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Majorité attendue pour le Premier ministre sortant au Kosovo

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Albin Kurti et son parti ont fait campagne en promettant de gouverner le Kosovo "d'un bout à l'autre", c'est à dire même dans les territoires habités majoritairement par des Serbes où l'influence de Belgrade est bien plus palpable que celle de Pristina. (© KEYSTONE/EPA/GEORGI LICOVSKI)

Les bureaux de vote ont fermé au Kosovo. Le camp du Premier ministre sortant, Albin Kurti, a recueilli un peu plus de 40% des voix selon les premières estimations, moins que la majorité absolue qu'il espérait.

Selon ces estimations de médias locaux, son parti Vetevendosje (VV, "autodétermination", social démocrate) a récolté 42,3% des voix, suivi par le Parti démocratique du Kosovo (PDK) avec 21,3%.

"Je remercie tous les citoyens du Kosovo qui ont voté jusqu'à présent et j'encourage tout le monde à le faire. Exercez votre droit démocratique pour faire entendre votre voix", a lancé en allant voter M. Kurti. Il a fait de ce scrutin un "référendum historique" pour le Kosovo qui s'est séparé de la Serbie en 2008.

Albin Kurti et le VV ont fait campagne en promettant de gouverner le Kosovo "d'un bout à l'autre", c'est à dire même dans les territoires habités majoritairement par des Serbes où l'influence de Belgrade est bien plus palpable que celle de Pristina.

Score de la Srpska Lista scruté

Mais pour les électeurs rencontrés par l'AFP, les questions économiques étaient au coeur du vote, dans un pays certes en croissance, mais qui reste l'un des plus pauvres du continent européen. "Nous croyons que le changement viendra. Je pense à l'emploi, à l'économie et à tous les autres secteurs", expliquait après avoir voté, Remzije Halimi, une enseignante.

"Ma principale préoccupation est l'amélioration du système éducatif et la création de davantage d'opportunités pour les jeunes comme moi", avançait pour sa part, Morena Ismaili, qui votait pour la première fois.

C'est sur l'économie que l'opposition espérait fédérer les mécontents du Premier ministre, qui a insisté pendant la campagne sur sa fermeté face à la Serbie.

Ces derniers mois, Albin Kurti a fait fermer beaucoup d'institutions parallèles (banques, bureaux de poste, administrations) que la Serbie finançait pour s'assurer la fidélité de la minorité serbe.

Lors du dernier scrutin en 2021, VV avait récolté 50,28% des voix, devant le PDK (17%).

Sur les 20 sièges réservés aux minorités, les 10 dédiés à la minorité serbe avaient tous été remportés par la Srpska Lista (Liste serbe). Le score de ce parti, considéré par Pristina comme le bras armé de la Serbie, sera scruté par les autorités.

Tensions fréquentes

"Voter pour la Liste serbe, c'est voter pour l'Etat serbe", a d'ailleurs affirmé Zlatan Elek, chef de cette formation, dans une interview cette semaine. "Chaque Serbe qui n'ira pas voter, ou qui votera contre la Liste serbe, donnera de facto sa voix à Kurti et à ceux qui lui obéissent", a-t-il ajouté.

Le président serbe Aleksandar Vucic a également appelé à voter pour les candidats de la Srpska Lista, "seuls garants que Kurti n'expulsera pas les Serbes du Kosovo".

Les années de pouvoir de M. Kurti ont été marquées par des tensions fréquentes avec la minorité serbe et avec Belgrade, en particulier depuis l'échec des discussions organisées par l'Union Européenne en 2023.

En mai de la même année, des dizaines de soldats de la force de maintien de la paix de l'Otan ont été blessés dans des heurts avec des Serbes. En septembre 2023, un commando composé de Serbes lourdement armés a tué un policier kosovar avant de se retrancher plusieurs heures dans un monastère puis de fuir à pied en Serbie. Fin novembre 2024, l'attaque d'un canal vital pour l'infrastructure électrique du Kosovo a de nouveau fait monter les tensions.

Cela n'a jamais fait vaciller M. Kurti dans sa politique de fermeté face à la Serbie, quitte à agacer la communauté internationale qui l'accuse de refuser tout dialogue.

Ses partisans restent séduits par la vision de cet ancien leader étudiant, qui a hérité du surnom de "Che Guevara du Kosovo" pour ses années de lutte contre la Serbie qu'il a payées de plusieurs années de prison avant l'indépendance.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

International

La Bolivie décrète l'état d'urgence face à des pluies meurtrières

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La saison des pluies a déjà fait 51 victimes en Bolivie, qui a décrété l'état d'urgence mercredi. (© KEYSTONE/EPA/JUAN CARLOS TORREJON)

Le gouvernement bolivien a décrété mercredi l'état d'urgence afin de faire face aux fortes pluies qui frappent le pays depuis novembre, et qui ont fait 51 morts jusqu'à présent, a annoncé le président Luis Arce.

"Ces catastrophes naturelles nous obligent à déclarer l'état d'urgence nationale", a-t-il annoncé auprès de la presse.

"Nous avons malheureusement 51 morts", a-t-il ajouté, faisant également état de près de 380'000 familles affectées. La plupart des décès sont liés à des inondations.

Selon M. Arce, les pluies de ces derniers mois ont été frappé l'ensemble des neuf départements du pays. Les plus touchés sont cependant ceux de Chuquisaca (sud-est), Santa Cruz (est) et La Paz.

L'état d'urgence va notamment permettre au gouvernement de mobiliser plus de personnel pour les opérations de secours et d'accélérer l'achat de matériel.

La saison des pluies en Bolivie commence généralement en novembre et se termine en avril de l'année suivante.

La dernière saison des pluies a fait 55 morts au total, selon les données des autorités.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Soudan du Sud: vice-président Riek Machar arrêté, selon son parti

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Le vice-président du Soudan du Sud Riek Machar (à droite) rival du président Salva Kiir (à gauche), a été arrêté mercredi: la mission des Nations unies au Soudan du Sud met en garde contre une guerre civile (archives). (© KEYSTONE/AP/Sam Mednick)

Le vice-président du Soudan du Sud, Riek Machar, rival de longue date du président Salva Kiir, a été arrêté mercredi dans sa résidence à Juba, selon un communiqué de presse diffusé par le président de la commission des relations extérieures de son parti.

"Nous condamnons fermement les actes inconstitutionnels commis aujourd'hui par le ministre de la Défense et le chef de la sécurité nationale, qui, accompagnés de plus de vingt véhicules lourdement armés, ont pénétré de force dans la résidence du vice-président. Ses gardes du corps ont été désarmés et un mandat d'arrêt lui a été délivré, pour des accusation obscures", indique le communiqué, partagé sur Facebook par Reath Muoch Tang, responsable des relations extérieures du parti de M. Machar.

La mission des Nations Unies au Soudan du Sud (MINUSS) a estimé jeudi que l'arrestation annoncée du premier vice-président Riek Machar mettait le pays au bord de la guerre civile, et a appelé toutes les parties à la retenue.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Expulsion de migrants ordonnée par Trump bloquée en appel

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Donald Trump ne pourra pas invoquer une loi d'exception utilisée uniquement en temps de guerre pour expulser des immigrés accusés d'appartenir à un gang vénézuélien (image d'illustration). (© KEYSTONE/AP/JULIA DEMAREE NIKHINSON)

Une cour d'appel fédérale américaine a rejeté un recours de l'administration Trump contre une décision lui interdisant d'expulser des immigrés accusés d'appartenir à un gang vénézuélien en vertu d'une loi d'exception utilisée jusqu'alors uniquement en temps de guerre.

Un juge fédéral avait suspendu le 15 mars les expulsions fondées sur cette loi de 1798, alors que plus de 200 personnes présentées comme des membres présumés du gang vénézuélien Tren de Aragua étaient en cours d'expulsion vers le Salvador. L'administration Trump a fait appel. Par deux voix contre une, la cour d'appel a rejeté ce recours mercredi.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Trump annonce des taxes supplémentaires de 25% sur les voitures

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Les constructeurs automobiles sont déjà concernés par les droits de douane sur l'aluminium et l'acier, effectifs depuis mi-mars, qui ajoutent 25% de taxes sur ces deux métaux entrant aux Etats-Unis (image d'illustration). (© KEYSTONE/AP/Ahn Young-joon)

Après l'acier et l'aluminium, et en attendant le bois de construction ou le cuivre, le président américain, Donald Trump, a ajouté mercredi un nouveau secteur d'activité à sa liste, en annonçant 25% de droits de douane supplémentaires sur le secteur automobile.

Ces taxes s'appliqueront à "toutes les voitures qui ne sont pas fabriquées aux Etats-Unis", a assuré le président américain depuis la Maison Blanche, ajoutant qu'elles entreront en vigueur "le 2 avril et nous commencerons à les collecter le 3".

"Nous allons faire payer les pays qui font des affaires dans notre pays et prennent notre richesse (...) Ce que nous allons faire, c'est des droits de douane de 25% sur toutes les voitures qui ne sont pas fabriquées aux Etats-Unis. Si elles sont fabriquées aux Etats-Unis, il n'y aura absolument pas de droits de douane", a déclaré M. Trump.

"Ceci vient s'ajouter aux droits de douane déjà existants sur ces biens", a précisé l'un de ses conseillers.

Le taux jusqu'ici appliqué était de 2,5%. Cela signifie que les voitures importées seront désormais taxées à 27,5% de leur valeur. Dans le cas des voitures électriques chinoises, déjà taxées à 100% depuis août 2024, cela amènera les droits de douane à 125%.

Il s'agit d'un nouveau coup dur pour le secteur de l'automobile, qui a déjà été secoué par les précédentes annonces en la matière.

"Aller plus vite"

Début février, l'annonce de 25% de droits de douane sur les produits canadiens et mexicains a fait trembler le secteur, alors que la chaîne de production des principaux constructeurs automobiles américains est largement intégrée entre les trois pays nord-américains.

Leur report, jusqu'au 2 avril, avait alors constitué un soulagement pour l'industrie, avant que ceux imposés cette fois sur l'acier et l'aluminium, effectifs depuis mi-mars, ne viennent la remettre sous tension.

Près de la moitié de l'acier et de l'aluminium consommés par les industries américaines est en effet importée.

S'il n'avait pas imposé de droits de douane sur l'automobile durant son premier mandat, M. Trump avait demandé au représentant de la Maison Blanche pour le Commerce (USTR) de lancer une enquête sur le sujet, qui a été finalisée en 2019.

Selon Ryan Majerus, un ancien responsable du ministère américain du Commerce, c'est sur la base de cette enquête que le président Trump a décidé la mise en place de cette nouvelle taxe sur les automobiles importées.

"L'avantage de l'automobile est qu'ils peuvent aller nettement plus vite s'ils le souhaitent, comparé à d'autres secteurs tels que le bois de construction ou le cuivre, où les enquêtes ont tout juste été lancées", a déclaré à l'AFP M. Majerus, désormais membre du cabinet King & Spalding.

La Maison Blanche souhaite en effet taxer ces deux autres secteurs d'activité, mais cela pourrait ne pas intervenir avant la fin de l'année.

Constructeurs américains touchés

Cette nouvelle taxe vient dans tous les cas s'inscrire dans un usage extensif des droits de douane par le président américain, alors que la prochaine étape, considérée comme la plus importante, devrait intervenir le 2 avril.

M. Trump devrait alors, dans ce qu'il décrit comme le "jour de la libération", annoncer la mise en place de droits de douane dits "réciproques", qui concerneront l'ensemble des produits importés aux Etats-Unis.

Le principe des droits de douane "réciproques" est que les produits provenant d'un pays et entrant aux Etats-Unis seront désormais taxés au même niveau que le sont les produits américains exportés vers ledit pays.

Mais s'il avait affirmé dans un premier temps qu'il n'y aurait "ni exemption, ni exception", M. Trump a assuré mercredi que ces nouvelles taxes seraient "très clémentes".

"Cela concernera tous les pays et on fera en sorte qu'elles soient très clémentes. Je pense que les gens vont être très surpris", a-t-il ajouté.

Les constructeurs américains ont des usines à l'étranger qui alimentent le marché américain, principalement au Canada et au Mexique. Ford, par exemple, importe l'une de ses camionnettes depuis la Turquie.

Selon le site de ce constructeur, environ 20% de ses véhicules vendus aux Etats-Unis sont importés, mais un certain nombre de pièces des véhicules assemblés aux Etats-Unis proviennent également du Canada ou du Mexique.

General Motors importe de son côté annuellement environ 750.000 véhicules depuis le Canada et le Mexique, ce qui en fait le premier importateur, tous constructeurs automobiles confondus.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Procès libyen:Sarkozy "coupable" de financement illégal de campagne

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Les procureurs ont demandé que l'ancien chef de l'Etat soit reconnu coupable de corruption, recel de détournement de fonds publics et association de malfaiteurs. (© KEYSTONE/EPA/TERESA SUAREZ)

Des "traces d'argent liquide" illégal dans la campagne 2007, alimentant le "faisceau d'indices" d'une corruption libyenne: le parquet financier a demandé la condamnation de Nicolas Sarkozy pour financement illégal de campagne et de 3 anciens ministres pour complicité.

Le procureur Quentin Dandoy l'a reconnu mercredi: "il n'y a pas de proportion entre les sommes versées dans le pacte de corruption", environ 6 millions d'euros selon l'accusation, "et l'argent liquide retrouvé dans la campagne", quelques dizaines de milliers d'euros.

"Nous n'avons pas établi l'existence d'un système de fausses factures, pas rapporté la preuve que des prestataires avaient bénéficié de paiements en liquide", reconnaît-il. "Mais de cet argent liquide, il y a trace. Minime, mais il y a trace".

"Il existe un faisceau d'indices, quand on regarde le fonctionnement de cette campagne", poursuit-il, citant les remboursements en cash de frais de bouche ou d'hôtellerie, les primes en liquide.

"Chambre forte" louée

Quentin Dandoy évoque ensuite les différents témoignages de Libyens ou de l'intermédiaire Ziad Takieddine:

"On vous a dit que cet argent partait de Libye, on vous a parlé d'un agent de corruption en capacité de porter des valises. On vous a dit que ces sommes en liquide devaient être remises à un homme, Claude Guéant. Cet homme, au moment de la présidentielle, a loué une chambre forte" à deux pas du QG de campagne, "et s'est trouvé dans l'incapacité d'expliquer pourquoi", poursuit-il.

"Ce n'est qu'en englobant, en prenant en considération l'intégralité de notre démonstration que vous pourrez être convaincus" que des sommes ont été versées et que "de l'argent a sans nulle doute été utilisé" dans la campagne, conclut-il, soulignant que Nicolas Sarkozy avait "validé" les comptes.

Trois ministres

Les trois parquetiers ont demandé que les anciens ministres, Eric Woerth, Brice Hortefeux et Claude Guéant, soient condamnés pour complicité de financement illégal de campagne - les deux premiers étaient assis sur le banc des prévenus, à côté de Nicolas Sarkozy.

Plus tôt dans la journée, les procureurs avaient demandé que l'ancien chef de l'Etat soit reconnu coupable de corruption, recel de détournement de fonds publics et association de malfaiteurs.

Sarkozy "véritable commanditaire"

Mardi, ils n'avaient pas mâché leurs mots à l'encontre de Nicolas Sarkozy, le "véritable décisionnaire, le véritable commanditaire" d'un pacte de corruption "inconcevable, inouï, indécent", noué avec le dictateur libyen afin de financer sa campagne.

Ils avaient concédé à la défense qu'ils ne croyaient pas à la thèse d'un "tête à tête" entre Nicolas Sarkozy (alors ministre de l'Intérieur) et Mouammar Kadhafi, sous la tente de ce dernier à Tripoli en octobre 2005.

Mais cet accueil "digne d'un chef d'Etat" avait scellé selon eux le pacte organisé en coulisses par les "hommes de main" - Claude Guéant et Brice Hortefeux côté français.

Comme pour les gros contrats d'entreprises, avait ironisé le procureur Quentin Dandoy, "on fait venir les chefs pour qu'ils se serrent la main devant les caméras" quand tout est déjà calé par les fidèles "numéros 2".

"Mains couvertes de sang"

Avant d'aborder le financement de la campagne, le procureur Philippe Jaéglé a détaillé mercredi matin les "contreparties" promises selon lui en échange de ce soutien financier, par Nicolas Sarkozy et sa "garde rapprochée".

Au premier chef: un "soutien diplomatique" pour "consolider le retour de la Libye sur la scène internationale", après la levée de l'embargo en 2003, avec notamment la visite "fastueuse" à Paris en décembre 2007, "qui a beaucoup choqué", de Mouammar Kadhafi, "dont les mains étaient couvertes de sang".

Mais aussi les "recherches" de Claude Guéant notamment pour "trouver une issue juridique à la situation d'Abdallah Senoussi", le beau-frère de Kadhafi qui souhaitait voir annuler sa condamnation à perpétuité pour l'attentat du DC-10 de l'UTA qui a tué 170 personnes, dont 54 Français, en 1989.

Ou encore le fait, a-t-il soutenu, que Claude Guéant ait "favorisé" la vente d'hélicoptères de combat à la Libye et "poussé" pour un réacteur nucléaire civil en "faisait fi de manière insensée de l'avis éclairé" d'Areva et "au mépris de l'impératif fondamental de sureté de l'État".

Les réquisitions reprendront jeudi matin. Les peines demandées pour chacun des 12 prévenus seront annoncées en fin de journée.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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