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Santé

Grosse affluence au château de Chillon en 2023

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En 2023, 73% des visiteurs venaient de l'étranger (archives). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Le château de Chillon a attiré plus de 391'000 visiteurs en 2023, un chiffre en hausse de 28%. Il s'agit du quatrième meilleur résultat de fréquentation pour l'édifice médiéval des bords du Léman.

Grâce à ses 40 événements annuels, au retour d'une exposition temporaire et au bon baromètre du tourisme suisse, le château a largement dépassé l'objectif de 300'000 visiteurs annuels, annonce jeudi la Fondation du Château de Chillon.

En 2023, l'art contemporain a rencontré l'histoire avec l'exposition de Leah Linh, dont douze oeuvres monumentales trônent au coeur de la forteresse. "Sa vision artistique a ajouté une dimension moderne à notre patrimoine", explique la directrice Marta Sofia dos Santos, citée dans le communiqué. L'artiste propose des visites guidées en sa compagnie les 28 janvier, 17 mars et 14 avril prochains.

Les visiteurs étrangers représentent 73% de l'affluence (27% pour les Suisses). Les ressortissants des Etats-Unis sont les plus nombreux à franchir le pont-levis (15%), devant la France (8%), la Chine (5%), l'Espagne (3%) et Taiwan (3%).

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Ipsen acquiert la licence exclusive d'un médicament anticancéreux

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Ce conjugué anticorps-médicament s'apprête à franchir les dernières étapes de développement préclinique, selon Ipsen et Foreseen Biotechnology. (archive) (© KEYSTONE/ANTHONY ANEX)

Le groupe pharmaceutique français Ipsen a annoncé jeudi avoir acquis les droits de développement, de fabrication et de commercialisation d'un médicament anticancéreux auprès de Foreseen Biotechnology, pour un montant pouvant aller jusqu'à 1,03 milliard de dollars.

"Ipsen et Foreseen Biotechnology ont annoncé aujourd'hui la signature d'un accord de licence mondial exclusif pour FS001, un conjugué anticorps-médicament (antibody-drug conjugate, ADC) potentiellement premier de sa classe thérapeutique", indique un communiqué commun.

Le médicament, encore à un stade très précoce de son développement, "cible un nouvel antigène associé aux tumeurs, surexprimé dans de nombreuses tumeurs solides, qui joue un rôle essentiel dans la prolifération tumorale et le développement des métastases", expliquent les deux entreprises.

L'accord stipule qu'Ipsen obtient les "droits mondiaux exclusifs" de développement, de fabrication et de commercialisation de FS001.

En échange, la société de biotechnologie Foreseen Biotechnology recevra "jusqu'à 1,03 milliard de dollars, un montant comprenant un paiement initial ainsi que des paiements liés au développement et conditionnés à l'atteinte d'étapes réglementaires et commerciales", est-il précisé.

Foreseen pourra également percevoir des "redevances échelonnées sur le chiffre d'affaires mondial, sous réserve de la réussite des activités de développement ainsi que des activités réglementaires".

Ce conjugué anticorps-médicament s'apprête encore en effet "à franchir les dernières étapes de développement préclinique", précise le communiqué, mais "l'efficacité préclinique du FS001 a été démontrée dans des modèles de cancer multirésistants".

"Nous nous préparons au lancement d'un essai clinique de phase I consistant à évaluer FS001 dans certains types de tumeurs solides, et qui, nous l'espérons, nous permettra d'apporter de nouveaux traitements essentiels aux personnes atteintes de cancer dans le monde entier", a indiqué Mary Jane Hinrichs, vice-présidente sénior et directrice mondiale du développement préclinique d'Ipsen citée dans le communiqué.

"Nous sommes convaincus que le FS001 a le potentiel pour traiter de multiples cancers en monothérapie ou en association avec le traitement de référence", a elle estimé Catherine Wong, fondatrice et présidente de Foreseen.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Santé

Barry Callebaut améliore ses ventes sur neuf mois

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L'envolée des prix du cacao a porté la hausse des recettes du groupe Barry Callebaut. (archive) (© KEYSTONE/STEFFEN SCHMIDT)

Le négociant et transformateur de produits cacaotés Barry Callebaut a vu son chiffre d'affaires progresser sur les neuf premiers mois de son exercice décalé 2023-2024, porté par les hausses de prix, alors que les volumes de produits vendus ont quasiment stagné.

Les objectifs financiers de la direction ont été confirmés. Entre septembre 2023 et mai 2024, les ventes du groupe zurichois ont atteint 7,3 milliards de francs, en hausse de 16,3% sur un an ou de 23,1% hors effets de changes, a-t-il détaillé jeudi dans un communiqué. L'envolée des prix du cacao explique cette hausse.

Les volumes ont quant à eux seulement augmenté de 0,4% à 1,71 million de tonnes.

Alors que les recettes du groupe sont légèrement supérieures aux prévisions des analystes consultés par l'agence AWP, les volumes sont conformes aux attentes du marché.

Malgré un environnement de marché jugé "volatile", la direction table toujours pour l'ensemble de l'exercice sur des volumes de ventes à peu près stables. L'exercice précédent, Barry Callebaut avait vendu 2,28 millions de tonnes de chocolat. Le résultat d'exploitation (Ebit), ajusté des coûts du programme de restructuration "BC next level" et hors effets des devises, doit également stagner autour des 659,4 millions de francs engrangés en 2022-2023.

L'entreprise, dirigée par Peter Feld, a également confirmé vouloir injecter, dans le cadre de son programme "BC next level", 500 millions de francs d'ici 2025 dans la société. Les coûts annuels doivent quant à eux reculer de 15% ou 250 millions d'ici 2027.

Quelque 2500 suppressions de postes au niveau mondial sont également prévues dans le cadre de ce programme, ce qui a amené les salariés de l'usine de Wieze en Belgique à entamer une grève, terminée depuis. Barry Callebaut indique à ce sujet avoir terminé le processus de consultation avec le comité d'entreprises européen et conclu un accord sur le traitement des employés qui seront touchés par le programme de restructuration.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Santé

La succession numérique peut laisser les héritiers perplexes

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De nos jours, les services numériques peuvent déjà aider à organiser sa propre succession et à gérer les démarches administratives liées à un décès (archives). (© KEYSTONE/CHRISTIAN BEUTLER)

En cas de décès d'un proche, il reste désormais son héritage numérique. Sans instructions précises, les héritiers se retrouvent souvent désemparés face à ce patrimoine virtuel intime. La Fondation pour l'évaluation des choix technologiques TA-SWISS a fait le point.

De plus en plus de services s’appuient sur les technologies numériques pour promettre un accompagnement et un soutien aux personnes en fin de vie ou au-delà. TA-SWISS a analysé les offres existantes et conclut que, selon leur déploiement, ces services exerceront une grande influence sur la planification individuelle, le deuil et le souvenir des personnes décédées.

Selon l'étude "La mort à l’ère numérique", présentée mardi devant la presse à Berne, il est nécessaire d’édicter des normes techniques, juridiques et éthiques strictes. Il s'agit également de sensibiliser la population, les prestataires de services et le personnel spécialisé des pompes funèbres. Avant de pouvoir recourir à des testaments numériques, des ajustements juridiques seront encore nécessaires.

Mort à l’ère numérique

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Environnement

USP: "la Suisse ne se nourrira que d'importations jusqu'à fin 2024"

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"Aujourd'hui déjà, les surfaces mondiales de production sont limitées", écrit l'Union suisse des paysans. "Il suffit d'une guerre dans un pays exportateur important ou d'une année de conditions météorologiques extrêmes pour que l'approvisionnement de toute l’humanité soit menacé." (© KEYSTONE/DPA/PHILIPP SCHULZE)

"D'un point de vue statistique, la Suisse ne se nourrira dès mardi que d’importations jusqu’à la fin de l’année", écrit l'Union suisse des paysans (USP). En effet, affirme-t-elle, "l'agriculture indigène ne produit que 52% des denrées dont a besoin la population".

Ce qu'on appelle le "taux d’auto-approvisionnement brut" n'a cessé de diminuer au cours des dernières années, poursuit l'USP. D’un point de vue statistique, l’auto-approvisionnement de la Suisse prend donc fin mardi.

Jusqu'à la fin de l'année, la population suisse sera tributaire de denrées alimentaires importées, et donc de surfaces à l'étranger. La Suisse fait ainsi partie des plus grands importateurs nets du monde, affirme l'USP.

Voisins plus autosuffisants

La faîtière des paysans établit des comparaisons avec l'Allemagne, qui aurait un taux d’auto-approvisionnement de 88% et pourrait donc se contenter de denrées indigènes jusqu'au 1er novembre. La France produirait, elle, suffisamment d’aliments pour subvenir entièrement aux besoins de sa population.

Or, écrit l'USP, la production alimentaire présente un impact écologique plus important à l’étranger qu’en Suisse. "Il ressort d’ailleurs du rapport de l’Office fédéral de l’environnement que 75% de l’empreinte écologique liée à la consommation en Suisse est générée à l'étranger".

"Moins nous produisons chez nous et plus nous importons, plus nous impactons la planète", insiste la faîtière. "La protection de nos surfaces de production et de l'agriculture indigène est donc importante non seulement pour la sécurité alimentaire, mais aussi pour des raisons environnementales globales".

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Santé

Medbase mise sur les traitements médicaux en pharmacie

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Les pharmacies doivent fournir davantage de traitements médicaux (photo d'archives) (© Keystone/CHRISTIAN BEUTLER)

Medbase, la filiale de Migros pour la santé, veut proposer davantage de traitements médicaux dans ses pharmacies. Des prises de sang pour des examens de laboratoire sont envisageables à l'avenir, a déclaré le chef de Medbase Marcel Napierala dans une interview.

Les pharmacies doivent se transformer de points de vente en lieux de traitement, a déclaré Marcel Napierala dans une interview à la Neue Zürcher Zeitung publiée samedi. Il s'agit de petits pas et non d'une révolution, a-t-il ajouté. Le changement est nécessaire, car des milliers de médecins de famille quitteront la profession dans les prochaines années.

Les patients atteints de maladies chroniques seraient ainsi transférés des cabinets médicaux vers les pharmacies. "Les pharmaciens sont des spécialistes dotés d'une formation universitaire et d'un grand savoir-faire", a déclaré Marcel Napierala. Ils jouent également un rôle de plus en plus important dans le domaine de la vaccination.

Il envisage l'intégration des pharmacies comme une partie de la solution pour faire face à la pénurie de médecins de famille.

Engagement en faveur du secteur de la santé

Migros est en pleine mutation. Medbase est rentable dans tous les domaines d'activité, a déclaré Marcel Napierala. La direction de Migros s'est engagée en faveur du secteur de la santé, car elle a vu que nous sommes actifs sur un marché en pleine croissance", a-t-il ajouté. En revanche, le dirigeant a exclu "avec certitude" que Medbase devienne sa propre caisse maladie.

La filiale de Migros a repris l'année dernière les activités suisses de la chaîne de pharmacies Zur Rose. 51 pharmacies font partie de Medbase selon le site Internet de l'entreprise.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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