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Des pères divorcés souvent en souffrance

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Que faire lorsque l’on est privé de voir son enfant après une rupture ? Dans une grande majorité des cas, ce sont les mères qui héritent de la garde, 68% des cas, selon une étude de 2003 de Divorce.ch. Par conséquent, le maintien de la relation de qualité entre le père et ses enfants est souvent difficile. C’est ce qui s’est passé pour Shady Ammane, président de l’association Printemps des enfants et des papas en Suisse. Après avoir découvert l'infidélité de son épouse et le projet de celle-ci d'emmener leur fille en Syrie, aussitôt obtenu le passeport suisse, ce père d’une fille et d’un garçon s’est retrouvé à la porte du jour au lendemain accusé à tort de violence conjugale, avant que l’information soit démentie. Il a pu exercer son droit de visite sur son fils lorsqu'il a eu un an.

Aujourd’hui Shady a le droit de voir ses enfants mais un week-end sur deux seulement. Le fait de rompre le lien entre le parent non gardien et l’enfant peut donner lieu à des situations dramatiques. Laurence Bagnoud Roth est psychologue à Therapea, un centre de consultations pour couples, familles et individus, basé à Genève.

Une marche de l’espoir est organisée par touche pas à mon enfant.ch, vers Berne depuis la gare de Fribourg le 17 février. Plusieurs parents et associations entendent dénoncer les manipulations de certains services de protection de l'enfant.

3 Commentaires

3 Comments

  1. Boumald

    7 février 2018 à 13 h 40 min

    Bonjour ,je tiens Remercié radio lac et Aurélie selli pour son émission ,cette souffrance touche de plus en plus des parents et les enfants suite au comportement et de l'incompétence de certains assistants et services de protection de l'enfance qui agissent souvent comme des pompiers pyromanes , trop d'abus , trop de négligence, copinages....,c'est pour cela j'ai décidé de organiser cette marche pour nos enfants pour dénoncer à les autorités et pour leur ouvrir les yeux car eux aussi sont victimes de la confiance qui ont mis dans ce service qui prétend etre la pour le bien des enfants,merci encore pour vous efforts et intérêt a notre souffrance . Boumald Jamal , organisateur de la marche de l'espoir , touche pas à mon enfant -ch ,0788677810

  2. Franc

    14 mars 2018 à 16 h 56 min

    Les Juges n'ont pas évolué depuis toujours et on en est encore au schéma classique: la mère au foyer et le père y ramène l'argent. Nos Juges doivent probablement tous encore avoir un complexe d'œdipe vis à vis de leur propre mère (pas étonnant puisque le rôle éducatif du père est totalement ignoré et inconnu dans ce pays).

    En fait, plus le père essaie de valider (et défendre) sa place auprès et avec ses enfants, plus la Justice le détruit par tous les moyens les plus retords et les plus sournois.

    Pas de garde alternée si le couple parental ne s'entend pas ==> donc les mères font tout (et leurs avocats les y encouragent à dessein) pour que l'entente se dégrade; elles refusent la médiation, font du chantage aux sentiments sur les enfants ou les aliènent contre leur père, etc....(plus le conflit s'éternise plus c'est rentable pour les avocats, pédopsy, assistants sociaux, etc).

    Autorité parentale partagée ==> à quoi ça sert si le père ne voit ses enfants que 4 jours par mois (moins que leurs enseignants !).

    Et lorsque le père est irréprochable (ici, les Juges donnent aux mères, toutes puissantes, le bon Dieu sans confession !!), le dernier recours des avocats est de suspecter le père d'avoir un comportement " pédophile" (par définition, un père est suspect dès lors qu'il souhaite vivre le quotidien de ses enfants plus que le minimum habituel !). Et même si aucun soupçon de preuve n'existe, le mot est lancé, la rumeur se diffuse et cela suffit à alerter les services de l'enfance et de la jeunesse qui viennent se mêler, à vitesse grand V, de l'affaire.
    A ce stade, le père est étiqueté et il perd tous ses droits, sauf celui de payer et de se taire, c'est tout. L'affaire est réglée.

    Tel est la pratique de notre système sordide et pervers des jugements de divorce en Suisse. (en résumé: le père doit acheter un droit de visite pour voir ses propres enfants et la mère doit retrouver le même niveau de vie avec les enfants que pendant le mariage; le comble de l'ironie !!).

    Sauf que dans tous ces drames, ce sont les enfants qui souffrent le plus de ces situations, avec les conséquences délétères sur leur développement psychique et social (mais comme le rôle du père dans le développement de l'enfant est inconnu en Suisse, malgré toutes les études faites hors frontières à ce sujet, les Juges préfèrent jouer à l'autruche, tête dans le sable).
    Et que l'on ne vienne pas me dire que tout est fait, pensé pour le bien "supérieur" de l'enfant, ce serait le summum de la malhonnêteté et de l'hypocrisie. — exaspéré.

  3. Notification automatique: Revue de presse du 6 février 2018 – p@ternet

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Suisse

Une société de lobbying américaine vient au secours de la Suisse

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La secrétaire d'Etat à l'économie, Helene Budliger Artieda, se trouve actuellement à Washington pour clarifier la situation concernant les droits de douane visant la Suisse (archives). (© Keystone/PETER KLAUNZER)

Une société américaine de lobbying a été mandatée pour garantir à la Suisse un accès total aux puces américaines d'intelligence artificielle (IA). Le Seco a confirmé à Keystone-ATS cette information parue dans la presse mardi.

L'étude d'avocats américaine Akin Gump "soutient la Suisse au sujet des puces IA", indique le Secrétariat d'Etat à l'économie (Seco).

Selon les titres Tamedia, la société a aussi été mandatée pour négocier un assouplissement des droits de douane de 31% visant la Suisse, annoncés par le président américain Donald Trump la semaine dernière. Le Seco ne donne aucun détail à ce sujet, ni sur le montant du mandat.

Avec un chiffre d'affaires annuels de 65 millions de dollars, Akin Gump est le numéro deux du lobbying à Washington, peut-on lire dans les journaux. Le cabinet a annoncé son nouveau mandat - d'un montant de 30'000 dollars mensuels - avec le Seco le 14 mars, selon la presse.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

Toujours plus de procédures judiciaires à Genève

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Le Pouvoir judiciaire genevois fait face à toujours plus de travail. Il a traité 114'000 procédures en 2024, soit 3,7% de plus que l'année précédente, a indiqué mardi le procureur général Olivier Jornot. (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

A Genève, le Pouvoir judiciaire fait face à toujours plus de travail, toutes filières et juridictions confondues. Il a traité 114'000 procédures en 2024, soit une augmentation de 3,7% par rapport à l'année précédente.

Cette hausse continue des procédures reste une source d'inquiétude pour le procureur général Olivier Jornot, qui a présenté mardi le compte rendu de l'activité de la justice en 2024. Les charges ont augmenté à 233,6 millions de francs et ont été couvertes à 26% par les revenus qui ont retrouvé leur niveau habituel après les recettes exceptionnelles de 2022 et 2023.

Dans la filière pénale, qui représente 41% des procédures, la situation a été contrastée. Le Tribunal des mineurs a connu une hausse globale de 11% des nouvelles procédures, avec une augmentation de 15% pour les crimes et délits, en particulier pour ce qui est de la violence entre mineurs. Le Tribunal de police a, lui, bénéficié d'une baisse de 14% des entrées provenant du service des contraventions.

"Renfort absorbé"

Le Ministère public a enregistré une hausse de 8% des nouvelles procédures. Comme prévu, la réforme du code de procédure pénale a généré près d'un millier d'audiences préalables, a commenté M. Jornot. Cinq nouveaux procureurs ont été engagés, un renfort "quasiment d'emblée absorbé au regard de la hausse du nombre de procédures."

Quant à la Chambre pénale d'appel et de révision, elle a enregistré 22% de nouvelles procédures supplémentaires par rapport à 2023. Le taux d'appel étant stable, cette hausse reflète l'augmentation globale en matière pénale des dernières années. "Les plus grosses affaires ont un effet sur la capacité de la Chambre", a souligné M. Jornot.

Conciliation élevée

La filière civile, soit 54% des procédures, suit cette tendance. Le nombre d'entrées au Tribunal civil a augmenté de 8,9%, avec une hausse importante dans le domaine des faillites et concordats (+22%). Les contestations de hausse de loyer auprès de la commission de conciliation ont bondi de 75% par rapport à 2023, mais leur impact a été limité grâce à un taux de conciliation de 79%.

L'activité a aussi continué de croître au Tribunal de protection de l'adulte et de l'enfant, avec 6,9% de nouveaux dossiers. Comme par le passé, l'évolution est importante dans le secteur des adultes (+12%), en lien avec le vieillissement de la population.

Manque de locaux

L'année 2024 a notamment été marquée par l'ouverture du bureau de la médiation. Au total, 670 médiations ont été initiées, dont deux tiers hors procédure judiciaire, et 270 médiations ont pris fin, avec un taux d'accord de 66%. Sur l'ensemble des dossiers, 72% concernait des contentieux familiaux et 16%, le domaine pénal. Un premier bilan prometteur, selon le procureur général.

Plusieurs projets importants vont continuer à occuper le Pouvoir judiciaire, dont la transition numérique de la justice. Le manque de place reste préoccupant, dans l'attente du nouveau Palais de justice à l'horizon 2037 et alors que l'assainissement de bâtiments devient urgent.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse Romande

Comptes lausannois 2024: résultat meilleur que prévu au budget

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Florence Germond (à gauche), municipale en charge des finances, et Gregoire Junod (à droite), syndic de Lausanne, ont présenté comme à chaque fois ensemble les comptes de la Ville (archives). (© Keystone/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Les comptes 2024 de la Ville de Lausanne présentent un résultat meilleur que prévu au budget. Le déficit est finalement de 19,4 millions de francs, en amélioration de 61,4 millions. Si les investissements restent ambitieux, la marge d'autofinancement est insuffisante.

"L'année 2024 ressemble aux dix années précédentes", a d'emblée résumé mercredi devant les médias le syndic Grégoire Junod. "Nous faisons une nouvelle fois mieux que ce qui avait été budgétisé. La croissance des revenus est soutenue grâce aux recettes fiscales et nous avons une bonne maîtrise des charges, leur hausse étant ainsi limitée. Au final, nous sommes proches de l'équilibre financier", a-t-il commenté.

Résolument tournée vers l'avenir, la Municipalité s'est donné les moyens de ses ambitions avec des investissements à hauteur de 176,2 millions de francs, a annoncé le syndic. Ils n'ont en revanche pu être financés qu'à 60%. La dette a ainsi légèrement augmenté, mais la tendance reste en diminution depuis 2012

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Harry à Londres pour tenter de récupérer sa protection policière

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Le prince Harry est apparu souriant mardi. (© KEYSTONE/AP/Jonathan Brady)

Le prince Harry, fils cadet du roi Charles III, est arrivé mardi matin à la Cour d'appel de Londres. Il conteste une décision le privant de sa protection policière systématique lors de ses visites au Royaume-Uni.

Cette affaire, examinée sur deux jours, oppose le duc de Sussex, installé aux Etats-Unis, et le ministère britannique de l'Intérieur, qui a déjà obtenu raison à deux reprises dans ce dossier. A son arrivée au tribunal, le prince est apparu souriant, adressant même un signe à la presse.

Harry et son épouse Meghan, qui ont déménagé aux Etats-Unis après leur rupture fracassante avec la famille royale en 2020, ont perdu la protection systématique de la police aux frais du contribuable britannique, le Home office ayant opté pour une protection au cas par cas. L'audience devrait se dérouler en partie à huis clos pour préserver des informations de sécurité "hautement confidentielles".

La Haute Cour de Londres avait donné raison au ministère de l'Intérieur en février 2024, estimant que la décision ne relevait pas d'une "injustice" et que la stratégie de la police était "légalement fondée". Un porte-parole du prince avait affirmé qu'il ne "réclam(ait) pas un traitement de faveur", mais simplement une application "juste et légale" des règles de protection.

Ce sujet est sensible pour le duc de Sussex dont la mère, la princesse Diana, a perdu la vie dans un accident de voiture à Paris en 1997, alors qu'elle était pourchassée par les paparazzis. En avril 2024, un juge avait rejeté un précédent recours de Harry, et lui avait ordonné de payer la quasi-totalité des frais de justice engagés par le ministère. Une somme d'environ un million de livres, selon le Times.

Batailles judiciaires

Le prince Harry avait, dans un premier temps, tenté d'obtenir une protection policière en proposant de la payer avec ses fonds personnels. Mais cette possibilité lui avait été refusée par la justice britannique en mai 2023.

En parallèle, le duc de Sussex a lancé plusieurs batailles judiciaires contre les puissants tabloïds britanniques, avec qui il entretient des relations houleuses. Il a notamment conclu début janvier un accord financier avec le propriétaire du Sun.

Le prince Harry, en rupture avec sa famille depuis ses révélations explosives sur la monarchie et la publication de son autobiographie "Le Suppléant" (2023), se rend occasionnellement au Royaume-Uni, dans le cadre de ses activités caritatives notamment. Il était revenu en septembre dernier pour une remise des prix de l'association WellChild, qui soutient les enfants malades.

Son retour mardi dans son pays natal coïncide avec le déplacement en Italie de son père Charles et de la reine Camilla, qui a débuté lundi. L'audience devant la Cour d'appel intervient quelques jours après un coup dur pour le fils cadet du roi, qui a annoncé fin mars avoir renoncé à être le parrain de son ONG Sentebale, fondée en 2006 au Lesotho pour venir en aide aux orphelins du sida, après un violent conflit interne.

Le régulateur britannique des organisations caritatives s'est saisi du litige le 3 avril en ouvrant une enquête. Ce dont Harry s'est dit "soulagé", dénonçant les "mensonges" de l'actuelle présidente, Sophie Chandauka. Désavouée par les administrateurs de l'ONG, cette avocate zimbabwéenne de 47 ans avait accusé le prince de "harcèlement et d'intimidation".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Suisse Romande

Les députés rejettent une expérience pilote d'insertion des Roms

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Le postulat visait à fournir un logement simple mais correct pour une durée déterminée à 10 à 15 familles de Roms de Roumanie (illustration). (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Le canton de Vaud ne tentera pas une expérience pilote d'insertion des Roms, qui devait consister à fournir un logement pour une durée limitée à une quinzaine de familles. Les députés du Grand Conseil ont classé mardi le postulat en ce sens du popiste Marc Vuilleumier.

"Croyez-moi, ces personnes sont comme tout le monde, elles aspirent à une vie normale avec un travail et un logement, pour elles-mêmes et leurs enfants", a plaidé Marc Vuilleumier. "Faisons preuve d'un peu de courage et sortons de nos préjugés pour aider ces familles à devenir autonomes."

Concrètement, le postulat consistait à "trouver un logement simple mais correct" pour une durée limitée à 10 à 15 familles de Roms venant dans le canton "de génération en génération". L'objectif était de permettre ainsi "une scolarisation des enfants, des démarches d'insertion, des recherches d'emploi et de soins".

Exemple français

La mesure s'inspirait d'une expérience tentée à Montpellier (F) où un bidonville habité par des Roms avait été remplacé par un "village de transition" de 55 logements spartiates mais salubres. Quelque 165 personnes, épaulées par une équipe socio-éducative, en avaient bénéficié pendant deux ans, jusqu'en avril 2024.

"Le bilan est très positif. Les 165 personnes ont quitté le village. Pas moins de 31 ménages ont emménagé dans des logements sociaux, plus d'une trentaine de personnes ont décroché un emploi à durée déterminée ou indéterminée, tandis que le taux de présence des enfants à l'école est de 80%", a détaillé la rapportrice de majorité, Claude Nicole Grin.

"Problème lausannois"

La gauche a soutenu le postulat. Les socialistes estimaient "judicieux de casser la spirale de la pauvreté" tandis que Les Verts trouvaient "intéressant d'agir en amont des difficultés".

La droite n'a pas été sensible à ces arguments. "Ce n'est pas au canton de résoudre un problème lausannois", a fait valoir le PLR Marc Morandi, ajoutant que "la spirale de la pauvreté [était] instituée par la politique sociale lausannoise".

Pour le Conseil d'Etat, le postulat contrevenait au principe d'égalité de traitement. La cheffe du Département de l'économie, Isabelle Moret, a rappelé que les Roms de Roumanie, comme le reste des Européens, étaient soumis aux accords de libre circulation et pouvaient bénéficier des programmes d'intégration, pour autant qu'ils possèdent "un permis de séjour, conditionné à la détention d'un travail et d'un logement". Elle craignait en outre que la création d'un "ghetto à Roms" n'empêche le principe de mixité sociale.

"Coup de pouce spécifique"

Marc Vuilleumier argumenté que les Roms de Roumanie avaient "besoin d'un coup de pouce spécifique" et qu'il n'était pas nécessaire que toutes les familles concernées habitent au même endroit. Des appartements mis à disposition dans différents bâtiments et différents lieux en ville étaient envisageables. "L'important étant d'avoir une coordination et un projet de suivi d'intégration", a-t-il souligné.

Ses arguments n'ont pas été entendus. Les députés ont classé le postulat par 77 Non, 57 Oui et 3 abstentions.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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