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Maduro veut une "grande réforme constitutionnelle" au Venezuela

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Nicolas Maduro a annoncé sa volonté de réviser la Constitution trois semaines avant sa prestation de serment pour un troisième mandat consécutif (archives). (© KEYSTONE/AP/Jesus Vargas)

Le président vénézuélien Nicolas Maduro a annoncé jeudi qu'il avait l'intention de faire adopter "une grande réforme constitutionnelle" au cours de son troisième mandat. Au Venezuela, les amendements constitutionnels doivent être ratifiés par un vote populaire.

"J'ai formé une équipe avec de grands conseillers internationaux, de grands conseillers nationaux, pour réfléchir, avec notre peuple, à une grande réforme constitutionnelle qui démocratise davantage la société vénézuélienne et donne plus de pouvoir aux citoyens", a fait valoir le chef de l'Etat lors d'un discours officiel.

M. Maduro avait appelé à la création d'une assemblée constituante en 2017 pour "pacifier" le pays, marqué par une vague de manifestations qui exigeaient son départ. L'institution, qui s'est déclarée plénipotentiaire, a pris fin en 2020 sans avoir modifié la Constitution, qui date de 1999 et a été promue par Hugo Chavez.

Les experts s'accordent à dire que cette assemblée n'avait cherché qu'à s'approprier les pouvoirs du Parlement, alors sous le contrôle de l'opposition.

L'annonce de M. Maduro intervient trois semaines avant sa prestation de serment pour un troisième mandat de six ans (2025-2031), à la suite de sa réélection en juillet. Après avoir été proclamé vainqueur, il n'a cependant jamais publié les détails du vote se disant victime d'un piratage informatique.

L'opposition crie à la fraude et revendique la victoire de son candidat Edmundo Gonzalez Urrutia. Elle a publié les procès-verbaux récupérés par ses scrutateurs et affirme qu'il a recueilli plus de 67% des voix. Les Etats-Unis, l'Union européenne et de nombreux pays d'Amérique latine ne reconnaissent pas la réélection de M. Maduro.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Le trafic ferroviaire perturbé au Portugal par la tempête Martinho

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La tempête Martinho a touché le Portugal dans la nuit de mercredi à jeudi. (© KEYSTONE/AP/Armando Franca)

Plusieurs liaisons ferroviaires ont été interrompues ou perturbées jeudi matin au Portugal en raison de la tempête Martinho qui balaye la péninsule ibérique. Les secours ont enregistré un blessé après la chute d'un arbre dans la région de Lisbonne.

La circulation de nombreux trains a par ailleurs été perturbée ou totalement interrompue dans la région de Lisbonne, dans le centre et le nord du pays, selon un communiqué de la compagnie de chemins de fer (CP). Les vents violents, qui ont atteint les 120 km/h par endroits, ont également provoqué la chute de pylônes électriques et de structures, entraînant aussi la fermeture de plusieurs routes.

La majorité du territoire portugais restait en alerte jaune jeudi alors que la tempête Martinho va progressivement se déplacer vers l'Espagne. La protection civile avait appelé dès mercredi à la vigilance, en raison notamment d'un risque d'inondations, et l'alerte orange avait été décrétée dans la soirée dans plusieurs localités.

La municipalité de Sintra, dans les environs de Lisbonne, a décidé de fermer ses principaux monuments touristiques mercredi et jeudi. Des stations du métro de Lisbonne ont ouvert dans la nuit pour accueillir des sans abris. La tempête a également entraîné des perturbations électriques dans le centre et le nord du pays.

La péninsule ibérique avait déjà été touchée en début de semaine par la tempête Laurence, qui a fait deux morts et un disparu dans sud de l'Espagne.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Meta lance son assistant d'IA générative dans l'UE

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L'outil sera proposé sur l'ensemble de ses applications (archives). (© KEYSTONE/DPA/JENS BÜTTNER)

Meta AI, l'assistant d'intelligence artificielle (IA) générative du géant américain Meta, est proposé progressivement dans l'Union européenne à partir de jeudi sur toutes ses applications (Facebook, Instagram, Messenger et WhatsApp).

Ce, plus d'un an après sa sortie aux Etats-Unis. "Il nous a fallu plus de temps que prévu pour déployer notre technologie d'IA en Europe, car nous continuons à naviguer dans un système réglementaire européen complexe mais nous sommes heureux d'y être enfin parvenus", a expliqué l'entreprise dans un communiqué.

Dévoilé aux Etats-Unis en septembre 2023 puis généralisé en avril 2024 sur l'ensemble des applications du groupe, Meta AI est un outil d'IA générative qui répond aux questions des utilisateurs en générant des textes et des images, comme ChatGPT de son concurrent OpenAI. Il a par ailleurs accès à des moteurs de recherche sur internet.

Il permet ainsi "d'approfondir des sujets d'actualité ou obtenir de l'aide pour un tutoriel" mais peut aussi aider à planifier un voyage.

Version européenne centrée sur le texte

Meta avait jusqu'ici suspendu son déploiement dans l'UE, affirmant manquer de visibilité quant à l'interprétation par les autorités européennes des différentes lois qui encadrent les nouvelles technologies, comme le règlement général sur la protection des données (RGPD) et ceux sur les marchés numériques et sur l'IA.

Son PDG, Mark Zuckerberg, avait ainsi fustigé dans une tribune l'été dernier, co-signée avec le PDG de Spotify Daniel Ek, un cadre réglementaire européen "fragmenté" aux "mises en oeuvre incohérentes" qui "freinait l'innovation et les développeurs".

Après moult tractations avec les régulateurs, Meta propose finalement aux consommateurs européens une interface centrée sur la génération de texte, sans image contrairement aux versions disponibles aux Etats-Unis et dans les pays non européens.

Autre point important: Meta AI, qui sera disponible dans six langues, n'a pas été entraîné sur des données d'utilisateurs européens.

700 millions d'utilisateurs

Meta entend déployer son assistant dans 41 pays européens, dont la France et l'Allemagne, ainsi que 21 territoires d'outre-mer européens, de façon progressive au cours des prochaines semaines.

Comme les autres géants de la Silicon Valley, il a fait de l'IA une priorité et prévoit d'investir entre 60 et 65 milliards de dollars cette année, en bonne partie dans des centres de données, des serveurs et des infrastructures de réseau, essentiels au développement de cette technologie.

"Je m'attends à ce qu'un assistant IA dépasse le milliard d'utilisateurs cette année et, pour moi, ce sera Meta AI", a déclaré Mark Zuckerberg lors de la présentation des résultats annuels de son entreprise, fin janvier.

"Une fois qu'un service atteint cette échelle", a-t-il ajouté, "il acquiert généralement une avance durable".

Meta revendique pour le moment 700 millions d'utilisateurs actifs par mois pour son assistant, qui devrait devenir une application à part entière aux Etats-Unis, selon plusieurs médias américains, afin de concurrencer directement ChatGPT, Gemini de Google ou Claude d'Anthropic.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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International

La Finlande reste le pays le plus heureux au monde

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Le classement du bonheur est basé sur une moyenne sur trois ans des évaluations personnelles de la satisfaction dans la vie, ainsi que sur le PIB par habitant, le soutien social, l'espérance de vie en bonne santé, la liberté, la générosité et la corruption (archives). (© KEYSTONE/DPA-Zentralbild/MARTIN SCHUTT)

La Finlande reste le pays le plus heureux au monde pour la huitième année consécutive, selon le rapport annuel sur le bonheur réalisé sous l'égide de l'ONU et publié jeudi. La Suisse est 13e, alors que les Etats-Unis enregistrent leur classement le plus bas.

Ils sont tombés à la 24e place, leur pire score depuis la première publication du rapport en 2012, où ils avaient figuré au 11e rang, leur meilleur classement. Partager ses repas "est fortement lié au bien-être", écrivent les auteurs, notant que "le nombre de personnes dînant seules aux Etats-Unis a augmenté de 53% au cours des deux dernières décennies".

En 2023, un Américain sur quatre a déclaré avoir pris tous ses repas seul la veille, selon le rapport. "Le nombre croissant de personnes qui mangent seules est l'une des raisons de la baisse du bien-être aux États-Unis", souligne-t-il.

Les Etats-Unis sont également l'un des rares pays à connaître une augmentation des "décès par désespoir" (suicide ou consécutif à l'absorption excessive d'alcool, de drogues) à un moment où ces décès sont en baisse dans la majorité des pays.

Nordiques en tête

Le rapport analyse le comportement de populations dans le monde entier en 2022-2024. Il n'est donc pas lié aux bouleversements dus au retour de Donald Trump à la présidence des Etats-Unis.

Les pays nordiques restent tous classés parmi les 10 plus heureux, le Danemark, l'Islande et la Suède talonnant la Finlande, qui a légèrement creusé l'écart avec le Danemark, son dauphin.

Pendant ce temps, le Costa Rica et le Mexique sont entrés pour la première fois dans le top 10, respectivement en sixième et dixième position.

La France n'arrive qu'à la 33e place, largement devancée par la Suisse (13e), la Belgique (14e) ou le Canada (18e).

L'Afghanistan, en proie à une catastrophe humanitaire depuis que les talibans ont repris le contrôle en 2021, s'est une fois de plus classé comme le pays le plus malheureux au monde.

Le classement du bonheur est basé sur une moyenne sur trois ans des évaluations personnelles de la satisfaction dans la vie, ainsi que sur le PIB par habitant, le soutien social, l'espérance de vie en bonne santé, la liberté, la générosité et la corruption.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Ukraine: réunion à Londres de chefs militaires

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Les drones russes frappent quotidiennement les installations civiles ukrainiennes (archives). (© KEYSTONE/AP)

Les chefs d'état-major d'une trentaine de pays prêts à contribuer à des garanties de sécurité pour l'Ukraine se retrouvent jeudi à Londres. Ils vont discuter d'un plan de maintien de la paix en cas de cessez-le-feu avec la Russie.

Le dossier ukrainien et celui de la défense européenne face à la menace russe figurent également au menu d'un sommet de l'UE à Bruxelles jeudi, le troisième sommet de chefs d'Etat en six semaines. Le Kremlin a vivement dénoncé jeudi les "plans de militarisation de l'Europe", par la voix de son porte-parole, Dmitri Peskov.

"Pour l'essentiel, les signaux en provenance de Bruxelles et des capitales européennes portent sur des plans de militarisation de l'Europe", a lancé M. Peskov. "L'Europe s'est engagée dans sa propre militarisation et s'est transformée en parti de la guerre", a-t-il fustigé.

"Coalition de volontaires"

Les discussions de Londres ont lieu alors que l'Ukraine et la Russie ont effectué des attaques massives de drones dans la nuit et que le président ukrainien Volodymyr Zelensky est arrivé jeudi à Oslo pour un entretien avec le Premier ministre norvégien Jonas Gahr Støre.

A Londres, le Premier ministre britannique Keir Starmer, qui s'efforce avec le président français Emmanuel Macron de constituer une "coalition de pays volontaires", doit s'adresser aux responsables militaires. Il avait indiqué samedi que cette réunion serait consacrée à la "phase opérationnelle" de leur plan de maintien de la paix en cas de cessez-le-feu.

Cette rencontre se tient alors que le président russe Vladimir Poutine a posé comme condition à tout cessez-le-feu l'arrêt de l'aide militaire occidentale à l'Ukraine. La Russie a aussi rejeté l'idée d'une présence de troupes étrangères en Ukraine dans le cadre d'un accord de cessez-le-feu.

Keir Starmer et Emmanuel Macron tentent de mettre en place cette coalition depuis que le président américain Donald Trump a ouvert des discussions directes avec la Russie le mois dernier dans le but de terminer trois ans de guerre.

Les dirigeants britannique et français veulent mettre en place des garanties de sécurité avec un soutien américain, qui permettraient de dissuader Vladimir Poutine de violer un éventuel cessez-le-feu.

Keir Starmer et Emmanuel Macron ont évoqué l'idée d'envoyer des troupes en Ukraine dans le cadre d'une force de maintien de la paix en cas de cessez-le-feu. Selon le gouvernement britannique, un "nombre significatif" de pays sont disposés à faire de même.

Toujours selon Londres, plus de 30 pays sont prêts à contribuer à cette "coalition de pays volontaires" d'une façon ou d'une autre. Cette participation pourrait consister pour certains pays à apporter un soutien logistique et technique pour une future force de maintien de la paix ou encore à accueillir du personnel sur leur sol.

Attaques de drones

Sur le terrain, la Russie a annoncé jeudi avoir abattu dans la nuit 132 drones ukrainiens au-dessus de son territoire, l'attaque ayant fait deux blessés et provoqué un incendie sur une base aérienne militaire, selon les autorités.

De son côté, l'armée de l'air ukrainienne a rapporté que la Russie avait lancé 171 drones sur l'Ukraine dans la nuit de mercredi à jeudi et précisé en avoir abattu 75, tandis que les autres n'ont pas fait de dommages.

Mercredi à Washington, le président américain Donald Trump a suggéré lors d'un appel avec M. Zelensky, que les Etats-Unis prennent "possession" des centrales électriques ukrainiennes, affirmant que cela "constituerait la meilleure protection et le meilleur soutien possibles".

Du côté de Washington et en apparence au moins, le ton s'est nettement adouci par rapport à l'hostilité ouverte avec laquelle le président ukrainien avait été accueilli récemment par Donald Trump.

Le président américain a eu un appel téléphonique "fantastique" avec son homologue ukrainien, a affirmé la porte-parole de la Maison Blanche, Karoline Leavitt.

M. Zelensky a parlé pour sa part sur X d'un échange "positif, très substantiel et franc". Plus tard, il a assuré n'avoir subi "aucune pression" de M. Trump pour lui arracher des concessions.

Questions en suspens

"Le président Zelensky a demandé des systèmes de défense antiaérienne (...) et le président Trump a accepté de travailler avec lui pour voir ce qui était disponible, notamment en Europe", a encore dit Mme Leavitt, ajoutant que "le partage de renseignements militaires pour la défense de l'Ukraine" allait "continuer".

Les propos de M. Trump sur la défense anti-aérienne pour l'Ukraine sont "extrêmement importants", s'est réjouie jeudi matin la cheffe de la diplomatie européenne, Kaja Kallas, à son arrivée à Bruxelles pour le sommet de l'UE.

Mais de nombreuses questions de fond restent en suspens après les conversations menées par Donald Trump avec MM. Poutine puis Zelensky. Parmi elles: l'avenir de l'aide occidentale à l'Ukraine, ou un éventuel "partage" territorial évoqué récemment par le président américain.

Des pourparlers russo-américains doivent se tenir "au niveau des experts, en Arabie saoudite dimanche ou "en tout début de semaine prochaine", a précisé M. Peskov.

L'objectif est d'arriver d'abord à une trêve étendue à la mer Noire, puis à un cessez-le-feu total, et enfin à des négociations de paix, une perspective qui reste lointaine.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Gaza: Israël interdit la circulation sur le principal axe nord-sud

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Ella Osama Abu Dagga, 25 jours, dans un véhicule après avoir été retirée des décombres d'un bombardement qui a tué ses deux parents à Khan Younès, dans le sud de la bande de Gaza. (© KEYSTONE/AP/Mariam Dagga)

L'armée israélienne a interdit jeudi toute circulation sur la route Salaheddine, principal axe routier courant du nord au sud de la bande de Gaza. Cela après avoir annoncé le lancement d'opérations militaires terrestres "ciblées" dans ce territoire palestinien.

"Au cours des dernières 24 heures, des troupes [israéliennes] ont commencé une opération terrestre limitée dans le centre et le sud de la bande de Gaza [...]. Pour votre sécurité, les déplacements entre le nord et le sud de la bande de Gaza et vice-versa sont interdits sur l'axe Salaheddine", indique sur le réseau social X le porte-parole arabophone de l'armée israélienne, Avichay Adraee.

"Le mouvement du nord de la bande de Gaza vers le sud n'est autorisé que via la route côtière al-Rachid", ajoute le colonel Adraee, sans préciser si l'armée autorise sur cet axe les déplacements du sud vers le nord. L'armée israélienne n'a pas répondu immédiatement à une demande de clarification de l'AFP sur ce point.

Bombardements israéliens meurtriers

Un responsable du ministère de l'Intérieur du gouvernement du Hamas pour Gaza a indiqué à l'AFP que l'armée israélienne avait fermé la veille le carrefour des Martyrs, appelé Netzarim par les Israéliens, principal verrou entre la ville de Gaza et le sud du territoire, sur la route Salaheddine.

"Les chars" israéliens se sont déployés à ce carrefour "après le retrait des forces spéciales de sécurité américaines hier (mercredi) matin", a-t-il ajouté. Il faisait référence aux agents de sécurité privée américains déployés en février après le retrait de l'armée israélienne dans le cadre de l'accord de trêve entré en vigueur le 19 janvier entre Israël et le mouvement islamiste palestinien.

Après plusieurs semaines de blocage dans les discussions indirectes entre Israël et le Hamas sur la suite à donner à cette trêve, Israël a repris les hostilités à grande échelle dans la nuit de lundi à mardi avec une campagne de bombardements meurtriers.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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