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Santé

Expérimentation animale: l'initiative demandant sa fin a abouti

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L'initiative demande que les expériences sur les animaux ainsi que l'élevage et le commerce d'animaux destinés à de telles expériences soient interdits par une modification de la Constitution fédérale. (© KEYSTONE/LEANDRE DUGGAN)

Les Suisses voteront à nouveau sur l'expérimentation animale. L'initiative pour un avenir sans expériences sur les animaux a franchi le cap des 100'000 signatures certifiées, a indiqué lundi l'association à son origine.

Plus de 100'000 paraphes ont été récoltés jusqu'à la fin de la semaine dernière en faveur de ce texte, selon le communiqué de la Communauté d'intérêts Initiative pour l'interdiction de l'expérimentation animale CH. Ils doivent être formellement déposés à la Chancellerie fédérale d'ici mi-novembre, précise le comité d'initiative.

Suffisamment de signatures excédentaires seront encore récoltées d'ici là, au cas où la Chancellerie fédérale contrôlerait les signatures de manière plus stricte, après la découverte de falsifications lors de précédentes campagnes de récoltes, a encore indiqué la Communauté d'intérêts. Cette dernière dit elle-même avoir collaboré avec la société Incop, laquelle est soupçonnée d'avoir triché lors de collectes de signatures.

L'initiative populaire demande que les expériences sur les animaux ainsi que l'élevage et le commerce d'animaux destinés à de telles expériences soient interdits par une modification de la Constitution fédérale. Depuis 1985, le peuple a rejeté quatre initiatives populaires visant à interdire à divers degrés l'expérimentation animale, la dernière en 2022 à plus de 80%.

En 2022, le nombre d'animaux utilisés dans des expériences est monté à près de 586'000, en hausse de 2%; ceux utilisés pour des expériences qui causent des douleurs importantes étaient aussi en augmentation, de 5%, notamment pour des recherches sur le cancer et les maladies neurocognitives.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Santé

Vaud: le chimiste cantonal part à la retraite

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Le canton de Vaud met au concours le poste de chimiste cantonal en raison du départ à la retraite de Christian Richard (photo d'illustration). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Le chimiste cantonal vaudois Christian Richard a fait valoir son droit à la retraite en date du 31 octobre 2025. Son poste sera mis au concours du 7 au 27 avril, a annoncé le canton lundi.

Christian Richard est né en 1962. Docteur en sciences de l'Université de Lausanne, titulaire du diplôme fédéral de chimiste pour l'analyse des denrées alimentaires, il est entré au Laboratoire cantonal en 1997 comme responsable de la section analyses spéciales.

Le scientifique devient chimiste cantonal adjoint en 2011. En 2014, il est nommé chimiste cantonal par le Conseil d'Etat. Il assume la direction de l'Office de la consommation, qui réunit l'inspection des denrées alimentaires, le bureau cantonal des poids et mesures, les laboratoires du chimiste cantonal.

"Christian Richard s'est pleinement engagé pour la protection de la santé du consommateur et le service à la population en conduisant la politique publique de son domaine. Ses très larges connaissances scientifiques ont notamment permis d'élargir et de moderniser les activités des laboratoires d'analyses et les procédures de contrôle", souligne le Conseil d'Etat dans son communiqué.

M. Richard a notamment innové dans le développement de techniques de biologie moléculaire de pointe, adaptées spécifiquement aux enjeux complexes du secteur alimentaire. Membre de la Commission juridique de l’association suisse des chimistes cantonaux, il a activement participé aux adaptations du droit alimentaire, notamment lors de sa révision en 2017.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Trump veut chasser l'"idéologie inappropriée" des musées fédéraux

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L'administration Trump veut reprendre le contrôle "idéologique" des musées de la capitale fédérale, dont la Smithsonian Institution (archives). (© KEYSTONE/AP/Andrew Harnik)

Donald Trump a signé jeudi un décret exécutif visant à reprendre le contrôle du contenu des musées Smithsonian de Washington, des institutions de la capitale accusées par le président américain de mener un "endoctrinement idéologique" racial.

"Au cours de la dernière décennie, les Américains ont été témoins d'un vaste effort coordonné pour réécrire l'histoire de notre pays, remplaçant des faits objectifs par un récit déformé, inspiré par une idéologie plus que la vérité", écrit Donald Trump dans son décret.

"Sous ce révisionnisme historique, l'héritage sans égal de notre pays dans la promotion de la liberté, des droits individuels, et du bonheur humain est reconstruit comme étant de manière inhérente raciste, sexiste, tyrannique, ou avec des défauts irrémédiables", ajoute-t-il, en ciblant particulièrement l'institution Smithsonian.

Les musées et le zoo Smithsonian à Washington sont parmi les principales attractions touristiques de la capitale américaine, en raison notamment de leur caractère gratuit.

Parmi les plus prisés, figurent notamment le musée d'histoire naturelle, la galerie nationale d'art, ou encore le musée national de l'histoire et de la culture afro-américaine, inauguré en 2016 par Barack Obama.

JD Vance en charge

Le vice-président JD Vance sera ainsi chargé, grâce à son siège au conseil d'administration du Smithsonian, de "chercher à retirer toute idéologie inappropriée" de ces établissements. Il devra aussi travailler avec le Congrès pour empêcher que des fonds publics fédéraux financent des "expositions ou programmes qui déshonorent les valeurs américaines partagées, et divisent les Américains sur la base de la race".

"Les musées dans la capitale de notre pays devraient être des endroits où les individus viennent pour apprendre, pas pour subir un endoctrinement idéologique", ajoute Donald Trump dans son décret.

Pendant la campagne électorale, Donald Trump s'était engagé à supprimer tout financement fédéral des écoles ayant adopté la "théorie critique de la race". Un concept qui désigne au départ un courant de recherche et est utilisé de manière péjorative par les conservateurs pour dénoncer les enseignements de sensibilisation au racisme.

Restaurer des monuments

Le président américain ordonne en outre à son gouvernement de déterminer si depuis 2020, des monuments ou statues sous juridiction fédérale ont été "retirées ou changées pour perpétuer une reconstruction erronée de l'histoire américaine", et si c'est le cas, de réinstaurer ceux-ci.

En 2020, la mort de l'Afro-Américain George Floyd sous le genou d'un policier blanc avait déclenché des manifestations à travers les Etats-Unis sous la bannière "Black Lives Matter" (les vies noires comptent) et provoqué des débats véhéments sur le racisme et la présence dans l'espace public de symboles du passé esclavagiste du pays.

Plusieurs monuments confédérés ont dans la foulée été démontés et de nombreux établissements (écoles et même bases militaires) ont changé de nom.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Santé

Gare à la surconsommation de produits à base de soja

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Les aliments à base de soja comme le tofu, les desserts ou les steaks végétaux ne devraient pas être servis dans la restauration collective, estime une autorité sanitaire française: ils contiennent trop d'isoflavones. (image prétexte) (© KEYSTONE/LEANDRE DUGGAN)

Une autorité sanitaire française met en garde contre la surconsommation d'aliments au soja. Ils contiennent trop d'isoflavones, une substance végétale proche des hormones féminines potentiellement nocive pour la santé. En Suisse, les autorités suivent la situation.

L'Agence française de sécurité sanitaire de l'alimentation (Anses) recommande de ne pas servir d'aliments à base de soja - desserts, yaourts, lait, steaks végétaux et surtout biscuits apéritifs - en restauration collective, des crèches aux écoles et collèges, aux restaurants d'entreprises, EMS, hôpitaux et cliniques.

Selon cet avis publié lundi, les isoflavones sont des phytoestrogènes, des substances végétales proches des hormones féminines (oestrogènes) présentes dans les légumes secs, les légumes, et principalement le soja.

Ils "peuvent interférer avec le fonctionnement hormonal physiologique, et donc conduire à des effets indésirables pour le système reproducteur", explique à l'AFP Aymeric Dopter, chef de l'unité d'évaluation des risques liés à la nutrition à l'Anses.

"Il ne s'agit pas de jeter l'opprobre sur le soja en tant qu'aliment, mais plutôt sur les teneurs en isoflavones que les produits au soja contiennent actuellement", précise M. Dopter. "En attendant d'avoir des sojas moins riches en isoflavones, il faut lever le pied sur la consommation de ces produits", résume-t-il.

Conseil à l'industrie

L'Agence invite les acteurs de l'agroalimentaire à revoir les techniques de production et de transformation du soja. Si les teneurs en isoflavones dépendent de la variété, des conditions de culture et du degré de maturité de la plante, il est possible de les réduire en utilisant certaines techniques et procédés de fabrication.

Ainsi les teneurs en isoflavones peuvent varier du simple au double d'un dessert au soja à l'autre, et il y en a 100 fois plus dans les biscuits apéritifs à base de soja que dans la sauce soja. En effet, ces biscuits sont faits avec de la graine de soja toastée, qui va concentrer les isoflavones, alors qu'une fois bouillie la graine va les perdre en partie.

Dans la préparation des produits du soja, que ce soit par lavage, trempage, toute une série d'opérations et de techniques traditionnelles en Asie permettent de réduire les teneurs des isoflavones.

L'OSAV connaît le problème

L'Anses va maintenant partager ses valeurs toxicologiques de référence avec ses homologues européens. Contacté par Keystone-ATS, l’Office fédéral de la sécurité alimentaire et des affaires vétérinaires (OSAV) se dit conscient de cette problématique.

Administrées par voie orale sous forme isolée (par exemple sous forme de génistéine, et non de soja), les isoflavones ont montré des effets hormonaux lors d’essais sur les animaux.

Chez l’être humain, la situation est plus difficile à évaluer, poursuit l'OSAV: les résultats des études sont parfois contradictoires, certaines montrant des effets positifs, d’autres des effets négatifs sur le risque de cancer du sein, et leur interprétation varie selon les sous-populations concernées.

Pour ce qui concerne les hormones, il existe en effet des périodes de sensibilité particulières, comme certains cycles hormonaux.

Manger équilibré

La publication de l’Anses "propose une mise à jour solide et transparente des données scientifiques, qui contribuera à faire progresser le débat sur les isoflavones à l’échelle internationale", estime l'OSAV. Celui-ci examinera ces données en détail et envisagera, si nécessaire, des mesures appropriées.

En attendant, l’OSAV rappelle qu'une alimentation équilibrée et diversifiée permet d’éviter la surconsommation d’un aliment, et, par conséquent, la consommation excessive de certaines substances spécifiques.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Avec les chewing-gums, des microplastiques relâchés dans la bouche

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Une étude met en évidence comment de minuscules fractions de plastique, souvent invisibles, pénètrent dans le corps par les chewing-gums (image symbolique). (© KEYSTONE/MARTIN RUETSCHI)

Les chewing-gums relâchent des centaines de microplastiques directement dans la bouche, selon une étude présentée par des chercheurs mardi, qui restent très prudents sur l'éventuel impact sur la santé des consommateurs.

Des microparticules de plastique (moins de cinq millimètres) ont déjà été détectées dans l'air, l'eau, des aliments, des emballages, des textiles synthétiques, des cosmétiques. Chaque jour, les humains en ingèrent, en inhalent ou sont en contact par la peau avec eux.

Des poumons aux reins, jusqu'au cerveau, on a retrouvé des microplastiques dans presque toutes les parties du corps humain. Si les scientifiques n'ont pas de certitudes sur leurs impacts sur la santé, plusieurs ont déjà tiré la sonnette d'alarme.

"Je ne veux pas affoler les gens", indique à l'AFP Sanjay Mohanty, le principal auteur de cette étude présentée lors d'une réunion de l'American Chemical Society, soumise à une publication avec revue par les pairs mais pas encore publiée.

Il n'y a pas de preuve d'un lien direct entre les microplastiques et des altérations de la santé humaine, observe ce chercheur de l'Université de Californie à Los Angeles (UCLA).

L'objectif de l'étude était plutôt de mettre en évidence une voie peu explorée par laquelle de minuscules fractions de plastique, souvent invisibles, pénètrent dans notre corps: les chewing-gums.

Lisa Lowe, une doctorante à l'UCLA, a mâché sept morceaux de dix marques différentes, puis sa salive a été soumise à une analyse chimique: un gramme de chewing-gum libérait en moyenne 100 microplastiques, mais certaines gommes en rejetaient plus de 600. Le poids moyen d'un chewing-gum est d'environ 1,5 gramme.

Quels ingrédients?

Les personnes mâchant environ 180 chewing-gums par an pourraient ainsi ingérer quelque 30.000 microplastiques, d'après ces scientifiques. Une quantité dérisoire par rapport aux nombreuses autres occasions d'ingérer des microplastiques, relève M. Mohanty. Par exemple, d'autres chercheurs ont estimé l'an dernier qu'un litre d'eau dans une bouteille en plastique contenait en moyenne 240.000 microplastiques.

Le type de chewing-gum le plus couramment vendu, dit synthétique, contient des polymères à base de pétrole pour obtenir l'effet moelleux, ont indiqué les chercheurs. Les emballages ne mentionnent cependant aucun plastique, retenant la simple expression "à base de gomme".

"Personne ne vous dira quels sont les ingrédients", déclare M. Mohanty.

Les chercheurs ont testé cinq marques de gommes synthétiques et cinq de gommes naturelles, qui utilisent des polymères d'origine végétale comme la sève des arbres. "Nous avons été surpris de constater que les microplastiques abondaient dans les deux cas", affirme Mme Lowe à l'AFP.

Pneus de voiture

Pour David Jones, chercheur de l'université britannique de Portsmouth (Grande-Bretagne), qui n'a pas participé à l'étude, les fabricants devraient être contraints de détailler les ingrédients plus précisément.

Il se dit surpris que les chercheurs aient trouvé certains plastiques pas connus pour être présents dans les chewing-gums, suggérant qu'ils puissent provenir d'une autre origine, comme l'eau bue par la doctorante. Mais il juge les résultats globaux "pas du tout surprenants".

Les gens ont tendance à "paniquer un peu" lorsqu'on leur dit que les composants des chewing-gums sont similaires à ceux trouvés "dans les pneus de voiture, les sacs et les bouteilles en plastique", observe aussi David Jones.

Pour Oliver Jones, professeur de chimie à l'université australienne RMIT, la quantité de microplastiques mesurée dans les chewing-gums est "très petite" et les particules avalées "passent probablement à travers vous sans impact".

"Je ne pense pas qu'il faille arrêter de mâcher du chewing-gum pour l'instant", dit-il.

La National Confectioners Association (NCA), représentant notamment les fabricants de chewing-gums aux Etats-Unis, a relevé dans un communiqué que les auteurs de l'étude reconnaissaient qu'"il n'y a pas de raison de s'alarmer".

"On peut profiter des chewing-gums sans danger, comme c'est le cas depuis plus de 100 ans", assure-t-elle, ajoutant que les ingrédients ont été approuvés par l'Agence américaine du médicament (FDA).

Les chewing-gums sont aussi une source de pollution plastique, rappelle aussi Mme Lowe, surtout lorsque les gens "le crachent sur le trottoir".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Genève

Un buste de l'homme d'Etat Jean Capodistrias inauguré à Genève

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Un buste de Jean Capodistrias (1776-1831) a été inauguré mardi à Genève, en présence des autorités de la Ville et du canton de Genève et de représentants de la République hellénique et de la communauté grecque. Il est placé dans le parc des Bastions, devant le Palais Anna et Jean-Gabriel Eynard. (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Après Lausanne, la Ville de Genève a son buste de Jean Capodistrias (1776-1831). Offert par la communauté grecque, il a été inauguré mardi à l'occasion de la Fête nationale grecque. Il est placé dans le parc des Bastions, devant le Palais Anna et Jean-Gabriel Eynard.

"Jean Capodistrias incarne les valeurs universelles de paix et de démocratie chères à Genève", a déclaré la maire de la Ville de Genève Christina Kitsos, elle-même binationale greco-suisse. Envoyé par le tsar Alexandre 1er à Genève en 1813, il y vécut plusieurs années avant d'être le premier gouverneur de la Grèce indépendante en 1827, a-t-elle rappelé devant les autorités du canton et des représentants de la République hellénique et de la communauté grecque.

Jean Capodistrias défendra les intérêts de Genève au Congrès de Vienne en 1815, aux côtés de Charles Pictet de Rochemont. Il contribuera à la rédaction de la Constitution suisse et à la reconnaissance internationale de la neutralité du pays. "Son buste nous rappelle son héritage de défense de la liberté, de la justice, de la solidarité internationale et de l'indépendance des peuples", a souligné la maire.

Au nom du Conseil d'Etat, le magistrat Pierre Maudet a relevé que le "destin exceptionnel" de cet "homme d'Etat visionnaire" méritait d'être rappelé dans l'espace public. Le buste est aussi une marque de l'amitié greco-suisse, a-t-il ajouté. Il est placé à deux pas de celui de Jean-Gabriel Eynard, qui fut l'ami de Jean Capodistrias et très engagé dans la lutte pour l'indépendance grecque.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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