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Trump choisit le "faucon" Mike Waltz pour un poste clé

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Mike Waltz sera conseiller à la sécurité nationale, l'un des postes plus importants à la Maison Blanche. (archives) (© KEYSTONE/AP/Rod Lamkey)

Donald Trump a annoncé mardi la nomination de l'élu républicain Mike Waltz au poste ultra-stratégique de conseiller à la sécurité nationale de la Maison Blanche en le présentant comme un "expert des menaces posées par la Chine, la Russie, l'Iran".

Le président républicain élu, qui prendra ses fonctions le 20 janvier, continue de façonner son administration après sa victoire éclatante la semaine dernière, plaçant ses fidèles à des postes clés.

"J'ai l'honneur d'annoncer que Mike Waltz, membre du Congrès, est nommé conseiller à la sécurité nationale au sein de mon cabinet", a déclaré Donald Trump dans un communiqué.

L'ex-président le présente comme un "expert des menaces posées par la Chine, la Russie, l'Iran et le terrorisme mondial" ainsi qu'un "fervent défenseur de (son) programme de politique étrangère 'l'Amérique d'abord'".

Elu de Floride à la Chambre des représentants, Mike Waltz est membre de trois commissions stratégiques consacrées respectivement à l'armée, aux affaires étrangères et au renseignement.

Ces derniers jours, les médias américains l'avaient déjà pressenti à ce poste de conseiller à la sécurité nationale, l'un des plus importants à la Maison Blanche.

Mettre fin aux guerres

Avec Marco Rubio, pressenti pour prendre la tête de la diplomatie, il sera l'architecte de la politique étrangère de Donald Trump, qui a promis de mettre fin aux guerres en Ukraine et au Proche-Orient, sans jamais expliquer comment.

Interrogé sur CNN au sujet de l'Ukraine, Mike Waltz a affirmé qu'il existait "un moyen de mettre fin à cette guerre". "Nous pouvons le faire économiquement, nous pouvons le faire diplomatiquement", a-t-il insisté, alors que les Européens craignent le désengagement américain sous la future présidence Trump.

Quant à la Chine, il y voit une "lutte existentielle" que doivent mener les Etats-Unis, comme il l'écrit dans un livre.

Mike Waltz a servi en Afghanistan au cours d'une carrière de 27 ans dans l'armée.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Le géant Huawei subit une grosse chute de ses bénéfices en 2024

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Malgré un bond de ses ventes, Huawei a vu son bénéfice net chuter à 62,6 milliards de yuans (7,6 milliards de francs) l'année dernière, contre 87 milliards de yuans (10,6 milliards de francs) en 2023 (archives). (© KEYSTONE/EPA/OLIVIER HOSLET)

Le géant technologique chinois Huawei a subi une chute de ses bénéfices de 28% en 2024, selon un rapport de l'entreprise publié lundi, sur fond de demande intérieure en baisse et d'incertitudes à l'international.

Huawei a dégagé un bénéfice net de 62,6 milliards de yuans (7,6 milliards de francs) l'année dernière, contre 87 milliards de yuans (10,6 milliards de francs) en 2023, selon la même source.

Le chiffre d'affaires de la société a toutefois bondi de 22% en 2024 par rapport à l'an passé. Il est en hausse consécutive depuis trois ans et la fin de la pandémie qui avait durement touché la consommation.

Le chiffre d'affaires de Huawei en 2024 (862,1 milliards de yuans, soit 110 milliards d'euros) est le plus élevé depuis les 890 milliards réalisés en 2020.

Ces résultats sont "conformes aux prévisions", a affirmé dans un communiqué Sabrina Meng, présidente par intérim de l'entreprise.

Les employés "se sont unis pour relever une multitude de défis externes", a déclaré la présidente, ajoutant que Huawei était "fermement engagé dans ses objectifs de qualité", qui continuera d'être son "avantage concurrentiel".

Les sanctions américaines entrées en vigueur en 2019 ont privé Huawei de la technologie et des composants américains, une mesure qui a dans un premier temps affecté sa production de smartphones.

Mais Huawei a dévoilé l'an dernier son premier smartphone équipé d'un système d'exploitation entièrement local.

En 2024, l'entreprise a également dévoilé le premier téléphone à triple pliage au monde, quelques heures seulement après le lancement du dernier iPhone par Apple.

Apple reste populaire en Chine, mais a cédé ces dernières années d'importantes parts de marché à ses concurrents chinois, dont Huawei.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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International

Marine Le Pen: 5 ans d'inéligibilité et quatre ans d'emprisonnement

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Marine Le Pen a quitté la salle d'audience sans attendre l'énoncé de sa peine. (© KEYSTONE/EPA/TERESA SUAREZ)

Le tribunal correctionnel de Paris a condamné lundi Marine Le Pen à une peine d'inéligibilité de cinq ans, avec exécution immédiate, et une peine d'emprisonnement de quatre ans dont deux ferme aménagés sous bracelet électronique. Elle n'ira donc pas en prison.

En son absence, car elle a quitté la salle d'audience au moment de l'annonce de l'inéligibilité immédiate, le tribunal a expliqué cette peine en mettant en avant son "rôle central" dans le système mis en place pour détourner l'argent du Parlement européen, et invoqué "le trouble à l'ordre public et au fonctionnement démocratique".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Ciblage publicitaire: Apple condamné en France

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Selon le gendarme français de la concurrence, le dispositif d'Apple "engendre une multiplication des fenêtres de recueil de consentement compliquant excessivement le parcours des utilisateurs d'applications tierces" (archives). (© KEYSTONE/AP/KATHY WILLENS)

Apple a été condamné lundi en Frnce à une amende de 150 millions d'euros pour abus de position dominante dans le cadre du ciblage publicitaire sur ses appareils. Des enquêtes similaires visent le groupe informatique américain dans d'autres pays européens.

Apple se voit sanctionné pour l'utilisation de son dispositif ATT ("App Tracking Transparency"), présenté comme une protection supplémentaire des données privées des utilisateurs. Les "modalités de mise en oeuvre (de ce dispositif) ne sont ni nécessaires, ni proportionnées à l'objectif affiché par Apple de protection des données", ce qui pénalise les éditeurs tiers, a souligné l'Autorité de la concurrence française lundi lors d'une conférence de presse.

Apple devra également publier un résumé de la décision sur son site internet pendant sept jours.

Pour justifier sa décision, l'Autorité de la concurrence relève que ce dispositif "engendre une multiplication des fenêtres de recueil de consentement compliquant excessivement le parcours des utilisateurs d'applications tierces" sur les iPhone et les iPad. De plus, le fait pour l'utilisateur de devoir refuser deux fois, au lieu d'une, le traçage publicitaire sur les applications tierces "porte atteinte à la neutralité du dispositif, causant un préjudice économique certain aux éditeurs d'applications et aux fournisseurs de service publicitaire".

Tel que mis en place par Apple, l'Autorité de la concurrence estime que le dispositif "pénalise tout particulièrement les plus petits éditeurs" qui "dépendent en grande partie de la collecte de données tierces pour financer leur activité". Introduit par le géant américain début 2021, le dispositif ATT donne lieu à l'ouverture d'une fenêtre de consentement à l'ouverture de chaque application.

Si un utilisateur clique sur "non", l'application perd l'accès à l'identifiant publicitaire de cette personne, un numéro unique qui permet de le pister en ligne. Ce dispositif était soupçonné de favoriser les propres services d'Apple au détriment des applications tierces.

Saisie par des acteurs de la publicité, qui dénoncent une entrave à leur capacité de ciblage, le gendarme français de la concurrence avait rejeté en 2021 une demande de mesures conservatoires, mais avait poursuivi l'instruction au fond. Apple est également dans le collimateur d'autres autorités de la concurrence sur ce sujet, notamment en Allemagne, en Italie, en Roumanie et en Pologne.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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International

Nouveau chef du service de sécurité intérieure en Israël

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Le limogeage du précédent chef du Shin Bet, Ronen Bar, avait donné lieu à des manifestations à Tel Aviv (archives). (© KEYSTONE/EPA/ATEF SAFADI)

Le 1er ministre israélien Benjamin Netanyahu a choisi l'ex-commandant de la marine Eli Sharvit comme nouveau chef du Shin Bet, a indiqué lundi son bureau. Cela malgré le gel par la Cour suprême du limogeage du directeur en exercice du service de sécurité intérieure.

Il n'a pas été précisé quand et comment M. Sharvit prendrait officiellement la direction de l'agence, étant donné que l'arrêt de la Cour suprême sur la révocation de l'actuel directeur, Ronen Bar, n'a pas encore été rendu.

Benjamin Netanyahu a décidé le 21 mars de se séparer de M. Bar en évoquant "une perte de confiance professionnelle et personnelle persistante entre le premier ministre et le directeur du service" qui empêche "le gouvernement et le premier ministre d'exercer efficacement leurs pouvoirs".

Un communiqué officiel laconique avait annoncé que M. Bar quitterait ses fonctions au plus tard le 10 avril.

Limogeage suspendu

Mais à la suite de requêtes déposées par l'opposition israélienne et une ONG, la Cour suprême a suspendu le limogeage de l'actuel chef du service de sécurité intérieure par le gouvernement, jusqu'à l'examen des recours d'ici au 8 avril.

"Après avoir mené des entretiens approfondis avec sept candidats qualifiés, Benjamin Netanyahu a décidé de nommer l'ancien commandant de la marine, l'amiral réserviste Eli Sharvit, au poste de prochain directeur du Shin Bet", indique le bureau du septuagénaire dans un communiqué.

"L'amiral Sharvit a servi pendant 36 ans dans les forces de défense israéliennes, dont 5 ans en tant que commandant de la marine. A ce poste, il a dirigé le développement de la force de défense maritime (...) et géré des systèmes opérationnels complexes contre le (mouvement islamiste palestinien) Hamas, le (mouvement islamiste libanais) Hezbollah et l'Iran", a-t-il ajouté.

"Tentative d'influencer la Cour"?

L'examen des recours contre le limogeage de Ronen Bar et le choix d'un nouveau candidat par Netanyahu "se déroulent en parallèle", explique une experte en droit administratif et constitutionnel qui a demandé à conserver l'anonymat.

"La question de la légalité du licenciement" de M. Bar doit être examinée par la Cour suprême qui pourrait "annuler" la décision du gouvernement, ajoute l'experte. L'annonce de la désignation d'un nouveau directeur du Shin Bet pourrait être "une tentative d'influencer la Cour", selon l'experte.

La procureure générale du pays, Gali Baharav-Miara, qui joue aussi le rôle de conseillère juridique du gouvernement, avait averti Benjamin Netanyahu que la décision de la Cour suprême lui "interdisait" temporairement de nommer un nouveau chef du Shin Bet.

Campagne contre le système judiciaire

Mais, souligne l'un des chefs de l'opposition, Benny Gantz, le choix de publier le nom du candidat choisi avant même la décision de la Cour Suprême est problématique.

"Ce qui est clair, c'est que le Premier ministre a décidé ce matin de poursuivre sa campagne contre le système judiciaire et de conduire l'Etat d'Israël vers une crise constitutionnelle dangereuse", a-t-il estimé dans un communiqué.

Ronit Levine-Schnur, experte en droit constitutionnel à l'université de Tel-Aviv, nuance ces critiques en soulignant que le choix du nouveau chef du Shin Bet ne sera officiel que lorsqu'il sera validé par le gouvernement et publié au journal officiel: "tout ce que nous avons actuellement est la recommandation du Premier ministre".

Elle critique cependant que l'approche du gouvernement et le moment de l'annonce du choix d'Eli Sharvit: "Il faut respecter la loi, c'est l'essentiel (...), ils jouent avec le feu", a-t-elle dit à l'AFP.

"Dérive autocratique"

La décision de limoger le chef du Shin Bet a provoqué d'importantes manifestations en Israël. Certains dénoncent ce qu'ils considèrent comme une dérive autocratique du Premier ministre, à la tête d'un des gouvernements les plus à droite de l'histoire du pays.

Outre la tentative de limogeage de Ronen Bar, le Parlement israélien a adopté jeudi une loi renforçant l'influence du pouvoir politique sur la nomination des juges, ce qui relance un projet de réforme judiciaire clivant qui avait provoqué des manifestations massives en 2023.

Le gouvernement a aussi engagé une procédure de destitution contre la procureure générale du pays, Gali Baharav-Miara.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Accord sur les minerais: Trump avertit Zelensky contre un rejet

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A bord de l'Air Force One, Donald Trump a assuré dimanche le président ukrainien Volodymyr Zelensky de "gros, gros problèmes" en cas de retrait de l'accord sur les minerais. (© KEYSTONE/AP/Luis M. Alvarez)

Le président américain Donald Trump a averti dimanche son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky qu'en cas de rejet d'un accord en discussions sur les minerais, il aura de "gros problèmes".

"Je vois qu'il essaie de se retirer de l'accord sur les terres rares. Et s'il le fait, il aura des problèmes. De gros, gros problèmes", a déclaré à bord de l'Air Force One Donald Trump, qui fait pression sur M. Zelensky pour qu'il signe un accord permettant aux groupes américains d'exploiter des minerais ukrainiens, tout en tentant de négocier un accord de cessez-le-feu entre l'Ukraine et la Russie.

Le président américain Donald Trump s'est aussi dit auparavant "très énervé" et "furieux" contre son homologue russe Vladimir Poutine sur le dossier ukrainien et a menacé d'imposer de nouvelle taxes sur le pétrole russe, selon une interview accordée dimanche à la chaîne NBC.

Cessez-le-feu à tout prix

"Si la Russie et moi ne sommes pas capables de parvenir à un accord pour mettre un terme au bain de sang en Ukraine, et je pense que c'était la faute de la Russie (...), je vais imposer des droits de douane secondaires sur tout le pétrole qui sort de Russie", a averti Donald Trump, dans un changement de registre majeur vis-à-vis de Moscou alors qu'il veut mettre un terme à trois ans de conflit en Ukraine.

Washington, qui veut obtenir à tout prix un cessez-le-feu en Ukraine, a effectué un rapprochement spectaculaire avec Moscou ces dernières semaines, faisant craindre aux Ukrainiens et aux Européens un accord sur leur dos.

Sous pression américaine, Kiev avait accepté une cessation sans conditions des combats, pour 30 jours, rejetée depuis par Moscou.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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