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"Ce que je vis est un peu injuste", estime Sinner

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Jannik Sinner estime que ce qu'il vit est "un peu injuste" (© KEYSTONE/EPA AAP/JOEL CARRETT)

Le no 1 mondial Jannik Sinner, qui purge une suspension de trois mois pour dopage, a estimé dans un entretien diffusé samedi que cette sanction était "un peu injuste".

L'Italien reconnait toutefois que "cela aurait pu être bien pire".

"Nous avons accepté rapidement (red: la suspension de trois mois), même si je n'étais pas vraiment d'accord", a expliqué Jannik Sinner dans un entretien accordé à la chaîne de télévision italienne Sky Sport.

L'Italien, vainqueur de trois titres du Grand Chelem, s'exprimait pour la première fois depuis qu'il a conclu début février un accord avec l'Agence mondiale antidopage (AMA) pour une suspension de trois mois qui prendra fin le 4 mai.

"Il fallait choisir le moindre mal et je crois que c'est ce qu'on a fait. Ce que je vis est un peu injuste mais, si on regarde les choses, cela aurait pu être bien pire, cela aurait pu être encore plus injuste", a-t-il poursuivi.

"Une fois cette décision prise, j'ai mis un peu de temps à me retrouver. D'autres choses se sont passées, au-delà de cette affaire, qui n'ont pas été simples pour moi, il me faudra encore un peu de temps pour digérer tout cela, mais je suis là. J'ai hâte de faire mon retour à Rome" pour le Masters 1000 prévu du 7 au 18 mai, a ajouté le joueur de 23 ans.

"Je suis innocent"

Contrôlé positif au clostebol, en mars 2024, Jannik Sinner avait d'emblée expliqué la présence de cet anabolisant dans ces échantillons par une contamination accidentelle, via un massage prodigué par un membre de son entourage. Il avait été initialement blanchi par l'Agence pour l'intégrité du tennis (Itia), décision que l'AMA a contestée devant le Tribunal arbitral du sport (TAS) pour demander un à deux ans de suspension, avant de conclure un accord avec Sinner.

Cet accord a suscité beaucoup de critiques et d'incompréhensions, notamment parmi les joueurs, l'Australien Nick Kyrgios en étant le plus virulent pourfendeur.

Est-ce que Sinner appréhende de croiser la route de certains de ces joueurs, lui demande la journaliste de Sky ? "Je ne sais pas quoi répondre car je ne sais pas ce qui pourra arriver, répond-il. Je suis certain de la façon dont les choses se sont passées, je suis innocent (...) Ce que je veux faire, c'est jouer au tennis et être très serein, là s'arrête l'histoire. Je suis sûr que tout ira bien, même si peut-être au début je mettrai un peu de temps à repartir."

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Des centaines de Chinois combattent en Ukraine, selon Zelensky

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Le président ukrainien a demandé aux alliés 10 nouveaux exemplaires du système de défense anti-aérienne Patriot, de fabrication américaine, devant lequel il posait en juin 2014 (Archives). (© KEYSTONE/DPA/JENS BÜTTNER)

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a affirmé vendredi que "plusieurs centaines" de ressortissants chinois combattaient pour la Russie en Ukraine, quelques jours après avoir accusé Moscou d'entraîner Pékin dans cette guerre.

"A l'heure actuelle, nous savons qu'au moins plusieurs centaines de ressortissants chinois combattent au sein des forces d'occupation russes", a déclaré M. Zelensky, qui s'exprimait par vidéo lors d'une réunion des chefs militaires des pays alliés de l'Ukraine à Bruxelles.

Le dirigeant ukrainien a accusé la Russie de tenter ainsi de "prolonger la guerre" en "utilisant des vies chinoises".

Plus tôt cette semaine, Volodymyr Zelensky avait annoncé la capture de deux citoyens chinois qui, selon lui, combattaient dans les rangs russes en Ukraine.

Il avait ensuite estimé leur nombre à 155, tout en soulignant qu'ils étaient sans doute "bien plus".

Volodymyr Zelensky avait accusé Pékin de savoir que ses citoyens étaient recrutés par l'armée russe, propos jugés "irresponsables" par la Chine.

Volodymyr Zelensky avait aussi estimé que les autorités russes "entraînent maintenant la Chine dans cette guerre".

Le Kremlin avait répondu que le président ukrainien avait "tort" de dire cela.

Patriot

Vendredi, Volodymyr Zelensky a également demandé à ses alliés de lui fournir dix systèmes de défense aérienne Patriot supplémentaires, de fabrication américaine.

Les chefs militaires sont à Bruxelles pour une réunion dite "format Ramstein", qui comprend les principaux alliés de l'Ukraine.

"Je vous demande de vous concentrer avant tout sur la défense aérienne de l'Ukraine. Nous en avons vraiment besoin", a-t-il déclaré.

Il s'exprimait depuis sa ville natale, Kryvyï Rig (centre), où un missile russe a tué la semaine dernière 19 personnes, dont neuf enfants.

Le dirigeant ukrainien a aussi appelé les Occidentaux à avancer dans la création d'un contingent militaire destiné à être déployé en Ukraine, en cas d'arrêt des combats, pour dissuader la Russie d'attaquer de nouveau son voisin.

"Nous devons définir des détails clairs concernant la taille, la structure, le déploiement, la logistique, le soutien, l'équipement et l'armement de ce contingent de sécurité en Ukraine", a expliqué M. Zelensky.

La Russie avait balayé cette option début mars, disant qu'"aucun compromis possible" n'était possible à propos du déploiement de troupes européennes de maintien de la paix en Ukraine.

Le président américain Donald Trump dit vouloir mettre fin à la guerre qui fait rage depuis l'invasion de l'Ukraine par la Russie il y a trois ans.

Volodymyr Zelensky a reproché vendredi à la Russie d'avoir refusé "il y a exactement un mois" une proposition américaine de cessez-le-feu inconditionnel et complet.

Donald Trump, malgré son rapprochement avec la Russie, n'a pu obtenir de Vladimir Poutine que des accords bien plus limités.

En mars, la Maison Blanche avait annoncé que Kiev et Moscou avaient accepté un moratoire des frappes sur les infrastructures énergétiques. Depuis, les deux pays s'accusent de le violer.

Un accord en vue d'une trêve en mer Noire, plutôt flou et à la portée limitée, avait aussi été annoncé.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Afrique du Sud: un hélicoptère s'écrase à cause d'un manchot à bord

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Près de 2000 manchots vivent surv Bird Island (Photo prétexte). (© KEYSTONE/AP Benoît Gineste via Nature)

Un manchot transporté dans une boîte en carton non arrimée a provoqué le crash d'un hélicoptère sur Bird Island, minuscule îlot au large de la côte sud-est de l'Afrique du Sud, sans faire de victime, a indiqué la direction de l'aviation civile.

Le 19 janvier, le petit hélicoptère transportant quatre personnes effectuait un survol de l'île abritant près de 2000 manchots du Cap, espèce en voie de disparition.

Après avoir atterri, un "spécialiste" à bord de l'hélicoptère a demandé à "transporter l'un des manchots" vers la grande ville côtière de Gqeberha (ex-Port Elizabeth), selon le rapport d'incident publié mercredi par la direction sud-africaine de l'aviation civile.

"Le passager assis sur le siège avant gauche a placé la boîte en carton contenant le manchot sur ses genoux et l'a tenue avec ses mains", décrit-il.

Lors du décollage, à environ 15 mètres au-dessus du sol, la boîte en carton "a glissé vers la droite et sur le manche cyclique du pilote", entraînant le basculement de l'hélicoptère vers la droite et la collision des pales avec le sol.

Si l'hélicoptère a été sérieusement endommagé, aucun des passagers n'a été blessé et le volatile est "également indemne", précise le rapport.

Guerre commerciale plaisantée

Des photographies jointes au rapport montrent l'hélicoptère blanc gisant sur l'îlot, le cockpit détruit, ainsi que l'oiseau dans une boîte en carton aux airs de nid de fortune.

Sur les réseaux sociaux, des utilisateurs ont plaisanté de l'incident en le reliant aux taxes douanières annoncées par le président américain Donald Trump, qui visaient notamment des îles volcaniques isolées près de l'Antarctique habitées seulement par des manchots et des phoques, à savoir les îles Heard-et-MacDonald, appartenant à l'Autstralie.

"Cette guerre commerciale dégénère rapidement", a tweeté l'un. "Trump avait raison à 100 %. Ces manchots sont un problème pour la sécurité mondiale", a plaisanté un autre.

Le rapport d'incident conclut que la décision du pilote n'était pas conforme aux règlements de vol car "l'absence de confinement sécurisé du manchot a créé une situation dangereuse".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Bolsonaro en vol vers l'hôpital pour de fortes douleurs à l'abdomen

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L'ex-président brésilien Jair Bolsonaro a été héliporté à l'hôpital, souffrant à l'abdomen (Photo d'illustration). (© KEYSTONE/AP/Luis Nova)

L'ex-président brésilien Jair Bolsonaro a été transféré vendredi par hélicoptère vers un hôpital de Natal (nord-est) après avoir ressenti de "fortes douleurs" à l'abdomen, a indiqué à l'AFP une porte-parole de son parti.

Lors d'un événement dans l'Etat du Rio Grande do Norte, dont Natal est la capitale, "il a eu un malaise, lié à l'attentat à l'arme blanche de 2018", a expliqué cette porte-parole.

Cette année-là, l'ancien capitaine de l'armée avait été poignardé par un déséquilibré en plein bain de foule, à quelques semaines de l'élection présidentielle qu'il a finalement remportée.

Les séquelles ont valu à M. Bolsonaro, 70 ans, plusieurs hospitalisations ces dernières années.

Après l'apparition des douleurs lors d'un événement de son Parti libéral, l'ex-président (2019-2022) a été admis vendredi dans un hôpital de Santa Cruz, avant d'être transféré vers Natal, à une centaine de kilomètres, a précisé la porte-parole de sa formation politique.

Le sénateur Rogerio Marinho, ancien ministre du gouvernement Bolsonaro et actuellement sénateur élu du Rio Grande do Norte, qui se trouvait à ses côtés vendredi, a confirmé que le leader de l'opposition brésilienne avait ressenti "de fortes douleurs à l'abdomen", sans donner plus de détails sur son état de santé.

L'ancien président d'extrême droite vient d'être renvoyé en procès pour tentative de coup d'Etat.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

GAVI veut "encourager" la Suisse à devenir un "donateur important"

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La directrice exécutive de l'Alliance mondiale du vaccin (GAVI) n'a toujours pas reçu de notification d'un arrêt du financement américain pour son organisation (archives). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

L'Alliance mondiale du vaccin (GAVI) à Genève veut "encourager" la Suisse à devenir un "donateur important". Elle n'a toujours pas reçu de notification d'un arrêt des financements américains et n'a décidé pour le moment d'aucune restriction.

La Suisse donne une quinzaine de millions de francs sur plusieurs années comme Etat hôte de l'organisation. "Nous nous réjouissons de poursuivre le dialogue avec elle et de l'encourager à devenir un donateur important", a affirmé vendredi la directrice exécutive de GAVI, Sania Nishtar, aux correspondants accrédités à l'ONU à Genève (ACANU).

Il y a quelques semaines, le New York Times avait dévoilé des documents de l'administration américaine dans lesquels étaient prévues des coupes du financement à cet acteur incontournable pour la vaccination dans le monde. Mme Nishtar s'est rendue à Washington la semaine dernière pour plaider la cause de cette alliance auprès des autorités et des parlementaires.

"Nous n'avons pas encore reçu de notification d'un arrêt du contrat" avec les Etats-Unis, explique la Pakistanaise. L'administration américaine lui répond qu'elle n'est pas en position d'en dire davantage tant que l'évaluation de la participation américaine à toutes les organisations internationales n'est pas achevée.

Les Etats-Unis alimentent environ 13% de l'enveloppe de l'organisation qui demandera 9 milliards de dollars en juin à la réunion de reconstitution de ses fonds. "Nous avons beaucoup de soutien dans les deux Chambres du Congrès", affirme la directrice exécutive.

Pas encore de restriction

Si les Etats-Unis ont donné un milliard de dollars sur cinq ans, GAVI a dépensé quatre fois plus auprès des entreprises pharmaceutiques sur la même période. "Nous sommes un très bon investissement pour eux", dit l'ancienne ministre pakistanaise.

Autre argument, GAVI maintient les stocks de vaccins qu'elle finance en permanence. Elle est "la seule organisation" à pouvoir oeuvrer immédiatement en cas d'épidémie importante, selon Mme Nishtar. Sans les Etats-Unis, 18 millions de personnes n'auraient pas pu être sauvées ces 25 dernières années grâce à leur immunisation, affirme GAVI.

En attendant que ce pays décide de poursuivre ou non sa participation, l'institution n'a validé pour le moment aucune restriction dans ses activités. Près de 85 vaccins seront lancés cette année. GAVI va aussi demander une analyse des possibles perturbations liées aux droits de douane américains, surtout si ceux-ci devaient affecter le prix des médicaments sur le marché. Pour le moment, les effets ne semblent pas "significatifs", affirme la directrice exécutive.

Depuis son arrivée il y a un an, Mme Nishtar a lancé un chantier pour adapter le cadre de GAVI aux changements de la situation internationale. Avec un accélérateur à 1,2 milliard de dollars, l'institution facilite aussi la possibilité de fabricants africains de vaccins pour qu'ils puissent être concurrentiels et obtenir une homologation de l'Organisation mondiale de la santé (OMS).

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Economie

La BCE prête à agir si une guerre commerciale menace la stabilité

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La BCE "surveille la situation et est toujours prête à intervenir" en utilisant "les instruments dont elle dispose", a déclaré sa présidente Christine Lagarde. (© KEYSTONE/EPA/MARCIN OBARA)

La Banque centrale européenne est "prête à intervenir" en cas de risque pour la stabilité financière en zone euro, a déclaré vendredi sa présidente, après une semaine de tempête sur les marchés financiers provoquée par la guerre commerciale déclenchée par Donal Trump.

L'institution monétaire "surveille la situation et est toujours prête à intervenir" en utilisant "les instruments dont elle dispose", a déclaré Christine Lagarde à Varsovie en marge d'une réunion informelle des ministres des Finances de la zone euro, sans donner plus de détails.

Ses propos interviennent à moins d'une semaine de la prochaine réunion de la BCE pour décider du cap monétaire, tandis que la plupart des marchés boursiers baissaient vendredi, avec un dollar qui ne cesse de s'enfoncer face à l'euro.

En cause, l'annonce de Pékin d'une nouvelle hausse de ses droits de douane sur les produits venant des Etats-Unis, illustrant l'escalade entre les deux puissances.

Des tensions commerciales supplémentaires pourraient entraîner de fortes turbulences sur les marchés où se négocient les actions, obligations et autres devises, avec le risque de déstabiliser le système financier de la zone euro.

Arsenal face aux crises

"Jusqu'à présent, nous ne voyons aucun signe de tension de liquidité sur les marchés", a tempéré Claudia Buch, présidente du superviseur bancaire au sein de la BCE, dans une interview donnée vendredi à Bloomberg.

La BCE redoute, de son côté, qu'une guerre commerciale freine les exportations et la croissance, l'obligeant à ajuster sa politique monétaire pour soutenir l'économie.

Des marchés volatils peuvent aussi nuire à l'efficacité des décisions de politique monétaire, par exemple si le taux bas ne se répercuterait pas correctement sur les prêts aux entreprises ou aux ménages.

Durant ses vingt premières années d'existence, la BCE a déjà dû déployer un arsenal de mesures pour calmer plusieurs crises.

Entre 2010 et 2012, plusieurs pays de la zone euro (Grèce, Portugal, Espagne, Italie) faisaient face à des taux d'intérêt très élevés sur leurs dettes, menaçant la stabilité de la zone euro.

En 2012, Mario Draghi, président de la BCE, prononçait son célèbre "Whatever it takes" (Quoi qu'il en coûte) pour sauver l'euro, via des rachats potentiellement illimités de dette, finalement jamais utilisés.

Lors de l'éclatement de la pandémie du Covid-19, l'institut a lancé un programme d'urgence (PEPP pour Pandemic Emergency Purchase Program) consistant en 1850 milliards d'euros de rachats de dette, pour soutenir Etats et entreprises.

Et face à la hausse rapide des taux d'intérêt et des tensions sur les dettes dans le contexte d'inflation record liée à la guerre en Ukraine, la BCE a créé un nouvel outil pour intervenir si des écarts de taux d'intérêt entre pays deviennent trop importants.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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