Rejoignez-nous

Techno

La voiture solaire ressort de l'ombre

Publié

,

le

benoit rouchaleauLe monde de demain

Le monde de demain : Le vieux rêve de la voiture solaire se rapproche doucement...

 Toyota planche sur l’idée de voitures alimentées par l’énergie solaire et qui pourraient proposer une autonomie exceptionnelle, voire même rouler indéfiniment. Plus besoin de s’arrêter et de passer par la case recharge... A condition d’avoir des batteries suffisamment costauds pour emmagasiner assez d’énergie le jour pour pouvoir rouler la nuit.

C’est encore de la science-fiction mais Toyota a donc lancé en juillet dernier les premiers tests d’un nouveau prototype sur une Prius bardée de panneaux photovoltaïques ultra fin, d’une épaisseur de 0.03 mm, ils peuvent donc s’adapter à la carrosserie d’une voiture et à ses parties incurvées, comme le capot, l’aileron ou le hayon du véhicule. Des panneaux solaires qui convertissent la lumière du soleil en énergie, avec un rendement de près de 34 %. Autre particularité : les batteries se situent dans le coffre et elles se rechargent en mouvement ou en stationnement.

Et quid de son autonomie ?

Selon Toyota, pour l’heure, elle peut effectuer 56 kilomètres par temps de grand soleil. Et les porteurs du projet assurent que si la voiture est conduite 4 jours par semaine pour un maximum de 50 kilomètres chaque jour, il n’y aura pas besoin d’apport d’énergie supplémentaire à une borne.

Problème, l'autonomie du prototype chute rapidement en cas de temps nuageux ou en cas de trop forte chaleur. Ce qui veut dire que si elle était utilisée dans des conditions de conduite réelles aujourd’hui, elle devrait être branchée pour se recharger. Ce n’est pas le monde demain, mais d’après-demain plus sûrement...

Cliquez pour commenter

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

International

Les vêtements en polyester recyclé polluent plus (étude)

Publié

le

Selon les chiffres de l'industrie rapportés par l'étude, 98% du polyester recyclé provient de bouteilles en plastique et non de déchets textiles (archives). (© KEYSTONE/EPA/MAST IRHAM)

Fabriqués à partir de bouteilles en plastique, les vêtements en polyester recyclé vendus par la mode sous couvert de démarche écologique sont plus polluants que ceux en polyester vierge, révèle une étude mercredi.

Lors du lavage, le polyester recyclé libère 55% de particules microplastiques de plus que le polyester vierge, selon des recherches menées à l'université Çukurova en Turquie et publiées par l'ONG Changing Markets.

Les particules sont par ailleurs 20% plus petites, donc plus à même de se répandre dans l'environnement, révèle l'ONG, qui rappelle que les microplastiques envahissent la terre, l'air, l'eau et les organismes vivants. Des tests ont été effectués sur 51 vêtements représentatifs de lots de productions des marques Adidas, H&M, Nike, Shein et Zara.

Nike s'est révélée être la plus polluante (tissus vierges et recyclés), devant Adidas: le polyester recyclé de la marque américaine à la virgule a perdu plus de 30'000 fibres par gramme de vêtement en moyenne, soit près de quatre fois plus que H&M et sept fois plus que Zara.

Fraude au polyester courante

Quant au géant asiatique de la mode Shein, ses vêtements étiquetés "polyester recyclé" libèrent étonnamment environ autant de microplastiques que ceux en polyester vierge. Par ailleurs, des articles achetés pour l'étude présentés "polyester recyclé" étaient disponibles à la vente quelques mois plus tard estampillés comme étant simplement en polyester vierge, affirme l'étude.

Cette "fraude au polyester" serait monnaie courante dans l'industrie textile, selon l'étude, qui précise avoir trouvé des traces de pratiques similaires chez H&M et Nike.

"La mode vend du polyester recyclé comme étant une solution verte. Or, nos résultats montrent qu'il aggrave le problème de la pollution", estime Urska Trunk, directrice de campagne de Changing Markets. "Les vraies solutions consistent à réduire et éliminer progressivement la production de fibres synthétiques et arrêter de détourner des bouteilles en plastique pour en faire des vêtements jetables".

Selon les chiffres de l'industrie rapportés par l'étude, 98% du polyester recyclé provient de bouteilles en plastique et non de déchets textiles. Les fibres synthétiques issues des combustibles fossiles représentent environ 69% de la production textile totale, avec 59% de polyester dont 12% recyclé.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

Suisse

Le dossier électronique du patient prend un nouveau départ

Publié

le

Le dossier électronique du patient est abandonné au profit d'un dossier de santé (archives). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Le dossier électronique du patient est abandonné. Le Conseil fédéral a décidé mercredi de le remplacer par un dossier électronique de santé. Celui-ci sera automatiquement mis à disposition de la population.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Suisse

Le dossier électronique du patient prend un nouveau départ

Publié

le

Le dossier électronique du patient est abandonné au profit d'un dossier de santé (archives). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Le dossier électronique du patient est abandonné. Le Conseil fédéral a décidé mercredi de le remplacer par un dossier électronique de santé. Celui-ci sera automatiquement mis à disposition de la population.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Genève

Le canton sensibilise à la revalorisation locale des e-déchets

Publié

le

Le canton de Genève a lancé mardi une campagne de sensibilisation aux déchets numériques et à leur relavorisation locale (image d'illustration). (© KEYSTONE/DPA/CHRISTIAN CHARISIUS)

L'Etat de Genève lance une campagne de sensibilisation sur la durabilité numérique. "Que cachent vos objets numériques?" invite le public à découvrir les métaux précieux contenus dans ces objets, pour comprendre la "véritable valeur" d'un smartphone et comment le revaloriser.

Le canton, la Ville de Genève et l'association No obsolescence programmée (NoOPS) ont annoncé mardi par communiqué s'associer pour offrir des solutions concrètes dans le cadre de cette campagne. Des enveloppes préaffranchies pour l'envoi de téléphones et tablettes obsolètes sont à disposition et des points de collecte organisés au Musée d'ethnographie de Genève, ainsi que dans plusieurs bibliothèques.

Ces téléphones usagés seront envoyés à l'association Realise. Après avoir effacé les données selon des "procédures strictes" établies par l'association, elle triera et recyclera ces téléphones, dont certains pourront être reconditionnés par noOPS.

"Mines urbaines"

Un smartphone contient plus de 60 composants électroniques, souligne le Département des institutions et du numérique. Il avertit aussi que les "mines urbaines", ces déchets d'appareils usagés urbains, seraient estimés à 82 millions de tonnes de déchets d'ici 2030.

Pour sensibiliser à la revalorisation locale des e-déchets, la campagne "Nos précieux Numériques" proposera des animations éducatives dans les bibliothèques, les écoles, ou sur les réseaux pendant le mois de novembre. Du 7 au 16 novembre, des vitrines éducatives seront aussi présentées sur le stand de l'Etat de Genève aux Automnales.

Les gestes écologiques de réparer, recycler et reconditionner réduisent les émissions de CO2 et favorisent l'économie circulaire locale, a souligné le canton. La valorisation des déchets numériques urbains pourrait diminuer jusqu'à 40% l'exploitation minière traditionnelle.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Politique

Votations: Un petit oui pour l'identité numérique à 50,4%

Publié

le

Achives (© KEYSTONE/CYRIL ZINGARO)

La Suisse a dit oui d'un cheveu dimanche à une identité numérique, pilotée par Berne. Malgré le soulagement des partisans du projet, une large alliance, sauf l'UDC, de nombreuses craintes se sont exprimées et il faudra en tenir compte. Le projet a été largement plébiscité à Genève comme le montre notre carte.

Tous les sondages annonçaient le oui gagnant avec une marge assez confortable. Mais le scénario attendu n'a pas eu lieu. Le camp du non a tout d'abord fait la course en tête. Une majorité des cantons a d'ailleurs refusé le projet d'identité électronique.

 

Les résultats des communes urbaines et périurbaines du canton de Berne en faveur du oui ont renversé la vapeur en milieu d'après-midi, même si le canton a au global refusé l'objet par 51% des voix. Puis les résultats du canton de Zurich, qui a dit oui à 54%, ont définitivement confirmé la victoire des partisans de l'e-ID, par 50,4% des voix.

Au final, seuls huit cantons l'ont accepté, mais cela a suffi. Le poids des grandes villes comme Genève, Lausanne, Berne, Zurich et Bâle a fait la différence.

Suisse romande partagée

La Suisse romande était partagée. Le Jura a dit non à 56%, le Valais à 55%, Neuchâtel à 52%. En Suisse alémanique, la palme du non revient à Uri et Schwyz, avec plus de 59% de non. Glaris (58%), Obwald (57%), ou Thurgovie (56%) ont également nettement refusé.

A l'inverse, les cantons les plus enthousiastes sur l'e-ID sont Vaud et Bâle-Ville (57%). Genève a accepté à 55%. Fribourg (50,1%) et le Tessin (51%) ont aussi dit oui, mais de justesse. Zoug et Lucerne (52% chacun) ont aussi contribué au succès de l'identité électronique.

Au final, 1'384'549 citoyennes et citoyens ont glissé un oui dans l'urne, contre 1'363'283 un non. La participation s'est élevée à 49,6% pour cet objet.

Une e-ID suisse et étatique

A l'avenir, il sera possible de se servir de l'identité numérique sur Internet, pour demander un extrait du casier judiciaire, un permis de conduire ou une attestation de résidence. Mais aussi pour prouver son âge lors d'un achat d'alcool en ligne par exemple. Dans ce cas, l'entreprise concernée n'aura pas accès à l'e-ID elle-même, le magasin ne verra que si l'âge minimum a été atteint.

Le résultat serré du vote sur l'e-ID montre que le scepticisme sur ce thème est assez grand dans la population, a reconnu dimanche Beat Jans devant la presse. Le Conseil fédéral prendra au sérieux les inquiétudes et en tiendra compte, a-t-il assuré.

Le ministre de la justice s'est dit toutefois "soulagé". Il y a encore beaucoup à faire, et il faut "gagner la confiance" de celles et ceux qui ont voté non, mais ne sont pas fondamentalement contre une e-ID étatique.

Pas de chèque en blanc

"Ce projet étatique, facultatif et accessible à tous est une rare tentative de réduire notre dépendance aux géants du numérique. Refuser ce texte aurait été une occasion manquée de reprendre le contrôle face aux GAFAM", a dit la conseillère nationale Jessica Jaccoud (PS/VD).

Le soulagement est aussi palpable du côté de digitalswitzerland et d'EconomieSuisse: "l'e-ID est la clé pour des infrastructures numériques modernes à même de soulager non seulement l'Etat, mais également l'économie et la population", a dit la faîtière. L’experte en droit numérique Dessislava Leclère a résumé le dilemme sur le plateau de la RTS: "Le maître-mot, c’est la confiance."

Pour les référendaires, la mobilisation contre une numérisation jugée imposée reste une victoire d'estime. Alexis Roussel (Parti Pirate) a évoqué une inquiétude croissante face à la "contrainte numérique", portée par une volonté de défendre le "droit à une vie hors ligne". Le mouvement Mass-Voll! remercie, lui, "les 1'359'867 Suisses et Suissesses qui ont dit non à l'e-id liberticide."

Un premier rejet

En 2021, le peuple avait rejeté par près de 65% des voix l'introduction d'une e-ID. La Confédération prévoyait de sous-traiter l'exploitation des données et de la technologie à des entreprises privées, point qui a joué un rôle important dans le "non".

Le Conseil fédéral est rapidement revenu à la charge. La nouvelle e-ID sera étatique, ainsi que facultative. Toutes les démarches qui pourront se faire virtuellement pourront continuer à se faire physiquement, a promis le gouvernement.

Un référendum a été lancé par des plusieurs groupes, notamment des opposants aux mesures contre le Covid-19, ainsi que par le parti Pirate. Sur le plan politique, tous les partis représentés au Parlement fédéral, sauf l'UDC, soutenaient l'e-ID.

Opposants divisés

Contrairement à 2021, la bataille référendaire ne s'est toutefois pas faite sous le signe de l'unité. Cafouillages communicationnels, bisbilles personnelles et invectives ont rythmé la campagne du "non".

Mass-Voll impute d'ailleurs l'échec de dimanche aux autres acteurs du même bord. "Si l'UDF, les Jeunes UDC, les Amis de la Constitution, les petits groupes confus issus de la période du coronavirus et les pirates divisés n'avaient pas mené leurs propres campagnes peu efficaces et divisé le camp du non, nous aurions aujourd'hui un non massif", affirme-t-il.

Les opposants ont déposé la semaine dernière deux recours en justice contre la votation. Ils estiment que le don de 30'000 francs de Swisscom au comité en faveur de l'e-ID pour la campagne de votations est "illégal".

Avec Keystone-ATS

Continuer la lecture

Derniers titres

Publicité

L'info en continu

InternationalIl y a 2 heures

Un hôpital de Gaza quasi à l'arrêt faute de carburant

Un hôpital du centre de la bande de Gaza a annoncé une suspension "temporaire" d'une majorité de ses activités à...

Suisse RomandeIl y a 3 heures

Plan Grand froid: Lausanne ouvre 50 lits supplémentaires

Compte tenu des températures annoncées et de la bise, Lausanne va augmenter temporairement sa capacité...

InternationalIl y a 5 heures

Décès de Jean-Louis Gasset

L'entraineur et figure emblématique du football français Jean-Louis Gasset est mort vendredi à l'âge de...

SuisseIl y a 7 heures

Des policiers saint-gallois dans le rôle de videurs

La police cantonale saint-galloise a dû jouer les videurs à Noël. Elle a reçu plusieurs...

MobilitéIl y a 7 heures

Nez Rouge ramène 9100 personnes à bon port

Le service de transport à domicile Nez Rouge a ramené 9134 personnes chez elles en...

SuisseIl y a 9 heures

La galerie de drainage de Brienz (GR) montre des effets positifs

Le flux d'éboulis en amont du village de montagne grison évacué de Brienz a continué...

SportIl y a 9 heures

Mouna Skaria, la dermatologue qui soigne le basket lausannois

Dermatologue à Vevey (VD), mais également l'une des premières femmes à présider un club masculin...

InternationalIl y a 10 heures

Scandale 1MDB: Najib Razak condamné à 15 ans de prison

Déjà emprisonné, l'ex-Premier ministre malaisien Najib Razak a été reconnu coupable vendredi d'abus de pouvoir...

CultureIl y a 10 heures

Donald Trump, personnalité la plus médiatisée en France en 2025

Le président américain Donald Trump est la personnalité dont les médias ont le plus parlé...

ActualitéIl y a 11 heures

Zelensky doit s'entretenir avec Trump dimanche en Floride

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky doit rencontrer dimanche en Floride son homologue américain Donald Trump....