Rejoignez-nous

International

TikTok Lite: l'UE menace de suspendre les récompenses "addictives"

Publié

,

le

TikTok, propriété du groupe chinois ByteDance, a lancé son nouveau service controversé en France et en Espagne fin mars (archives). (© KEYSTONE/AP/Michael Dwyer)

Bruxelles a ouvert lundi une enquête visant la nouvelle application TikTok Lite. L'Union européenne a menacé de suspendre dès jeudi la fonctionnalité du réseau social chinois qui récompense le temps passé devant les écrans au risque d'augmenter l'addiction.

Des pièces virtuelles, convertibles en carte-cadeau, en échange du visionnage de vidéo... TikTok, propriété du groupe chinois ByteDance, a lancé son nouveau service controversé en France et en Espagne fin mars. En poussant à rester connecté, il pourrait renforcer dangereusement la dépendance au réseau social.

La Commission européenne estime que le mécanisme pose "des risques graves pour la santé mentale des utilisateurs". Or, la plateforme n'a pas communiqué à Bruxelles, avant son lancement, une évaluation des risques, conformément à ses obligations dans le cadre de la nouvelle législation sur les services numériques (DSA).

C'est pourquoi l'exécutif européen s'apprête à imposer une suspension du programme de récompenses. "Avant de l'adopter formellement, il a été accordé à TikTok un délai jusqu'au (mercredi) 24 avril pour fournir les arguments de sa défense".

"Nous sommes déçus" de l'ouverture de cette procédure: le programme de récompenses TikTok Lite n'est pas accessible aux moins de 18 ans et inclut une limite quotidienne pour le visionnage de vidéos", a déclaré un porte-parole de TikTok joint par l'AFP. Le groupe entend toutefois "poursuivre les discussions" avec Bruxelles.

Mise en garde

La Commission européenne avait lancé une première mise en garde le 17 avril, en demandant à la plateforme de fournir sous 24 heures une évaluation des risques liés à ce déploiement et de détailler les moyens mis en oeuvre pour les réduire. Mais "TikTok n'a pas fourni le document dans les délais", a expliqué la Commission dans un communiqué.

"Les flux incessants de vidéos courtes et rapides peuvent sembler amusants, mais ils exposent nos enfants à des risques d'addiction, d'anxiété, de dépression, de troubles alimentaires, de réduction des capacités d'attention", a estimé le commissaire européen au Numérique Thierry Breton.

"Nous soupçonnons TikTok 'Lite' d'être aussi toxique et addictif que les cigarettes 'light'", a-t-il dit, cité dans le communiqué. "Nous ne ménagerons aucun effort pour protéger nos enfants", a-t-il mis en garde.

TikTok devra fournir ce mardi au plus tard son rapport d'évaluation des risques et répondre à d'autres questions d'ici au 3 mai.

Amendes et astreintes

Faute de réponse dans les délais, la Commission pourra imposer des amendes allant jusqu'à 1% du chiffre d'affaires mondial annuel du groupe et des astreintes pouvant atteindre 5% du chiffre d'affaires quotidien.

TikTok Lite récompense les utilisateurs avec des jetons s'ils se connectent quotidiennement pendant dix jours, s'ils passent du temps à regarder des vidéos (avec une limite de 60 à 85 min par jour) et s'ils font certaines actions, comme aimer des vidéos et suivre des créateurs de contenus. Ces pièces sont ensuite échangeables contre des cartes-cadeaux sur des sites partenaires, comme Amazon.

Le réseau social a rappelé à plusieurs reprises que seules les personnes âgées de 18 ans ou plus pouvaient collecter des points et qu'il appliquait des procédures pour s'assurer de l'âge des utilisateurs. Un selfie avec une pièce d'identité, un selfie vidéo ou une autorisation de carte bancaire est ainsi nécessaire pour convertir les pièces en bons d'achat, a indiqué TikTok à l'AFP.

Mais, pour les experts, les risques de contournement semblent évidents.

"Dérive contestable"

La secrétaire d'Etat française chargée du Numérique, Marina Ferrari, a fait part de "son inquiétude" dès le lancement de TikTok Lite. Ses services étudient "avec la plus grande attention les mécanismes de l'interface" qualifiés "de dérive contestable" au moment où la France a entamé une réflexion sur le temps d'écran, en particulier chez les jeunes.

Avec ses clips vidéo souvent dansants ou musicaux, TikTok, qui a séduit plus de 1,5 milliard d'utilisateurs dans le monde, est accusé depuis plusieurs années aux Etats-Unis et en Europe de susciter des comportements de dépendance chez les adolescents.

La plateforme chinoise était déjà sous le coup d'une enquête de la Commission, ouverte en février, pour des manquements présumés en matière de protection des mineurs dans le cadre du DSA. Les manquements présumés, avant même le lancement de TikTok Lite, concernaient déjà la gestion des risques liés à la conception addictive et au contenu nocif du réseau social, mais aussi la transparence de la publicité, et l'accès aux algorithmes pour les chercheurs.

La Commission, qui joue désormais le rôle de gendarme du numérique dans l'UE, est dotée d'un pouvoir de contrôle et de sanction à l'égard des contrevenants.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

International

Allemagne: Merz sous pression, son parti rejoint par l'AfD

Publié

le

Si un rapprochement de la CDU-CSU avec l'AfD offrirait mathématiquement une majorité avec 48% des voix, Friedrich Merz continue de rejeter catégoriquement toute collaboration avec le parti d'extrême droite. (© KEYSTONE/EPA/HANNIBAL HANSCHKE)

La montée du parti d'extrême-droite AfD dans un sondage samedi en Allemagne, à égalité avec la CDU-CSU de Friedrich Merz, met le chancelier désigné sous pression. Cela en plein milieu des négociations de coalition.

La CDU-CSU de M. Merz chute de deux points à 24% d'intentions de vote, si des élections devaient à nouveau se produire, et fait désormais égalité avec l'AfD, qui gagne un point, selon le baromètre INSA publié samedi par le journal dominical Bild am Sonntag.

C'est la première fois que les deux partis sont à égalité, marquant une étape symbolique dans la montée continue de l'extrême droite en Allemagne.

"Pour un tournant politique citoyen"

"Les citoyens ne veulent plus d'un gouvernement de gauche où la CDU-CSU se laisse dicter sa politique par le SPD et les Verts. Il est temps pour un véritable tournant politique citoyen !", a réagi samedi sur X la cheffe de l'AfD Alice Weidel.

Vainqueur des législatives du 23 février avec un score décevant, Friedrich Merz ne peut gouverner seul : les conservateurs ont obtenu 28,6%, loin des 30% espérés, et discutent depuis avec le SPD du chancelier sortant Olaf Scholz, qui a lui obtenu 16,4% des voix, en chute de près de 10 points par rapport aux précédentes élections de 2021.

L'AfD a de son côté doublé son score, à 20,8 % et dénoncé une "victoire à la Pyrrhus" du camp de M.Merz. Or, depuis début mars, la CDU-CSU a perdu six points dans les baromètres, soit presque un électeur sur six, tandis que le soutien à Friedrich Merz s'effondre.

"Changement de cap non crédible"

Dans le "Deutschlandtrend" publié par la chaîne publique ARD, seulement 25% des Allemands se disent satisfaits de sa prestation, contre 70% d'avis négatifs.

En particulier, 68% des personnes interrogées par l'ARD estiment que la CDU sous M. Merz a changé de cap de façon non crédible en acceptant, avec les voix des Verts et du SPD, de creuser l'endettement public, alors qu'il faut moderniser les infrastructures et renforcer la défense du pays.

La situation complique les pourparlers de coalition actuellement menés entre les conservateurs et les sociaux-démocrates du SPD, où des points importants de désaccord persistent. Ces deux formations ne recueilleraient du reste plus de majorité au Parlement, selon le dernier sondage.

Collaboration avec l'AfD exclue

Si un rapprochement de la CDU-CSU avec l'AfD offrirait mathématiquement une majorité avec 48% des voix, Friedrich Merz continue de rejeter catégoriquement toute collaboration avec le parti d'extrême droite.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

International

Séoul: manifs pour dénoncer la destitution de l'ex-président Yoon

Publié

le

Des milliers de partisans de l'ancien président se sont rassemblés dans le centre de Séoul pour protester contre la décision en scandant: "Destitution invalide !", "Annulez l'élection anticipée !" (© KEYSTONE/AP/Lee Jin-man)

Des milliers de personnes sont descendues dans les rues de Séoul samedi pour protester contre la destitution la veille de l'ex-président sud-coréen Yoon Suk Yeol. Ce dernier a été démis pour sa tentative ratée d'imposer la loi martiale début décembre.

Les huit juges de la Cour constitutionnelle ont décidé à l'unanimité vendredi de prononcer sa déposition, au terme d'une longue procédure, déclenchant une élection présidentielle anticipée sous 60 jours. Le verdict avait alors suscité des explosions de joie devant le siège de la juridiction.

Samedi, en imperméable pour se protéger de la pluie, des milliers de partisans de l'ancien président se sont au contraire rassemblés dans le centre de Séoul pour protester contre la décision en scandant: "Destitution invalide !", "Annulez l'élection anticipée !"

"Démocratie détruite"

"La décision de la Cour constitutionnelle a détruit la démocratie libre de notre pays", a affirmé à l'AFP Yang Joo-young, une manifestante de 26 ans.

M. Yoon avait sidéré la Corée du Sud dans la nuit du 3 au 4 décembre en déclarant par surprise la loi martiale et en envoyant l'armée prendre le contrôle du Parlement, dominé par l'opposition. Mais un nombre suffisant de députés était parvenu à se réunir pour rapidement contrecarrer ses plans.

"Eliminer les éléments hostiles à l'Etat"

L'ex-dirigeant conservateur s'était justifié en évoquant des menaces de "forces communistes nord-coréennes" et sa volonté d'"éliminer les éléments hostiles à l'Etat", avançant également, sans preuve, que de précédentes élections avaient été truquées.

Quantité de ses soutiens reprennent ces éléments de langage tous les week-ends depuis le début de la crise politique en décembre.

Le chef de l'opposition Lee Jae-myung, grand favori de l'élection présidentielle anticipée, est plus favorable à une politique de la main tendue avec la Corée du Nord. Dans le camp pro-Yoon, beaucoup l'accusent de conspirer avec le régime communiste de Pyongyang et estiment que la déclaration de la loi martiale était nécessaire.

La Cour constitutionnelle, elle, a jugé que ce coup de force avait représenté "une grave menace pour la stabilité de la république démocratique". M. Yoon est par ailleurs poursuivi au pénal pour insurrection -un crime passible de la peine de mort-.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

International

Le bilan du séisme en Birmanie dépasse les 3300 morts

Publié

le

Selon une estimation des Nations Unies, plus de trois millions de personnes ont été affectées d'une façon ou d'une autre par la catastrophe, qui est venue s'ajouter aux ravages de quatre ans de guerre civile. (© KEYSTONE/AP)

Le puissant séisme qui a frappé le 28 mars en Birmanie a fait 3354 morts, selon un nouveau bilan rendu public samedi par les médias d'Etat. Il a également fait 4508 blessés.

Le tremblement de terre qui a pulvérisé des immeubles et détruit des infrastructures à travers tout le pays a aussi fait 220 personnes disparus, selon la même source.

Selon une estimation des Nations Unies, plus de trois millions de personnes ont été affectées d'une façon ou d'une autre par la catastrophe, qui est venue s'ajouter aux ravages de quatre ans de guerre civile.

Ces années de combats ont laissé l'économie et les infrastructures du pays en lambeaux, ce qui a considérablement entravé l'arrivée de l'aide humanitaire.

Dizaines d'attaques depuis le séisme

La junte militaire au pouvoir a mené des dizaines d'attaques contre des groupes rebelles depuis le séisme, dont au moins 16 depuis une trêve annoncée mercredi, selon les Nations Unies.

Plus d'une semaine après le séisme, un grand nombre de Birmans sont forcés de dormir dehors, soit parce qu'ils n'ont plus de logement, soit de crainte que celui-ci ne s'effondre.

Le principal responsable de l'aide de l'ONU, Tom Fletcher, a rencontré samedi des victimes à Mandalay (centre), ville située près de l'épicentre. "La destruction est stupéfiante", a-t-il écrit sur X. "Le monde doit se rassembler derrière le peuple de Birmanie", a-t-il ajouté.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

International

Le dirigeant nord-coréen Kim essaie un nouveau fusil de précision

Publié

le

La séance de tir a eu lieu au cours d'une visite du dirigeant Kim Jong-un à la base des forces spéciales nord-coréennes, un lieu qui n'est pas précisé (archives). (© KEYSTONE/EPA KCNA)

Le dirigeant nord-coréen Kim Jong-un a essayé un nouveau fusil de précision lors d'une séance d'entraînement des forces spéciales, a rapporté samedi KCNA. Des photographies diffusées par l'agence de presse le montrent visant à l'aide d'un fusil à lunette.

D'autres images le montrent inspectant une cible après avoir apparemment visé dans le mille et passant en revue, la mine radieuse, des soldats en tenue de camouflage ghillie.

Cette séance de tir a eu lieu au cours d'une visite du dirigeant vendredi à la base des forces spéciales nord-coréennes, un lieu qui n'est pas précisé. Kim Jong-un y a assisté à des exercices "visant à explorer et à appliquer régulièrement les nouvelles tactiques et méthodologies militaires de style coréen", selon KCNA.

Unités spéciales en Russie

Ces entraînements sont "l'expression la plus vivante du patriotisme et de la loyauté envers le pays et le peuple et le premier devoir révolutionnaire des soldats en armes", a-t-il déclaré, cité par l'agence.

Selon les gouvernements de Corée du Sud et des Etats-Unis, des unités des forces spéciales font partie des milliers de soldats envoyés par la Corée du Nord sur le front ukrainien pour combattre aux côtés de l'armée russe. Pyongyang et Moscou n'ont jamais confirmé ni démenti ce déploiement.

Cette visite de Kim Jong-un a eu lieu le même jour que la destitution, en Corée du Sud, du président Yoon Suk-yeol, que les médias officiels nord-coréens ont très brièvement mentionnée, de façon purement factuelle et plusieurs heures après l'événement.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

International

Un taux de 10% de droits de douane entre en vigueur aux Etats-Unis

Publié

le

Une partie des biens importés aux Etats-Unis sont soumis à ces droits de douane de 10% (archives). (© KEYSTONE/AP/Noah Berger)

Une grande partie des produits que les Etats-Unis importent du reste du monde, dont de Suisse, sont visés depuis samedi 06h01 (en Suisse) par des droits de douane additionnels de 10%. Cette déflagration pour le commerce mondial doit s'amplifier dans les jours à venir.

Ce plancher universel de 10%, dont certains produits sont exemptés, s'additionne aux taxes douanières qui existaient au préalable.

Certains biens sont toutefois pour l'heure exemptés: pétrole, gaz, cuivre, or, argent, platine, palladium, bois de construction, semiconducteurs, produits pharmaceutiques ou encore minéraux introuvables sur le sol américain.

L'acier, l'aluminium et les voitures importés ne sont pas non plus concernés, mais ils sont déjà visés par un taux de 25% de taxes douanières. Et le Canada et le Mexique, soumis à un autre régime, paient déjà un nouveau tribut à la guerre commerciale initiée par le président américain Donald Trump.

L'addition sera nettement plus lourde dès mercredi pour les pays qui exportent plus vers les Etats-Unis qu'ils n'importent de produits américains: + 31% pour la Suisse, +54% au total pour la Chine (visée en plusieurs temps), +20% pour l'Union européenne (UE), +46% pour le Vietnam, +24% pour le Japon...

Plus de taxes pour les manchots

Cela représentera quelque 80 pays et territoires, en comptant les 27 pays du bloc européen, selon un document officiel publié vendredi par le gouvernement américain.

La liste des plus taxés a été raccourcie: elle ne comprend plus les îles françaises de Saint-Pierre-et-Miquelon - que la Maison-Blanche avait présentées comme étant visées par +50% de droits de douane -, ni les territoires australiens des îles Heard et McDonald, dans la région subantarctique, qui abritent seulement des colonies de manchots. Leur présence avait suscité un mélange de stupéfaction et de moqueries concernant la méthodologie du gouvernement américain.

Riposte chinoise

L'annonce mercredi de Donald Trump, justifiée par l'"urgence nationale" de réduire le déficit américain, a foudroyé l'économie mondiale. Les barrières douanières promises seront aussi hautes, selon les économistes, que dans les années 1930 aux Etats-Unis, à une époque où les flux étaient éminemment plus faibles et les pays moins dépendants de la production des autres.

Face à la riposte annoncée par Pékin (+34% sur les produits américains dès le 10 avril) et aux craintes d'une spirale négative pour l'économie mondiale, les marchés financiers se sont effondrés.

En deux jours, la place américaine a vu s'envoler plus de 6000 milliards de dollars de capitalisation boursière, selon l'indice Dow Jones US Total Stock Market.

"Sachez que je ne changerai jamais de politique. C'est un bon moment pour devenir riche, plus riche que jamais", a fanfaronné vendredi le président américain, sur son réseau social Truth Social.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

Derniers titres

THAT'S THE WAY (I LIKE IT)

KC & THE SUNSHINE BAND

12:12

SATISFACTION

THE ROLLING STONES

12:08

CRUEL SUMMER

BANANARAMA

12:05

Publicité

L'info en continu

InternationalIl y a 36 minutes

Allemagne: Merz sous pression, son parti rejoint par l'AfD

La montée du parti d'extrême-droite AfD dans un sondage samedi en Allemagne, à égalité avec la CDU-CSU de Friedrich Merz,...

EconomieIl y a 57 minutes

Les chèques Reka c'est fini, place au format carte de crédit

Les chèques Reka, émis depuis 60 ans par la Caisse suisse de voyage, vivent leur...

CultureIl y a 2 heures

Le graphiste Werner Jeker exposé au Musée Historique Lausanne

Le Musée Historique Lausanne (MHL) rend hommage au graphiste suisse Werner Jeker, cofondateur des Ateliers...

InternationalIl y a 2 heures

Séoul: manifs pour dénoncer la destitution de l'ex-président Yoon

Des milliers de personnes sont descendues dans les rues de Séoul samedi pour protester contre...

Suisse RomandeIl y a 3 heures

L'ex-homme politique et entrepreneur Charles Friderici n'est plus

Figure du monde du transport en Suisse et ancien homme politique, Charles Friderici s'est éteint...

CultureIl y a 3 heures

Le Centre du Papier découpé de Château-d'Oex se met à la peinture

Pour la première fois, le Musée du Pays-d'Enhaut & Centre suisse du Papier découpé à...

InternationalIl y a 3 heures

Le bilan du séisme en Birmanie dépasse les 3300 morts

Le puissant séisme qui a frappé le 28 mars en Birmanie a fait 3354 morts,...

SuisseIl y a 4 heures

Droits de douane de Trump: "la Suisse a des atouts à faire valoir"

Après l'annonce jeudi de droits de douane américains sur les biens suisses, il ne faut...

InternationalIl y a 5 heures

Le dirigeant nord-coréen Kim essaie un nouveau fusil de précision

Le dirigeant nord-coréen Kim Jong-un a essayé un nouveau fusil de précision lors d'une séance...

InternationalIl y a 6 heures

Un taux de 10% de droits de douane entre en vigueur aux Etats-Unis

Une grande partie des produits que les Etats-Unis importent du reste du monde, dont de...