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Nombreux morts dans des raids des shebab en Somalie

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Les raids des shebab ont visé trois bases militaires où des membres de l'armée nationale somalienne étaient stationnés (image d'illustration). (© KEYSTONE/AP African Union-United Nations Information Support Team)

Les autorités somaliennes et les rebelles islamistes radicaux shebab ont respectivement affirmé avoir infligé de lourdes pertes au camp adverse, lors de raids des rebelles lundi sur des bases militaires du sud du pays.

Les raids matinaux ont eu lieu près des villages de Buulo Xaaji et Harboole, à environ 90 km de la ville portuaire de Kismayo. Ils ont visé trois bases militaires où des membres de l'armée nationale somalienne et des paramilitaires de l'Etat du Jubaland étaient stationnés.

Le président du Jubaland, Ahmed Mohamed Islam, a assuré que les attaques avaient été repoussées par les forces gouvernementales et que "135 assaillants" avaient été tués, "comme l'ont confirmé", selon lui, "les commandants des forces de sécurité". Selon lui, plus de 80 des combattants, dont certains blessés, "ont été faits prisonniers", et des armes abandonnées par les shebab saisies.

De leur côté les shebab ont revendiqué les attaques selon l'organisation américaine SITE, qui surveille les activités en ligne de groupes djihadistes. Ils font Etat d'un "bilan initial de 71 morts" dans les rangs des militaires et paramilitaires. "Et le nombre de blessés est plus important", selon un communiqué des rebelles islamistes radicaux partagé par SITE.

Chassés des principales villes en 2011-2012, les shebab, qui combattent le gouvernement central de Mogadiscio, restent solidement implantés dans de vastes zones rurales du centre et du sud du pays, d'où ils mènent des attentats contre des cibles sécuritaires, politiques et civiles.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp

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Quatre sur quatre pour les Suisses à Garmisch

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Gregor Deschwanden a terminé 19e de la qualification à Garmisch (© KEYSTONE/EPA/ANNA SZILAGYI)

Les quatre sauteurs suisses en lice ont passé l'écueil de la qualification jeudi à Garmisch, théâtre de la deuxième étape de la Tournée des Quatre tremplins.

Gregor Deschwanden a réalisé la meilleure performance helvétique en se classant 19e. Le Lucernois s'est posé à 132,5 mètres pour devancer de peu son coéquipier Sandro Hauswirth, 23e avec 133,5 mètres. Le vétéran Simon Ammann (39e) a validé son ticket en atterrissant à 124,5 mètres, alors que Juri Kesseli a profité d'une disqualification pour décrocher la 50e et dernière place qualificative.

Kesseli aura l'honneur d'affronter Domen Prevc, vainqueur du concours d'Oberstdorf ainsi que de la qualification mercredi, en première manche de ce saut du Nouvel An. Deschwanden en découdra avec le Kazakhe Ilya Mizernykh, Hauswirth avec l'Allemand Ben Bayer et Ammann avec le Polonais Kacper Tomasiak.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

La région Pacifique est passée en 2026

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Des centaines de milliers de spectateurs ont admiré le feu d'artifice à Sydney pour fêter le passage à 2026. (© KEYSTONE/EPA/DAN HIMBRECHTS)

Les pays du Pacifique ont les premiers à célébrer le passage à la nouvelle année. Plusieurs feux d'artifice ont été tirés, mais l'ambiance était lourde à Sydney, suite à l'attentat antisémite qui a eu lieu le 14 décembre.

En Nouvelle-Zélande, la capitale Wellington s'est illuminée de feux d'artifice, donnant le coup d'envoi à une chaîne de festivités dans le monde.

A Sydney, qui s'est proclamée "capitale mondiale du Nouvel An", l'événement a été assombri par l'attentat antisémite ayant fait 15 morts à la mi-décembre sur l'une de ses plages emblématiques.

Une minute de silence a été observée à 23h00 (13h00 suisses) par la foule, que sillonnaient des patrouilles de policiers lourdement armés, tandis que le célèbre pont du port s'illuminait d'une lumière blanche pour symboliser la paix.

"Là, maintenant, la joie que nous ressentons habituellement au début de la nouvelle année est tempérée par la tristesse de l'année écoulée", a déclaré le Premier ministre australien, Anthony Albanese, dans un message vidéo.

Rio vise un record

Des centaines de milliers de spectateurs se sont massés sur les quais de Sydney pour admirer l'énorme feu d'artifice tiré à minuit, pendant que des bateaux s'assuraient les meilleurs emplacements à proximité du célèbre opéra. "J'ai toujours rêvé d'assister à ce feu d'artifice et je suis ravie d'être ici", a confié Susana Suisuikli, une touriste anglaise.

A Hong Kong, le grand feu d'artifice prévu dans la baie Victoria a carrément été annulé en hommage aux 161 personnes mortes dans l'incendie d'un complexe d'habitations en novembre.

Au Brésil, à Rio de Janeiro, la "plus grande célébration du Nouvel An" reconnue par le Guiness des records, s'annonce grandiose avec 2,5 millions de fêtards sur la plage de Copacabana.

Douze minutes de feux d'artifice et 1200 drones doivent illuminer le ciel carioca. Treize scènes ont été installées pour des concerts gratuits dans toute la ville.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp

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Le Bangladesh a fait ses adieux à son ex-Première ministre

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Une véritable marée humaine a rendu hommage à son ex-Première ministre (archives). (© KEYSTONE/AP/Mahmud Hossain Opu)

Une foule immense a assisté mercredi à Dacca aux funérailles nationales de l'ancienne Première ministre Khaleda Zia. Cette personnalité a marqué la vie politique du Bangladesh pendant 40 ans.

Les drapeaux ont été mis en berne au lendemain du décès à 80 ans de la première femme à avoir exercé les fonctions de Première ministre dans cette nation d'Asie du Sud de 170 millions d'habitants.

Des milliers d'agents des forces de l'ordre ont été déployés le long des artères de la capitale empruntées par le convoi funéraire pavoisé aux couleurs du drapeau national.

Des prières ont été dites autour de son cercueil et, pour ces funérailles nationales, une marée humaine portant le deuil s'est rassemblée devant le Parlement. Dans la foule, beaucoup brandissaient le drapeau national ou celui du Parti nationaliste du Bangladesh (BNP) de l'ex-dirigeante.

Minhaz Uddin, 70 ans, un haut fonctionnaire retraité, explique n'avoir jamais voté pour elle mais avoir tenu à rendre hommage à celle qui fut trois fois Première ministre.

"Je suis venu avec mon petit-fils pour dire adieu à une grande figure de la vie politique, dont les contributions resteront à jamais dans les mémoires", a-t-il confié, derrière une barrière surmontée de fil de fer barbelé.

"Son héritage demeure"

Malgré sa santé défaillante, Mme Zia avait annoncé son intention de mener la campagne du BNP pour les premières législatives depuis le soulèvement populaire de l'été 2024 et de briguer un siège au Parlement.

Elle avait été propulsée à la tête du BNP après l'assassinat de son mari Ziaur Rahman pendant le coup d'Etat militaire de 1981.

"Elle n'est plus là, mais son héritage demeure - et le BNP aussi", a confié Jenny Parvez, 37 ans, qui a fait plusieurs heures de route pour assister au passage du cortège funéraire.

Tarique Rahman, fils de Mme Zia et président par intérim du BNP, est rentré au Bangladesh le 25 décembre pour conduire la campagne électorale, après 17 ans d'un exil volontaire au Royaume?Uni.

A 60 ans, il est pressenti pour prendre la tête du gouvernement en cas de victoire de son parti, donné favori pour le scrutin du 12 février 2026.

Le chef du gouvernement provisoire et prix Nobel de la paix Muhammad Yunus a décrété trois jours de deuil national.

"Une grande protectrice"

Les funérailles se sont tenues mercredi après-midi devant le Parlement et l'ex-cheffe du gouvernement a ensuite été inhumée aux côtés de son mari.

Des dirigeants ainsi que des officiers de l'armée ont déposé des gerbes, et un clairon a retenti.

Le pays "a perdu une grande protectrice", a déclaré dans un communiqué M. Yunus, saluant "son leadership inflexible".

"Le pays pleure la perte d'une figure tutélaire qui a façonné ses aspirations démocratiques", a déclaré son fils dans un communiqué.

Elle "a enduré des arrestations à répétition, le refus de soins médicaux et une persécution incessante", a-t-il ajouté, mais "sa résilience (...) était inébranlable".

Gravement malade, Khaleda Zia avait été admise fin novembre dans le service de soins intensifs d'un établissement privé de Dacca pour une infection pulmonaire.

"Une source d'inspiration"

Sa santé était fragile depuis son incarcération pour corruption en 2018, sous le règne de sa grande rivale Sheikh Hasina qui a dirigé le pays d'une main de fer pendant 15 ans jusqu'à la chute de son régime en août 2024. Mme Zia avait été libérée quelques mois après.

Le Premier ministre indien Narendra Modi a dit espérer que "sa vision et son héritage continuer(aient) de guider notre relation".

Des déclarations inattendues dans le contexte des relations très tendues entre les deux pays voisins.

L'Inde était l'un des principaux soutiens de l'ex-Première ministre Sheikh Hasina qui vit, depuis sa chute, en exil sur son territoire .

Le ministre indien des Affaires étrangères, Subrahmanyam Jaishankar, s'est rendu à Dacca pour assister aux funérailles, a indiqué New Delhi. C'est la visite du plus haut responsable du gouvernement indien depuis le renversement de l'ex-Première ministre. Il a indiqué avoir rencontré M. Rahman et lui avoir présenté les "plus profondes condoléances" de l'Inde.

En novembre dernier, elle a été condamnée à mort par contumace pour avoir ordonné la répression meurtrière des manifestations de l'été 2024.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Chine: la croissance va atteindre "environ 5%" en 2025 comme prévu

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La deuxième économie mondiale fait face à une longue crise du secteur immobilier, lourdement endetté (archives). (© KEYSTONE/EPA/MARK R. CRISTINO)

Le président chinois Xi Jinping a affirmé mercredi que la croissance économique de la Chine atteindrait "environ 5%" en 2025, comme prévu, malgré une année marquée par une "pression", a rapporté l'agence de presse officielle Xinhua.

"Nous avons pris les défis de front et oeuvré avec diligence, atteignant ainsi les principaux objectifs de développement économique et social", a déclaré Xi Jinping dans un discours devant la Conférence consultative politique du peuple chinois (CCPPC), selon l'agence Xinhua.

"Le taux de croissance devrait atteindre environ 5%", a-t-il poursuivi, ajoutant que "la stabilité sociale générale a été maintenue" et que la lutte contre la corruption était "menée sans relâche".

Ce chiffre est en ligne avec les objectifs gouvernementaux. En 2024, la croissance s'était également établie à 5%.

Les experts s'attendent à ce que Pékin annonce un objectif de croissance économique similaire pour 2026, lors de la grande réunion politique annuelle début mars.

La deuxième économie mondiale fait face à une longue crise du secteur immobilier, lourdement endetté, qui pèse sur les finances des collectivités locales et la consommation.

Les tensions commerciales avec Washington ont également compliqué la donne.

Des indicateurs publiés mercredi ont toutefois offert un signe positif aux décideurs politiques, puisque l'activité manufacturière en décembre a connu une légère remontée.

L'indice des directeurs d'achat (PMI) de l'activité manufacturière, qui reflète notamment le moral des milieux industriels, s'est établi à 50,1 en décembre, d'après le Bureau national des statistiques.

Pour la première fois depuis mars, ce chiffre est supérieur au seuil de 50 points qui traduit une expansion de l'activité.

Par ailleurs, l'indice PMI non manufacturier, qui mesure l'activité dans des secteurs comme les services et le bâtiment, s'est établi à 50,2 en décembre, comme un sursaut après sa contraction de novembre - la première en près de trois ans.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Trump oppose son veto pour la première fois à deux projets de loi

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Lors de son premier mandat à la Maison Blanche, Donald Trump a opposé son veto à 10 textes (archives). (© KEYSTONE/AP/Alex Brandon)

Donald Trump a mis son veto à deux projets de loi, pour la première fois lors de son second mandat. Le président américain a rejeté la construction d'un pipeline d'eau potable et l'extension d'une réserve amérindienne.

Le président républicain a opposé son veto lundi à ces textes bipartisans, soutenus par les élus démocrates et les républicains, a annoncé la Maison Blanche mercredi. Pour passer outre le veto présidentiel, le Sénat et la Chambre des représentants devront adopter ces textes à une majorité des deux tiers.

L'un de ces textes visait à achever un projet datant des années 60 pour acheminer de l'eau potable jusqu'aux grandes plaines de l'est du Colorado.

Donald Trump a justifié son veto par le coût, selon lui, trop important du projet, se félicitant d'épargner ainsi aux contribuables américains le financement de "politiques coûteuses et peu fiables", dans sa lettre d'explication au Congrès.

Le pipeline, dont la construction avait été proposée dans les années 60 sous la présidence de John Kennedy, avait obtenu le soutien des deux chambres du Congrès.

"Ce n'est pas terminé", a écrit sur les réseaux sociaux l'élue républicaine du Colorado à la Chambre des représentants Lauren Boebert, une ancienne alliée de M. Trump.

"Alcatraz des alligators"

La Maison Blanche a également annoncé le veto de Donald Trump à un projet de loi prévoyant l'extension de la réserve amérindienne de la tribu des Mikasukis dans une section du parc national des Everglades, en Floride, nommée Osceola Camp.

La tribu avait participé, plus tôt cette année, à une action en justice contre l'"Alcatraz des alligators", un centre de rétention de migrants monté à la va-vite dans cette région marécageuse des Everglades.

Une juge fédérale avait ordonné de démanteler de nombreux équipements du centre, signifiant sa fermeture à terme.

Donald Trump a affirmé que la tribu des Mikasukis n'était pas autorisée à occuper Osceola Camp et que son administration ne permettrait pas l'utilisation de l'argent des contribuables pour des "projets au bénéfice d'intérêts particuliers", en particulier pour des groupes "non alignés" avec sa politique migratoire.

Les présidents américains ont rarement recours au veto aux Etats-Unis. Lors de son premier mandat à la Maison Blanche, Donald Trump a opposé son veto à 10 textes. Son prédécesseur, le démocrate Joe Biden, a mis son veto à 13 projets de loi au cours de ses quatre années de mandat.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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