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Mobilité

La ligne des Centovalli fête son centenaire

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Entre Domodossola et Locarno, le trajet dure près de deux heures, auxquelles il faut ajouter une bonne demi-heure depuis Brigue. (© KEYSTONE/Ti-PRESS/PABLO GIANINAZZI)

Son parcours sinueux à travers un paysage bucolique fait de la ligne des Centovalli une destination en soi. La "Centovallina", comme on l'appelle affectueusement au Tessin, est aussi depuis un siècle le passage le plus court entre la Suisse romande et le Tessin.

L'automne est peut-être la meilleure saison pour découvrir la ligne des Centovalli qui fête son centenaire ce samedi. Le soleil est déjà bas et fait briller chaleureusement l'orange, le jaune et le vert foncé de la forêt. Ici et là, une petite église passe devant la fenêtre du train. Et parfois, une branche d'arbre effleure le wagon, car ce petit train traverse littéralement la forêt.

Personne n'est pressé dans ces vallées silencieuses situées de l'autre côté du tunnel du Simplon, entre Domodossola, dans le Piémont italien, et Locarno (TI): ni le train qui grince dans les virages et qui gravit péniblement la première montée en direction de Creggio, ni les passagers qui ne se lassent pas du paysage, des petites maisons en pierre et des pentes d'abord arides puis de plus en plus vertes en direction de la Suisse.

52 kilomètres par monts et par vaux

La naissance de la "Centovallina" a été tout sauf simple. A l'origine, la ligne devait faire partie de la grande transversale alpine, mais la décision s'est portée sur le Gothard. La "Centovallina" a finalement quand-même été construite et reste aujourd'hui encore la liaison la plus rapide entre Berne ou la Suisse romande et le Tessin.

Avec 83 ponts et 31 tunnels sur une distance de 52 kilomètres, la ligne des Centovalli est considérée comme un chef-d'½uvre d'ingénierie. Il a tout de même fallu 25 ans entre la première idée et sa réalisation.

L'un des principaux promoteurs de cette ligne était le maire de Locarno Francesco Balli (1852-1924). L'ancien conseiller aux Etats voulait que sa ville participe à l'essor de l'hôtellerie à partir de 1875, mais un raccordement au réseau ferroviaire était pour cela nécessaire.

Certes, la société des chemins de fer du Gothard avait construit une ligne secondaire de Cadenazzo à Locarno avant même l'ouverture du tunnel. Mais l'arrière-pays du Locarnese ne pouvait guère en profiter.

"Sindaco" visionnaire

En 1892, le maire de Locarno a donc fondé l'association "Pro Locarno e Dintorni" dans le but de promouvoir le tourisme dans la région. Sept ans plus tard, le "sindaco" visionnaire déposa une demande de concession auprès de la Confédération, la liant à la condition que le chemin de fer des Centovalli soit maintenu du côté italien et que le raccordement à la ligne du Simplon soit assuré.

Du côté italien, l'enseignant Andrea Testore (1855-1936) s'est engagé dès le début pour la réalisation du chemin de fer dans la vallée de Vigezzo.

L'idée initiale de Francesco Balli de construire, parallèlement au chemin de fer des Centovalli, une ligne dans la vallée de la Maggia et une autre le long de la rive droite du lac Majeur ne s'est que partiellement concrétisée: le chemin de fer de la vallée de la Maggia a certes circulé à partir de 1907, mais il a été remplacé par des bus en 1965. Et les Italiens n'ont manifesté que peu d'intérêt pour une ligne ferroviaire sur la rive droite du lac Majeur.

Interrompu par la guerre

Le projet "Chemin de fer des Centovalli" progresse cependant et, après quelques tergiversations du côté italien, le ministère des travaux publics à Rome accorde l'autorisation de construire à l'automne 1912.

Mais avec le début de la Première Guerre mondiale en 1914, la construction doit être interrompue. Les ouvriers italiens s'étaient engagés dans l'armée et l'Italie a utilisé sur le front les matériaux de construction prévus pour le tronçon dans la vallée de Vigezzo.

Après la fin des hostilités, des diplomates suisses en poste à Rome ont élaboré avec leurs collègues italiens un traité entre les deux pays sur l'exploitation de la ligne ferroviaire. L'accord a été ratifié en 1919 par le roi d'Italie Vittorio Emanuele et par le Conseil fédéral. Il obligeait notamment les deux parties à garantir une unité dans la technique et l'exploitation.

Un véritable voyage

A partir de 1919, les travaux de construction ont tout à coup avancé rapidement et, fin mars 1923, un train-usine a parcouru pour la première fois l'ensemble de la ligne, qui allait officiellement ouvrir le 25 novembre 1923.

Aujourd'hui encore, se déplacer avec le chemin de fer des Centovalli est un voyage au sens propre du terme. Après avoir traversé la vallée de Domodossola, le petit train blanc et bleu s'élève par de multiples virages jusqu'à Creggio, au bord de la vallée de Vigezzo.

De là, le panorama offre des vues spectaculaires en direction de l'Italie, avant que le train ne glisse à travers des forêts silencieuses jusqu'à Santa Maria Maggiore. Près d'Intragna, le petit train traverse le célèbre viaduc et offre un peu plus tard une vue sur le lac qui relie l'Italie à la Suisse et au bout duquel l'histoire de la Centovallina a débuté.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Turquie: la boîte noire de l'avion libyen accidenté retrouvée

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Une délégation de militaires libyens est arrivée mercredi sur le site du crash de l'avion près d'Ankara. L'appareil transportait le chef d'état-major libyen et ses conseillers. (© KEYSTONE/EPA/NECATI SAVAS)

La boîte noire de l'avion qui s'est écrasé mardi soir près d'Ankara, tuant tous ses passagers dont le chef d'état-major libyen et ses conseillers, a été retrouvée. C'est ce qu'a annoncé mercredi le ministre turc de l'Intérieur Ali Yerlikaya.

"L'enregistreur vocal et la boîte noire de l'appareil ont été retrouvés (...) Les autorités compétentes ont entamé leur examen", a déclaré le ministre qui s'est rendu sur le site de l'accident. La boîte noire sera analysée dans un pays neutre, a annoncé sur X le ministre turc des Transports, Abdulkadir Uraloglu.

Les données de ces appareils permettent souvent de déterminer la cause de l'accident de l'avion. Les résultats de l'analyse seront partagés "avec notre nation et le monde entier avec une totale transparence", a-t-il ajouté.

En revanche, les dépouilles des huit personnes qui se trouvaient à bord sont toujours sur le site du crash où les débris sont éparpillés sur 3 km2, a précisé le ministre de l'Intérieur.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Le chef d'état-major libyen est mort dans un "accident" d'avion

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Le Falcon-50 a été découvert à une cinquantaine de kilomètres au sud-est d'Ankara, près de Haymana. (© KEYSTONE/EPA/NECATI SAVAS)

Le chef d'état-major libyen et quatre de ses conseillers ont été tués mardi soir dans l'accident de leur avion, un quart d'heure après son décollage de la capitale turque Ankara. Une panne électrique est évoquée.

"C'est avec une profonde tristesse et une grande affliction que nous avons appris la nouvelle du décès du chef d'état-major général de l'armée libyenne, le général de corps d'armée Mohamed Al-Haddad", a annoncé le premier ministre libyen, Abdelhamid Dbeibah, sur le réseau social Facebook.

Selon le directeur de la communication de la présidence turque, l'appareil, qui transportait huit personnes au total - cinq responsables militaires libyens et trois membres d'équipage-, "a signalé une urgence due à un dysfonctionnement électrique au contrôle aérien et a demandé un atterrissage d'urgence" seize minutes seulement après son décollage.

"L'avion, qui avait entamé sa descente pour un atterrissage d'urgence, a disparu des écrans radar et aucun contact n'a été établi depuis lors", a-t-il ajouté.

"Comme une bombe"

Le ministre turc de l'intérieur Ali Yerlikaya a annoncé en fin de soirée que l'épave de l'appareil, un Falcon-50, avait été découverte à une cinquantaine de kilomètres au sud-est d'Ankara. Selon lui "une demande d'atterrissage d'urgence a été reçue près de Haymana", à une cinquantaine de kilomètres au sud-ouest de la capitale.

Outre le général Mohammed Ahmed Al-Haddad, se trouvaient également à bord "son conseiller Mohammed Al-Assawi, le général de division Al-Fitouri Ghraibil, le général de division Mohammed Jumaa et leur accompagnateur Mohammed Al-Mahjoub", a énuméré le ministre libyen à la communication et aux affaires politiques, Walid Ellafi, en direct sur la chaîne télévisée Libya al-Ahrar.

Le parquet d'Ankara a ouvert une enquête sur l'accident, a annoncé le ministre turc de la justice Yilmaz Tunç. Haymana est situé sur le plateau d'Anatolie, peu accidenté et peu boisé. Malgré la pluie, la météorologie nationale turque n'a pas fait état de perturbation particulière dans la zone.

Un habitant, Burhan Cicek, a rapporté avoir "entendu le bruit d'une énorme explosion, comme une bombe", a-t-il confié au photographe de l'AFP.

La Turquie, un allié

Le chef d'état-major libyen s'était rendu mardi à Ankara pour une visite officielle à l'invitation de son homologue turc. Il a aussi été reçu mardi par le ministre turc de la défense et le chef d'état-major turc, dans l'une des fréquentes visites que se rendent les responsables des deux pays.

La Turquie est un allié de poids du gouvernement de Tripoli, reconnu par l'ONU, au côté duquel elle est engagée y compris militairement depuis janvier 2020, lui fournissant notamment des drones de combat et des instructeurs militaires mais également un soutien économique.

La Libye peine à retrouver la stabilité depuis le renversement de Mouammar Kadhafi en 2011. Deux exécutifs s'y disputent le pouvoir: le gouvernement d'unité nationale (GNU) installé à Tripoli, dirigé par Abdelhamid Dbeibah; l'autre à Benghazi (est), contrôlé par le maréchal Khalifa Haftar et ses fils.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Mobilité

La population suisse favorable à une taxe sur les billets d'avion

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Les recettes de la taxe sur les billets d'avion doivent notamment servir à promouvoir les trains de nuit. (Photo d'archives) (© KEYSTONE/CHRISTIAN MERZ)

Deux tiers des Suisses sont favorables à une taxe sur les billets d'avion, révèle un sondage. Les recettes générées par cette dernière devraient alors être utilisées pour subventionner les transports publics et développer les trains de nuit.

L'introduction d'une taxe sur les billets d'avion a recueilli le plus grand nombre d'avis favorables dans le groupe d'âge des plus de 65 ans. 80% d'entre eux ont répondu "oui" ou "plutôt oui", a indiqué mardi l'organisation environnementale actif-trafiC, spécialisée dans la politique des transports, qui a commandé ce sondage auprès de l'institut gfs-zurich.

L'utilisation des recettes de la taxe sur les billets d'avion pour promouvoir les carburants synthétiques, comme l'électricité, a été approuvée par moins de la moitié des personnes interrogées (43%), selon l'enquête. En revanche, la réduction des tarifs des transports publics et la promotion des trains de nuit sont appelées de leurs voeux par environ 60% des sondés.

Un peu plus d'un tiers des personnes interrogées préfèrent que cette taxe soit fixée à 30 francs pour les vols court-courriers et à 120 francs pour les vols long-courriers. L'étude indique que pour près de 70% des sondés, la taxe devrait en outre être plus élevée pour les trajets sur lesquels il est facile de se rabattre sur le train.

Pas de répartition uniforme

Une répartition uniforme des recettes sans affectation précise a été rejetée par 60% des personnes interrogées. L'organisation environnementale prévoit désormais de lancer une initiative au printemps 2026 afin de mettre en ½uvre la taxe sur les billets d'avion.

Dans le cadre de l'enquête, 1019 personnes ont été interrogées en Suisse alémanique et en Suisse romande entre le 3 et le 21 novembre. Les participants étaient âgés d'au moins 18 ans et ont participé par téléphone ou en ligne.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

USA-Venezueala: Brésil et Mexique se proposent en médiateurs

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La présidente mexicaine Claudia Sheinbaum s'est proposée en tant que médiatrice. "Nous allons chercher, avec tous les pays qui le souhaitent en Amérique latine ou sur d'autres continents, une solution pacifique" et à éviter une "intervention" américaine au Venezuela, a-t-elle dit. (© KEYSTONE/EPA/SAHENKA GUTIERREZ)

La présidente mexicaine et le président brésilien se sont proposés jeudi en médiateurs de la crise entre Etats-unis et Venezuela. Cela afin d'"éviter un conflit armé en Amérique latine".

En pleine montée des tensions entre Washington et Caracas, Lula a déclaré être "très inquiet", ajoutant être "à la disposition" des deux gouvernements et qu'il parlerait "probablement" avec son homologue américain "avant Noël" afin d'éviter une "guerre fratricide".

Le Brésil, immense pays d'Amérique latine dont il est la première puissance économique, possède une frontière commune avec le Venezuela.

Eviter une "intervention" américaine

La présidente mexicaine Claudia Sheinbaum s'est aussi proposée en tant que médiatrice. "Nous allons chercher, avec tous les pays qui le souhaitent en Amérique latine ou sur d'autres continents, une solution pacifique" et à éviter une "intervention" américaine au Venezuela, a-t-elle dit au cours de sa conférence de presse matinale.

Les Etats-Unis ont déployé dans les Caraïbes, mais également le Pacifique, une flotte de navires de guerre, dont le plus grand porte-avions du monde, et d'avions de chasse pour mener des opérations antidrogue.

"S'emparer du pétrole vénézuélien"

L'administration américaine accuse Nicolas Maduro d'être à la tête d'un vaste réseau de narcotrafic. L'intéressé dément et assure que Washington veut le renverser pour s'emparer du pétrole vénézuélien, principale ressource du pays.

L'armée américaine a annoncé mercredi avoir tué "quatre narcoterroristes" présumés dans une nouvelle frappe dans l'est du Pacifique, dans le cadre d'une campagne à la légalité incertaine qui a fait une centaine de morts depuis septembre.

"Blocus total"

Et cette semaine le président Trump a ordonné un "blocus total" contre les pétroliers sous sanctions se rendant ou partant du Venezuela, augmentant la pression sur le président Maduro qu'il accuse d'utiliser le pétrole pour financer "le narcoterrorisme, la traite d'êtres humains, les meurtres et les enlèvements".

Le déploiement américain dans la région "ne fera que s'accroître, et le choc qu'ils subiront sera sans précédent", a récemment averti le locataire de la Maison Blanche, qui maintient le flou sur une possible intervention terrestre au Venezuela.

Des soldats américains ont également été déployés en Equateur, principal pays de départ de la cocaïne produite dans la région, pour une "opération temporaire" contre le narcotrafic opéré conjointement avec les forces équatoriennes. Le président Daniel Noboa est l'un des alliés de Trump en Amérique latine.

"Potentiellement très dangereux"

Après la Chine mercredi qui a dit s'opposer à toute tentative d'"intimidation unilatérale", le ministère russe des Affaires étrangères a appelé jeudi les Etats-Unis à ne pas "commettre une erreur fatale" au Venezuela, "pays ami" de la Russie, et de "s'abstenir de glisser davantage vers une situation qui menace d'avoir des conséquences imprévisibles pour l'ensemble de l'hémisphère occidental".

Le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a pour sa part indiqué jeudi que Moscou considère la "montée des tensions dans la région" comme "potentiellement très dangereuse".

"Le Venezuela est notre allié, notre partenaire, et nous sommes constamment en contact", a-t-il déclaré lors de son point presse quotidien, appelant "tous les pays de la région à la retenue".

Maduro, fidèle allié de Poutine

Le président russe Vladimir Poutine s'est entretenu par téléphone début décembre avec son homologue vénézuélien Nicolas Maduro, un fidèle allié, pour lui apporter son "soutien".

L'Iran, autre soutien de Maduro, a estimé que le blocus américain est "un exemple manifeste de piraterie d'Etat et de brigandage armé en mer".

Le Conseil de sécurité de l'ONU se réunira en urgence mardi à la demande de Caracas "pour discuter de l'agression en cours des Etats-Unis". Une demande soutenue par la Chine et la Russie.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Mobilité

Inauguration de la nouvelle gare du Sentier-L'Orient (VD)

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La société Travys a inauguré officiellement la nouvelle gare du Sentier-L'Orient (archives). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

La nouvelle gare du Sentier-L'Orient a été inaugurée mercredi soir à la Vallée de Joux. Ces travaux de modernisation, qui ont duré neuf mois, visaient notamment à renforcer l'accessibilité, la sécurité et l'efficacité des correspondances.

L'accueil pour la clientèle a ainsi été repensé avec ascenseurs, escaliers, marquises et blocs d'information, indique la compagnie régionale Travys dans un communiqué. Un nouvel abri pour les voyageurs a aussi été créé. La gare a également été mise aux normes pour les personnes en situation de handicap. L'investissement total s'est monté à environ 26 millions de francs, dont 98% à charge de la Confédération.

Lors de la cérémonie qui a réuni 400 personnes, dont 150 invités officiels, la société Travys en a profité pour annoncer le lancement d'une nouvelle ligne de bus nocturne entre Yverdon-les-Bains, Vallorbe, Le Brassus et Le Pont, les vendredis, samedis et veilles de jours fériés. Cette mesure, soutenue par le canton de Vaud, fait suite à une pétition portée par les jeunes de la région. Sa pérennisation dépendra de la fréquentation.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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