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International

Nouvelles libérations de détenus pour désengorger les prisons

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Les prisons britanniques se sont retrouvées surchargées (archives). (© KEYSTONE/EPA/ANDY RAIN)

Près de 1100 détenus ont commencé à être relâchés mardi. Il s'agit de la deuxième vague de libérations anticipées au Royaume-Uni, afin d'alléger la pression sur des prisons surpeuplées.

Le gouvernement a par ailleurs annoncé le lancement d'une mission qui doit étudier d'autres formes de sanctions pour les délinquants, à l'extérieur des prisons. Elle a été confiée à David Gauke, ancien ministre conservateur de la Justice. Parmi les options sur la table, des montres ou des applications connectées qui permettaient de suivre, en temps réel, la localisation des délinquants sous surveillance ou encore la mise en place de couvre-feux de 12 heures par jour.

"Je crois que le monde moderne nous offre l'opportunité de construire une prison en dehors de la prison, où les yeux de l'État suivraient un prisonnier de plus près que ne pourrait le faire un agent pénitentiaire", a déclaré la ministre de la Justice, Shabana Mahmood, devant la Chambre des Communes. Une semaine à peine après leur arrivée au pouvoir en juillet, les travaillistes avaient annoncé ces deux vagues de libérations anticipées pour soulager des prisons pleines à craquer.

Les détenus éligibles à une libération anticipée sous contrôle judiciaire ont pu en bénéficier lorsqu'ils avaient purgé 40% de leur peine, au lieu de 50% dans le passé. Le gouvernement a précisé que les agresseurs sexuels, et délinquants condamnés à plus de quatre ans de prison pour des "infractions graves avec violences", ne pouvaient pas prétendre à une libération anticipée.

"Proche de l'effondrement"

"Notre système carcéral était proche de l'effondrement (...) et si cela s'était produit, il y aurait eu une rupture de l'ordre public dans ce pays", a expliqué plus tôt Mme Mahmood sur la chaîne Sky news, ajoutant que celui-ci "est toujours soumis à de fortes tensions". "En août, il restait moins de 100 places de prison dans tout le pays", a-t-elle poursuivi, accusant le précédent gouvernement conservateur d'avoir ignoré les avertissements de la police et des magistrats.

Quelque 1700 détenus ont déjà été libérés le 10 septembre pour répondre à l'urgence, en plus du millier de prisonniers habituellement relâchés chaque semaine au Royaume-Uni. Quelques jours plus tard, il a été rapporté que 37 d'entre eux avaient été libérés à tort avant d'être renvoyés en prison, "une erreur qui ne se reproduira pas", a assuré Shabana Mahmood.

Un porte-parole du Premier ministre Keir Starmer a déclaré mardi qu'il partageait "la colère du public" face à des scènes de célébrations des détenus libérés, rapportées dans les médias, mais qu'"il n'y avait pas d'autre choix que d'agir". Fin septembre, la population carcérale d'Angleterre et du Pays de Galles, l'une des plus importantes en Europe, était retombée à 86.526, après un plus haut historique atteint en début de mois avant la première vague de libérations anticipées.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Puissant séisme de magnitude 6,2 au large d'Istanbul

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Le séisme a été ressenti dans la mégapole Istanbul, mais n'a pas fait de victimes. (image symbolique) (© KEYSTONE/AP/Emrah Gurel)

Un puissant séisme de magnitude 6,2, dont l'épicentre est situé en mer de Marmara et qui a été fortement ressenti dans la mégapole turque, a secoué mercredi Istanbul sans faire de victime, selon les autorités turques.

Selon l'Agence nationale de la gestion des catastrophes AFAD et le ministre de l'Intérieur Ali Yerlikaya, "un séisme de 6,2 s'est produit au large de Silivri, en mer de Marmara" peu avant 13h00 locales (12h00 suisses).

Deux secousses au moins, à quelques secondes d'intervalle, ont été fortement ressenties dans tous les quartiers de l'immense mégapole de 16 millions d'habitants.

Des milliers de personnes se sont jetées dans les rues en proie à la panique, ont constaté les journalistes de l'AFP.

Les autorités n'ont pas fait état de victime ni dégât.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

L'UE inflige des amendes à Apple et Meta, au risque d'irriter Trump

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Meta est visé pour manquement à la règle qui le contraint à demander le consentement des utilisateurs afin de pouvoir combiner des données personnelles issues de ses différents services. (archive) (© KEYSTONE/AP/Thibault Camus)

La Commission européenne a annoncé mercredi des sanctions financières contre les géants américains des technologies Apple et Meta (Facebook, Instagram) pour des infractions à la concurrence, malgré les tensions avec le président Donald Trump sur les droits de douane.

Apple se voit infliger une amende de 500 millions d'euros pour des clauses abusives dans sa boutique d'application App Store, au détriment des fournisseurs d'applications et de leurs clients. Meta devra payer 200 millions d'euros pour avoir enfreint une règle encadrant l'usage des données personnelles.

Ces sanctions sont les premières prononcées dans le cadre du nouveau règlement européen sur les marchés numériques (DMA), entré en vigueur l'an dernier pour mettre fin aux abus de position dominante des géants de la tech.

Elles interviennent un an après l'ouverture de procédures contre les deux groupes californiens, mais surtout à un moment délicat pour les relations transatlantiques.

L'Union européenne est en effet en pleines négociations avec l'administration américaine pour obtenir la levée de droits de douane imposés par Donald Trump.

Des surtaxes américaines de 25% sur les automobiles, l'aluminium et l'acier sont déjà entrées en vigueur ainsi qu'une surtaxe douanière de 10% sur l'ensemble des autres produits.

Le locataire de la Maison Blanche dénonce régulièrement les taxes, amendes et contraintes réglementaires imposées par l'Europe aux services numériques américains.

Contrairement à l'usage, les amendes de l'UE ont été annoncées par simple communiqué, sans conférence de presse de l'exécutif européen.

Apple a aussitôt contesté une décision qui le "cible injustement" et a annoncé que le groupe ferait appel tout en poursuivant le dialogue avec la Commission européenne.

Le montant des amendes apparaît toutefois modéré par rapport à celles imposées jusqu'ici par l'Europe à la "big tech".

Apple est sanctionné pour des restrictions dans son magasin d'applications App Store. Selon la Commission, la marque à la pomme entrave la capacité des fournisseurs d'applications distribuées dans sa boutique en ligne à communiquer directement avec les utilisateurs finaux pour promouvoir librement leurs offres et proposer éventuellement des tarifs inférieurs sur d'autres canaux.

Sur ce dossier, le groupe de Cupertino s'était vu infliger en mars 2024 une amende de 1,8 milliard d'euros par l'UE, après une plainte de la plateforme de streaming musical Spotify.

Meta, géant des réseaux sociaux, est lui visé pour manquement à la règle qui le contraint à demander le consentement des utilisateurs afin de pouvoir combiner des données personnelles issues de ses différents services, comme Facebook et Instagram, à des fins de profilage publicitaire.

Le groupe de Mark Zuckerberg a cependant proposé en novembre une modification de son offre pour se mettre en conformité, d'où une sanction financière inférieure à celle imposée à Apple. Cette proposition, actuellement étudiée par les services de la Commission, pourrait mettre fin à la procédure si elle est jugée satisfaisante.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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International

Zone euro: croissance presque nulle de l'activité économique (PMI)

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Dans le secteur manufacturier, la production a augmenté pour un deuxième mois consécutif. (archive) (© KEYSTONE/EPA/STEPHANIE LECOCQ)

L'activité économique du secteur privé dans la zone euro a faiblement progressé en avril, la stabilité des achats dans le secteur manufacturier compensant un recul dans celui des services, selon l'indice PMI Flash publié mercredi par S&P Global.

L'indice calculé sur la base de sondages d'entreprises s'élève à 50,1, contre 50,9 en mars, un niveau qui signifie toutefois une croissance quasi-nulle. Un chiffre au-dessus de la barre des 50 signale une croissance de l'activité, tandis qu'un chiffre en deçà reflète une contraction.

"Après quatre mois consécutifs de croissance, l'activité du secteur des services a très légèrement reculé en avril", ont expliqué S&P Global et la Hamburg Commercial Bank (HCOB), partenaire de l'enquête auprès des entrepreneurs.

"Dans le secteur manufacturier en revanche, la production a augmenté pour un deuxième mois consécutif et, bien que modeste, le taux d'expansion a affiché son plus haut niveau depuis mai 2022", ont-ils ajouté.

Ces tendances sont celles observées aussi en France et en Allemagne, deux grandes économies de la zone euro où l'activité de l'industrie a porté la croissance.

Selon Cyrus de la Rubia, économiste à la HCOB, l'industrie manufacturière ese porte mieux qu'on aurait pu le craindre".

"L'application d'un droit de douane général de 10% sur les biens entrant aux États-Unis et d'un tarif additionnel de 25% sur les importations d'automobiles au début du mois d'avril ne semble pas avoir déstabilisé outre mesure les fabricants de la zone euro", a-t-il relevé.

L'enquête mensuelle montre aussi que les tensions inflationnistes se sont atténuées en avril dans les vingt pays partageant la monnaie unique européenne.

"Les prix payés dans l'ensemble du secteur privé ont enregistré leur plus faible augmentation depuis novembre dernier, l'inflation ayant ainsi affiché un rythme inférieur à sa moyenne historique", selon les auteurs.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Culture

La dépouille du pape exposée à Saint-Pierre pour les fidèles

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La dépouille du pape François est arrivée à la basilique St-Pierre après un transfert depuis la Chapelle Sainte Marthe escortée par la Garde suisse. (© KEYSTONE/AP/Emilio Morenatti)

Escortée par des dizaines de cardinaux et des gardes suisses en uniforme chamarré, la dépouille du pape François est arrivée mercredi matin sous les ors de la basilique Saint-Pierre. Les fidèles pourront lui rendre un dernier hommage avant les funérailles de samedi.

Au rythme des cloches de Saint-Pierre sonnant le glas, une lente procession a accompagné le cercueil depuis la petite chapelle de la résidence Sainte-Marthe, où le pape a vécu depuis son élection en 2013 jusqu'à sa mort, vers la monumentale basilique couronnée par la coupole de Michel-Ange.

Marchant au pas, la procession s'est étirée sur les ruelles pavées du plus petit Etat du monde. Les chants du choeur de la Chapelle Sixtine résonnaient sur le chemin du long cortège.

Le cercueil était porté par des membres du cérémonial du Vatican en costume sombre et encadré par huit gardes suisses armés de hallebardes.

Le pape reposant dans son cercueil porte une mitre blanche et une chasuble rouge, et ses mains enserrent un chapelet.

Après avoir parcouru l'allée centrale de la basilique, le cercueil ouvert en bois clair, capitonné de rouge, a été installé devant le maître-autel de la basilique, lui-même surmonté du monumental baldaquin en bronze du Bernin, chef-d'oeuvre de l'art baroque tout juste restauré.

"Homme bon"

Rupture avec la tradition, il ne repose pas sur un catafalque mais est posé à même le sol, à la demande expresse de Jorge Bergoglio qui aspirait à plus de simplicité et de sobriété dans les rites funéraires papaux.

Pendant trois jours, le public pourra défiler devant sa dépouille: mercredi (de 11h00 à minuit), jeudi (de 07h00 à minuit) et vendredi (de 07h00 à 19h00).

Mercredi dès l'aube, des centaines de fidèles étaient déjà massés sur la place pour être parmi les premiers à entrer dans le majestueux édifice, qui ne sera pourant accessible qu'à partir de 11h00.

Parmi eux, Anna Montoya, une étudiante mexicaine de 33 ans vivant à Rome, confie à l'AFP qu'elle considérait le pape comme "un membre de sa famille"

"Je devais venir, j'avais l'impression de le connaître, c'était un homme bon", ajoute la jeune femme, qui porte une croix en or autour du cou.

Des dizaines de milliers de fidèles sont attendus pour ce dernier hommage. Après le décès de son prédécesseur Benoît XVI le 31 décembre 2022, 200'000 personnes s'étaient recueillies devant sa dépouille avant son enterrement en présence de 50'000 fidèles.

Pour faire face à cet afflux, les autorités ont déployé diverses mesures: barrières métalliques pour canaliser le flot des visiteurs, distribution de bouteilles d'eau, augmentation de la fréquence des bus desservant le Vatican, et renforcement des contrôles de sécurité aux accès de la place Saint-Pierre, par laquelle on accède à la basillique.

Têtes couronnées

Les funérailles de François se dérouleront samedi matin sur la place Saint-Pierre, où devraient converger des centaines de milliers de fidèles.

Comme pour Jean-Paul II en 2005, des dizaines de chefs d'Etat et de têtes couronnées assisteront aux funérailles du chef de l'Eglise catholique, qui se dérouleront sous haute sécurité.

Le président américain Donald Trump a annoncé qu'il viendrait, accompagné de sa femme Melania, malgré les critiques dures et répétées du pape contre sa politique antimigrants.

Le président français Emmanuel Macron et son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky entendent également faire le déplacement. En revanche, le président russe Vladimir Poutine, sous le coup d'un mandat d'arrêt de la Cour pénale internationale (CPI), ne prévoit pas de s'y rendre.

La présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, le président du Conseil européen Antonio Costa, le Premier ministre britannique Keir Starmer et le chancelier allemand Olaf Scholz ont également annoncé leur venue, tout comme le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres.

Le roi Felipe VI et la reine Letizia d'Espagne, Albert II de Monaco et son épouse Charlène seront aussi présents.

A l'issue de la messe qui débutera à 10h00, le cercueil sera transféré à la basilique Sainte-Marie-Majeure dans le centre de Rome, dédiée à la Vierge, où le pape sera enterré conformément à sa volonté.

La Pologne, pays à tradition catholique, observera un jour de deuil national le jour des funérailles, tandis qu'en Italie il a débuté mardi et durera jusqu'à samedi.

"Il ne souffre plus"

Le décès du chef des 1,4 milliard de catholiques a fait affluer des centaines de journalistes des quatre coins du monde à Rome. Les drapeaux jaune et blanc du Saint-Siège ont été mis en berne et une nouvelle prière publique a été organisée mardi soir place Saint-Pierre.

Croisée en début de soirée sur cette place entourée de la fameuse colonnade du Bernin, une religieuse mexicaine, Maria Guadalupe Hernandez Olivo, confesse que pour elle ce choc a été "très dur", même si le pape "se trouve dans un lieu meilleur et ne souffre plus". "Dieu seul sait qui sera son successeur", ajoute-t-elle.

Déjà affaibli par une sévère pneumonie, le premier pape sud-américain et jésuite de l'Histoire, sorti de l'hôpital le 23 mars, avait multiplié les apparitions publiques ces derniers jours en dépit de l'avis des médecins lui ayant prescrit un strict repos de deux mois.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Automobile: le salon de Shanghai, symbole d'un nouvel ordre mondial

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Le plus grand salon automobile du monde rassemble jusqu'au 2 mai près de 1000 exposants. (archive) (© KEYSTONE/AP/Ng Han Guan)

Le salon de l'automobile de Shanghai a débuté mercredi en illustrant la nouvelle donne de l'automobile mondiale, malgré une tempête de droits de douane qui freine les ambitions de la Chine à l'export.

Le groupe Volkswagen, premier groupe étranger en Chine mais en difficulté, a dévoilé une contre-offensive massive.

Une série de modèles électriques pensés "en Chine pour la Chine", réalisée avec des groupes locaux pour aller plus vite et faire des économies, doit arriver dans les concessions dès cette année. Pour reprendre quelques parts de marché, ces modèles mettent en avant les technologies dont sont friands les Chinois, des lumières personnalisables aux aides à la conduite.

La nouvelle marque AUDI, filiale de la marque premium allemande pour la Chine, a ainsi présenté son premier modèle, la sportive et très connectée E5 Sportback.

Volkswagen a présenté le concept ID.UNYX, un modèle électrique qui doit arriver sur les routes chinoises en 2026 avec un prix compétitif.

Le plus grand salon automobile du monde rassemble jusqu'au 2 mai près de 1000 exposants dans 12 énormes pavillons dans l'ouest de la capitale économique du pays.

La Chine, premier producteur automobile mondial, a aussi une influence croissante hors de ses frontières. Avec 6,4 millions de voitures exportées en 2024 (+23% sur un an), la Chine était déjà le premier exportateur mondial. Elle pourrait atteindre 30% des exportations mondiales en 2030, selon un rapport publié mardi par AlixPartners.

Ses exportations sont freinées par des taxes américaines et européennes. Et si ces taxes empêchent les Chinois de lancer leurs voitures électriques à l'assaut de l'Amérique, elles condamnent aussi les voitures produites en Chine par les entreprises américaines General Motors et Ford.

Oliver Zipse, le patron de BMW, très touché par les droits de douane américains, a répété mercredi que la marque munichoise "continuera de défendre l'ouverture des marchés".

Marché électrique

La Chine est devenue en 20 ans le premier marché mondial de l'automobile, en misant sur les voitures électriques et hybrides rechargeables, deux motorisations considérées comme stratégiques par les autorités.

Il pourrait se vendre en Chine plus de 26 millions de véhicules en 2025, selon le cabinet AlixPartners: la République populaire pourrait ainsi dépasser pour la première fois la somme de l'Europe et des Etats-Unis, où les clients achètent moins de voitures.

"La croissance du marché est poussée par l'adoption rapide des véhicules électriques, de plus en plus équipés de fonctions comme la conduite autonome", indique AlixPartners.

Des usines ont fleuri dans toutes les régions du pays et les grands groupes SAIC (marque MG), BYD ou BAIC cassent les prix sur un marché où les clients sont plutôt jeunes et ouverts à la nouveauté.

La startup XPeng et les géants de l'électronique Xiaomi et Huawei sont aussi présents au salon de Shanghai pour la première fois avec des voitures électriques, montrant leurs ambitions dans le secteur.

Le ralentissement de la croissance chinoise et la surproduction de ses usines a pu laisser planer un doute sur le modèle automobile du pays.

Mais "tous ceux qui disent que la Chine perd de son importance et s'affaiblit devraient regarder Shanghai", a prévenu l'expert allemand Ferdinand Dudenhöffer mardi dans une note. "C'est le contraire qui est vrai. Si notre industrie automobile veut renouer avec les succès d'antan, elle doit devenir plus chinoise."

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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