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Santé

Roche rachète Poseida Therapeutics pour 1,5 milliard de dollars

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Roche compte étendre sa gamme de thérapies dans les domaines de l'oncologie, l'immunologie et la neurologie et se positionner dans le nouveau domaine des thérapies cellulaires allogéniques. (archives) (© KEYSTONE/GEORGIOS KEFALAS)

Roche a conclu un accord pour le rachat du développeur californien de thérapies géniques et cellulaires Poseida Therapeutics.

Cette opération, qui devrait être finalisée au premier trimestre 2025, coûtera jusqu'à 1,5 milliard de dollars (1,3 milliard de francs) au géant pharmaceutique bâlois.

L'acquisition se base sur le partenariat existant entre Roche et Poseida depuis 2022, qui se concentre sur le développement de thérapies cellulaires CAR-T prêtes à l'emploi pour répondre aux besoins médicaux des patients atteints d'hémopathies malignes, annonce Roche mardi dans un communiqué.

Thérapies oncologiques

Dans le détail, Roche déboursera 9 dollars (8 francs) par action en espèces au moment de la finalisation, ce qui représente un montant total d'environ environ 1 milliard de dollars. Les actionnaires recevront également un droit à valeur contingente non négociable pour un montant maximum de 4 dollars par action en espèces, ce qui représente une valeur totale d'environ 1,5 milliard de dollars.

La seule part fixe représente déjà plus de trois fois le cours de clôture de Poseida sur le Nasdaq lundi.

Le groupe rhénan compte ainsi étendre sa gamme de thérapies dans les domaines de l'oncologie, de l'immunologie et de la neurologie et se positionner dans le nouveau domaine des thérapies cellulaires allogéniques.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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International

Heineken: ventes en baisse au premier trimestre

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L'entreprise a déclaré que des facteurs "liés au calendrier" étaient à blâmer, notamment une Pâques plus tardive et la perte d'un jour de vente supplémentaire, lié au fait que 2024 était une année bissextile. (© KEYSTONE/EPA/ALLISON DINNER)

Heineken a affiché mercredi des ventes en baisse au premier trimestre. Le brasseur néerlandais a maintenu ses prévisions de bénéfice pour 2025, malgré l'incertitude liée aux droits de douanes supplémentaires ordonnés par le président américain Donald Trump.

Les volumes de bière du deuxième brasseur mondial après le belge AB InBev ont atteint les 54,1 hectolitres au cours des trois premiers mois de l'année, contre 55,4 en 2024. L'entreprise a déclaré que des facteurs "liés au calendrier" étaient à blâmer, notamment une Pâques plus tardive et la perte d'un jour de vente supplémentaire, lié au fait que 2024 était une année bissextile.

Heineken a maintenu ses prévisions pour l'ensemble de l'année, à savoir une augmentation de 4 à 8% de son bénéfice d'exploitation. "Nous prévoyons une volatilité macroéconomique continue qui pourrait avoir un impact sur nos consommateurs, y compris un sentiment faible, des pressions inflationnistes mondiales et des dévaluations monétaires en relation avec un euro plus fort", a déclaré la société.

"En outre, il existe des incertitudes plus larges, y compris les récents ajustements tarifaires et les augmentations potentielles, au fur et à mesure que nous avançons", a ajouté Heineken. Heineken ne publie plus de bénéfices nets trimestriels, ne les dévoilant que dans ses rapports semestriels ou annuels.

Le rapport annuel pour 2024, publié en février, faisait état d'un bénéfice net en forte baisse, à 978 millions d'euros, contre 2,3 milliards d'euros l'année précédente. L'entreprise avait toutefois expliqué que cette baisse était due à une dépréciation ponctuelle d'un investissement dans China Resources Beer, dont le cours de l'action avait chuté à la bourse de Hong Kong.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Economie

PIB: perspectives assombries par la guerre commerciale

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Dans les branches manufacturières, l'industrie des machines, la fabrication d'instruments de précision et l'horlogerie (photo), de nouveaux droits de douane américains sont susceptibles de renforcer les difficultés (image symbolique). (© Keystone/SANDRO CAMPARDO)

Le ciel se couvre sur les perspectives de l'économie vaudoise, son produit intérieur brut (PIB) et sa croissance, en raison des incertitudes liées à la guerre commerciale des tarifs douaniers. Si le rythme de croissance s'annonce faible, aucune récession ne semble en revanche pointer à l'horizon à ce jour.

La croissance devrait à nouveau s'inscrire cette année en dessous de la moyenne des quinze dernières années, vraisemblablement entre 1,2% et 1,7% pour 2025, ont indiqué mardi à Lausanne les partenaires de Conjoncture vaudoise, la Banque cantonale vaudoise (BCV), la Chambre vaudoise du commerce et de l'industrie (CVCI) et l'Etat de Vaud représenté par le Service de la promotion de l'économie et de l'innovation (SPEI) et Statistique Vaud.

L'accélération envisagée autour de 1,8% l'an dernier lors des dernières prévisions annuelles n'aura donc certainement pas lieu. Les nuages d'incertitudes ne devraient d'ailleurs pas se dissiper pour 2026, avec une fourchette encore assez prudente et large à la fois, entre 0,8% et 1,9% pour le canton de Vaud.

"Vents contraires très puissants"

"Cela fait deux ans que le rythme de croissance est faible, qu'il patine et manque d'élan", a commenté Jean-Pascal Baechler, conseiller économique à la BCV. "Nous faisons face à des vents contraires qui sont très puissants. Dans notre canton, on sait les affronter, mais cette fois-ci ce sera un peu plus dur de les affronter" ces deux prochaines années, a-t-il illustré.

Dans ces perspectives "assombries" par une "incertitude de plus en plus élevée" à la suite de la guerre commerciale mondiale et les annonces américaines sur les droits de douane, une récession n'est pas à l'ordre du jour, selon les partenaires de Conjoncture vaudoise. L'économie vaudoise peut en outre compter sur le soutien d'une demande intérieure solide, ont-ils expliqué.

Et difficile de dire si la fameuse robustesse de l'économie du canton risque d'atteindre ses limites avec cette nouvelle crise. La diversité et l'hétérogénéité des entreprises sur sol vaudois, dont le tissu économique s'est adapté, dynamisé et constamment régénéré depuis la crise des années 90 et celles des années 2000, restent malgré tout un atout.

"Les fondamentaux sont là. Les finances publiques sont structurellement bonnes, elles sont saines, tout comme les bases économiques du canton", a rappelé Patrick Zurn, responsable économique à la Chambre vaudoise du commerce et de l'industrie. Le taux de chômage demeure peu élevé (4,5%) et l'inflation est faible, a-t-il aussi souligné.

Pessimisme dans l'industrie

En raison du degré d'incertitude, les prévisions par branche sont à considérer avec prudence, selon les spécialistes. Toutefois, certaines tendances se dégagent, qui pourraient continuer de se vérifier cette année. La marche des affaires dans le secteur de l'industrie devrait être la plus touchée.

Dans les branches manufacturières, l'industrie des machines, la fabrication d'instruments de précision et l'horlogerie faisaient en effet déjà face à des vents contraires en raison du manque d'élan de la conjoncture mondiale. De nouveaux droits de douane américains sont susceptibles de renforcer ces difficultés. C'est dans ces domaines que les entrepreneurs sont les plus pessimistes, selon M. Baechler.

En revanche, le fait que les médicaments en soient, en tout cas provisoirement, exemptés pourrait permettre à la chimie-pharma de continuer à "croître fortement" cette année. Le "med-tech" est "bien positionné" aussi. La construction bénéficie, elle, d'une demande "relativement solide".

Dans les services, l’hôtellerie-restauration pourrait voir son activité se "tasser" après le rebond suivant la crise du Covid-19 et les transports être "freinés par l'incertitude".

Les autres activités relevant du tertiaire, soit les services aux entreprises et les activités immobilières, les services financiers, les services publics et parapublics ainsi que le commerce devraient, eux, bénéficier d'une demande domestique "robuste".

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Santé

Sika performe mais reste prudent face aux droits de douane

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Les recettes du chimiste de la construction Sika ont légèrement progressé sur les trois premiers mois de l'année, malgré l'effet du franc fort. (archives) (© KEYSTONE/CHRISTIAN BEUTLER)

Les recettes de Sika ont légèrement progressé sur les trois premiers mois de l'année, malgré l'effet du franc fort. La direction du groupe zougois a confirmé ses perspectives, mais s'est déclarée prudente en raison des incertitudes soulevées par la guerre commerciale.

Au premier trimestre, le chiffre d'affaires net du chimiste de la construction a augmenté de 1,1% sur un an 2,68 milliards de francs, a-t-il annoncé mardi. La croissance organique a quant à elle accéléré à 0,9%, après 0,2% il y a un an, selon un communiqué de Sika.

Alors que les recettes se sont contractées de 0,5% dans la région Europe, Moyen-Orient et Afrique, elles ont accéléré de 3,5% aux Amériques et de 1% en Asie-Pacifique.

Les ventes du groupe et la croissance organique ont légèrement manqué les prévisions des analystes consultés par l'agence AWP.

Sika s'est déclaré relativement serein face à la guerre commerciale initiée par Washington, avec des menaces de droits de douane tous azimuts pour ses partenaires commerciaux. Le groupe dispose en effet d'un réseau mondial de 400 usines dans 102 pays et peut donc assurer une production locale, ne risquant pas d'être touché directement par des barrières commerciales.

Production locale

"Grâce à ce modèle décentralisé, nous produisons quasiment 100% de nos produits pour le marché américain localement", a détaillé le directeur général Thomas Hasler. Cette production locale est également appliquée en Europe et en Asie, a-t-il insisté.

En 2025, Sika ambitionne toujours d'augmenter son chiffre d'affaires de 3% à 6% hors effets des devises, alors que le résultat brut d'exploitation (Ebitda) doit progresser plus que la moyenne. La marge afférente est attendue entre 19,5% et 19,8%.

Sika a par ailleurs confirmé ses objectifs à moyen terme de la "Stratégie 2028", dans le cadre de laquelle la marge Ebitda doit évoluer entre 20% et 23%.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Santé

Quand la robotique investit les arts culinaires

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Bokeon Kwak, de l'EPFL, et Julien Boutonnet, du groupe EHL, lors de l'assemblage du RoboCake. (© EPFL/Jamani Caillet)

Fruit d’une collaboration italo-suisse, RoboCake est un gâteau de mariage robotisé. Il présente à l’Exposition universelle d’Osaka les dernières avancées en matière de robots comestibles et d’alimentation robotisée.

Cela peut sembler incongru, mais créer des robots comestibles ou de la nourriture robotisée est un défi bien réel, que de nombreux scientifiques tentent de relever, a indiqué lundi l'Ecole polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL) dans un communiqué.

Dans le cadre du projet européen RoboFood, des scientifiques de l’EPFL et de l'Institut italien de technologie (IIT) ont collaboré avec des pâtissiers et des experts du groupe EHL (Hospitality Business School) dans le but de combiner science robotique et gastronomie. Le résultat de leur travail, baptisé RoboCake, est présenté sur le Pavillon suisse à l’Exposition universelle d’Osaka.

Au sommet de ce gâteau de mariage se trouvent deux personnages, des ours en gomme entièrement comestibles, qui ont été conçus à l'EPFL. "Ils sont faits à base de gélatine, de sirop et de colorants", décrit Bokeon Kwak, chercheur au Laboratoire de systèmes intelligents (LIS). Ces figurines de sucre sont également animées grâce à un système pneumatique interne: lorsque de l’air y est insufflé, leurs têtes et leurs bras se mettent à bouger.

Pile rechargeable mangeable

Mais ces deux petits ours dansants, qui ont le goût de bonbon à la grenade, ne font pas à eux seuls toute l’originalité de cette pâtisserie. Sous la direction de Mario Caironi, les chercheurs de l’IIT ont inventé la première pile rechargeable mangeable.

Composées de vitamine B2, de quercétine, de charbon actif, et de chocolat pour la touche gourmande, ces piles, que l’on peut consommer sans risque, alimentent les bougies à LED disposées sur le gâteau. La première saveur que l’on sent en les mangeant est le chocolat noir, suivie d’une surprenante sensation piquante, due à l’électrolyte comestible se trouvant à l’intérieur. Celle-ci ne dure que quelques secondes.

"La robotique et l’alimentation sont deux mondes très différents", relève Dario Floreano, directeur du LIS à l’EPFL et coordinateur du projet RoboFood. "Toutefois, les allier offre de nombreux avantages, en particulier en termes de réduction du gaspillage, tant pour ce qui est du matériel électronique que de la nourriture", dit-il, cité dans le communiqué.

Les scientifiques étudient également d’autres applications, notamment dans le domaine de la nutrition d’urgence et de la santé. Les robots comestibles pourraient par exemple servir à amener des denrées de base aux populations vivant dans des régions dangereuses, être une solution innovante pour administrer des médicaments aux personnes ayant des difficultés à avaler, permettre de nourrir des animaux, ou encore de surveiller l’état et la fraîcheur des aliments grâce à des capteurs.

"Cette collaboration interdisciplinaire ouvre la voie à des expériences gastronomiques interactives et délicieuses, tout en nous rappelant au passage que la nourriture est une ressource précieuse et en nous incitant à réduire la suralimentation", conclut Dario Floreano.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

Quand la technologie facilite la préparation des biberons aux HUG

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Une infirmière en pleine préparation de biberons au Centre de nutrition infantile des Hôpitaux Universitaire de Genève. (Photo: HUG)

Un nouveau logiciel pour faciliter la préparation des biberons aux HUG. Chaque année, entre 95 et 100 000 biberons passent dans les mains du personnel du Centre de nutrition infantile des HUG. Ce nouvel outil leur permet de gagner du temps ainsi qu'en efficacité et en sécurité. 

Savez-vous qu’entre 300 et 400 biberons sont préparés chaque jour aux HUG?

Une sacrée logistique qui a pris un tournant depuis début mars. En effet, le Centre de nutrition infantile a mis en place un nouveau logiciel qui leur permet de gagner du temps mais pas seulement. Car chaque bébé est unique, il doit pouvoir manger ce qu’il lui faut en fonction de son poids mais aussi de son traitement si besoin.

Reportage à la maternité des HUG:

Au total, 10 personnes travaillent au Centre de nutrition infantile des HUG.

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