien, des fonctionnaires du Pentagone avaient averti le ministre quelques jours plus tôt qu'il ne devait pas discuter d'informations concernant des frappes au Yémen sur Signal, une messagerie cryptée mais considérée comme moins sûre que les canaux officiels utilisés habituellement pour les données sensibles.

Un haut responsable du Pentagone, cité par le NYT, a assuré qu'il n'y avait pas eu de brèche dans la sécurité nationale.

Lors du premier "Signalgate", le président américain Donald Trump avait défendu ses ministres impliqués dans la conversation avec le journaliste Jeffrey Goldberg, du magazine The Atlantic. Mike Waltz, son conseiller à la sécurité nationale, en avait endossé la "responsabilité" en expliquant avoir créé le groupe sur Signal.

Selon le NYT, l'autre groupe a en revanche été créé par M. Hegseth en personne.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Immigration: entre Trump et les juges, le bras de fer s'accentue

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Depuis son retour au pouvoir en janvier, Donald Trump a érigé la lutte contre l'immigration clandestine en priorité absolue (archives). (© KEYSTONE/AP/ALEX BRANDON)

Des "juges faibles": le président américain Donald Trump a encore fustigé dimanche les magistrats se dressant contre le renvoi des migrants. Samedi, la cour suprême a suspendu les expulsions d'immigrés vénézuéliens au Salvador en vertu d'une loi d'exception.

Dans un long message de Pâques sur son réseau social Truth Social, le milliardaire républicain a étrillé les "tarés de la gauche radicale" se battant pour "ramener dans notre pays des meurtriers, des barons de la drogue, des prisonniers dangereux, des aliénés mentaux et des membres bien connus du gang Ms-13".

Il s'en est aussi pris aux "juges faibles et inefficaces" permettant "à cette sinistre attaque contre notre nation de se poursuivre".

La veille, la plus haute instance juridique du pays avait pris de court son gouvernement en annonçant la suspension jusqu'à nouvel ordre des expulsions d'immigrés vénézuéliens vers le Salvador, réalisées en vertu d'une loi n'ayant été utilisée qu'en temps de guerre.

Depuis son retour au pouvoir en janvier, Donald Trump a érigé la lutte contre l'immigration clandestine en priorité absolue, évoquant une "invasion" du pays par des "criminels venus de l'étranger", et mettant en scène des expulsions.

"Crise constitutionnelle"

Washington a ainsi expulsé depuis la mi-mars plus de 250 immigrés vers le Salvador, dont une grande partie, des Vénézuéliens, l'ont été en vertu d'une loi d'exception sur "les ennemis étrangers" datant de 1798.

Ces expulsions sont vivement contestées par les avocats de plusieurs d'entre eux, qui assurent qu'ils n'appartiennent à aucun gang criminel, n'ont commis aucun crime et ont été ciblés principalement en raison de leurs tatouages.

"Nous nous rapprochons de plus en plus d'une crise constitutionnelle", a alerté dimanche Amy Klobuchar, sénatrice démocrate du Minnesota sur CNN.

Plusieurs magistrats ont tenté ces dernières semaines de freiner le gouvernement dans sa politique d'expulsions massives, s'attirant les foudres de l'exécutif.

Dans un cas distinct devenu emblématique, le gouvernement Trump a été sommé par la justice de "faciliter" le retour de Kilmar Abrego Garcia, un immigré salvadorien expulsé à tort et désormais emprisonné au Salvador.

Bien qu'il ait reconnu une "erreur administrative", le gouvernement se montre inflexible et assure que ce père de famille marié à une Américaine et qu'il accuse sans apporter de preuve d'être un gangster, "ne reviendra pas" dans le pays.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Un superbe cadeau d'anniversaire pour Alexander Zverev

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Alexander Zverev: un 24e titre le jour de ses 28 ans (© KEYSTONE/AP/Matthias Schrader)

Alexander Zverev a fêté dimanche de la plus belle des manières son 28e anniversaire. Le no 3 mondial s'est offert comme cadeau le titre à l'ATP 500 de Munich.

Il s'est imposé 6-2 6-4 devant Ben Shelton (ATP 15) sans avoir concédé la moindre balle de break. Il a ravi le service de l'Américain d'entrée de jeu dans les deux manches pour cueillir le 24e titre de sa carrière, son troisième à Munich après ses succès en 2017 et en 2018.

Méconnaissable depuis sa défaite en finale de l'Open d'Australie face à Jannik Sinner en début d'année, Alexander Zverev a retrouvé toutes ses sensations à Munich. Il a rappelé en Bavière qu'il demeure l'un des grands favoris du prochain Roland-Garros, dont il fut le finaliste l'an dernier.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Malgré la fatigue, le pape s'offre un bain de foule pour Pâques

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Le pape François s'est offert un bain de foule malgré son état encore faible. (© KEYSTONE/EPA/ANGELO CARCONI)

Le pape François, toujours très affaibli, s'est offert dimanche un bain de foule surprise place Saint-Pierre auprès de milliers de fidèles réunis pour célébrer Pâques. Il a plus tôt délégué la lecture de son discours.

Un mois à peine après sa sortie de l'hôpital, où il a frôlé la mort avec une double pneumonie, le pape de 88 ans a parcouru pendant une quinzaine de minutes les allées de la place à bord de sa "papamobile" et béni des nourrissons dans une ambiance survoltée, encadré par de nombreux gardes du corps.

Quelques minutes plus tôt, il était apparu en fauteuil roulant, sans canules nasales à oxygène, au balcon de la basilique Saint-Pierre pour donner sa traditionnelle bénédiction "Urbi et Orbi" (à la ville et au monde). "Chers frères et soeurs, joyeuses Pâques", a-t-il lancé d'une voix essoufflée aux fidèles, qui l'ont chaleureusement applaudi.

"Je suis émue par la force qu'il déploie parce qu'il est malade et très vieux. C'est un Argentin comme nous. Il est des nôtres. Nous nous sentons bénis", a confié à l'AFP Maria Repezza, une Argentine de 58 ans, les larmes aux yeux.

Rencontre "privée" avec JD Vances

Apparu fatigué et peinant à s'exprimer malgré l'amélioration de ses capacités respiratoires, François a délégué à un collaborateur la lecture de son texte où il a appelé au respect de la "liberté de pensée et d'expression" et exhorté les dirigeants à "ne pas céder à la logique de la peur qui enferme".

"Que de mépris se nourrit parfois envers les plus faibles, les marginalisés, les migrants", a-t-il lancé en invitant à "abattre les barrières qui créent des divisions".

Quelques instants plus tôt, François a reçu le vice-président américain JD Vance pour une "rencontre privée" de "quelques minutes", deux mois après avoir vivement critiqué la politique migratoire de l'administration de Donald Trump.

"Dignité"

Du Yémen à l'Ukraine en passant par le Soudan, le Sahel ou la Syrie, le pape a cité une dizaine de pays en conflit et a de nouveau plaidé pour le désarmement, un thème central de son pontificat. Il a dénoncé la "situation humanitaire dramatique et ignoble" à Gaza tout en mettant en garde contre "le climat d'antisémitisme croissant qui se répand dans le monde entier", qu'il estime "préoccupant".

"J'appelle les belligérants: cessez le feu, que les otages soient libérés et que l'aide précieuse soit apportée à la population affamée qui aspire à un avenir de paix", a-t-il lancé. "Face à la cruauté des conflits qui impliquent des civils sans défense, qui s'en prennent aux écoles et aux hôpitaux ainsi qu'aux agents humanitaires, nous ne pouvons pas nous permettre d'oublier que ce ne sont pas des cibles qui sont touchées, mais des personnes avec une âme et une dignité."

Date commune

Pour la première fois depuis son élection en 2013, le chef du 1,4 milliard de catholiques a manqué la plupart des rendez-vous de la Semaine sainte, dont le Chemin de Croix au Colisée vendredi et la veillée pascale samedi soir, dont il a délégué la présidence à des cardinaux.

La messe de Pâques a été présidée par le cardinal italien Angelo Comastri sur la place Saint-Pierre ornée de milliers de fleurs hollandaises en présence de quelque 300 prêtres, évêques et cardinaux. Pour son seul engagement public de cette Semaine sainte, Jorge Bergoglio - censé observer un strict repos de deux mois, sans activités publiques - s'était rendu jeudi dans une prison du centre de Rome pour rencontrer des détenus.

Déjà affaibli par des problèmes de santé à répétition et des interventions chirurgicales, François a frôlé la mort à deux reprises au cours de son hospitalisation de 38 jours à l'hôpital Gemelli, dont il est sorti le 23 mars.

Depuis, il poursuit sa rééducation et continue de travailler depuis sa résidence, sans donner d'audiences à des groupes ni présider de messe. Fait rare, les chrétiens du monde entier célèbrent cette année Pâques le même jour du fait de la concordance des calendriers grégorien, suivi par les catholiques et protestants, et julien, suivi par les orthodoxes.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Ukraine: Zelensky dénonce la poursuite des attaques malgré la trêve

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La trêve de Pâques décrétée par Vladimir Poutine a été décidée pour des "raisons humanitaires". (© KEYSTONE/EPA/RAMIL SITDIKOV / SPUTNIK / KREMLIN / POOL)

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a accusé dimanche les forces russes de poursuivre leurs attaques. Cela malgré le cessez-le-feu promis la veille par Vladimir Poutine pour Pâques.

Cette proposition de trêve inattendue de 30 heures, déclarée unilatéralement par le président russe, aurait constitué la pause la plus significative dans les combats en trois années de conflit.

Mais quelques heures seulement après cette annonce, les alertes aériennes ont repris en Ukraine où les autorités - qui s'étaient engagées à respecter le cessez-le-feu - ont dénoncé sa violation par les Russes.

Volodymyr Zelensky a indiqué sur sa page Facebook dimanche que les tirs d'obus, assauts et attaques par drone s'étaient poursuivis pendant la nuit.

"Dans l'ensemble, le matin de Pâques, nous pouvons affirmer que l'armée russe tente de donner l'impression générale d'un cessez-le-feu, tout en poursuivant dans certaines régions des tentatives isolées d'avancer et d'infliger des pertes à l'Ukraine", a écrit le président, citant un rapport du commandant en chef de l'armée ukrainienne, Oleksandre Syrsky.

Entre 18H00 locales et minuit, ce rapport signale "387 bombardements et 19 assauts par les forces russes" ainsi que l'usage de dizaines de drones. Depuis minuit "il y a déjà eu 59 cas de bombardements et cinq assauts d'unités russes", ajoute-t-il.

Accusations russes

L'Ukraine répondra "symétriquement" à toute attaque, a affirmé M. Zelensky. La Russie a affirmé de son côté dimanche que ses forces avaient "repoussé" des attaques ukrainiennes durant la nuit.

"Malgré l'annonce de la trêve de Pâques, des unités ukrainiennes ont tenté, durant la nuit, d'attaquer les positions russes dans les zones de Sukhaya Balka et Bogatyr, dans la République populaire de Donetsk, mais ces attaques ont été repoussées", a annoncé le ministère russe de la Défense, en faisant référence à des villages situés dans la partie orientale de la région de Donetsk, contrôlée par la Russie.

Un journaliste de l'agence étatique russe RIA Novosti dans la ville de Donetsk tenue par les Russes a rapporté avoir entendu des explosions et vu un incendie dimanche matin.

Impasse

La trêve ordonnée samedi par M. Poutine intervient alors que les efforts de l'administration américaine pour trouver une issue au conflit en Ukraine paraissent dans l'impasse.

Vendredi, le président américain Donald Trump a menacé de se retirer des négociations faute de progrès rapides dans les discussions séparées que ses lieutenants ont depuis plusieurs semaines avec Kiev et avec Moscou.

Vladimir Poutine a justifié cette trêve de Pâques "par des considérations humanitaires", la décrétant de 17h00 samedi à 23h00 dimanche.

"Je donne l'ordre de cesser toutes les hostilités pendant cette période", a déclaré le dirigeant russe à la télévision, tout en demandant à ses forces de se tenir prêtes à une "réponse immédiate et complète" en cas de "violations de la trêve".

Son homologue ukrainien s'était dit prêt à respecter le cessez-le-feu, proposant même de l'étendre "au-delà du 20 avril".

"Chance à la paix"

"La Russie doit se conformer pleinement aux conditions du cessez-le-feu. La proposition de l'Ukraine de mettre en oeuvre et de prolonger le cessez-le-feu pendant 30 jours après minuit ce soir reste sur la table," a déclaré Volodymyr Zelensky dans un message posté dimanche.

Précédemment, il avait estimé que "30 jours pourraient donner une chance à la paix".

Mais les habitants de Kiev interrogés par l'AFP ne croyaient pas à une trêve. "Ils ont déjà rompu leur promesse. Malheureusement, nous ne pouvons pas faire confiance à la Russie", a déclaré Olga Grachova, une commerçante de 38 ans.

"Tout ce que nous proposons, malheureusement, reste seulement au stade de proposition. Personne n'y répond", déplorait Natalia, une médecin de 41 ans.

Il faut que "cette guerre terrible se termine, pour que notre peuple, nos soldats et nos enfants cessent de mourir", soulignait Sergiy Klochko, 30 ans, un cheminot.

"Diabolique"

"Il est impossible de croire à un quelconque cessez-le-feu de la part de ces gens", estimait Dmitri, un soldat urkainien de 40 ans, samedi, à Kramatorsk (est). "Je pense que cet homme (Poutine) est diabolique, un meurtrier".

A Moscou, Evgeniy Pavlov, 58 ans, affirmait pour sa part qu'il ne fallait "pas donner de répit à l'Ukraine".

La Russie a annoncé samedi avoir échangé 246 prisonniers de guerre ukrainiens, contre le même nombre de prisonniers russes, en plus de 31 blessés ukrainiens et 15 blessés russes.

Les Emirats arabes unis, médiateur sur ce dossier, ont salué "le plus grand échange" de prisonniers depuis le début de la guerre.

La fête de Pâques, l'une des plus importantes du calendrier chrétien, qui commémore la résurrection du Christ, est célébrée cette année dimanche, à la même date par les catholiques et les orthodoxes.

Dans une allocution de Pâques, M. Zelensky a déclaré que le sens de cette fête religieuse était que "le mal reculera, et que la vie triomphera".

"Aujourd'hui, ces mots résonnent dans chaque coeur ukrainien. Et ils renforcent notre foi, qui, malgré tout, n'a pas faibli pendant 1152 jours de guerre totale", a-t-il affirmé.

Des tentatives d'instaurer un cessez-le-feu à cette occasion en Ukraine ont déjà eu lieu à deux reprises depuis le début du conflit en février 2022.

La Russie a revendiqué samedi avoir "libéré" la quasi-totalité - "99,5%" -, de la région russe de Koursk, cible en août 2024 d'une offensive surprise des forces ukrainiennes. Une telle progression replacerait à nouveau en totalité le front sur le sol ukrainien.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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