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Abandon des poursuites contre Trump pour ingérence électorale

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Donald Trump est encore visé par deux procédures pénales, l'une à New York, l'autre en Géorgie (archives). (© KEYSTONE/AP/Alex Brandon)

Une juge a validé lundi l'arrêt des poursuites visant le président américain élu Donald Trump pour tentative illégale d'inverser les résultats de l'élection de 2020. C'est une nouvelle victoire judiciaire de celui qui va retourner à la Maison-Blanche en 2025.

La juge fédérale a suivi les recommandations formulées quelques heures plus tôt par le procureur spécial Jack Smith. Celui-ci a également renoncé à poursuivre Donald Trump pour rétention de documents classifiés après son départ de la Maison-Blanche en 2021, l'autre procédure fédérale le visant.

Depuis l'élection du 5 novembre, Donald Trump, qui doit prendre ses fonctions le 20 janvier, apparaissait assuré d'échapper à ces deux procédures. Dans le premier dossier, à Washington, la juge a rapidement validé la demande de Jack Smith d'annuler les poursuites, sans préjuger de leur éventuelle relance au terme du mandat de Donald Trump, 78 ans.

Immunité présidentielle

Cette recommandation est "cohérente avec l'interprétation de l'accusation selon laquelle l'immunité accordée à un président en exercice est temporaire, expirant lorsqu'il cesse ses fonctions", affirme-t-elle.

Jack Smith avait déjà fait annuler toutes les échéances des deux affaires, se donnant jusqu'au 2 décembre afin d'"analyser cette situation sans précédent et de déterminer la marche à suivre en conformité avec la politique du ministère de la justice".

En effet, si le ministère suit depuis 1973, au coeur du scandale du Watergate, une politique constante consistant à ne pas poursuivre un président en exercice, le cas d'un candidat inculpé au pénal puis élu président des Etats-Unis est totalement inédit. "La position de l'accusation sur le fond des poursuites contre le prévenu n'a pas changé. Mais les circonstances ont changé", a expliqué Jack Smith.

Le ministère a conclu lors des délibérations avec le bureau du procureur spécial que sa politique de longue date "s'applique à cette situation" jamais vue, a-t-il indiqué. L'ex-président Trump, accusé d'avoir tenté de se maintenir au pouvoir malgré sa défaite en 2020, était notamment poursuivi pour "complot contre les institutions américaines".

Assistants toujours poursuivis

Dans l'affaire des documents classifiés, en Floride (sud-est), Jack Smith invoque le même raisonnement pour renoncer à son appel de la décision de la juge fédérale Aileen Cannon, annulant la procédure.

Cette décision du 15 juillet, au motif que la nomination du procureur spécial dans cette affaire et le financement de ses travaux violaient les sections de la constitution portant sur les nominations et les dépenses, reste donc en vigueur.

Le procureur spécial maintient néanmoins son appel en ce qui concerne les deux assistants personnels de Donald Trump dans sa propriété de Mar-a-Lago.

Dans cette affaire, l'une des quatre procédures pénales le visant, il lui était reproché d'avoir compromis la sécurité nationale en conservant dans sa résidence privée des documents, dont des plans militaires ou des informations sur des armes nucléaires, après la fin de son mandat, au lieu de les remettre aux archives nationales.

De retour à la Maison-Blanche, Donald Trump aurait pu soit nommer un nouveau ministre de la justice qui aurait révoqué Jack Smith, soit ordonner à son ministère de la justice d'abandonner les poursuites.

Reconnu coupable à New York

L'équipe de campagne de Donald Trump a salué la demande du procureur spécial comme une "victoire majeure pour l'Etat de droit", dénonçant une fois encore une "instrumentalisation politique du système judiciaire".

"Ces poursuites, comme toutes celles qui m'ont été infligées, sont vides et injustes et n'auraient jamais dû être engagées", a réagi Donald Trump sur son réseau Truth Social.

Reconnu coupable le 30 mai par la justice de l'Etat de New York de "falsification comptable aggravée pour dissimuler un complot visant à pervertir l'élection de 2016", des paiements dissimulés à l'actrice de films pornographiques Stormy Daniels pour prix de son silence, il pourrait encore être condamné dans les prochaines semaines.

Mais le juge Juan Merchan, qui a déjà reporté à plusieurs reprises le prononcé de la peine, a autorisé les avocats du président élu à présenter d'ici au 2 décembre un recours en annulation de la procédure.

Donald Trump est également inculpé avec 14 autres personnes dans l'Etat de Géorgie (sud-est) pour des faits similaires à ceux de son dossier fédéral à Washington. Mais cette affaire est durablement encalminée dans une demande de dessaisissement de la procureure, actuellement en appel.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

International

Rencontre Netanyahu-Trump lundi en Floride

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Donald Trump déploie ses efforts diplomatiques tous azimuts. (© KEYSTONE/AP/Alex Brandon)

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu est attendu lundi aux Etats-Unis où il sera reçu par son grand allié Donald Trump. Cette visite portera sur plusieurs dossiers majeurs, du nucléaire iranien à l'avenir de la fragile trêve à Gaza.

Il s'agira de la cinquième rencontre entre les deux hommes aux Etats-Unis depuis la prise de fonctions de M. Trump à la Maison Blanche, il y a près d'un an.

Elle intervient alors que Washington et des médiateurs régionaux souhaitent accélérer la cadence pour lancer la deuxième phase du cessez-le-feu, en vigueur depuis octobre entre Israël et le Hamas palestinien dans la bande de Gaza.

Interrogé samedi par l'AFP, un responsable israélien a indiqué sous couvert d'anonymat que le Premier ministre s'envolerait dimanche pour les Etats-Unis, où il rencontrera lundi le président américain.

M. Netanyahu va "probablement venir me voir en Floride", avait déclaré courant décembre M. Trump, en référence à son luxueux domaine de Mar-a-Lago. "Il souhaite me voir".

A l'ordre du jour, selon le quotidien israélien Yedioth Ahronoth: le programme nucléaire de l'Iran, ennemi juré d'Israël, mais aussi la Syrie, le Hezbollah libanais, et surtout l'instauration de la deuxième phase du cessez-le-feu à Gaza.

Cette étape prévoit le désarmement du Hamas, un retrait progressif de l'armée israélienne de Gaza, la mise en place d'une autorité de transition et le déploiement d'une force internationale de stabilisation.

Le moment de la rencontre est "extrêmement significatif", estime Gershon Baskin, militant pacifiste israélien et médiateur informel impliqué depuis plus de dix ans dans la libération d'otages.

"Il faut que débute la deuxième phase. Il y a même du retard, je pense que les Américains en sont conscients, parce que le Hamas a eu trop de temps pour rétablir sa présence", ajoute-t-il.

"Les Américains ne veulent certainement pas que cette situation perdure".

"Impasse" à Gaza

Prévue par un plan de paix supervisé par M. Trump, la trêve a mis fin en octobre à deux années de guerre dévastatrice à Gaza, déclenchée par l'attaque sans précédent du Hamas le 7 octobre 2023.

Pour l'heure, le passage à la deuxième phase piétine.

Israël et le Hamas s'accusent mutuellement de violations. Avant d'entamer les tractations sur la deuxième phase, Israël réclame la restitution du corps d'un dernier otage retenu à Gaza. Le Hamas assure ne pas avoir réussi à le localiser jusqu'à présent.

D'après le média américain Axios, citant des responsables de la Maison Blanche, Washington veut annoncer le plus rapidement possible un gouvernement palestinien de technocrates comme autorité de transition pour Gaza.

Le site d'information souligne que de hauts responsables américains sont "de plus en plus frustrés par les mesures de M. Netanyahu qui sapent le fragile cessez-le-feu et le processus de paix".

L'analyste Yossi Mekelberg note "de plus en plus de signaux illustrant la frustration de l'administration américaine vis-à-vis de Netanyahu".

"La question est de savoir ce qu'elle va faire à ce sujet", ajoute ce spécialiste du Moyen-Orient au cercle de réflexion Chatham House de Londres.

"Parce que pour l'instant, la phase deux est dans l'impasse".

Focus sur l'Iran

Quant au Premier ministre israélien, il se focalise sur l'Iran, redoutant une reconstruction de son programme nucléaire et de ses capacités militaires en termes de missiles balistiques, selon des experts.

"Tout ce qu'on voit dans les médias israéliens ces deux dernières semaines, concernant l'Iran qui renforce ses missiles, qui est une menace pour Israël, tout cela fait partie d'une stratégie pour détourner l'attention de Gaza au profit du sujet que Netanyahu adore évoquer: l'Iran", résume Gershon Baskin.

En juin, les deux ennemis s'étaient livré une guerre de 12 jours, déclenchée par des frappes israéliennes visant notamment des sites nucléaires iraniens. Les Etats-Unis étaient intervenus, avec des frappes similaires.

L'Iran avait répliqué avec des attaques de drones et de missiles.

A l'approche des législatives de l'automne 2026, la rencontre avec M. Trump sera l'occasion pour le dirigeant israélien de concentrer les regards sur l'Iran, et ainsi de détourner l'attention "des difficultés qui l'attendent à domicile", en période électorale, estime Yossi Mekelberg.

M. Netanyahu détient le record de longévité à la tête d'Israël et dirige actuellement l'un des gouvernements les plus à droite de l'histoire du pays.

Avec lui, "tout est lié à son maintien au pouvoir", conclut l'analyste.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp

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International

Les frappes américaines au Nigeria ont visé des groupes jihadistes

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Des habitants sur le site des frappes américaines, à Jabo. (© KEYSTONE/AP/Tunde Omolehin)

Les frappes aériennes américaines de jeudi au Nigeria visaient des militants du groupe Etat islamique (EI) venus du Sahel pour collaborer avec le groupe jihadiste local Lakurawa et des gangs de "bandits", a affirmé samedi à l'AFP un porte-parole du président nigérian.

"L'EI a trouvé le moyen de passer par le Sahel pour aller aider les Lakurawa et les bandits en leur fournissant des équipements et en leur dispensant des formations", a déclaré Daniel Bwala, porte-parole du président Bola Tinubu.

Washington et Abuja avaient précédemment déclaré qu'elles visaient des militants liés à l'EI, mais sans fournir de détails sur les groupes armés qui avaient été pris pour cibles.

Les jihadistes affiliés à l'EI sont actifs au Niger voisin, ainsi qu'au Burkina Faso et au Mali, où ils mènent une insurrection sanglante contre les gouvernements de ces pays.

Alors que le Nigeria est depuis longtemps confronté à son propre conflit jihadiste, les analystes s'inquiètent de l'arrivée de groupes islamistes venus du Sahel dans ce pays d'Afrique de l'Ouest.

"La frappe a été menée à un endroit où, historiquement, se trouvent les bandits et les Lakurawa", a précisé M. Bwala. "Les renseignements recueillis par le gouvernement américain indiquent également qu'il y a un mouvement massif de membres de l'EI venus du Sahel vers cette région".

"Il y a eu des victimes, mais on ne sait pas exactement qui parmi les personnes visées a été tué", a ajouté M. Bwala.

Le lieu des frappes, dans l'Etat de Sokoto, dans le nord-ouest du Nigeria, a intrigué les analystes, car l'insurrection jihadiste au Nigeria est principalement concentrée dans le nord-est du pays.

Des chercheurs ont récemment établi un lien entre certains membres du groupe Lakurawa, le principal mouvement jihadiste dans l'État de Sokoto, et la branche sahélienne de l'EI.

Bandits

D'autres analystes ont toutefois contesté ces liens. Les recherches sur Lakurawa sont compliquées car ce terme a été utilisé pour désigner divers groupes de combattants armés dans le nord-ouest du Nigéria.

Dans cette région, le plus grand problème de sécurité est celui posé par les gangs criminels locaux connus sous le nom de "bandits" plutôt que par les jihadistes.

Ces malfaiteurs pillent les villages, procèdent à des enlèvements contre rançon et extorquent de l'argent à des agriculteurs et des mineurs artisanaux dans les zones rurales échappant au contrôle du gouvernement.

Ces gangs, motivés par l'argent et non la religion, collaborent parfois avec les jihadistes, soulignent les analystes.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Ukraine: l'agence anticorruption met en cause des députés

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Andrii Iermak, chef de cabinet et bras droit du président Zelensky, avait démissionné fin novembre après la perquisition de son logement par l'agence anti-corruption (archives). (© KEYSTONE/EPA/SERGEY DOLZHENKO)

L'agence anticorruption ukrainienne (NABU) a accusé samedi plusieurs députés d'avoir accepté des pots-de-vin en échange de leur vote au Parlement et tenté de perquisitionner des bureaux gouvernementaux à Kiev.

Ce nouveau scandale a été révélé juste après le départ du président Volodymyr Zelensky pour les Etats-Unis.

Le NABU a indiqué sur Telegram avoir "mis au jour un groupe criminel organisé comprenant des membres actuels du Parlement" qui "recevaient systématiquement des avantages illégaux pour voter à la Rada".

Des enquêteurs ont tenté de perquisitionner des locaux de comités parlementaires à Kiev mais en ont été empêchés par les forces de sécurité, a précisé cette instance. "Entraver les actions d'enquête constitue une violation directe de la loi", a-t-elle averti.

Le NABU n'a pas précisé si des arrestations dans cette affaire ont pu être réalisées.

Ce nouveau scandale de corruption au sein de l'Etat ukrainien éclate juste après le départ de Volodymyr Zelensky pour la Floride, où il doit rencontrer son homologue américain Donald Trump dans le cadre des négociations sur le plan visant à mettre fin à la guerre avec la Russie.

Présidence déstabilisée

La présidence ukrainienne avait déjà été déstabilisée par un vaste scandale de corruption portant sur le détournement de près de 100 millions de dollars dans le secteur énergétique impliquant un proche ami de M. Zelensky qui se trouve aujourd'hui en fuite à l'étranger.

Cette affaire avait poussé à la démission deux ministres et le puissant chef de l'administration présidentielle Andriï Iermak, également cité, qui était le négociateur privilégié avec Washington.

La corruption est un mal endémique en Ukraine depuis de nombreuses années. Depuis le début de l'invasion russe en 2022, de multiples affaires ont été révélées, y compris dans l'armée et le secteur de la défense.

Si l'Ukraine est dotée d'une agence anticorruption, le NABU, et d'un parquet spécialisé, le SAP, les affaires dévoilées se traduisent rarement par des condamnations en justice.

Les militants anticorruption se plaignent de faire l'objet de pressions politiques et d'un harcèlement judiciaire visant à entraver leur travail.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Italie: sept personnes soupçonnées de financement du Hamas

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Le ministre de l'Intérieur Matteo Piantedosi s'est félicité de cette opération qui lève le voile sur des activités soi-disant caritatives qui soutiennent en réalité des organisations terroristes (archives). (© KEYSTONE/AP LaPresse/ROBERTO MONALDO)

Sept personnes soupçonnées d'avoir participé au financement du mouvement islamiste Hamas ont été arrêtées en Italie, a indiqué samedi la police. Deux autres, impliquées dans la même enquête, sont visées par un mandat d'arrêt international et se trouvent à l'étranger.

Trois associations, officiellement de soutien au peuple palestinien mais servant en réalité de couverture pour les financement au Hamas, sont également concernées par l'enquête, a précisé la police dans un communiqué.

Les neuf personnes sont accusées d'avoir financé, "pour un total d'environ sept millions d'euros", des "associations ayant leur siège à Gaza, dans les territoires palestiniens ou en Israël (...) appartenant, contrôlées ou liées au Hamas". Ce soutien financier a été offert, entre autres, à "des membres de familles de personnes impliquées dans des attentats terroristes".

Alors que l'objectif officiel des trois associations était de recueillir des dons "à des fins humanitaires pour le peuple palestinien, une partie importante, plus de 71%, a été destinée au financement direct du Hamas" ou d'entités proches du mouvement islamiste, selon la police.

Cellules à l'étranger

Parmi les personnes arrêtées figure Mohammad Hannoun, président de l'association des Palestiniens en Italie, selon les médias.

Les autorités italiennes estiment que les trois associations font partie d'un "projet stratégique de l'organisation-mère, le Hamas, qui s'est dotée d'une structure complexe, donc également de cellules oeuvrant à l'étranger, en mesure de contribuer aux objectifs du mouvement".

"C'est une opération très importante", s'est félicité sur X le ministre de l'Intérieur Matteo Piantedosi, car elle a permis de "lever le voile sur des comportements et activités, qui, sous couvert d'initiatives en faveur des populations palestiniennes, cachaient le soutien et la participation à des organisations ayant des terroristes".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Budget 2026: loi spéciale pour reconduire temporairement le budget

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Les députés français ont adopté mardi dernier à l'unanimité le projet de loi spéciale permettant de financer provisoirement l'Etat. Cette loi devait être promulguée avant le 1er janvier (archives). (© KEYSTONE/EPA/YOAN VALAT)

Emmanuel Macron a promulgué la loi spéciale qui permet de pallier l'absence d'un budget en bonne et due forme pour 2026. Cet outil législatif avait déjà été utilisé l'an dernier après la censure du gouvernement Barnier.

La loi a été promulguée samedi dans le Journal officiel. Elle permet de financer provisoirement l'Etat en 2026 avant la reprise en janvier des débats au Parlement autour de la loi de finances. Elle reconduit temporairement le budget de 2025.

Cette loi garantit la possibilité d'emprunter et limite les dépenses aux services votés l'année précédente et jugés indispensables pour poursuivre l'exercice des services publics. Elle ne comprend pas de dépenses nouvelles, y compris sur la défense.

Contrairement aux Etats-Unis, la loi spéciale en France permet d'éviter une paralysie budgétaire: les fonctionnaires sont payés, les retraites versées, les soins remboursés.

Déjà l'an dernier, la France y avait recouru après la chute en décembre 2024 du gouvernement du Premier ministre Michel Barnier. Il avait fallu attendre février 2025 pour que les textes budgétaires soient approuvés par le Parlement.

Mettre de côté les calculs politiques

Le Premier ministre Sébastien Lecornu, pressé dans son camp de recourir à l'article 49.3, s'est dit mardi "persuadé" de parvenir à un accord au Parlement sur une loi de finances. "Si les calculs politiques sont mis de côté, le Parlement prendra ses responsabilités, le gouvernement aussi", a-t-il estimé.

Le dialogue privilégié engagé par Sébastien Lecornu avec le Parti socialiste a certes permis l'adoption du budget de la Sécurité sociale pour 2026, au prix de concessions du gouvernement notamment sur les retraites. Mais les profondes divergences entre l'Assemblée nationale et le Sénat, hostile à tout impôt supplémentaire, ont empêché l'approbation du texte budgétaire sur le financement de l'Etat.

Les parlementaires se retrouveront en début d'année pour de nouvelles joutes sur ce texte. La France est confrontée à un endettement croissant et les discussions n'ont pas permis de dessiner une trajectoire de réduction du déficit.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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