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International

Appel à un retrait: un Biden batailleur et gaffeur face à la presse

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Joe Biden, ancien bègue, n'a jamais été un orateur flamboyant, en particulier lorsqu'il improvise. Avec l'âge, ses prises de parole sont de plus en plus laborieuses. (© KEYSTONE/AP/Susan Walsh)

Le président américain Joe Biden, sous pression par des appels à un retrait de la course à la Maison-Blanche, a bataillé de plus belle jeudi lors d'une longue conférence de presse. Sa prestation a été plutôt maîtrisée, bien qu'obscurcie par des lapsus spectaculaires.

Mais sa candidature à un second mandat reste précaire. Le président américain de 81 ans avait à peine bouclé une heure d'échanges avec les journalistes que deux démocrates supplémentaires lui ont demandé de céder la place.

"Je suis déterminé à être candidat, mais je pense qu'il est important d'apaiser les peurs", a -t-il reconnu, en promettant de faire campagne activement. Ancien bègue, le démocrate n'a jamais été un orateur flamboyant.

Jeudi, il a parfois bafouillé ou peiné à finir ses phrases, mais aussi démontré sa maîtrise de dossiers internationaux notamment, sans notes ni prompteur. En clair, rien de comparable avec son débat calamiteux du 27 juin face à son rival républicain, l'ancien président américain Donald Trump, lors duquel il était apparu très confus et fatigué.

"Terminer le travail"

Joe Biden a répété plusieurs fois vouloir "terminer le travail" engagé en 2020. Il a assuré qu'il serait toujours capable, s'il était réélu, de "gérer" les présidents chinois et russe, Xi Jinping et Vladimir Poutine, dans trois ans.

"J'ai eu trois examens neurologiques intenses et conséquents" menés par un neurologue, le dernier "en février", a-t-il rappelé. "Ils disent que je suis en bonne forme". Il a une nouvelle fois balayé les mauvais sondages et affirmé qu'il était "le plus qualifié" pour l'emporter en novembre face à son prédécesseur républicain.

"Il y a d'autres gens qui pourraient aussi battre Trump, mais c'est terriblement difficile de partir de zéro", a-t-il lancé, à quatre mois du scrutin présidentiel.

Le dirigeant démocrate, dont l'acuité mentale et la résistance physique font l'objet de vifs débats, a seulement reconnu qu'il fallait qu'il "se ménage un peu plus".

Moqueries de Trump

Joe Biden, coutumier du fait, a aussi fait jeudi des lapsus spectaculaires, qui ont immédiatement fait la joie de son rival.

En réponse à la première question lors de la conférence de presse, il a dit: "Je n'aurais pas choisi le vice-président Trump pour être vice-président si je ne pensais pas qu'elle était qualifiée pour être présidente". Il voulait évoquer la vice-présidente Kamala Harris.

"Beau boulot, Joe" , a ironisé Donald Trump sur son réseau Truth Social. Joe Biden ne s'est pas repris, comme il l'avait fait peu avant, en commettant une autre bourde monumentale.

S'exprimant à l'occasion du sommet de l'OTAN à Washington, il avait annoncé le "président Poutine" alors qu'il accueillait le chef d'Etat ukrainien Volodymyr Zelensky sur scène.

"Et maintenant je veux passer la parole au président de l'Ukraine, qui a autant de courage qu'il a de détermination. Mesdames et messieurs, le président Poutine", a déclaré le président américain, avant de se reprendre quasiment immédiatement. "Je suis tellement concentré sur le fait de battre Poutine", s'est-il justifié.

Sondages sur Kamala Harris

De nombreux démocrates doutent que le président américain puisse encore sauver sa candidature, à quelques semaines de la convention d'investiture qui se tiendra du 19 au 22 août à Chicago. Certains l'ont déjà dit publiquement, sans que les appels à son retrait ne soient pour l'heure massifs ou relayés par des ténors du parti.

Selon le New York Times, l'équipe de campagne de Joe Biden et de sa colistière Kamala Harris a commencé à mener discrètement des sondages sur les chances de la vice-présidente, âgée de 59 ans, face à Donald Trump.

La chaîne CBS affirme elle que de nombreux parlementaires démocrates sont déjà prêts à demander publiquement un retrait, comme la dizaine d'élus qui l'ont déjà fait.

Dans un sondage Ipsos diffusé jeudi par le Washington Post et ABC, 67% des personnes interrogées estiment que le président américain devrait retirer sa candidature. Parmi les seuls électeurs démocrates, c'est aussi l'opinion majoritaire, à 56%.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

International

Un responsable pakistanais fait état d'échanges de tirs

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Les échanges de tirs ont eu lieu le long de la ligne de contrôle qui sépare l'Inde et le Pakistan (archives). (© KEYSTONE/AP/Dar Yasin)

Un haut responsable de l'administration au Cachemire pakistanais a fait état vendredi d'échanges de tirs durant la nuit entre troupes pakistanaises et indiennes le long de la ligne de contrôle (LoC), la frontière de facto au Cachemire. L'ONU appelle à la retenue.

"Il y a eu des échanges de tirs de poste à poste dans la vallée de Leepa durant la nuit, aucun tir n'a visé de population civile et la vie suit son cours, les écoles sont ouvertes", a dit à l'AFP Syed Achfaq Gilani, trois jours après une attaque qui a mené à une escalade entre les deux voisins.

L'ONU a appelé l'Inde et le Pakistan à "la retenue maximale" après deux jours d'escalade à coups de suspension des visas, d'expulsion de diplomates et de fermeture de frontières.

Les deux pays, qui possèdent tous les deux l'arme nucléaire et se sont déjà menés trois fois la guerre depuis leur partition dans la douleur en 1947, se sont lancés dans une spirale de mesures punitives et de rétorsion censées rendre coup pour coup.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Restes humains de la civilisation Caral découverts au Pérou

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La civilisation Caral du Pérou, qui s'est épanouie entre 3000 et 1800 avant J.C., est la plus ancienne d'Amérique, contemporaine des civilisations mésopotamienne et égyptienne (archives). (© KEYSTONE/EPA/PERUVIAN NATIONAL INSTITUTE OF C)

Des archéologues ont annoncé jeudi avoir découvert au Pérou des restes humains d'une femme datant d'il y a environ 5000 ans, qui aurait appartenu à la civilisation Caral, la plus ancienne d'Amérique.

Cette dernière découverte revêt un intérêt particulier pour les scientifiques, car elle serait la preuve que les femmes jouaient un rôle de premier plan dans la civilisation Caral, a expliqué à la presse David Palomino, chef de l'équipe de chercheurs à l'origine de cette trouvaille.

Après avoir montré des photos et une vidéo de la sépulture en question, M. Palomino a expliqué qu'elle "correspond à (celle d'une) femme qui semble avoir eu un statut élevé, (...) une femme d'élite".

La sépulture avait été découverte en décembre dans l'ancien village de pêcheurs d'Aspero (ouest), qui a longtemps été le site d'une décharge avant d'être classé site archéologique. Elle a été retrouvée dans le cadre des fouilles dirigées depuis 1996 par l'archéologue péruvienne Ruth Shady.

De premières analyses indiquent que ces restes humains sont ceux d'une femme âgée de 20 à 35 ans, mesurant 1,5 mètre et portant une coiffe, indice de son statut élevé. Le corps était enveloppé de plusieurs couches de textiles et d'un "manteau de plumes d'ara", une espèce de perroquet d'Amazonie, a précisé M. Palomino.

De petits objets, tels qu'un bec de toucan, un bol en pierre et un panier en paille, ont par ailleurs été trouvés avec les restes humains et ont été exposés jeudi au siège du ministère de la culture à Lima.

La civilisation Caral, qui s'est épanouie entre 3000 et 1800 avant J.C., est la plus ancienne d'Amérique. Contemporaine des civilisations mésopotamienne et égyptienne, elle est apparue sur un plateau aride du Pérou à 182 km au nord de Lima, 45 siècles avant la civilisation inca.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Ultimes préparatifs pour les funérailles du pape

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Au moins 130 délégations étrangères sont attendues aux obsèques du pape François à Rome, placée sous haute protection. (© KEYSTONE/EPA/ITALIAN CARABINIERI HANDOUT)

Le Vatican met vendredi la dernière main aux préparatifs des funérailles du pape François, qui se tiendront samedi matin sur la place Saint-Pierre, à Rome, tandis que pour une dernière journée, fidèles et touristes peuvent défiler devant son cercueil ouvert.

Depuis mercredi, plus de 128'000 personnes se sont déjà recueillies devant la dépouille du jésuite argentin dans la basilique Saint-Pierre de Rome, a indiqué le Vatican.

La plupart des 50 chefs d'Etat et des 10 monarques qui ont confirmé jusqu'ici leur présence aux obsèques, dont le président américain Donald Trump et l'Ukrainien Volodymyr Zelensky, doivent arriver à Rome ce vendredi.

La basilique est restée ouverte quasiment toute la nuit, pour la deuxième nuit consécutive.

La "nuit est le moment le plus intime, c'est toujours la nuit que le Seigneur se manifeste. C'était très émouvant", a déclaré à l'AFP Nicoletta Tomassetti, une Italienne de 60 ans.

Au moins 130 délégations étrangères seront présentes, dont celles de l'Argentin Javier Milei et du Prince William.

L'agence italienne de protection civile estime que "plusieurs centaines de milliers" de personnes se rendront dans la ville éternelle ce week-end.

Sous haute protection

Les autorités italiennes et vaticanes ont placé les alentours de Saint-Pierre sous haute protection, avec des milliers de bénévoles et de forces de l'ordre mobilisés, un système anti-drones, des tireurs d'élite sur les toits et des avions de chasse prêts à décoller.

Vendredi matin, les fidèles continuaient d'affluer pour rendre un dernier hommage à François, dont le cercueil sera fermé vendredi à 20h00 lors d'une cérémonie à laquelle assisteront les cardinaux.

Le cardinal Kevin Farrell, le "camerlingue" qui gère les affaires courantes du Vatican jusqu'à l'élection d'un nouveau pape, présidera le "rite du scellement du cercueil".

Le premier pape sud-américain de l'Eglise catholique est décédé le lundi de Pâques à l'âge de 88 ans, moins d'un mois après sa sortie de l'hôpital romain où il était soigné pour une grave pneumonie.

"Un pape et son troupeau"

Le souverain pontife, dont la santé était défaillante depuis longtemps et à qui ses médecins avaient ordonné un strict repos, avait fait l'effort de se présenter aux fidèles à Pâques, la fête la plus importante du calendrier catholique.

Les condoléances ont afflué du monde entier pour le défunt pape, un réformateur énergique qui a défendu les plus vulnérables et les plus marginalisés de la société au cours de ses 12 années à la tête des quelque 1,4 milliard de catholiques que compte la planète.

Le premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a présenté vendredi les condoléances de l'Etat d'Israël à l'Eglise catholique, alors que depuis son décès ni M. Netanyahu ni aucun de ses principaux ministres ne s'étaient exprimés publiquement sur la mort du souverain pontife, qui était généralement perçu en Israël comme pro-palestinien.

Le cercueil capitonné de rouge du jésuite argentin a été placé devant l'autel de la basilique Saint-Pierre. François, dont les mains enserrent un chapelet, porte ses habits pontificaux: une chasuble rouge, une mitre blanche et des chaussures noires.

Un par un, les fidèles se recueillent depuis mercredi devant le cercueil, ne disposant que de quelques secondes, au prix de longues heures de queue.

"C'est impressionnant" et "c'est merveilleux. C'est une belle réponse, une belle adhésion à son ministère, à son pontificat", a déclaré jeudi soir aux journalistes le cardinal François Bustillo, évêque d'Ajaccio.

Une sobre sépulture

Après les funérailles, le cercueil de François sera transporté pour être inhumé, selon sa volonté, dans la basilique papale Sainte-Marie-Majeure, à Rome, dédiée au culte de la Vierge.

Des écrans géants seront placés le long du parcours, selon le ministre italien de l'Intérieur, Matteo Piantedosi. Un groupe de "pauvres et de nécessiteux" sera présent sur les marches de la basilique pour accueillir le cercueil du pontife, qui était un ardent défenseur des laissés-pour-compte.

Sa tombe en marbre, avec pour seule inscription "Franciscus", François en latin, sera accessible au public à partir de dimanche matin.

Après les obsèques, tous les regards se tourneront vers les 135 cardinaux-électeurs - soit ceux âgés de moins de 80 ans - convoqués au conclave pour choisir son successeur.

La date du début du conclave n'est pas encore connue, mais en vertu des règles vaticanes, il devrait s'ouvrir entre le 15e et le 20e jour après son décès, soit entre le 5 et le 10 mai.

Les cardinaux, qui ont commencé à converger à Rome et se sont déjà vus à trois reprises, se réuniront dans la Chapelle Sixtine et procéderont à quatre scrutins par jour, deux le matin et deux l'après-midi.

Le cardinal italien Pietro Parolin, qui était le numéro deux de François, est donné favori par le bookmaker britannique William Hill, devant le Philippin Luis Antonio Tagle, archevêque métropolitain émérite de Manille.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Guerre en Ukraine: la Russie se dit prête à un accord, dit Lavrov

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Le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov déclare que la Russie est "prête" à conclure un accord pour mettre fin à la guerre en Ukraine dans une interview à une chaîne américaine mis en ligne jeudi (archives). (© KEYSTONE/EPA/TATYANA MAKEYEVA / POOL)

Le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov a assuré jeudi que Moscou était prête à un accord pour mettre fin à la guerre en Ukraine, après un avertissement de Donald Trump à Vladimir Poutine à la suite de frappes meurtrières sur Kiev.

La salve lancée par la Russie dans la nuit de mercredi à jeudi - 70 missiles et 145 drones visant au total six régions et faisant 12 morts à Kiev selon les autorités ukrainiennes - est intervenue à un moment où les laborieuses négociations entreprises par le président américain se crispent sur la question de la Crimée.

Donald Trump "parle d'un accord et nous sommes prêts à conclure un accord, mais certains éléments spécifiques doivent encore être peaufinés", a affirmé M. Lavrov dans un entretien diffusé jeudi soir par la chaîne américaine CBS.

"Il y a plusieurs signes qui montrent que nous allons dans la bonne direction", louant Donald Trump comme "probablement le seul dirigeant sur la planète qui reconnaît le besoin de s'attaquer aux causes profondes de la situation".

Le président américain a indiqué cette semaine être "très proche" d'un compromis avec la Russie pour mettre fin à la guerre déclenchée par l'invasion à grande échelle lancée par la Russie en février 2022.

Il a fait porter la responsabilité du blocage actuel des tractations au président ukrainien Volodymyr Zelensky et les éléments distillés par les responsables américains supposent des concessions majeures de la part de Kiev. Mais les derniers bombardements meurtriers l'ont conduit à sortir du ton très conciliant adopté ces derniers temps envers Vladimir Poutine.

"Vladimir, ARRÊTE!", s'est agacé Donald Trump par une de ses formules lapidaires sur sa plateforme Truth Social, ajoutant n'être "pas content" de ces frappes au "très mauvais timing".

Missile nord-coréen

Alors que l'armée russe a indiqué avoir "mené une attaque massive avec des armes de précision à longue portée" contre plusieurs entreprises liées au complexe militaro-industriel ukrainien, M. Lavrov a insisté sur CBS que les forces russes ne visaient "que des objectifs militaires ou des sites civils utilisés par l'armée".

Le bilan dans la seule capitale est l'un des plus lourds depuis des mois.

Dans le quartier de l'ouest de Kiev touché, des journalistes de l'AFP ont vu des corps gisants au sol, des immeubles endommagés et calcinés, et les secours s'employant à rechercher d'éventuelles victimes supplémentaires ou survivants dans les décombres.

Volodymyr Zelensky, qui a écourté une visite en Afrique du Sud, a accusé la Russie d'avoir utilisé un missile "fabriqué en Corée du Nord" lors de ces frappes.

Il a aussi affirmé que l'armée russe avait tenté de profiter de ces bombardements aériens massifs pour intensifier leur offensive au sol.

"Alors que le gros de nos forces se concentrait sur la protection contre les missiles et les drones, les Russes ont considérablement intensifié leurs attaques au sol", a-t-il déclaré sur Telegram, ajoutant que cet assaut avait été repoussé.

"Pression sur la Russie"

La vague de missiles et de drones explosifs lancés par la Russie intervient à un moment critique pour le processus de négociation que Donald Trump a engagée pour faire cesser la guerre lancée par Moscou en février 2022, et dont le bilan se chiffre au moins en dizaines de milliers de morts de part et d'autre.

L'émissaire américain Steve Witkoff est attendu d'ici à la fin de la semaine à Moscou, tandis que Donald Trump et Volodymyr Zelensky seront tous les deux présents aux funérailles du pape François samedi à Rome.

Des informations de presse ont fait état de discussions russo-américaines sur la reconnaissance de l'annexion par la Russie de la Crimée, péninsule ukrainienne dont Moscou a pris le contrôle en 2014.

Sans reconnaître un tel point explicitement, le président américain a cependant jugé cette semaine le territoire "perdu" pour l'Ukraine, tandis que son vice-président JD Vance suggérait de "geler les lignes territoriales à un niveau proche de ce qu'elles sont aujourd'hui".

Le président ukrainien est revenu sur le sujet jeudi avant de quitter Pretoria précipitamment: "Nous faisons tout ce que nos partenaires ont proposé, sauf ce qui est contraire à notre législation et à la Constitution" ukrainienne sur l'intégrité territoriale du pays, Crimée comprise, a-t-il souligné, exigeant à l'inverse "plus de pression sur la Russie".

A ce sujet, Donald Trump a assuré jeudi devant la presse que les Etats-Unis mettaient "une forte pression" sur la Russie pour mettre fin à la guerre, ajoutant que Moscou ferait "une assez grosse concession" en acceptant de ne pas s'emparer de tout le pays.

Reçu par Donald Trump, le patron de l'Otan, Mark Rutte, a paru s'inscrire en faux par rapport aux déclarations du président américain accusant Kiev d'entraver les tractations de paix.

"Il y a quelque chose sur la table maintenant, je pense, et les Ukrainiens jouent vraiment le jeu. Et je pense que la balle est clairement dans le camp de la Russie maintenant", a déclaré M. Rutte à Washington. "Des pas de géants ont été accomplis au cours des derniers jours".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Trump signe pour l'extraction des fonds marins, aussi en haute mer

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Aucune extraction minière commerciale n'a encore eu lieu dans les fonds marins, aux Etats-Unis ou ailleurs, mais certains Etats ont déjà octroyé des permis d'exploration dans leurs zones économiques exclusives (image symbolique). (© KEYSTONE/AP/Mary Altaffer)

Donald Trump a signé jeudi un décret destiné à ouvrir l'extraction à grande échelle de minerais dans les fonds océaniques, y compris en eaux internationales, une remise en cause de l'Autorité internationale des fonds marins (AIFM), en théorie compétente en haute mer.

Le texte demande au secrétaire au Commerce, Howard Lutnick, "d'accélérer l'examen" de candidatures "et la délivrance de permis d'exploration et d'extraction" de minéraux "au-delà des juridictions" américaines.

Il saisit également le ministre de l'Intérieur, Doug Burgum, pour en faire de même pour les eaux territoriales. L'initiative doit permettre de collecter un milliard de tonnes de matériaux en dix ans, a indiqué un haut responsable américain.

L'AIFM a juridiction sur les fonds marins des eaux internationales, en vertu d'accords que les Etats-Unis n'ont, néanmoins, jamais ratifiés. Aucune extraction minière commerciale n'a encore eu lieu dans les fonds marins, aux Etats-Unis ou ailleurs.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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