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International

Le président Massoud Pezeshkian prête serment devant le Parlement

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Le président iranien Massoud Pezeshkian a prêté serment mardi devant le Parlement. (© KEYSTONE/EPA/IRANIAN SUPREME LEADER'S OFFICE HANDOUT)

Le président réformateur iranien Massoud Pezeshkian a prêté serment mardi devant le Parlement en tant que neuvième président de la République islamique.

"En tant que président, devant le Coran et le peuple iranien, je jure à Dieu tout-puissant d'être le gardien de la religion officielle, du système de la République islamique et de la constitution du pays", a déclaré le nouveau président, lors d'une cérémonie retransmise en direct par la télévision d'Etat.

Celle-ci s'est tenue deux jours après que le guide suprême iranien, l'ayatollah Ali Khamenei, a entériné l'élection de ce chirurgien de profession âgé de 69 ans. M. Pezeshkian, qui débute un mandat de quatre ans, doit présenter dans les deux semaines à venir les membres de son cabinet au Parlement qui devrait leur accorder sa confiance.

Dès son installation, il a nommé le réformateur Mohammad Reza Aref comme son premier vice-président. Agé de 72 ans, M. Aref avait assuré les mêmes fonctions lors du second gouvernement du réformateur Mohammad Khatami de 2001 à 2005.

Tensions régionales

Elu le 5 juillet, Massoud Pezeshkian avait remporté le second tour de l'élection présidentielle contre l'ultraconservateur Saeed Jalili, avec 53,6% de voix contre 44,3%, sur environ 30 millions de suffrages exprimés. Il succède à Ebrahim Raïssi, mort dans un accident d'hélicoptère en mai.

Les élections iraniennes se sont déroulées dans un contexte de tensions régionales accrues, au moment où la République islamique, poids lourd du Moyen-Orient, est au coeur de plusieurs crises géopolitiques, de la guerre dans la bande de Gaza au dossier nucléaire, dans lesquelles elle s'oppose aux Occidentaux.

Ennemis d'Israël présents

Des diplomates de plusieurs pays ont assisté à la cérémonie devant le Parlement, dont l'Arménie, le Tadjikistan, l'Egypte, le Soudan, l'Irak, la Turquie, l'Arabie saoudite, l'Azerbaïdjan, Cuba et le Brésil. Le numéro deux de la diplomatie européenne, Enrique Mora, était également présent.

Des responsables de groupes alliés à l'Iran et ennemis d'Israël ont également fait le déplacement, parmi lesquels le chef politique du Hamas, Ismaïl Haniyeh, celui du Djihad islamique, un allié du mouvement islamiste palestinien, Ziyad al-Nakhalah, le secrétaire général adjoint du Hezbollah libanais, Naïm Qassem, et le porte-parole des rebelles houthis du Yémen, Mohammed Abdulsalam.

MM. Haniyeh et Nakhalah se sont entretenus mardi avec le guide suprême et avaient auparavant rencontré M. Pezeshkian séparément, dans un contexte de graves tensions dans la région Moyen-Orient liées à la guerre à Gaza entre Israël et le Hamas.

"Soutien" aux Palestiniens

Au cours de la cérémonie, le président du Parlement, Mohammad-Bagher Ghalibaf, a prononcé un discours dénonçant les "crimes" d'Israël dans le territoire palestinien, où la guerre a été déclenchée le 7 octobre après une attaque sans précédent du Hamas sur le sol israélien.

Lors de son discours d'investiture, M. Pezeshkian a dénoncé les "crimes" d'Israël dans le territoire palestinien, tandis que des Iraniens présents à la cérémonie scandaient "Mort à Israël! Mort à l'Amérique!". "Ceux qui fournissent les armes qui tuent les enfants à Gaza ne peuvent pas donner des leçons d'humanité et de tolérance aux autres", a-t-il déclaré en faisant référence aux Etats-Unis.

"Le soutien à la cause de la nation palestinienne opprimée se poursuivra avec force, et aucun facteur ne pourra perturber notre volonté dans ce sens", avait déjà affirmé lundi Massoud Pezeshkian dans un communiqué. Au cours de la cérémonie de mardi, le président du Parlement, Mohammad-Bagher Ghalibaf, a dénoncé également les "crimes" d'Israël dans le territoire palestinien, où la guerre a été déclenchée le 7 octobre après une attaque sans précédent du Hamas sur le sol israélien.

Depuis son élection, le nouveau président iranien a réaffirmé son soutien à ce que l'Iran qualifie d'"'axe de la résistance" face à Israël, qui rassemble les alliés du Hamas, dont notamment le Hezbollah libanais et les Houthis. M. Pezeshkian se dit toutefois en faveur de "relations constructives" avec les Etats-Unis, ennemi de Téhéran et allié d'Israël, et les pays européens pour sortir le pays de son "isolement".

Il a promis de négocier avec Washington pour relancer les pourparlers sur le nucléaire iranien, au point mort depuis le retrait américain en 2018 d'un accord international conclu en 2015. Mais le président en Iran a des pouvoirs restreints: il est chargé d'appliquer, à la tête du gouvernement, les grandes lignes politiques fixées par le guide suprême, l'ayatollah Ali Khamenei, chef de l'Etat et ultime décideur sur les dossiers stratégiques.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

International

Ukraine: l'émissaire US évoque une séparation comme à Berlin

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L'émissaire américain pour l'Ukraine, Keith Kellog (à droite) lors d'une récente visite au président polonais Andrzej Duda. (© KEYSTONE/AP/CZAREK SOKOLOWSKI)

L'Ukraine post-conflit pourrait ressembler au "Berlin d'après la Deuxième Guerre mondiale", avec une présence à la fois de forces européennes et russes, séparées par le fleuve Dniepr, a décrit l'émissaire américain Keith Kellogg au quotidien britannique Times samedi.

Après plus de trois ans d'une guerre déclenchée par l'invasion russe du 24 février 2022 et des avancées extrêmement limitées vers une trêve, plusieurs pays tels que la France et le Royaume-Uni se sont dits favorables à l'idée d'une présence militaire européenne de maintien de la paix en Ukraine, dont ils proposent même de faire partie une fois le conflit terminé.

"Vous pourriez presque faire ressembler cela à ce qui s'est passé avec Berlin après la Deuxième Guerre mondiale, quand vous aviez une zone russe, une zone française, une zone britannique, une zone américaine", dépeint le général Kellogg dans un entretien publié samedi par le Times.

Et pour remplacer le mur de séparation construit en 1961 dans la capitale allemande - puis abattu en 1989 - il pense au fleuve Dniepr.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Trump assure être "en pleine forme" après sa visite médicale

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Le président américain Donald Trump ne boit pas d'alcool et ne fume pas, mais ne cache pas son goût pour les sodas et fast-food. (© KEYSTONE/AP/Manuel Balce Ceneta)

Donald Trump, qui à 78 ans est le président le plus âgé jamais élu aux Etats-Unis, et qui a été accusé pendant son premier mandat de ne pas être transparent sur sa santé, a assuré vendredi être "en pleine forme" après une visite médicale annuelle.

"Dans l'ensemble, j'ai eu le sentiment d'être en pleine forme. Un bon coeur. Une bonne âme. Une très bonne âme", a affirmé le milliardaire républicain à bord de son avion Air Force One, qui l'emmenait en Floride après une visite médicale qui s'est déroulée à l'hôpital militaire Walter Reed, en proche banlieue de Washington.

En plus d'examens cardiaques, il a affirmé avoir passé un test cognitif pour être "un peu différent de Biden".

Pendant la dernière campagne présidentielle, Donald Trump avait plusieurs fois mis au défi son rival démocrate, qu'il n'avait cessé d'attaquer sur son âge, de se soumettre à un tel test.

"Je ne sais pas quoi vous dire, si ce n'est que j'ai eu toutes les bonnes réponses", a souligné le républicain.

Il a précisé qu'un compte rendu de ces examens serait publié dimanche.

Soda et fast-food

La question de la santé du président américain est devenue particulièrement sensible à la fin de la présidence de Joe Biden, qui, achevant son mandat à 82 ans, apparaissait avec une démarche chaque jour plus raide et une élocution de plus en plus embrouillée, là où son adversaire donne l'apparence d'une plus grande vigueur physique.

Donald Trump ne boit pas d'alcool et ne fume pas, mais ne cache pas son goût pour les sodas et la nourriture des chaînes de fast-food.

Lors de la course à la présidentielle de 2024, il avait déjà assuré avoir passé un test cognitif et l'avoir réussi "avec brio", sans donner aucun détail.

En novembre 2023, le républicain avait simplement publié une courte lettre de son médecin affirmant qu'il était en "excellente" santé et qu'il avait perdu du poids - sans préciser combien.

Depuis, le milliardaire n'a pas fourni de bulletin de santé.

Joe Biden faisait publier de longs comptes-rendus très détaillés, mentionnant jusqu'à son taux de cholestérol ou le nom du médicament qu'il prenait pour ses allergies.

Coloscopie de Biden

Il avait aussi passé une coloscopie sous anesthésie générale le 19 novembre 2021, pendant laquelle la vice-présidente Kamala Harris avait brièvement assuré les fonctions présidentielles.

Donald Trump a été souvent accusé par ses opposants de ne pas être transparent sur sa santé, en particulier lorsque pendant les derniers mois de son premier mandat il avait été hospitalisé plusieurs jours pour une infection au Covid-19.

Un ancien médecin du républicain, Harold Bornstein, avait assuré que le président américain lui avait un jour "dicté" une lettre le présentant en excellente santé, avant qu'il ne soit élu pour la première fois.

"S'il était élu, je peux affirmer sans équivoque que M. Trump sera l'individu en meilleure santé jamais élu à la présidence", disait ce bulletin publié en décembre 2015, sans fournir aucune preuve appuyant cette assertion.

En mai 2018, le Dr Bornstein, un gastroentérologue qui avait son cabinet sur Park Avenue, non loin de Central Park, avait ensuite affirmé que Donald Trump lui avait "entièrement dicté cette lettre".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Ambassadrice: Israël et la Suisse ne sont "pas d'accord sur tout"

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Pour l'ambassadrice d'Israël en Suisse, Ifat Reshef, l'agenda est commun lorsqu’il s’agit de lutter contre l’antisémitisme (archives). (© KEYSTONE/URS FLUEELER)

L’ambassadrice d’Israël à Berne, Ifat Reshef, affirme que sur le conflit israélo-palestinien, la Suisse et son pays entretiennent des relations amicales. Mais elle réitère des critiques sur certaines positions helvétiques au sein des instances onusiennes.

Berne et Israël ne sont pas d’accord sur tout. "Au moment de l’attaque du 7-Octobre, la Suisse était pour la première fois membre non permanente du Conseil de sécurité et je n’ai pas toujours été heureuse des positions qu’elle a prises et qu’elle continue de prendre", déclare Ifat Reshef samedi dans les colonnes du Temps.

Elle cite un récent vote au Conseil des droits de l’homme à Genève, où la Suisse "a de nouveau voté en faveur d’un texte qui nous accuse, sans mentionner le Hamas ni le massacre". Selon l'ambassadrice, Israël n’est pas seulement soumis à un "double standard", il est "soumis à des exigences impossibles".

"Tomber les masques"

S'exprimant sur l'augmentation des actes ou paroles antisémites en Suisse, Mme Reshef jute "très douloureux et alarmant de voir que des citoyens suisses souffrent parce qu’ils sont juifs". Elle voit un pic d’actes antisémites déjà juste après le 7-Octobre, alors qu'Israël n’avait pas entamé son offensive terrestre à Gaza.

"Cela donne l’impression que les gens n’attendaient qu’une excuse pour faire tomber les masques", selon la diplomate. Elle assure que la Suisse reste en bien meilleure position que ses voisins, et loue les initiatives locales et cantonales pour lutter contre l’antisémitisme.

Critique "légitime"

En qualité "d’ambassadrice d’un Etat démocratique, Israël, dans un autre Etat démocratique, la Suisse", Ifat Reshef dit tenir à la liberté d’expression pour une valeur fondamentale: "la critique d’Israël est donc légitime, même si je ne la partage pas".

Et de souligner qu'elle ne représente pas les juifs de Suisse. "Les Suisses de confession juive ne représentent pas Israël. Je trouve donc scandaleux que les gens mettent la pression sur les juifs pour qu’ils se distancient de la politique menée par Israël".

Cependant, l'agenda est conjoint lorsqu’il s’agit de lutter contre l’antisémitisme: comme diplomate israélienne, lutter contre l’antisémitisme "est ma mission sacrée", dit l'ambassadrice. La lutte contre l’antisémitisme est une tâche commune à nous tous: en Suisse, elle est avant tout une responsabilité suisse, insiste-t-elle.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

L'Argentine annonce un accord pour un prêt du FMI de 20 milliards

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L'Argentine pourra mettre fin dès lundi au contrôle des changes en vigueur depuis 2019 dans le pays (image symbolique). (© KEYSTONE/AP/Rodrigo Abd)

L'Argentine a conclu un accord avec le Fonds monétaire international (FMI) pour un prêt de 20 milliards de dollars qui permettra la fin dès lundi du contrôle des changes en vigueur depuis 2019 dans le pays, a annoncé vendredi le ministre de l'Economie Luis Caputo.

"Nous sommes parvenus à un nouvel accord avec le Fonds monétaire international", qui permettra "de recapitaliser la Banque centrale pour une monnaie plus saine", a annoncé le ministre à la presse. Le peso argentin sera autorisé à flotter dans une bande d'entre 1000 et 1400 pesos pour un dollar, et la limite d'accès à 200 dollars par mois sera levée pour les Argentins, a annoncé simultanément la Banque centrale dans un communiqué.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

ESC: la TV espagnole demande un débat sur la participation d'Israël

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Yuval Raphael, la candidate israélienne à l'Eurovision 2025, est une rescapée du 7 octobre. (© KEYSTONE/AP/OHAD ZWIGENBERG)

Le groupe public de radio et télévision espagnol RTVE a réclamé vendredi un "débat" sur la présence d'Israël à l'Eurovision, dont la finale est prévue le 17 mai en Suisse, en raison des "inquiétudes" liées à "la situation à Gaza".

"RTVE a adressé une lettre" à l'Union européenne de radio-télévision (UER), qui organise le concours, "pour demander l'ouverture d'un débat sur la participation au concours de la télévision publique israélienne (KAN)", indique le groupe public espagnol dans un communiqué.

L'Eurovision oppose les diffuseurs publics des différents pays qui organisent l'événement et qui choisissent un candidat les représentant. L'absence de la télévision publique israélienne entraînerait donc celle d'un candidat israélien à l'Eurovision.

Dans son courrier, "RTVE réitère son soutien" à l'Eurovision "mais reconnaît également les préoccupations que la situation à Gaza et la participation de la télévision publique KAN suscitent au sein de la société civile espagnole", poursuit le communiqué.

Dans ce contexte, "il serait approprié que l'UER reconnaisse l'existence de ce débat et prévoit un espace de réflexion entre les diffuseurs membres de l'UER sur la participation de la télévision publique israélienne" au concours, conclut le groupe public.

Dans un communiqué publié vendredi soir, l'UER a déclaré : "Nous saluons l'engagement de RTVE envers le Concours Eurovision et comprenons les inquiétudes et les opinions profondes suscitées par le conflit actuel au Moyen-Orient".

"Tous les membres de l'UER sont éligibles pour participer au Concours Eurovision de la Chanson et nous restons en contact permanent avec les participants cette année, y compris RTVE, sur tous les aspects du Concours", ajoute le texte.

Une rescapée du 7 octobre

Trente-sept pays doivent participer, via leurs diffuseurs nationaux, à l'édition 2025 de l'Eurovision, plus grand concours de chant au monde, organisée en mai à Bâle, en Suisse.

La télévision israélienne KAN a sélectionné cette année comme candidate Yuval Raphael, une rescapée de l'attaque du Hamas du 7 octobre.

La demande de RTVE survient alors que des pétitions ont été lancées en Finlande fin mars pour demander à la chaîne publique Yle de faire pression sur l'UER afin d'exclure Israël de l'édition 2025, là aussi en raison de la guerre à Gaza.

L'an dernier, des milliers de personnes ont manifesté dans la ville suédoise de Malmö, qui organisait l'événement, afin de s'opposer à la participation d'Israël à la compétition.

Israël a repris ses bombardements le 18 mars, mettant fin à une trêve de deux mois avec le Hamas dans la bande de Gaza, où la guerre a été déclenchée par l'attaque sans précédent du mouvement islamiste contre Israël le 7 octobre 2023.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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