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International

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky attendu à Bruxelles mardi

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Volodymyr Zelensky demande plus d'aide de l'Occident pour repousser un assaut russe dans la région de Kharkiv. (© KEYSTONE/EPA/CHEMA MOYA)

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky est attendu mardi matin à Bruxelles, a annoncé lundi soir la chancellerie belge. Il doit y signer avec le premier ministre belge Alexander De Croo un accord bilatéral de sécurité.

Le dirigeant ukrainien, qui demande aux Occidentaux de renforcer leur aide militaire pour faire face à l'invasion de la Russie, doit ensuite rencontrer le roi des Belges, Philippe.

Le déplacement de quelques heures se conclura à la mi-journée à l'aéroport militaire de Melsbroek, près de Bruxelles, où la Belgique devrait rappeler son engagement à fournir des avions de combat F-16 à Kiev, "si possible avant la fin de l'année".

La défense belge contribue à la formation de pilotes et de techniciens ukrainiens pour l'usage de ces appareils. Volodymyr Zelensky doit rencontrer à Melsbroek quelques-uns de ces pilotes, instructeurs et techniciens belges spécialistes des F-16, selon les services de M. De Croo.

Après l'Espagne lundi et la Belgique, il a prévu de se rendre à Lisbonne.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Suite de pourparlers indirects sur le Soudan à Genève

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Des millions de personnes sont menacées de famine au Soudan en raison des violences (archives). (© KEYSTONE/AP/MARWAN ALI)

Des pourparlers indirects pour tenter d'arracher des cessez-le-feu humanitaires locaux au Soudan se poursuivent à Genève. Jeudi, au premier jour de ces discussions sous l'égide de l'ONU, une des parties au conflit, pourtant arrivée, ne s'était pas montrée.

"Nous les exhortons à participer", a affirmé vendredi à la presse la directrice de l'information de l'ONU à Genève Alessandra Vellucci. L'émissaire du secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres, Ramtane Lamamra, mène cette approche, dont certaines réunions ont eu lieu au Palais des Nations, avec chacune des parties au conflit séparément.

Mais l'une d'entre elles n'a pas participé jeudi, a affirmé Mme Vellucci, sans dire laquelle. Le chef de l'armée Abdel Fattah al-Burhane, cité par le Sudan Tribune, a réaffirmé dans un discours que les négociations "démarreront seulement" après que les paramilitaires des Forces de soutien rapide (FSR) auront abandonné les maisons et les Etats qu'ils contrôlent.

Ces discussions indirectes, conformément à deux résolutions du Conseil de sécurité de l'ONU, doivent permettre de garantir une distribution d'assistance humanitaire à l'ensemble de la population soudanaise qui en dépend. Elles doivent aussi aborder les possibilités de protéger les civils. Comme demandé par le Conseil de sécurité, des avancées doivent passer par des cessez-le-feu locaux.

Aucune indication n'a été donnée sur combien de temps les pourparlers pourraient durer. "Le Conseil de sécurité a donné au secrétaire général et à son émissaire un mandat. Celui-ci l'applique", a affirmé Mme Vellucci.

Habitants exposés à de la famine

Selon les médias soudanais, les paramilitaires des FSR sont représentés surtout par des participants aux pourparlers en Arabie saoudite de l'année dernière. Les délégations sont constituées d'experts humanitaires, sécuritaires et militaires, a ajouté de son côté Mme Vellucci.

Les deux camps s'étaient alors engagés sur l'assistance humanitaire. Mais l'ONU avait rapidement dénoncé le manque d'application de cet accord entre les parties au conflit. En plus d'un an, plus de 18'000 personnes ont été tuées, selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS). Mais le chiffre pourrait être plus important.

Au total, environ 25 millions de personnes ont besoin d'aide humanitaire, un peu plus de la moitié de la population. Plus de 8,5 millions sont confrontées à la dernière étape de malnutrition avant la famine. Plus de 12 millions de personnes ont fui les affrontements, la plupart étant déplacées à l'intérieur du pays et plusieurs millions dans les pays de la région.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Economie

Inquiétude à l'ONU sur le nombre de grossesses adolescentes

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Le Haut-Commissariat de l'ONU aux droits de l'homme Volker Türk devra rendre un rapport sur les grossesses adolescentes pour contribuer à accélérer la prévention pour les diminuer (archives). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Le Conseil des droits de l'homme de l'ONU est "très inquiet" du nombre de grossesses adolescentes dans le monde. Dans un texte vendredi à Genève, il a demandé un rapport au Haut-Commissariat aux droits de l'homme pour accélérer la prévention auprès des jeunes filles.

Chaque année, 1,5 grossesse sur 1000 est celle d'une fille de moins de 15 ans. Plus de 21 millions de mineures de plus de 15 ans tombent également enceintes, dont environ la moitié ne le souhaitent pas.

Ces jeunes filles et les 12 millions de bébés chaque année sont exposés à des situations difficiles, dit aussi le Conseil. Le taux de mortalité infantile et la menace de conditions graves pour ceux-ci sont plus importants, a insisté également l'entité onusienne.

Le texte approuvé par consensus appelle les Etats à renforcer leurs politiques pour empêcher les grossesses adolescentes et de prévoir des financements adaptés sur cette question. De même qu'à collaborer, notamment avec les pays en développement.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Euro 2024

Euro 2024: l'UEFA tire un bilan positif

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L'Euro 2024 a été une réussite, selon l'UEFA (© KEYSTONE/DPA/CHRISTIAN CHARISIUS)

L'UEFA tire un bilan positif de l'Euro 2024 avant la finale. "Nous sommes très très contents de la manière dont le tournoi s'est déroulé", a dit à dpa le Suisse Martin Kallen, CEO d'UEFA Events.

"L'organisation a été très très bonne. Les matches ont été bons, et il y a eu peu de surprises", a résumé Martin Kallen à Munich lors d'une réception en honneur des bénévoles.

A l'opposé, l'UEFA a déploré le fait que des personnes entrent sur la pelouse pendant les rencontres pour faire des selfies ou honorer des paris. "C'est très embêtant", a dit le dirigeant. "On devrait pouvoir jouer un match sans ce genre d'incidents. Mais on a appris à faire avec et pris des mesures pour les limiter", a-t-il ajouté.

Autre point parfois négatif, les difficultés avec les transports et les Deutsche Bahn. L'UEFA était consciente depuis longtemps qu'il y avait des problèmes avec les chemins de fer allemands. "Mais on a aussi vu qu'il y avait beaucoup de trains. L'offre est très grande et variée."

Pour sa part, Martin Kallen a pris le train tous les jours. Mais il a veillé à arriver au moins trois heures avant à destination. Cette prudence a payé.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

France: l'inflation a ralenti à 2,2% en juin

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En particulier, le prix des produits pétroliers continue de significativement baisser (-1,9% par rapport à mai). (KEYSTONE/Martial Trezzini) (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

La hausse des prix en France en juin a atteint 2,2% sur un an, soit 0,1 point de moins qu'en mai, un ralentissement moins marqué que ce que laissait présager une première estimation (2,1%), a indiqué vendredi l'Insee.

Les prix n'ont que très peu augmenté en juin par rapport à mai (+0,1%), rapporte l'Institut national de la statistique (Insee), qui a calculé que la hausse des prix des services (+0,3% sur un mois) et des produits manufacturés a été en "grande partie compensée" par une baisse des prix de l'alimentation (-0,2%) et de l'énergie (-0,8%).

En particulier, le prix des produits pétroliers continue de significativement baisser (-1,9% par rapport à mai).

L'inflation, au plus bas depuis septembre 2022, reprend ainsi sa lente décrue entamée l'été dernier, après un petit rebond en mai, où elle avait progressé de 0,1 point par rapport au mois d'avril.

Le prix des services - une composante qui pèse pour plus de la moitié dans l'indice des prix à la consommation - s'est apprécié de 2,9% sur un an en juin, contre 2,8% en mai.

La hausse des prix se rapproche de plus en plus de la barre des 2% visée par la Banque centrale européenne (BCE), limite en dessous de laquelle l'inflation retrouve des niveaux plus habituels comparés à ceux qu'ont connus la France et l'Europe à partir de la mi-2021.

Indicateur de référence au niveau européen, l'indice des prix à la consommation harmonisé (IPCH) progresse de 2,5% sur un an en juin, après une hausse de 2,6% en mai.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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International

Ericsson subit de lourdes pertes au deuxième trimestre

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Ericsson avait annoncé fin mars la suppression de 1200 emplois en Suède. (EPA/Lars Schroder SO) (© KEYSTONE/EPA TT NEWS AGENCY/LARS SCHRODER)

L'équipementier suédois de télécommunications Ericsson a publié vendredi une lourde perte nette de 11 milliards de couronnes (935 millions de francs) au deuxième trimestre, en raison de la dépréciation de l'américain Vonage, spécialiste du cloud acquis en 2021.

Ericsson avait annoncé une nouvelle dépréciation de Vonage de 11,4 milliards de couronnes début juillet, après avoir déjà déprécié cette activité en 2023.

Le chiffre d'affaires au deuxième trimestre a reculé de 7% à 59,8 milliards, et l'équipementier prévoit "des conditions de marché difficile" pour l'ensemble de l'exercice en dépit d'une amélioration aux Etats-Unis, a-t-il précisé dans un communiqué.

Ces ventes sont cependant supérieures au consensus établi par Factset qui prévoyait un chiffre d'affaires trimestriel de 58,6 milliards de couronnes.

"Nous nous attendons à ce que les conditions du marché restent difficiles cette année, car le rythme des investissements en Inde ralentit, mais nos ventes bénéficieront au cours du second semestre de livraisons contractuelles en Amérique du Nord", a estimé le PDG d'Ericsson, Börje Ekholm, cité dans le communiqué.

Les ventes ont augmenté de 14% en Amérique du Nord au deuxième trimestre, un premier bon signe alors qu'Ericsson souffrait depuis début 2023 d'un fort freinage des investissements des opérateurs de télécoms dans cette région.

Les équipementiers pâtissent également tous de la croissance du déploiement de la 5G en Inde qui ralentit.

"Nous avons maintenu notre position de leader sur le marché, nous avons renoué avec la croissance en Amérique du Nord et nous avons enregistré une forte augmentation de la marge brute et du flux de trésorerie disponible", a encore souligné le patron du groupe suédois dans le communiqué.

La marge brute ajustée, hors coûts de restructuration, a atteint 43,9%, contre 38,3% sur le même trimestre de 2023, précise Ericsson, tirée par les recettes des brevets et licences et des réductions de coûts.

Ericsson avait annoncé fin mars la suppression de 1200 emplois en Suède.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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